mardi 5 septembre 2023

Journal d’un grand garçon fessé – lundi 4 septembre 2023 – 15h10

Maman avait effectivement bien tiré les conclusions de notre conversation du matin. Je n’eus pas très longtemps à attendre pour qu’elle m’en donne la preuve. L’après-midi même, elle passait à l’acte, mettant en œuvre l'ensemble de la palette des punitions dont nous avions parlé. Cela me fit une très sérieuse correction.

J’avais fait très attention, dans le reste de la matinée, à ne pas lui fournir une autre raison de me donner la fessée. Elle s’était passée tranquillement, même si le thermomètre ne cessait de monter. C’est après le repas de midi que les choses se sont corsées pour moi.

Après le déjeuner, ma compagne m’informa qu’elle allait me mettre à la sieste pour rattraper le retard de sommeil que j’avais accumulé suite à une nuit difficile. Je protestais mollement. Je n’avais pas sommeil, mais je savais qu’une opposition même à peine marquée à sa décision, se traduirait par une fessée. Je préférais l’éviter.
Une fois dans la chambre, elle me déshabilla totalement. Nu comme un ver, je m’allongeais sur le lit. Compte tenu de la température, c’était une décision judicieuse. Ma compagne prit le temps de quelques caresses, non sans fixer les règles que je devais suivre dans la séquence qui suivait :
« Pas d’ordinateur, pas de téléphone et pas de livre ! Je veux que tu dormes ! Attention, si je te prends à désobéir, c’est la fessée ! »
Je lui assurais que je n’avais d’autre intention que de faire la sieste.
« Je laisse la porte ouverte. Cela fera un peu de courant d’air. »
Elle me laissa seul.


Je tentais bien de dormir, mais rien à faire. Je me tournais dans mon lit, d’un côté, puis de l’autre. Je cherchais à me détendre et je fermais les yeux… mais le sommeil ne venait pas. Je lus un peu, aussi silencieusement que je le pouvais, tout en écoutant les bruits que faisait ma compagne et qui me parvenaient par la porte ouverte. Je comptais bien entendre ses pas s’approchant de la chambre, bien avant qu’elle ne puisse voir à quelle activité je me livrais.
Plusieurs fois, le silence m’alerta. Je reposais mon livre en catastrophe et mes lunettes à côté, de peur de voir le visage de ma compagne surgir dans l’encadrement de la porte. A chaque fois, c’était une fausse alerte. Les bruits que faisait ma compagne reprenaient et je pouvais continuer ma lecture.
J’en étais là quand le tintement d’une notification résonna sur mon téléphone. J’hésitais à regarder de quoi il s’agissait. Si ma compagne en avait entendu le son, elle pouvait venir voir ce que je faisais. Je l’entendis marcher, s’asseoir sur une chaise… rien que de très normal.
Je pris rapidement mon téléphone et je regardais ce qui avait provoqué ce tintement. C’était l’arrivée d’un article sur un site d’actualité. Je l’ouvris. C’est à ce moment-là que je vis la silhouette de ma compagne s’encadrer en contre jour dans la porte de la chambre.
« Qu’est-ce que tu fais ? »
Je n’avais rien à répondre.
« Je crois que je te prends sur le fait. Hier je n’avais pas réussi, même si tu as dû faire la même chose, mais là, je crois que c’est clair. »
Elle s’approcha.
« Viens-ici ! »
Elle désignait le bord du lit sur lequel je m’assis. Elle réfléchit un très court moment.
« Je crois que tu as besoin d’une très grosse fessée. Attends-moi ici sans bouger ! »
Elle quitta la pièce.


Quand elle revint, elle tenait à la main la règle plate en bois, celle qui sert à me fesser. Elle s’assit à côté de moi, sur le lit.
« Mets-toi debout ! »
Je savais ce qui était au programme, mais je n’avais aucune intention de tenter de m’y soustraire. La punition était une évidence et que ma compagne envisageât d’utiliser la règle n’avait rien d’étonnant. Une désobéissance aussi flagrante valait bien une sérieuse fessée et il était de la responsabilité de ma compagne de me l'administrer.
Elle me guida d'une ferme prise sur le bras pendant qu’elle m’allongeait sur sa cuisse gauche. Sa jambe droite passa par dessus les deux miennes. Mes fesses étaient à sa disposition et ainsi immobilisé, je ne pouvais plus qu’interposer ma main à condition que j’ose le faire. Je savais que ce n’était alors qu’une éphémère protection que ma compagne n’avait aucun mal à ôter du chemin de sa main, en repliant mon bras dans mon dos, et que cela aggravait automatiquement la sentence. Il était préférable de m'en abstenir autant que je le pouvais.
La main de ma compagne s’abattit sur mes fesses. Il n’y eut pas besoin de nombreuses claques pour que je revienne sur l’appréciation de la veille. Ma compagne n’avait rien perdu de sa dextérité à donner la fessée. En moins d’une minute, elle avait transformé mes fesses en une fournaise et j’avais bien du mal à la laisser faire. Cette fois-ci, elle ne se contenta pas de quelques claques bien senties. Je sentais qu’elle y mettait toute son énergie et que bien que la fessée de prolongeât, elle ne faiblissait pas. Quand la fessée cessa, je crus à la fin de la correction.


J’avais oublié la règle, mais pas ma compagne. La pause fut courte. Juste le temps qu’elle prenne en mains l’instrument prévu pour la suite de ma punition. Jusqu’à maintenant, les fessées qu’elle m’avait données avec la règle avaient pu être longues, c’était particulièrement arrivé une fois et je m’en souviens parfaitement, mais ma compagne retenait la règle, comme elle le faisait en général avec tous les instruments punitifs. Elle n'utilisait pas tout le potentiel des instruments punitifs. Je me rendis compte, dès le premier coup, qu’elle avait changé d’optique. La règle s’abattait avec force sur mes fesses. Mes hurlements n’y changèrent rien. Elle s’appliquait à me fesser très sévèrement et cela durait.
Je ne cherchais pas à y mettre fin. Tout d’abord, grâce à l’emprise physique qu’elle avait sur moi, j’aurai eu du mal à me dégager, sans doute y serais-je parvenu si j'avais essayé, mais elle l'aurait catalogué comme un refus de son ascendant sur moi, c'était inenvisageable ; ensuite je ne voulais plus prendre le risque de mettre ma main en protection de mes fesses, persuadé que la règle y ferait autant de dégâts que sur mon postérieur ; et enfin son autorité et la prise de conscience que j’avais mérité cette fessée me maintenaient en place aussi sûrement que les bras de ma compagne.
Je n’en pouvais plus quand ma compagne abandonna la règle. Ce n’était que pour reprendre la fessée à la main, aussi vigoureusement qu’elle l’avait fait précédemment. Je n’étais pas au bout de mes peines, loin de là.
Mes fesses étaient en feu et je ne maîtrisait plus mes cris et mes demandes de pardon. Mon postérieur me brûlait quand ma compagne mit fin à la fessée, particulièrement là où la règle avait fait son office. C’était certainement la plus impitoyable correction que je n’avais jamais reçue. Je reconnus la traduction en sévérité des conclusions qui découlaient de la conversation du matin. Ma compagne n’avait pas tardé à les mettre en place. Je venais de prendre une vraie fessée, une rigoureuse leçon pour m’apprendre à obéir en toutes circonstances. Elle laissait des marques sur mes fesses. A l'heure où j'écris ces lignes, elles ne sont plus douloureuses, mais sont encore bien visibles.


« Lève-toi, m’ordonna ma compagne ! »
Elle me mit mes chaussons et après un bref tour de la pièce du regard, elle m’amena au pied du mur, près de la porte.
« Le nez contre le mur et les mains sur la tête. Si tu bouges, tu as une autre fessée ! »
Il était inutile qu’elle s’en fasse. J’avais bien l’intention d’observer scrupuleusement les règles en vigueur quand ma compagne me met au piquet. Je n’avais nulle envie de recevoir une nouvelle fessée. La première avait suffit.
« Non, tu vas venir avec moi. Je veux pouvoir te surveiller ! »
Elle me conduisit dans la pièce où se trouvait son ordinateur, là où elle se trouvait avant de me surprendre en pleine désobéissance. Elle repéra un coin et elle m’y plaça.
« Le nez dans le coin et les mains dans le dos. Je ne veux pas te voir bouger. »
Mon attente commença. Je la voyais durer. En effet, nous avions aussi abordé ce sujet la matin. Je lui avais fait par de la règle souvent citée prétendant que la durée d’un temps au coin ou au piquet, était d’une minute par année d’âge. Cela faisait plus d’une heure pour moi. Sans aller jusque-là, je lui fis remarquer que la coin ou le piquet était un moment de réflexion pour le puni et qu’il fallait lui laisser le temps de s’y ennuyer pour espérer qu’il en tire un profit. Nous étions tombés d’accord pour dire qu’un quart d’heure était le temps minimum pour une personne de mon âge, mais que m’y laisser bien plus longtemps ne pouvait être que profitable.
« Tourne-toi et bois ce verre d’eau ! »
Ma compagne m’avait apporté de quoi boire, la chaleur expliquant cela.
« Tu te remets au coin et tu n’en bouges plus ! »
Elle se remit à ses occupations sans plus faire attention à moi, mais elle n’était jamais loin. C'est une des raisons pour lesquelles une mise au coin est une situation vraiment pertinente. Les fesses nues portant les marques de la récente fessées ne pouvaient, de mon point de vue, qu'être au centre de l'attention, mais, au bruit qu'elle faisait, je comprenais que ma compagne y était indifférente tant que je me tenais immobile dans mon coin.
Je dus tenir longuement la position sans montrer de défaillance. Placé dans l’angle de la pièce, je n’avais pour toute vue que les quelques aspérités à quelques centimètres de mon nez. Mes mains étaient croisées dans le creux de mes reins. Je ne pouvais bouger tant que ma compagne m’avait en visu et c'était un effort constant, sous peine d'une nouvelle fessée que j'imaginais magistrale. Elle sortit de la pièce à plusieurs reprises, mais de façon assez courte, ne me laissant pas le temps de changer de position, même pour quelques instants. Je ne voulais prendre aucun risque, ne sachant pas quelle serait la rigueur de la fessée qui sanctionnerait une désobéissance aussi flagrante.


Je commençais à m’y ennuyer sérieusement quand ma compagne me fit sortir de mon lieu de pénitence. En jetant un œil sur la pendule je constatais qu’elle m’y avait laissé vingt minutes. C’était suffisamment long pour me laisser le temps de réfléchir à ce qui m’y avait amené, mais nous étions encore loin d’une durée qui pourrait rendre la station insupportable.
« Je vais te donner une douche pour te rafraîchir »
Elle me conduisit vers la salle de bain, mais nous fîmes une halte aux toilettes.
« Tu vas faire pipi avant !
– Non, je n’ai pas envie ! »
Ma compagne me fit faire un quart de tour et sa main gauche s’abattit une dizaine de fois, très vigoureusement, sur ma fesse droite.
« Je ne veux plus entendre de non quand je te mets aux toilettes ! Est-ce bien entendu ?
– Oui Maman ! »
Elle m’assit sur les toilettes et les quelques gouttes de pipi qui coulèrent la satisfirent.


Ma compagne avait parfaitement intégré aussi bien la nécessité d’une petite fessée au moindre écart que la pertinence d’une très grosse fessée quand j’en avais besoin. Elle avait également allongé le temps que je passais au coin. Mais toutes ces punitions étaient méritées et je n’avais rien à en redire.


D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus

Qui adulte reçoit des fessées par punition

La première réelle fessée racontée ici 

La précédente fessée

 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage. 
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Bernard, mon coach, et ma compagne ont décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction

3 commentaires:

  1. Bonjour Josip.
    Je vois que ta compagne a repris avec sérieux sa mission d’éducation.
    Moi je suis comme toi immature et désobéissant. J’ai vraiment besoin d’autorité. Et c’est Marraine qui se charge de l’on éducation. La fessée déculottée est le seul moyen efficace pour me faire obéir. Quant au martinet il est souvent au rendez-vous. Ces corrections je sais que je les mérite.
    Bien a toi.
    Pascal.

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  2. Arrête de fantasmer Pascal et passe au réel tu verras on se remet très bien d'une fessée!

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  3. Je suis passé au réel depuis longtemps et je sais que la fessée même cuisante on s’en remet très bien comme toi le dis.
    Pascal

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