mardi 5 septembre 2023

Journal d’un grand garçon fessé – lundi 4 septembre 2023 - 10h35

Tout est venu, me semble-t-il, d’une discussion que nous avons eue avec ma compagne avant de prendre notre petit déjeuner. Je devais aller chercher du pain et elle m’avait habillé en conséquence. Juste avant de partir, ma compagne me demanda :


« Tu n’as pas envie de faire pipi ? »

Cela fait partie de ses prérogatives de surveiller mes passages aux toilettes et je sais qu’une sévère correction m’attends si j’ai le malheur de salir ma culotte. Là, ce ne pouvait être le cas, ma compagne venait de me l’enfiler quelques minutes auparavant. Elle était dans la prévention. Elle tnait son rôle de Maman avec attention.

« Non, je n’ai pas envie. Je suis déjà allé aux toilettes ce matin.

– Oui, eh bien ce n’est pas grave tu vas y retourner maintenant. »

Elle me conduisit devant la cuvette des WC, elle baissa mon bermuda et ma culotte et elle m’assit sur le siège. Je n’étais pas très content, non pas que ma compagne m’ait installé pour faire mes besoins, cela fait partie de ses prérogatives de Maman, mais parce qu’elle n’avait pas tenu compte de ce que je lui disais.
« Tu fais pipi et tu m’appelles quand tu as fini ! »
Bien entendu, assis sur le siège, patientant et n’ayant rien d’autre à faire, je relâchais les muscles de ma vessie et un petit jet d’urine coula, un tout petit. Quand ma compagne revint, elle s’enquit de ma miction.
« Alors, as-tu fait pipi ?
– Un tout petit peu.
– Tu vois bien que tu en avais besoin ! »
Elle accompagna cette remarque d’une petite claque sur ma cuisse.
« Lève-toi ! »
Je m’attendais à recevoir une fessée. Pas forcément une grosse, mais juste histoire de souligner mon insouciance. Mais ma compagne se contenta d’essuyer la goutte qui pendait encore au bout de mon pénis. Puis elle remonta ma culotte et mon pantalon. Comme je prenais un air étonné, elle me questionna :
« Qu’as-tu ? Pourquoi cet air ébahi ?
– J’ai cru que tu allais me donner une fessée.
– Pour avoir fait des difficultés à aller faire pipi ?
– Eh bien oui.
– Oh non, pas une fessée pour cela. Je ne voudrais pas te traumatiser. »



C’est sur cette phrase que je suis parti faire la course dont nous avions besoin pour déjeuner. Je n’ai pas pu m’empêcher de la faire tourner dans ma tête. Etait-il possible qu’une fessée me traumatise ? Cette affirmation trottait encore dans mon cerveau lorsque je revins à la maison. Il fallait que j’aborde le sujet avec ma compagne. C’est ce que je fis au cours du petit-déjeuner.
« J’ai été étonné que tu ne me donnes pas une fessée pour avoir refuser d’aller aux toilettes, tout à l’heure.
– Si je te donne une fessée pour ce genre de chose, tu vas en avoir très souvent.
– Tu sais, ce qui importe c’est que les fessées que tu me donnes soient méritées, et là, j’ai l’impression que c’était le cas. »
Avec ma compagne, nous discutons assez ouvertement des fessées qu’elle me donne.
« Soit me donner la fessée, c’est naturel, c’est un mode de punition normal et je dois l’avoir à chaque fois que je la mérite, autrement, je ne comprendrai plus rien. Soit ce n’est pas normal, et il faut qu’on arrête.
– Bien entendu que c’est normal que je te donne la fessée, puisque j’ai en charge ton éducation. Mais je ne vais pas te donner une grosse fessée pour des broutilles.
– Non, bien sûr, pas une grosse fessée, mais un avertissement. Une dizaine de bonnes claques bien fermes sur chaque fesses quand je rechigne à faire ce que tu m’ordonnes, ce ne serait pas injuste. »
Je lui expliquais alors qu’avec elle, soit il y avait une très grosse fessée, soit pas de fessée du tout. Il serait certainement plus pertinent de graduer la fessée en fonction de la bêtise que j’avais commise. Et les petites fessées d’avertissement devaient faire partie de l’arsenal qu’elle utilise.
« Pourquoi me donnes-tu la fessée ? A quoi doit-elle servir ?
– Pour que la correction t’aide à te rappeler l’écart que tu as commis et que tu saches ce que tu risques si tu recommences.
– Je suis d’accord, tu veux créer le souvenir dans ma tête. La fessée aide à montrer l’importance qu’avait la bêtise que j’avais faite. Veux-tu un autre exemple ? »
Ma compagne acquiesça d’un signe de tête.

Le matin même, en rentrant des courses, je devais déposer un vêtement dans la chambre. Je m’y dirigeais tout droit. Ma compagne m’arrêta :
« Les chaussures ! Tu ne rentres pas dans la chambre avec tes chaussures. Va mettre tes chaussons. »
Alors que je m’y attendais, il n’y eut pas plus de fessée que quelques minutes auparavant. Je lui fis remarquer que j’aurais dû penser tout seul à mettre mes chaussons. Une petite fessée d’avertissement m’aurait certainement aidé à m’en souvenir.
« C’est vrai, convint ma compagne.
– Ce serait bien plus efficace si tu avais une gamme plus élargie de fessée, des petites comme des très grosses. C’est pareil, quand tu donnes la fessée avec un instrument punitif, j’ai l’impression que tu te retiens, alors que tu penses que c’est une très, très, très grosse fessée que tu veux ma donner.
– Oui, mais j’ai peur que tu m’en veuilles si je te fesse très sévèrement.
– Maman, si la fessée est méritée, je ne t’en voudrai jamais.
– Oui, je vois. Je vais y réfléchir. »
Nous en étions resté là.



Quelques temps plus tard, dans la matinée, je rédigeais l’un des articles relatant une de mes fessée pour la publier sur le blog, comme ma compagne l’avait exigé. J’étais assis à la table de la cuisine et je tapais sur le clavier de mon ordinateur.
« Monte faire le lit, mon petit cœur, m’ordonna ma compagne.
– Oui, oui, je vais y aller ! »
Je finis d’abord ma phrase, puis mon paragraphe. Je me levais précipitamment quand je vis ma compagne se diriger à grands pas vers moi.
« J’y vais, j’y vais »
Je me dirigeais aussi vite que je le pouvais vers la porte de la chambre. Je n’avais pas fait trois pas quand ma compagne m’intercepta.
« Bien sûr que tu vas y aller, mais auparavant il y a une fessée ! »
Ma compagne délaça le cordon qui retenait mon bermuda et elle me courba sous son bras. Elle n’eut aucune difficulté à baisser mon bermuda, puis ma culotte. Je la laissais faire, son autorité m'y contraignait. Sa main claqua mes fesses nues et je manifestais tout de suite, par de grands cris, la douleur qu’elle y provoquait. Une trentaine de claques, guère plus, mais cela suffit à me chauffer copieusement les fesses.
« Tu vas comprendre que quand je te dis quelque chose, tu le fais tout de suite. Est-ce compris ?
– Oui, Maman, oui ! »
Je me rendis dans la chambre presque en courant dès que ma compagne m’eut relâché et qu’elle eut remonté ma culotte et mon bermuda. Cela ne me permit cependant pas d’éviter une sérieuse claque sur les fesses.

Ma compagne avait parfaitement traduit en acte notre discussion du matin.



D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus

Qui adulte reçoit des fessées par punition

La première réelle fessée racontée ici 

La précédente fessée

 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage. 
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Bernard, mon coach, et ma compagne ont décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

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