lundi 4 septembre 2023

Journal d’un grand garçon fessé – samedi 2 septembre 2023 - 17h15

J’aime bien que ma compagne s’occupe de moi la journée durant. Elle me cajole et me câline, elle me caresse, elle m’habille et me déshabille, elle me donne la douche… et il y a toujours plein de bisous à plein de moments dans la journée. Ellle veille sur moi comme si j’étais son petit garçon et qu’elle était ma Maman. C’est très agréable. C’est notre mode de relation habituel, une relation filiale.

Bien sûr, en tant que Maman, elle est très exigeante avec moi. Elle fait très attention à ce que je sois un garçon bien élevé, obéissant, travailleur… tout ce que veut une Maman, normalement constituée, pour son garçon. C’est une éducation sévère, mais attentive. Bien que je sois un adulte, elle a accepté de s’en charger.

Cette fermeté l’oblige à me punir quand elle estime que j’ai commis un écart répréhensible. C’est un corollaire indispensable qui fait partie de la relation Maman-garçon. Elle a choisi un mode de punition que je ne peux pas ignorer et qui souligne, sans ambiguïté, que lorsqu’elle me punit, j’ai totalement perdu mon statut d’adulte : la fessée déculottée et les siennes sont de réelles fessées qui me laissent les fesses cuisantes.
Ma compagne a donc le droit, mieux le devoir, de me baisser la culotte et de me fesser quand elle estime que j’en ai besoin, suite à une impolitesse ou une insolence, une désobéissance ou une imprudence ou encore quand mon travail est mal fait ou bâclé. C’est elle qui décide quand elle doit me corriger et je sais qu’elle peut le faire quel que soit le moment, le lieu ou les personnes présentes.
Elle n’abuse pas de cette charge. Quand elle me punit, c’est qu’elle a une très bonne raison de le faire et j’en suis conscient à chaque fois. J’ai, à chaque fois, mérité chacune des fessées qu’elle m’a données. Quand nous sommes chez nous, elle me déculotte et elle me fesse dès qu’elle a découvert l’écart qui nécessite une punition. En général, la correction survient là où nous nous trouvons, le plus vite possible. Quand nous sommes en extérieur, elle doit prendre des précautions.
Ce n’est pas qu’elle pense que le fait que nous soyons en extérieur, et donc qu’il y ait d’éventuels témoins qui pourraient assister à ma punition, soit un problème. Quand elle me fesse, ce n’est pas l’adulte, son compagnon, qu’elle courbe sous son bras ou qu’elle allonge en travers de ses genoux. C’est le garçon dont elle a pris en mains l’éducation. Ma compagne me donnerait volontiers la fessée déculottée en public s’il n’y avait pas l’obligation de tenir compte des réaction des passants. Elle me tient pas à ce que l’une de mes corrections soit mal comprise. Il est, en effet, peu courant de déculotter et de fesser un adulte en présence d’autres personnes. Il faudrait, pour cela, obtenir leur consentement explicite. C’est la position que je défends. Ma compagne a tendance à penser qu’un consentement implicite suffirait et que personne ne dirait rien s’il assistait à l’une de mes fessées. Ma compagne m’en a plusieurs fois menacé et j’ai la crainte qu’elle passe à l’acte un jour.
J’ai pourtant, à plusieurs reprises, reçu une fessée en public. Mais à chaque fois les spectateurs de ma punition l’étaient indirectement, souvent d’assez loin. C’est ce qui m’est arrivé ce samedi après-midi.


Nous étions tous les deux conscients qu’après les deux fessées reçues la veille, il était possible que j’en reçoive d’autres à n’importe quel moment. C’est le rôle de ma compagne de décider quand j’en ai besoin et mes arguments ne sont pas toujours entendus, loin de là. Je ne peux pas m’empêcher d’essayer d’éviter une correction, y compris quand je sais qu’elle est parfaitement justifiée. Toute à son rôle, ma compagne m’en tient pas souvent compte. En général, quand elle a résolu de me donner une fessée, je la reçois sans tarder.
Je ne sais plus qui a mis explicitement le sujet de la fessée sur la table. Nous étions en bord de mer, grand marée oblige. Il y avait pas mal de monde, des adultes, des enfants qui étaient venus profiter de ce week-end d’été. La pêche à pied battait son plein et des vélos, beaucoup à assistance électrique, circulaient dans tous les sens. Sans que ce soit la foule, le lieu n’y est pas propice, nous étions loin d’être seul sur cette grève.
« Tu me donnerais la fessée, ici ?
– Pourquoi pas si tu l’as méritée.
– Mais tu me baisserais la culotte devant tout le monde ? »
Ma compagne, de temps en temps, en extérieur, même s’il y a du monde, me courbe sous son bras et me donne une fessée sur le fond de mon pantalon. Elle estime que comme elle ne me déculotte pas, personne ne peut trouver matière à être gêné, si ce n’est par l’écart qu’il y a entre mon âge et la punition que je reçois. Ma cela indiffère ma compagne.
« Bien sûr, tu sais que pour qu’une fessée soit efficace, il faut baisser la culotte. »
Je sais que cela arrivera un jour. « Quand les conditions s’y prêteront » m’a promis ma compagne. J’espérais simplement que ce ne soit pas maintenant.
« Non, tu n’oserais pas, ai-je répliqué !
– Si tu continues à me répondre de façon insolente, c’est pourtant ce qui va se passer ! »
J’ai sourit, je ne l’en croyait pas capable. Pour moi, les conditions ne s’y prêtaient pas. Il y avait trop de monde trop proches de nous, dont une ribambelle d’enfants. Non, décidément, ce n’était ni le bon lieu, ni le bon moment. Je me sentais protégé par la foule.
« Pas ici, continuais-je, il y a trop de monde.
– Parce que c’est toi qui en décides ?
– Non, mais ici tu ne peux pas me déculotter. Regarde là-bas, il y a des enfants ! »
Ma compagne regarda autour de nous. Elle se demandait si, malgré tout, cela n’était pas envisageable. Je vis à son expression déçue qu’elle était arrivée à la même conclusion que moi. Presque.
« Je vois que tu continues à me répondre et ça, tu sais parfaitement que c’est une grave insolence. Tu vas avoir une sérieuse fessée déculottée pour cela, me dit-elle calmement. Je vais t’apprendre à me répondre. »
Ma compagne tient toujours ses promesses. Je savais donc qu’au plus tard, à notre retour à la maison, j’allais recevoir une grosse fessée, bien plus sévère que celles reçues la veille. Mon sort était scellé, enfin pas encore tout à fait.
« Parce que tu crois que je n’oserait pas te baisser la culotte et te fesser devant d’autres personnes ? »
Là, je savais que j’étais en terrain dangereux. Si je persistais dans mes affirmations, je prenais le risque que ma compagne me démontre, séance tenante, que je me trompais. Peut-être n’hésiterait-elle pas à me déculotter et à me fesser, même avec autant de monde autour de nous ? Je ne pouvais pas continuer dans cette voie.
« Non, je sais que tu en as le droit, répondis-je d’une petite voix.
– Ce ne serait pas la première fois que je te donnerais la fessée déculottée devant d’autres personnes ! »
Ma compagne énuméra alors les situations où elle avait sévi en extérieur alors que plusieurs personnes pouvaient nous voir.
« Sur le parking, alors qu’il y avait une dame dans sa voiture qui regardait ; sur le bord de l’étang quand il y avait du monde sur l’autre rive ; sur le bord de la route et les personnes dans les quatre voitures qui sont passée avaient une très bonne vue sur des fesses nues bien rouges... »
Elle évoquait ces situations à voix haute alors que de nombreuses personnes nous croisaient. Saisissaient-elles le sujet de notre conversation ? J’avais envie de lui demander de se faire plus discrète, mais c’était alors prendre à minima le risque qu’elle le soit encore moins ou même qu’elle me donne, sur place, la fessée déculottée qu’elle m’avait promise. Je n’étais sûr de rien. Je me fis discret.
« Ne t’inquiète pas, dès qu’il y aura un peu moins de monde, tu vas avoir ta fessée et une autre très grosse dès que nous serons rentrés, à moins que nous arrêtions sur le bord de la route pour que je te punisse. »
Je savais ses menaces réelles. Un nœud s’était formé dans mon ventre. Je devais maintenant faire très attention à ne pas lui donner une occasion de passer à l’acte.
« As-tu entendu ?
– Oui, Maman. »


Nous cheminions toujours le long du chemin, mais j’avais maintenant en perspective une bonne fessée, voire sans doute plusieurs. Ma compagne m’entraîna vers une partie de la grève où il y avait nettement moins de monde. Je m’en rendais compte avec angoisse. Nous étions éloignés d’une bonne centaine de mètres des personnes les plus proches quand ma compagne s’arrêta.
« Je crois que tu as besoin d’une fessée en public ! »
Elle me mit face à elle.
« Non, Maman, s’il te plait ! »
Je savais ce qu’elle voulait faire et elle me le confirma en défaisant le lacet qui tenait mon bermuda autour de ma taille.
« Ah, fit-elle, je ne savais pas que c’était toi qui décidait quand tu dois avoir une fessée !
– Maman, mais pas ici.
– Et pourquoi donc ? »
Tout en parlant, elle m’avait ceinturé et courbé sous son bras. Elle baissa mon pantalon et c’est sur le fond de ma culotte que je reçus cette fessée. Une douzaine de claques bien fermes. Pas plus.
« Tu vois, une fessée, ce n’est pas forcément très long, mais c’est toujours utile. »
Elle remonta mon pantalon et renoua le cordon. Elle me prit par la main et je la suivis, tout en regardant discrètement si les personnes les plus proches s’étaient rendu compte que je venais de prendre une fessée. Pas une grosse, mais la position dans laquelle ma compagne m’avait mis ne laissait pas de doute sur la situation.


Nous ne fîmes que quelques pas. Je voyais bien que ma compagne n’était qu’à moitié satisfaite. Elle réfléchissait à la suite qu’elle devait donner à cette punition.
« Après tout, conclut-elle tout haut, pourquoi pas. »
Elle me replaça face à elle et défit le cordon qui tenait mon bermuda. Je compris tout de suite qu’elle n’avait pas trouvé suffisante cette première fessée et qu’elle s’apprêtait à m’en donner une autre. Mes supplications la laissèrent de marbre.
Elle me courba une nouvelle fois sous son bras et je sentis mon bermuda tomber à mes pieds. Ma compagne n’en resta pas là. Elle prit l’élastique de ma culotte et elle la fit glisser le long de mes cuisses. Elle la laissa juste au dessus de mes genoux.
Ce fut une bonne fessée. Pas une très grosse, très longue et très forte, mais suffisamment pour m’obliger à émettre quelques cris que je réprimais le plus possible. Je ne tenais pas à attirer l’attention sur nous. Alors que je me redressais un peu, ma compagne gronda :
« Tu te baisses correctement ! La fessée n’est pas finie ! »
Je ne sais pas combien de temps dura cette correction. Trente seconde ? Pas plus d’une minute. Ma compagne me laissa alors me redresser. Je savais que c’était elle qui devait décider quand ma culotte couvrirait de nouveau mes fesses. J’avais la sensation d’être exposé, les fesses et le sexe nus, à la vue de tout le monde.
« Est-ce que ça suffit pour l’instant, ou as-tu besoin d’une plus grosse fessée ?
– Oh non, Maman !
– Tu es sûr ? Autrement, je peux continuer ! »
Elle laissa quelques secondes passer en me fixant dans les yeux. Ce qu’elle y vit la contenta. Tout en prenant son temps, elle me reculotta. J’avais envie de le faire moi-même pour en hâter le processus, mais je crois que ma compagne en aurait tiré la conclusion que j’avais mérité une autre fessée que j’aurais prise sur le champ. Je n’y tenais pas. Je la laissais faire.


Nous cheminâmes en silence pendant plusieurs minutes. Je ne pouvais m’empêcher de penser que certaines des personnes qui nous entouraient et parfois que nous croisions, m’avaient vu dans la position dans laquelle ma compagne m’avait mis, qu’il avaient pu, même de loin, se rendre compte que je recevais une fessée déculottée. Je n’osais pas croiser leur regard.
« Ça fait du bien une bonne fessée déculottée en public, n’est-ce pas mon petit cœur ? »
Faire du bien, cela dépendait de ce qu’on entendait pas là. Sur le moment avoir la culotte baissée en public, ne fait pas du bien. C’est… le mot est difficile à trouver. C’est vexant, mais ce mot à une connotation d’humiliation, ce qui n’est pas le cas. C’est contrariant, mais ce mot est un peu faible pour exprimer ce que je ressens quand ma compagne me baisse la culotte. C’est désobligeant mais c’est beaucoup plus fort que cela. C’est infantilisant, mais c’est dû au statut qui est le mien quand je suis avec ma compagne. C’est en fait un peu de tout cela.

Être le petit garçon de ma Maman, ça a plein d’avantages, mais ça a aussi des inconvénients. Parmi ceux-ci, la fessée déculottée tient le haut du pavé même si j’en reconnais la nécessité et le bien-fondé. Quand ma compagne me baisse le pantalon quand nous sommes seuls à la maison et que je suis certain que personne ne peut ni nous voir ni nous entendre, c’est déjà difficile. J’ai alors pleinement conscience que Maman ne me considère plus comme un adulte, son compagnon, mais comme un petit garçon à qui doit retenir la leçon qu’elle a jugée utile.
Quand ma compagne baisse ma culotte, pour me donner la fessée, c’est encore plus compliqué à vivre. Il n’est plus possible de se rattraper à l’illusion d’être encore une grande personne. Quand la fessée est en public, il est quasiment impossible de ne pas la garder longtemps à l’esprit. C’est d’ailleurs ce que cherche ma compagne. Ainsi, je me rappelle souvent non seulement d’avoir reçu la fessée devant d’autres personnes, mais aussi de ce qui l’a provoquée. Le souvenir de ce moment est alors profondément ancré dans mon cerveau. Ma compagne sait qu’en procédant ainsi, elle atteindra le but qu’elle s’était fixé. Le processus éducatif est sur la bonne voie.
Il est donc certain, qu’à moyen terme, la fessée déculottée , et encore plus quand ma compagne a réussi à créer le souvenir en me la donnant en public, fait beaucoup de bien, mais il m’était difficile de le reconnaître. Je ne répondis pas vraiment. Ma compagne insita.
« Tu ne crois pas que recevoir une fessée déculottée alors que des personnes peuvent voir comment je te punis, est tout à fait salutaire. »
L’interrogation était faite directement et en et le ton insistant me disait que j’avais plutôt intérêt à répondre.
« Peut-être n’as-tu pas compris qu’on ne répondait pas à sa Maman son un ton insolent ?
– Si Maman, j’ai compris.
– J’espère bien sinon je peux te donner une autre fessée dès maintenant. »
Nous étions revenus à un endroit où il y avait plusieurs personnes qui étaient proches de nous qui qui avaient peut-être entendu des bribes de notre conversation. Je n’avais aucune envie de tester la résolution de ma compagne à mettre sa menace à exécution. Je n’étais pas certain qu’elle ne le ferait pas. Peut-être pas en me déculottant, mais en me courbant son son bras, c’était certain.
« Oh non Maman, s’il te plaît !
– Pourtant une bonne fessée déculottée juste sous les yeux de plusieurs personnes, je crois que cela te ferait du bien.
– Oh non… euh oui, bafouillais-je.
– Tu sais que cela arrivera un jour.
– Oui Maman, et ce jour-là, je pense que cela me marquera profondément.
– Au point de ne plus vouloir la fessée ensuite ?
– Non Maman. Je sais que tu as le droit de me baisser la culotte où tu le juges nécessaire, quelles que soient les personnes présentes. Ce sera, par contre, très difficile à supporter. »


Si quelqu'un m'avait observé pendant que je recevais ma fessée déculotté, personne ne se signala. La distance qu'il y avait entre les personnes les plus proches et nous avaient forcément attiré leur attention et nos positions respectives, ma compagne et moi, ne laissaient pas de doute le fait que j'étais puni et sur la nature de la punition. Mes fesses nues devaient être bien visibles et si ce n'était pas assez clair, mes vêtements descendus sur mes genoux avaient confirmé l'impression. Sans doute l'intuition de ma compagne était la bonne. Il considéraient que cette fessée devaient être méritée normale et leur consentement était implicite.
Nous atteignîmes bientôt la voiture et nous reprîmes le chemin de la maison. Je savais que ma compagne n’avait pas oublié qu’une autre fessée, très sévère celle-là, m’attendait dès notre retour.


D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus

Qui adulte reçoit des fessées par punition

La première réelle fessée racontée ici 

La précédente fessée

 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage. 
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Bernard, mon coach, et ma compagne ont décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

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