dimanche 3 septembre 2023

Journal d’un grand garçon fessé – vendredi 1er septembre 2023 - 9h05

Cela faisait plusieurs fois que ma compagne me menaçait d’une fessée. Il y avait eu, bien sûr, quelques claques sur les fesses, que ce soit sur le fond du pantalon et parfois même sur la peau nue, mais rien depuis longtemps qui s’apparentait à une réelle fessée, même si la cuisson avait souvent été effective quoique brève. Mais même trois ou quatre claques sèches sur les fesses nues, cela ne peut pas être considéré comme une vraie fessée. La dernière, si j’en crois ce qui est publié sur ce blog, datait de la mi-mai. Plus de trois mois. Mes plaintes, largement simulées et amplifiées alors que la cuisson sur mes fesses était minimes, avait plusieurs fois provoqué un commentaire désabusé.
« J’ai l’impression que tu as oublié ce qu’est une vraie fessée, m’avait-elle fait remarquer. Cela fait sans doute trop longtemps que tu n’en as pas reçu une ! »

Je me gardais bien de toute provocation à ces moments-là, sachant que j’étais alors très proche de recevoir une réelle fessée déculottée si j’en fournissais la moindre raison.

Je ne sais pas si c’est moi qui, durant tout ce temps, avait été plus sage qu’auparavant et que je n’avais pas vraiment mérité de fessée. Je ne sais pas si le seuil de tolérance de ma compagne avait laissé passer des situations où une bonne fessée aurait été la bienvenue. Plusieurs fois, suite à un écart de conduite, elle m’a dit :

« Il y a quelques temps, cela t’aurait valu une bonne fessée ! »

Je ne sais pas si elle avait raison ou s’il ne s’agissait que d’avertissements. Il est vrai que je l’avais connue plus sévère, mais ces dernières semaines n’étaient pas à la fessée. Tout a changé ce vendredi.


Ma compagne s’était questionnée plusieurs fois, se demandant si elle avait perdu ses prérogatives maternelles incluant de droit de punition. Elle avait évoqué la fessée, allant même jusqu’à me l’annoncer, mais c’était à chaque fois dans le cours d’une discussion où j’avais exprimé un désaccord avec elle.

« C’est une insolence, avait-elle décrété ! »

Mais elle n’était pas passé à l’acte, sentant sûrement que je n’était pas convaincu par ses arguments. Ce jeudi soir, une fois couché dans notre lit, nous avions échangé sur le sujet :

« Tu ne veux plus que je te donne la fessée, m’avait-elle demandé ?

– Non, ce n’est pas ça, mais je trouve que tu me promets la fessée quand je ne l’ai pas méritée, pour des broutilles, par contre, tu n’as plus d’exigence à mon encontre. Je ne te désobéis plus, il n’y a plus de raison.»

Ma compagne était restée songeuse quelques instants.

« Il faut que je réfléchisse à cela, conclut-elle. »

Il faut croire que la nuit lui a porté conseil. Plus de trois mois sans fessée et ce matin là, cela a changé.


Nous nous étions levé assez tard et je n’avais pas très bien dormi. Je n’étais pas encore complètement réveillé. En quittant la chambre, ma compagne me dit :

« Je t’attends dans la cuisine. »

Mais comme je ne faisait pas mine de bouger, elle rajouta :

« Dix minutes, pas plus ! Je t’attends pour déjeuner dans dix minutes ! »

Je n’ai bien évidemment pas fait le lien avec notre échange de la veille. Pourtant, elle avait posé une exigence. Insouciant, j’ai pris mon livre et j’ai commencé à lire. Je n’ai pas fait attention au temps qui passait jusqu’à ce que j’entende les pas de ma compagne qui revenait dans la chambre. J’ai posé mon livre sentant l’urgence mais je n’ai même pas eu le temps de me lever qu’elle se tenait debout à côté de moi. Visiblement, elle n’était pas contente.

« Pas encore levé ? Cela fait plus de dix minutes ! Comment expliques-tu cela ?

– Mais non, il n’y a pas dix minutes ! »

Bien évidemment, j’avais laissé passer le temps qui m’était imparti. Quelques jours auparavant, je pense qu’il n’en aurait même pas été question. Mais ma compagne souhaitait rétablir son autorité. Elle avait décidé de ne plus rien me passer. En niant l’évidence, je n’avais fait qu’accroître sa résolution.

« Non, bien sûr, pas plus de dix minutes, répéta-t-elle ironiquement ! Tu te moques de moi ?

– Non, mais... »

Ma compagne ne m’a pas laissé finir ma phrase. Elle rabattit la couette sur mes pieds.

« Lève-toi ! »

Je dors sans pantalon de pyjama, de sorte que mes fesses et mes jambes nues étaient maintenant à sa vue. Ce n’est pas que ce soit exceptionnel, lors de nos câlins de couple, c’est une situation courante et pour elle et pour moi. Mais là, le contexte était différent. Il n’y avait pas à se méprendre. Elle comme moi savions que ce n’était pas des caresses qui étaient au programme des minutes qui venaient.

Mon hésitation à obéir ne lui convint pas du tout. Elle me prit par le bras et son geste m’attira hors du lit.

« Debout, ordonna-t-elle d’un ton sec ! »

Je sais que quand elle s’exprime de cette façon, c’est qu’il est temps d’obéir sans tergiverser. Je me levais tout en cherchant à argumenter. C’était ma dernière change d’éviter la correction qui se préparait, même si je ne me faisait pas trop d’illusion. Quand ma compagne à décidé qu’une bonne fessée me serait profitable, il n’y a pas grand-chose qui peut la faire changer d’avis.

« Mais je ne…

– Non, je ne veux plus t’entendre, me coupa-t-elle ! Maintenant c’est la fessée ! »

Le mot était lâché. Bien que nous sachions tous deux, depuis plusieurs minutes, que c’était de cette façon qu’elle voulait me punir de ma désobéissance, jusqu’alors, je pouvais faire comme s’il pouvait y avoir une autre issue à cette séquence. Maintenant, la fessée étant annoncée, ce n’était plus possible. Rien de ce que je pourrais dire ou faire ne m’épargnerait des fesses rouges et cuisantes.

Elle s’était assise sur mon lit tout en tenant mon bras et elle m’attira sur ses genoux sur lesquels je tombais à plat ventre. Elle referma ses genoux sur mes cuisses. J’étais dans une position qui m’avait été familière , il n’y a pas si longtemps et dans laquelle ma compagne ne m’avait plus placé depuis plusieurs semaines. Mes fesses nues étaient à portée de sa main. La fessée pouvait commencer.


Contrairement à ce que pensait ma compagne, je n’avais pas oublié ce qu’est une réelle fessée. Je retrouvais instantanément les sensations et les comportements qui étaient les miens quand ma compagne me corrigeait. Recevoir la fessée déculottée, cela ne s’oublie pas. Et encore moins la brûlure que ma compagne s’employait à entretenir sur mes fesses.

Pas une seconde, je ne songeais à quitter la position infantilisante dans laquelle elle m’avait mis, afin de mettre fin à la fournaise qui embrasait mes fesses. Son autorité était intacte. Elle suffisait pour m’obliger à subir ma punition jusqu’au bout. Comme à chaque fois, je savais que ma compagne avait raison de me punir et que la fessée déculottée était la meilleure façon de me faire comprendre que les désobéissances n’étaient plus au programme.

Je criais, je suppliais mais c’était en vain. Ma compagne laissait ce vacarme remplir l’espace sonore de notre chambre. C’était la seule liberté qui m’était autorisée. Elle avait passé une jambe par dessus les miennes. Je ne pouvais donc pas battre des pieds, tout juste les remuer un peu. Je ne sais pas si les cris que je poussais ou les battements de jambes su j’avais pu me livrer à cet exercice, auraient aidé à supporter la douleur de la fessée. Mais je sais que je ne peux m’en empêcher quand ma compagne abat sa main sur mes fesses.
Lors des premières fessées que m’a données ma compagne, il y aura quatre ans dans un peu plus de deux mois, j’ai bien essayé de revoir stoïquement ma correction, sans émettre un cri, sans faire le moindre mouvement, mais je n’y arrive pas. Vient toujours un moment où une première plainte passait entre mes lèvres, où un premier mouvement soulignait une claque particulièrement douloureuse. Ensuite, cela ne c’était plus arrêté. Maintenant, je n’essaye même plus.


Ce ne fut pas une fessée magistrale. Bien sûr, à la fin de la correction, mes fesses étaient toutes brûlantes et certainement copieusement rougies. Je crois que ma compagne ne le conçoit pas autrement. Mais elle n’insista pas jusqu’à ce que la fessée me soit insupportable comme elle le fait quand elle a jugé qu'une grosse fessée était nécessaire. La leçon m’avait été profitable bien avant. L’obéissance immédiate était la règle et ma compagne me l’avait rappelé sans équivoque. Je savais ce que je risquais et qu’en cas de récidive, la punition serait plus sévère. Ma compagne n’avait pas besoin de me l’expliquer. La fessée avait suffi.

« Es-tu décidé à obéir, maintenant ?

– Oui, Maman, oui !

– Tu es sûr ? Parce que je peux continuer encore si tu préfères ;

– Non, Maman, non, j’ai compris.

– Bien nous allons voir cela durant la journée. Mets-toi debout ! »

Ma compagne attrapa mon pantalon de pyjama et sur son invite je passais une jambe après l’autre. Elle le remonta. Une petite claque sur les fesses

« On va déjeuner ! »

Je m’empressais d’obéir. Hélas, ce ne fut pas la seule fessée de la journée.


D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus

Qui adulte reçoit des fessées par punition

La première réelle fessée racontée ici 

La précédente fessée

 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage. 
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Bernard, mon coach, et ma compagne ont décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

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