mardi 5 septembre 2023

Journal d’un grand garçon fessé – dimanche 3 septembre 2023

Si l’on y réfléchit bien, les raisons de donner une cuisante fessée déculottée à un adulte sont nombreuses. Il faut, pour cela, qu’une personne ait une responsabilité éducative vis à vis de celui qui est ainsi puni. C’est la cas de ma compagne. Elle s’attache à ce que mon comportement soit conforme à ce que doit être celui d’un garçon bien élevé.


Cela la conduit à sanctionner tout comportement qu’elle juge inapproprié. Jusqu’à Maintenant, elle n’a rien trouvé de plus performant qu’une bonne fessée déculottée. L’important, me dit-elle souvent, c’est que je comprenne pourquoi je suis puni.

Cela amène ma compagne à une très grande exigence vis à vis de moi qui l’amène à me corriger quand j’en ai besoin. En ce moment, ma compagne est très disponible. Elle est donc très attentive à tous mes écarts. J’en ai fait l’expérience ce dimanche.


Cela a commencé dès le matin. Ma compagne et moi, nous nous sommes levés de concert.
« Je t’attends pour déjeuner dans la cuisine. Ne tarde pas ! »
Elle m’a laissé assis sur le bord du lit. J’étais dans la tenue que je porte la nuit : juste un haut de pyjama. J’étais désarçonné et déçu. Je pensais que la relation filiale que nous étions en train de retisser l’amènerait à m’habiller. Je restais là sans bouger, me demandant quoi faire. Mais ma compagne n’était pas disposée à m’attendre indéfiniment.
« Faut-il que j’aille te chercher ? »
Je savais ce que cela voulait dire si je l’obligeais à se déplacer. J’en avais fait l’expérience seulement deux jours auparavant. Une récidive serait bien plus sévèrement sanctionnée. Seulement, je n’avais pas envie de m’habiller moi-même.
« Eh bien, je vais y aller en pyjama, comme ça ! »

Mon entrée dans la cuisine passa inaperçue dans un premier temps. Ce n’est qu’en se retournant que ma compagne constata que mes fesses étaient nues.
« Que fais-tu ici sans culotte ? »
Cela peut paraître paradoxal, mais elle est très attentive à ce que ma tenue soit correcte à tout instant. Il est bien sûr normal que mes fesses soient nues, mais à condition que ce soit pour une bonne raison : lors de l’habillage ou du déshabillage, pendant une douche ou un passage aux toilettes, par exemple, et bien sûr quand elle me donne la fessée déculottée. Elle considère que la pudeur m’oblige à couvrir mes fesses et que quand elles sont nues, c’est que ma pudeur d’adulte n’a plus cours.
« Depuis quand on vient déjeuner les fesses nues ? »
Son courroux était visible. Je m’étais mis, tout seul, dans un mauvais pas. Je ne savais pas quoi lui donner comme explication, n’en trouvant aucune de satisfaisante. Celles que j’avais élaborées, assis sur le bord de mon lit me semblaient maintenant dénuées de fondement.
« Tu vas retourner mettre une culotte, mais avant cela... »

Elle me prit par la main et me traîna derrière elle, vers le canapé. Elle s’y assit et dans le même geste, elle m’allongea en travers de ses genoux. Je savais qu’elle allait traiter cette tenue indécente avec une fessée. Il était inutile de me déculotter, mes fesses étant nues. La fessée commença immédiatement.
Ce ne fut pas une grosse correction. Ma compagne fit une pause au milieu de la punition :
« Quand tu te déplaces dans la maison, je veux que tu aies une culotte, sauf si je t’ordonne le contraire. Est-ce bien compris ?
– Oui, Maman, oui ! »
Ma soumission immédiate aux règles qui s’imposaient à moi ne suffit pas pour mettre fin à la fessée. Elle reprit encore quelques instants. Ma compagne s’assura que mes fesses bien cuisantes me permettraient de me souvenir de mes obligations.
« Lève-toi et va mettre une culotte ! »

Il n’était plus question ni de discuter ni de faire part de mes doléances. Je filais dans la chambre. J’avais une tenue bien plus décente lorsque je revins dans la cuisine pour prendre mon petit déjeuner. Il ne fut pas question de fessée avant le milieu de l'après-midi.



La veille, nous n’avions pas pu marcher sur la grève. La mer, par ces fortes grandes marées, se retire loin, mais elle laisse un fond vaseux sur lequel il est possible de cheminer là où elle est suffisamment stable. Ces passages sont marqués par des piquets qui permettent aux ostréiculteurs et aux mytiliculteurs d’aller en tracteur jusqu’à leur parcs ou leurs bouchots. Il est possible de les emprunter. C’est ce que font les pêcheurs à pied pour faire le plein de palourdes. Quand nous étions venus la veille, le samedi, nous n’étions pas équipés. Il aurait été possible de s’y aventurer, mais seulement pieds nus et avec rien pour se débarrasser de la vase une fois revenu sur la terre ferme. Or ma compagne voulait se rendre compte par elle-même de la réalité de ce paysage nouveau pour elle. Nous y sommes donc revenus le lendemain, munis de bottes.

Il faisait chaud. Même en Bretagne, le thermomètre peut dépasser les trente degrés. Je sais, ce n’est rien face aux plus de quarante que certains d’entre vous ont sans doute connu cet été. Mais pour nous, les occidentaux de notre hexagone, cela fait beaucoup.
C’était le dernier week-end des vacances. L’école reprenait le lendemain. Ce dimanche après-midi, il n’y avait plus grand monde sur la grève bien qu’il y fît très beau. Chacun se préparait à rentrer dans ses pénates pour y reprendre qui le travail, qui l’école.
« C’est parfait, dit ma compagne en descendant de la voiture, avec aussi peu de monde, je n’aurai pas à chercher un endroit discret pour te donner la fessée déculottée ! »
Ce n’était pas pour me réjouir, mais je devais avouer que selon les critères de ma compagne, c’était vrai. Selon les miens, où que nous soyons sur cette grève, il n’y avait aucun obstacle pour arrêter le regard. Une fessée déculottée pouvait donc être vue de loin.
Nous avons donc commencé à marcher, bottes aux pieds, en prenant soin de suivre les piquets plantés dans la vase. L’aspect en dehors de ce chemin n’invitait pas à aller à mettre les pieds.


Nous avions parcouru un bon bout de chemin. Toujours de la vase, rien que de la vase. Nous sommes arrivés à un endroit où l’on s’enfonçait beaucoup moins. J’ai parcouru encore une dizaine de mètres. Ma compagne était déçue. Elle pensait qu’après la vase, elle trouverait une plage. Il n’en était rien. De la vase jusqu’à la mer, même si elle semblait plus solide maintenant qu’elle l’avait été jusqu’alors. C’était apparemment l’endroit où se ramassaient les palourdes. Nous étions passés à une petite centaine de mètres de deux personnes qui fouillaient dans la vase. Ils étaient maintenant un peu plus loin, mais pas tant que cela.
« Allez, viens, on fait demi-tour ! »
J’aurai bien été jusqu’aux parcs à huîtres qu’on apercevait plus loin. Maintenant que nous pouvions marcher plus facilement nous les aurions certainement atteint avant que la remontée des flots nous oblige à rebrousser chemin. Mais ma compagne, en plus d’être déçue par l’aspect de la grève, se demandait si la mer ne nous gagnerait pas en remontant. Elle m’avait plusieurs fois demandé l’heure alors que nous étions à peine à marée basse. Elle insista :
« Tu viens, on s’en va ! »
Je mis certainement trop de temps à obéir.
« C’est maintenant, me dit ma compagne en élevant la voix. Je t’attends immédiatement ! »
Je m’empressais de lui obéir, mais quand j’arrivais près d’elle je constatais qu’il était trop tard. Ma compagne dénoua le lacet qui tenait mon bermuda, puis elle me courba sous son coude.
« Quand tu n’obéis pas tout de suite, tu sais ce qui t’arrive ! »

Oui, je savais ce qui m’arrivait quand je mettais du temps à obéir. La position dans laquelle m’avait mis ma compagne ne me laissait pas de doute sur ce qui allait suivre, pas plus à moi qu’aux personnes, certes éloignées, qui auraient porté le regard sur nous à ce moment-là. Elle fit glisser le bermuda jusqu’en haut des mes bottes. La culotte suivit aussitôt. C’était une fessée déculottée, malgré les deux personnes à une centaine de mètres et celles qui contemplaient la mer depuis la plage. La main de ma compagne claqua mes fesses une bonne dizaine de fois de chaque côté. Suffisant pour que je commence à en ressentir la brûlure.
« Tu vas apprendre à obéir tout de suite quand je te dis de faire quelque chose ! »
Elle reprit la fessée qui fut aussi vigoureuse que la première, mais heureusement pas plus longue. Enfin elle relâcha ma taille. Elle remonta ma culotte, puis mon bermuda. Je regardais autour de nous. Personne, autant que je pouvais en juger, ne semblait avoir fait attention à la punition, culotte baissée que je venais de subir. Avions-nous, malgré tout, été vus ? J’avais du mal à m’accommoder de cette incertitude.



Nous reprîmes notre route vers le rivage. Chaque pas nous rapprochait des personnes qui nous avaient peut être regardés quand j’avais reçu la fessée déculottée. Les deux personnes qui ramassaient des palourdes s’étaient arrêtées et elles nettoyaient leur pêche dans un trou d’eau de sorte que la distance entre elles et nous s’était légèrement accrue.
Je boudais un peu, ce qui ne plut pas à ma compagne.
« Ce n’est pas parce que je viens de te donner une fessée déculottée que ça te donne le droit de faire la tête !
– Non, mais il y avait des gens trop près. Ils ont dû voir quand tu as baissé ma culotte.
– Et alors ? Cette fessée étaient bien méritée, non ?
– Oui, oui, dus-je en convenir, mais quand même. Nous étions trop près.
– Parce que c’est toi qui en décide, maintenant ?
– Non, non, mais je ne n’ai pas cru que tu oserais.
– Tu avais besoin de cette fessée, tu las eue. C’est tout. Maintenant je ne veux plus t’entendre sur le sujet ! »

Nous continuâmes notre chemin, sans que l’argument de ma compagne eût suffit à me convaincre. Je me demandais toujours si l’une des personnes vers qui nous marchions avait pu me voir dans une aussi fâcheuse posture.
« Si tu continues, gronda ma compagne, tu vas avoir une autre fessée ! »
Là, ce n’était plus possible. Nous étions trop près du bord de la mer et il y avait trop de monde. Je haussais les épaules. C’en était trop. Ma compagne n’hésita pas. En quelques secondes, je me retrouvais coincé sous son coude, le bermuda et la culotte baissés. Nous étions pris entre les deux personnes qui revenaient de leur pêche et celles qui prenaient le soleil sur la plage. Certes, il y avait encore un peu de distance et avec les uns et avec les autres, mais j’étais persuadé qu’il suffisait qu’ils regardent dans notre direction pour ne perdre aucun détail de la punition infantilisante que je subissais.


Reculotté, je fis la centaine de mètres qui nous restait à faire pour rejoindre le rivage, tiré par ma compagne qui me tenait par la main. Je ne cherchais pas à m’attarder sur place, incertain du regard que les personnes qui se tenaient là pouvait me jeter et de la façon dont elles me considéraient.


D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus

Qui adulte reçoit des fessées par punition

La première réelle fessée racontée ici 

La précédente fessée

 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage. 
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Bernard, mon coach, et ma compagne ont décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

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