Journal d’un grand garçon fessé – Lundi 20 novembre 2023 – 10h01

Je vous avais annoncé, que suite à l’article publié le 12 novembre dernier, un deuxième contact était en cours et que, contrairement au premier qui avait tourné court peu de temps après les premiers échanges, celui-ci semblait bien parti. Huguette a été contactée par un Monsieur qui a les mêmes conceptions qu’elle de l’éducation des adultes.

Il est très probable que nous le rencontrions prochainement et cela me promet quelques bonnes corrections avec deux personnes pour s’occuper de moi, toutes deux convaincues que, me donner la fessée déculottée, ne pouvait m’être que profitable.

Pour faire court, depuis une petite semaine, nous, ma compagne et moi, échangeons avec lui pour être bien sûr que nous cherchions les mêmes choses. Dans un courriel en date du 18 novembre dernier, le dernier paragraphe que j’y ai écrit, était maladroit et ambigu. Il pouvait laisser supposer que je ne voulais plus qu’il vienne, alors qu’il est clair que ce n’est pas à moi d’en décider.

Suite aux réactions de ce Monsieur, je l’ai prié de m’en excuser et j’ai réécrit, dans un autre courriel, le contexte dans lequel, pour moi, se tiendrait cette rencontre. Cette nouvelle rédaction l’a contenté, mais il m’a informé que, suite à ma maladresse, quand nous nous rencontrerions, j’aurai une fessée pour m’apprendre à faire plus attention.

L’histoire ne s’arrête pas là. Ma compagne n’est pas chaude pour les fessées différées. Pour celle-ci, cela aurait voulu dire qu’entre la bévue que j’avais commise et la punition qui en découlerait, se seraient passé plusieurs semaines. C’était bien trop pour elle.

Elle a donc proposé que, ce lundi 20 novembre matin, nous organisions une visioconférence, au cours de laquelle elle proposait de solutionner le problème. Ils se sont donc donné rendez-vous, par ordinateurs interposés.

« Va au coin ! »

L’ordinateur était installé, prêt pour la visio, et ma compagne n’avait pas prévu d’endroit où je pourrai m’asseoir. J’aurai dû me douter qu’il y avait anguille sous roche. Pas pour la fessée. Je m’attendais bien à en recevoir une. Non, mais mon statut de puni était souligné dès le début.

Elle désignait l’angle de la pièce où elle m’avait très souvent envoyé en pénitence. Je n’hésitais qu’une petite seconde, puis je me dirigeais là où elle avait décidé que serait ma place dans les minutes qui suivraient.

« Le nez dans le coin et les bras croisés dans le dos ! »

Elle aurait pu se dispenser de ces consignes. Celle position était habituelle. Je savais comment elle attendait que je me comporte au coin.

« Si je te voie bouger, c’est la fessée déculottée ! »

Heureusement, elle ne m’avait pas ordonné de baisser ni mon pantalon, ni ma culotte. Je me doutais que cela ne saurait tarder, mais on se console comme on peut.

La communication fut établie. Bien évidemment, placé comme je l’étais, je n’en voyais rien. J’entendais, par contre, toute la conversation. Mon tonton, puisque c’est ainsi que je dois l’appeler, lui, vit au premier regard que ma compagne m’avait mis au coin. Cela n’apporta pourtant pas de réaction de sa part. Après quelques échanges sur des banalités, ils en vinrent au fait.

Mon tonton expliqua combien il avait été surpris par ce courriel et qu’il s’était demandé s’il était toujours pertinent d’envisager une rencontre. Heureusement les courriels qui avaient suivi, l’avaient rassuré et il était maintenant fermement décidé à venir, d’autant plus qu’il considérait que seule une bonne fessée pourrait solder cette histoire.

Ma compagne lui répondit qu’elle était d’accord sur le principe, j’avais mérité une fessée, mais qu’elle préférait ne pas différer d’autant de temps une punition.

« La meilleure fessée, celle qui est la plus efficace, c’est celle qui est donnée immédiatement après que la faute est constatée. »

Elle se proposa donc de me donner cette fessée sur le champ, en présence de mon tonton, même s’il n’était là que par visio. Après accord des deux personnes, ma fessée immédiate fut confirmée. De mon coin, j’avais suivi les échanges et leur conclusion ne m’étonnait pas.

« Josip, viens-ici ! »

Je sortis de mon coin, sans le soulagement que j’en ressentais habituellement. Certes, je n’étais plus en pénitence, mais c’était vers une fessée que je marchais. Ma compagne me plaça debout devant elle. J’étais ainsi dos à la caméra. Ma compagne me baissa le pantalon.

« Mets-toi là ! »

Je me dirigeais vers la droite de la chaise sur laquelle elle était assise. Mon pantalon entourait mes chevilles, mais ma culotte n’avait pas bougé de place. Ma compagne me prit par le bras et elle m’obligea à me courber, puis à tomber à plat ventre en travers de ses genoux.

« Tu sais pourquoi tu es là ?

– Oui Maman.

– Dis-moi !

– Parce que j’ai envoyé un texte à tonton qui l’a fâché.

– C’est bien cela ! Tu as entendu que cela va te valoir une fessée !

– Oui, Maman ! »

Elle saisit l’élastique de ma culotte et elle baissa le sous-vêtement juste en dessous de mes fesses. Mon poids pesant sur le devant de ma culotte, contre sa cuisse, elle ne pouvait guère aller plus loin. Cela lui suffit. Sa main s’abattit sur mes fesses, répartissant également les claques à droite et à gauche.

Je serrais les dents, ne voulant pas trop montrer à mon tonton combien la fessée de ma compagne me cuisait les fesses, progressivement, mais sûrement. Mais à l’impossible nul n’est tenu, je laissais rapidement libre cours à mes cris. Mes jambes contenues par le pantalon et passées sous la table du séjour, ne représentaient en rien un obstacle à ma correction.

Oh, ce ne fut pas une grosse fessée. Ma compagne y mit fin quelques courtes minutes après l’avoir commencée. Mais elle était particulièrement vexante. C’est toujours compliqué de recevoir la fessée déculottée devant une autre personne. Allongé sur les genoux de ma compagne, la culotte baissée et les fesses rouges, ni lui ni elle ne pouvaient voir en moi un adulte. Si j’en avais l’habitude avec ma compagne, ce n’était pas encore le cas avec mon oncle. Je savais que bientôt ce serait en travers de ses genoux et de sa main que je recevrai la fessée et qu’il me faudrait bien en prendre l’habitude. Je n’avais pas d’autre alternative.

Ma compagne me remit sur mes pieds. Elle prit la précaution de remonter le devant de ma culotte pour recouvrir mon sexe. Dans quelques jours, il ne serait plus question de cela. C’est mon tonton qui me baissera la culotte, devant lui et il ne sera pas question de pudeur déplacée.

Ma compagne me tourna vers la caméra.

« Alors ?

– Je te demande pardon, tonton.

– Pardon de quoi, poursuivit ma compagne ?

– D’avoir envoyé un courriel… euh… déplacé !

– Et ?

– Je ne le ferai plus.

– Sinon ?

– Sinon j’aurai une fessée.

– Une autre fessée déculottée, conclut ma compagne ! Et elle sera bien plus sévère que celle-là ! »

Je ne rajoutais rien, sachant que ma compagne tiendrait sa promesse et je n’avais que peu de doute sur la résolution de mon oncle en ce domaine.

« Retourne au coin »

Elle baissa correctement ma culotte, exposant maintenant mes fesses nues et mon sexe, à la vue de mon oncle. Je me hâtais de gagner le coin.

La conversation se poursuivit sans que ni l’un ni l’autre ne marque un intérêt pour moi. C’était normal, j’étais au coin ! Pourtant, c’est de moi dont ils parlaient. Ils mettaient au point les modalités d’éducation et de punition qui seraient les miennes lors de cette prochaine rencontre.

Je ne sais exactement combien de temps je restais au coin, montrant mes fesses nues aux deux personnes qui étaient là. Elles n’y prêtaient pas attention, ce qui confirmait la banalité qu’il y avait à me voir au coin, la culotte baissée, attendant l’autorisation d’en sortir.

D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus

Qui adulte reçoit des fessées par punition

La fessée déculottée : honte ? humiliation ? 

Recherche personne, homme ou femme, pour donner la fessée 

La première réelle fessée racontée ici

La précédente fessée

 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage. 
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.