Nous étions en plein câlin de matin, avant de nous lever. Ma compagne en moi étions étroitement enlacés. Il a fallu qu’elle me rappelle la fessée de la veille au soir juste à ce moment-là. J’ai bien tenté d’esquiver.
« Quelle écriture ?
– Tu dois écrire la fessée d’hier soir, juste avant de prendre ta douche ! »
C’était vrai. J’avais compté qu’elle oublierait de me demander d’écrire, mais je devais me rendre à l’évidence : il n’en serait rien.
« Nos lecteurs doivent savoir ! »
C’est son live-motif. Ils ont le droit de savoir, ça se discute… mais pas quand ma compagne en a décidé autrement.
La veille au soir, j’avais été aux toilettes peu de temps avant de me préparer pour le coucher.
« T’es-tu bien essuyé ? »
Si ma compagne ne m’accompagne plus aux toilettes, elle s’enquière, de temps en temps, de la qualité de mon hygiène intime.
« Oui, bien sûr ! »
Il n’y avait aucune raison qu’il en soit autrement.
Aucune raison… pas tout à fait.
Ma compagne décida de me déshabiller elle-même avant que je n’aille prendre ma douche. Elle ne le faisait pas systématiquement, mais cela arrivait de temps en temps. Elle m’ôta donc le haut de mon survêtement, puis mon tee-shirt et elle me demanda :
« Debout ! »
Je me levais, le temps qu’elle baisse mon pantalon et ma culotte.
Mes sous-vêtements étaient blancs. J’avais strictement respecté ses consignes. La fessée reçue le 18 novembre dernier m’avait servi de leçon. Le week-end, c’est en blanc. Le principal inconvénient de cette couleur, c’est que la moindre salissure s’y voit tout de suite.
« Qu’est-ce que c’est que ça ? »
Ma compagne montrait le fond de ma culotte sur lequel il y avait une légère trace marron. J’avais pourtant vérifié avant de me reculotter et de sortir des toilettes. Sans doute pas assez attentivement ou alors, c’était après que j’avais sali ma culotte.
« Qu’est-ce qui arrive aux petits garçons qui salissent leur culotte ? »
Évidemment, que je savais. La fessée était au programme. Mais je ne pouvais pas m’empêcher de tenter de l’éviter.
« Mais c’était avant !
– Ah oui, avant quoi ? Tu me prends pour qui ?
– Mais…
– Cesse tes fariboles ! Cela ne t’évitera pas la fessée ! Debout ! »
Je fis un bref passage par la station debout avant de me retrouver à plat ventre sur la cuisse gauche de ma compagne. Mon pantalon et ma culotte enserraient mes mollets, elle n’eut même pas la peine de les baisser.
Elle me serra contre son flanc. Elle m’avait annoncé la sanction et la position dans laquelle elle m’avait mis confirmait ses intentions : c’était la fessée.
La main de ma compagne atterrit sur mes fesses. Il n’y avait plus rien à faire et, honnêtement, je n’y voyais aucune injustice. C’était bien normal qu’une culotte salie se traduise par une bonne fessée déculottée. Bien que j’en reconnaisse le bien-fondé, cela ne me rendait pas la punition plus facile. La main de ma compagne transforma mes fesses, en quelques instants, en une surface cuisante qui n’aspirait plus qu’à la fin de la correction.
Mon bras gauche passé derrière son dos ne m’était plus d’aucune utilité. J’essayais bien de le mettre en opposition, mais je n’arrivais pas à lui faire franchir l’obstacle de son dos. Son bras gauche me maintenait en place. Je tentais de me lever, mais il n’y avait rien à faire. Ma main droite s’interposa brièvement, mais elle saisit mon poignet et replia mon bras dans mon dos, dégageant mes fesses pour la correction qu’elle avait décidé de m’infliger.
Mes cris n’avaient aucun effet sur elle. Je leur laissais libre cours, mais c’était une piètre consolation au vu de la fournaise que la vingtaine de claques sur mes fesses y entretenait. Je suis toujours stupéfait, quand je regarde des vidéos de fessées sur internet, de voir comment les punis reçoivent leur correction stoïquement. Cela m’incite à penser que ce ne sont pas de véritables fessées qu’ils ou elles reçoivent. Même avec la seule main nue, ma compagne arrive à me cuire le postérieur si efficacement, que je ne peux m’empêcher de gigoter sur ses genoux et de crier ma douleur.
Ce ne fut pas une grosse fessée. Ma compagne ne juge plus que j’en ai méritée une depuis quelques temps. Mais cela suffit pour que son message passe : une culotte salie, c’est une bonne fessée déculottée. Je n’avais rien à y redire. Cela fait partie des sanctions normales et je m’en sentais largement responsable. Je n’avais pas fait assez attention.
Ma compagne me redressa. Debout devant elle, elle m’ôta mon pantalon et ma culotte.
« A la douche ! »
Une sérieuse clause sur mes fesses nues confirma ses dires. Je me dépêchais d’obéir.
D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus
Des témoignages ?
Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.
JLG tu fait des bêtises de petit garçon, une culotte sale c'est sur que la fessée de maman était bien justifiée, si tu continue tu vas devoir porter des protections comme un bambin.
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