Journal d’un grand garçon fessé – Jeudi 14 décembre 2023 – 16h45

« Et en plus, tu vas devoir l’écrire »

Ma compagne venait me consoler. Ses mains glissaient sur mon corps par-dessus mes vêtements. Je goûtais particulièrement les moments où elles caressaient mes fesses à travers mon survêtement. C’était là qu’elle avait sévi à peine un quart d’heure plus tôt.

Elle avait raison, ma punition n’était pas tout à fait arrivée à son terme. Il me restait à en faire le récit et à le publier sur le blog. Cela pouvait attendre un peu. Ma compagne me laissait un peu de temps, une journée, deux s’il y avait des circonstances exceptionnelles, avant de considérer que l’absence de l’article en ligne constituait une procrastination. J’avais réussi, jusque-là, à en connaître les conséquences.

Pour comprendre, il faut remonter une vingtaine de minutes dans le temps. Pourtant j’aurais dû identifier les signes annonciateurs de la punition. Déjà, la veille, je crois que j’étais passé tout près de la fessée.

En fin d’après-midi, j’étais revenu du travail. Dans notre boite à lettres, j’avais trouvé une revue que je feuilletais, sans entrer dans le détail de l’un ou l’autre article.

« Va te changer, me dit ma compagne ! »

Cela fait partie des choses auxquelles elle tient. Quand je suis à l’extérieur, je peux, et parfois, je dois, être en pantalon et en chemise. Cela fait partie de mon personnage public. En revanche, quand je suis à la maison, elle insiste pour que je sois en survêtement. Je ne sais pas trop pourquoi.

Ce n’est pas parce qu’un pantalon de survêtement, tenu à ma taille par une ceinture élastique à la différence de mon pantalon de toile, est plus facile à baisser pour me donner la fessée quand je l’ai méritée. Non, car même si ce n’est pas un survêtement que je porte, elle me baisse mon pantalon aussi facilement. Déboucler ma ceinture lui prend un peu plus de temps, mais guère plus que lorsqu’il s’agit d’un élastique. Les quelques secondes supplémentaires, nécessaires pour me déculotter, ne font pas la différence.

Toujours est-il que je dois me changer, mettre mon survêtement, quand je rentre à la maison. Et hier, elle avait dû répéter plusieurs fois son ordre.

« Josip, je t’ai dit d’aller te changer !

– Oui, je vais y aller. »

Mais je ne levais pas le nez de la revue qui n’avait pourtant rien d’extrêmement passionnant. Mais j’aime bien rechercher ainsi des petits moments où j’ai l’impression de pouvoir décider par moi-même et échapper ainsi à l’emprise que ma compagne à sur moi.

Ma compagne m’arracha la revue des mains et elle la jeta sur la table.

« Dans la chambre ! Vite ! »

Une claque sur le fond de mon pantalon souligna le caractère impératif de la consigne. Le visage de ma compagne était fermé, comme lorsqu’elle avait décidé de me donner une correction. J’ai pensé que j’avais été trop loin et que la prochaine étape, ce serait la fessée.

Ma compagne me suivit dans la chambre. Là, elle entreprit de me déshabiller. Elle baissa mon pantalon.

« Assieds-toi ! »

Elle procédait ainsi quand elle m’ôtait les vêtements que je portais en dessous de ma taille. Je m’assis sur le lit. Elle n’avait pas baissé ma culotte. Je gardais l’espoir d’échapper à la fessée, à moins qu’elle n’envisageât de commencer la fessée sur la culotte, puis de la baisser dans un deuxième temps. Cela n’aurait pas été la première fois que cela m’arrivait.

Mais non, elle alla chercher le survêtement et elle m’en enfila le pantalon. La fessée n’était pas au programme.

Hier après-midi, ce ne fut pas exactement la même situation. J’avais mis mon pantalon de toile et ma chemise toute la journée alors que je restais à la maison. Ces vêtements m’étaient tombés sous la main quand je m’étais habillé le matin. Quand ma compagne rentra, elle ne fut pas longue à s’apercevoir que je n’étais pas vêtu comme elle me l’imposait habituellement.

« Pourquoi t’es-tu habillé comme ça ? Tu te changes »

Nous étions presque en fin de journée, j’étais bien dans ces vêtements, je ne voyais pas la nécessité d’en changer. De plus, j’étais allongé sur notre lit, un roman à la main. Il aurait fallu interrompre la lecture au milieu d’un passage intéressant.

« Oui, je vais y aller !

– Non, tu y vas tout de suite ! »

Je sais que je dois lui obéir. Je sais qu’elle n’aime pas quand je ne le fais pas. Pourtant, c’est courant que j’attends le dernier moment, les quelques secondes avant qu’elle ne décide qu’une bonne fessée ne sera profitable. Quand j’y réfléchis à tête reposée, je trouve mon attitude étonnante. C’est néanmoins celle que j’adopte souvent. La jubilation de défier son autorité ? Le sentiment de gagner un peu de liberté ? Test de l’effectivité de la limite ? Quête d’indépendance ? Demande d’attention ? Sans doute un peu de tout cela.

« Oui, oui, j’y vais ! »

Mais je ne levais pas le nez de mon livre. Ma compagne fit les quelques pas qui l’amenèrent juste à côté de moi.

« Tu te lèves ! »

J’avais été trop loin. Le visage de ma compagne l’exprimait clairement. Ce n’était plus le moment de marquer ma volonté de décider par moi-même. Il était temps d’obéir. Je me levais.

Ma compagne déboucla la ceinture de mon pantalon, puis elle défit le bouton qui le retenait à ma taille. Elle fit glisser la fermeture Éclair de ma braguette, puis elle baissa mon pantalon. C’est alors que je sus que j’avais le droit à une fessée. Elle baissa ma culotte. Je fis pourtant une tentative pour me soustraire à la correction qui s’annonçait.

« Mais pour me changer, tu n’as pas besoin de me baisser la culotte ! »

J’esquissais un geste pour la remonter. Ma compagne m’arrêta.

« Pour te changer, non, mais pour te fesser, si ! »

Elle m’attira vers elle, alors qu’elle avait pris place sur notre lit. Tiré par le bras, je dus me coucher à plat ventre sur sa cuisse. Il n’y avait plus de doute sur ce qui m’attendait.

« Je vais t’apprendre à obéir tout de suite quand je te dis de faire quelque chose ! »

Je sentis sa main qui claqua mes fesses. Ce n’était que la première fois. Elle fut aussitôt suivie d’une deuxième de l’autre côté. Ma compagne alterna, un hémisphère fessier, puis l’autre, pendant un court moment. Puis, elle appliqua sa main au même endroit pour m’y asséner une petite dizaine de claques avant de passer à l’autre côté.

Je criais et je la suppliais depuis quasiment la première claque. Je savais que c’était inutile, que la fessée irait jusqu’au terme dont ma compagne avait décidé, mais c’était plus fort que moi. La douleur provoquée par sa main me faisait perdre le contrôle de la façon dont je me comportais, tout en restant dans les limites de l’acceptable, c’est-à-dire sans interférer dans le déroulement de la punition.

À chaque fois que la main de ma compagne atterrissait sur mes fesses, je poussais un braillement et mes jambes se livraient à une sarabande désordonnée. Elle dut d'ailleurs me rappeler à l’ordre plusieurs fois.

« Mets tes jambes correctement ! »

Par correctement, elle entendait qu’elle ne la gênât pas pour appliquer sa main sur mes fesses. Elle finit par les immobiliser avec sa propre jambe et je ne pouvais plus remuer que les pieds. Je faisais un effort désespéré pour que ma main droite, la seule qui était encore libre, n’aille pas s’interposer avec la sienne. Elle n’aurait eu aucun mal à replier mon bras dans mon dos et à ainsi éliminer le piètre obstacle provisoire que ma main avait représenté. Mais je savais que c’était interdit et que ma compagne n’apprécierait pas.

Enfin, les fesses en feu, elle m’autorisa à me relever. Elle remonta ma culotte.

« Maintenant, tu te changes ! »

Elle alla dans la salle de bains et je m’empressais de me mettre en survêtement. La cuisson sur mes fesses s’atténua rapidement.

Cela n’avait pas été une grosse fessée, mais elle avait suffi pour replacer les limites là où elles devaient être. Ma compagne sait parfaitement doser une fessée au regard de la bévue qui l’a provoquée. Heureusement, elle n’avait pas tenu compte de ce qui s’était passé la veille sur le même sujet. Elle aurait pu alors considérer qu’il s’agissait d’une récidive et la fessée qui en aurait découlé aurait été plus sévère et j’aurais probablement dû aller faire un tour au coin.

Il n’en avait rien été, je ne m’en tirais pas si mal.

D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus

Qui adulte reçoit des fessées par punition

La fessée déculottée : honte ? humiliation ? 

Recherche personne, homme ou femme, pour donner la fessée 

La première fessée du journal racontée ici

La précédente fessée

 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage. 
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.