lundi 11 décembre 2023

Journal d’un grand garçon fessé – Mardi 05 décembre 2023 – 21h45

Deux fessées et deux séjours au coin avant le déjeuner, quelques minutes après l’arrivée de Tonton. C’était bien assez, surtout qu’il avait utilisé le martinet pour l’une d’entre elles. Je fis très attention à ce que je faisais et à ce que je disais tout au long de l’après-midi. Il n’y eut pas d’autres fessées, même si je crois que je n’en suis pas passé loin à un moment.

Aurai-je dû lui en vouloir ? Je n’en voyais pas la raison. Certes, il y avait les deux fessées, la culotte baissée à chaque fois devant tout le monde (heureusement, il n’y avait pas eu tant de monde que ça, mais j’avais bien senti que cela n’aurait pas été un obstacle ni pour Tonton, ni pour ma compagne) et la réelle cuisson sur mes fesses après avoir reçu la correction ainsi que la honte de me retrouver au coin, fesses nues, alors que les deux autres personnes continuaient leur conversation sans plus faire attention à moi. Mais je me voyais mal m’insurger contre le traitement qui m’avait été réservé. Ces deux punitions étaient toutes deux méritées et fort justement administrées. Je crois que j’en ai tiré bénéfice.

Nous étions assis, certains sur le canapé et d’autres sur les fauteuils et nous bavardions. J’avais un peu repris confiance en moi et je me mêlais plus facilement à la conversation. Il est vrai qu’il n’était plus question des fessées que je recevais. C’était bien plus simple pour moi de me comporter alors comme un adulte. C’était ma compagne qui menait les échanges et il était question de nos loisirs respectifs.
« C’est bien d’aller en bateau, dit-elle.
– Tu n’es jamais monté sur un bateau, rétorquais-je !
– Mais tu es au bord de l’insolence ! Veux-tu que je te donne une fessée, réagit Tonton ?
– Mais c’est vrai, tu n’es jamais montée sur un bateau ! »
Heureusement, ma compagne abonda dans mon sens. Cela avait l’avantage de clore le sujet. Tonton ne se le tint, cependant, pas pour dit.
« Josip cherche en permanence la limite. Il provoque, mais très adroitement, de sorte que la question de la fessée se pose, mais elle n’est jamais évidente. »
Il aurait suffi que ma compagne acquiesce pour qu’une fessée me soit administrée, mais elle opta plutôt pour l’indulgence. J’étais passé tout près, mais j’y avais échappé. Cela tint jusque dans la soirée.

Il était un peu moins de vingt-deux heures et ma compagne décida qu’il était l’heure, pour moi, d’aller me coucher.
« Avant, tu vas prendre ta douche. »
Cela faisait partie des rituels du soir. La présence de Tonton n’était pas un motif pour y déroger.
« Et tu vas te laver avec un gant ! »
Cela faisait partie des éternels sujets de discussion entre ma compagne et moi. Doit-on utiliser un gant pour se laver sous la douche ? Elle prétendait que si et moi, je défendais qu’ainsi, on gâchait du savon et que la main passée sur tout le corps suffisait bien pour obtenir la propreté souhaitée. À chaque fois qu’elle le pouvait, ma compagne m’imposait l’utilisation de cet accessoire lors de la douche.
« Un quoi, rétorquais-je ?
– Un gant ! »
Elle prit Tonton à témoin.
« Josip ne veut jamais en utiliser un pour se doucher, mais ce soir, il va le faire ! »
J’eus une mimique qui dénotait de mon scepticisme.

Oui, insista-t-elle, un gant ! Et tu vas l’utiliser !
– Ah oui, un gant, répondis-je avec un ton ironique, comme si c’était deux égaux qui échangeaient.
– Il provoque encore, remarqua Tonton.
– Eh bien, il ne va pas le faire longtemps ! Lève-toi !
– Je vais l’utiliser le gant, oui, je vais l’utiliser ! »
Je sentais bien que j’avais été un peu loin dans l’ironie, mais ma tentative pour rattraper le coup venait un peu tard.
« Bien sûr que tu vas l’utiliser, mais ce sera après la fessée ! Lève-toi ! »
Le même ordre pour la deuxième fois, si je n’obéissais pas, cela risquait d’aggraver la sanction. Je me mis debout et ma compagne prit ma place sur le canapé. Elle baissa aussitôt mon pantalon, puis ma culotte, sans accorder de l’importance à la présence de Tonton qui avait une vue imprenable sur mes fesses nues et mes organes génitaux. Plus question d’échapper à la fessée. Ma pudeur d’adulte était tombée dès que la correction avait été décidée.
Elle me prit par le bras.
« Viens-ici ! »
Ici, c’était à plat ventre sur sa cuisse gauche, position qui dégageait parfaitement le chemin pour que sa main droite puisse claquer mes fesses. Elle m’y plaça sans plus attendre.
« Je ne crois pas que tu vas te moquer de moi plus longtemps ! »

Elle s’appliqua alors à me donner une grosse fessée de sa main nue. Celle-ci claquait aussi fort qu’elle le pouvait et chacun de mes hémisphères fessiers en recevait sa part. Ma compagne sait très bien donner la fessée. Elle arrive à entretenir une fournaise insupportable sur mes fesses. Il ne lui faut que quelques instants pour y arriver.
« Mais je vais utiliser le gant, je te promets, tentais-je entre deux claques ! »
Mais il était bien trop tard. La fessée devait aller à son terme, et ce serait uniquement quand je me repentirai sincèrement de mon attitude moqueuse. Elle était maintenant certaine que j’utiliserai le gant, cela était acquis, mais il restait à corriger mon attitude et cela demandait un peu plus de temps afin qu’elle soit sûre que je la regrette.
Je battais des jambes dans le vide et je criais ma souffrance, mais cela faisait partie des choses normales quand on reçoit une réelle fessée. Cela n’indisposait en rien ma compagne. Habituellement, quand la correction devient trop douloureuse, je n’hésite pas à interposer ma main pour couvrir mes fesses, bien que je sache que cela fût inutile. Sans difficulté, ma compagne remontait mon poignet dans mon dos et la fessée reprenait. Ce soir-là, je n’osais faire ce geste de protection éphémère. Tonton n’aurait pas apprécié et cela aurait certainement été un motif suffisant à une seconde fessée sur ses genoux. Je n’y tenais pas. Je résistais donc à mon impulsion première.
Quand ma compagne mit fin à cette fessée, j’avais les fesses en feu. Imaginant le spectacle que je devais donner, j’eus un petit rire nerveux.
« Ah, ça te fait rire ? Eh bien, on va voir si tu vas rire longtemps !
– Non, non, je ne ris pas ! »
Mais la fessée reprit aussi vigoureuse qu’elle l’avait été jusque-là. Je n’en pouvais plus, mais je n’avais pas d’autre choix que de subir ma punition jusqu’à ce que ma compagne m’estimât assez corrigé. À mon grand soulagement, cela finit par arriver.
« Lève-toi et à la douche !
– Un moment, interjeta Tonton, viens ici ! »

Il s’était déplacé et avait pris place à l’autre bout du canapé. Ce qu’il venait de me dire ne pouvait avoir qu’une signification : il avait également décidé de me donner une fessée.
« Oh, non ! Je vais prendre ma douche !
– Faut-il que j’aille te chercher ? »
Là, il n’était plus question d’hésiter. Si je l’obligeais à venir me chercher, la sanction serait terrible. Je me hâtais de me rapprocher de lui.
« Sur mes genoux ! »
Je me plaçais comme il entendait que je sois. Si j’avais pu avoir un doute, il était maintenant levé. À quoi pouvait bien servir d’autre la position dans laquelle il m’avait mis, à plat ventre en travers de ses genoux ? C’était une nouvelle fessée qui m’attendait.
Je ne m’attendais pas à cela. Elle fut magistrale. Tonton s’appliqua à ce que sa main provoque une brûlure atroce sur mes fesses. Il savait très bien donner la fessée. Sa main tombait plusieurs fois sur u côté, puis elle passait à l’autre pour y provoquer le même effet. Bien vite, je n’en puis plus. C’est étonnant comment l’autorité que détient un autre adulte sur vous, peut vous amener à supporter une fessée comme vous n’en auriez pas accepté autrement.
La fessée dura bien plus longtemps que je ne l’aurais souhaité. Renchérissant sur celle que ma compagne m’avait donnée, elle provoqua une brûlure insupportable. Je ne pouvais empêcher mes jambes de danser une sarabande incontrôlable, mais je réussissais tout de même à ce que, dans leur gesticulation irrépressible, elle ne fasse pas obstacle à l’administration de ma correction.
La fessée continuant et ne semblant pas sur le point de s’arrêter, je songeais à me dégager de la position punitive dans laquelle Tonton m’avait placée. Mais il est surprenant de constater comment, recevoir une très sévère fessée d’une personne dont on reconnaît l’autorité, aide à en accepter la sévère cuisson. Je savais qu’elle était méritée et que Tonton, en me punissant ainsi, était dans son droit, ou plus exactement qu’il faisait son devoir.
J’étais sur le point de craquer quand Tonton mit fin à la fessée.

« Tonton va te surveiller pendant que tu prends ta douche. File dans ta chambre ! »
Les consignes de ma compagne étaient très claires et je n’avais pas envie de prendre des libertés avec elles. Je me déshabillais dans ma chambre et je me dirigeais avec empressement dans la salle de bains. Tonton m’y suivit. Il avait décroché la règle plate de bois du crochet où elle était habituellement suspendue. Je savais qu’à la moindre raison que je lui donnerais, il n’hésiterait pas à s’en servir sur mes fesses. Je préférais l’éviter.
Je pris ma douche sans dire un mot, mais en montrant mon obéissance aux consignes qui m’étaient données. Je me séchais tout aussi vite. De temps en temps, je jetais un œil sur la règle que Tonton tenait toujours dans sa main. Avait-il résolu de s’en servir ?
Le haut de mon pyjama mis, je regagnais ma chambre. C’est là, me dis-je, que tout va se jouer. Je n’aurais pas été surpris que Tonton décide de me donner une bonne correction avant d’aller me coucher. J’avais reçu cinq fessées en une seule journée. Je ne pouvais pas prétendre avoir été particulièrement sage. C’était le genre de situation où Tonton m’avait promis une sévère fessée avant d’aller au lit.
Je me dépêchais de me mettre sous les draps. Heureusement, contrairement à ce que j’attendais, Tonton ne sévit pas ce soir-là. Ma compagne vint me faire un bisou et je m’endormis après un long câlin. J’en avais besoin avant de dormir.

Le lendemain matin, je sentais encore, sur mes fesses, les effets de toutes les fessées reçues la veille.


D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus


La première fessée du journal racontée ici

 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage. 
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

23 commentaires:

  1. Bonjour
    Une journée tres mouvementé pour JLG. Tonton est dans la continué de Huguette. Esque vous faite plus attention que d'habitude pour évité la fessée, entre maman et tonton vous êtes bien choyer , vous redevenez le petit gamin .

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  2. Bonjour Marc,
    Effectivement, c'est bien agréable d'avoir deux personnes qui sont très attentives à ce que je fais, même si ça veut dire qu'elles n'hésitent pas à me donner la fessée déculottée.
    Je fais donc plus attention à ce que je fais et comment je me comporte. Je crois que c'est explicite dans les articles que j'ai publiés depuis avril dernier. Malheureusement, cela ne m'évite pas complètement de recevoir la fessée, mais après en avoir reçu une, je fais attention à ne pas recommencer de sitôt la même bêtise.
    Au plaisir de vous lire,
    JLG.

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  3. Et bien dis donc Josip la deuxième fessées est plus sévère tonton donne de sacrée fessée qui rougissent vite tes fesses de vilain. faut dire que tu l'avait bien mérité faire des fautes sur ton blog.

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    1. Luc,
      Eh oui, Tonton a sévit comme je l'avais mérité.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    2. Luc,
      En ce qui concerne les fautes...
      "sacrée fessée" aurait dû être au pluriel
      "tu l'avait" aurait dû finir par un "s"
      3 fautes en deux lignes... pas mal. Heureusement que vos fesses ne sont pas à portée de la main de Tonton.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    3. Oui heureusement en effet il a l'air de savoir la donner la fessée.

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    4. C'est maman Huguette qui dit à tonton de te fesser ou il décide seul ?

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    5. Luc,
      Tonton avait toute légitimité pour décider, par lui-même, quand il devait me donner la fessée. Il n'en a pas demandé l'autorisation à ma compagne et il savait qu'il avait son aval.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    6. Craignais tu sa fessée vu que tu en avait deja pris une ?

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    7. Luc,
      La plupart du temps, je crains les fessées quand elles sont cuisantes. En fait, dès que j'ai la culotte baissée, je sais que je vais regretter ce que j'ai fait. Après une première fessée, je savais que les corrections de Tonton seraient cinglantes. Je les craignais donc.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG

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    8. Josip, fais tu plus attention aux fautes d'orthographe après la fessée de tonton, cela t'as t'il servi de leçon ?

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  4. Une double fessée déculottée et bien Josip tu as pris cher mon garçon. Penses tu que c'était trop sévère deux fessées de suite ?

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    1. Eric,
      Je n'ai pas le sentiment d'avoir été puni trop sévèrement. Ces deux fessées étaient méritées, non ? Si sur le moment, quand je reçois une bonne fessée, je ferais tout ce que je peux pour l'éviter, après réflexion, je me rends bien compte à chaque fois que je l'avais méritée. Je fais confiance à ma compagne et à Tonton sur ce point. Il n'y avait donc pas de raison que je ne reçoive pas ces deux fessées. J'ai même plutôt été surpris de ne pas en avoir une autre juste avant de me coucher, en punition pour mon comportement pendant l'ensemble de la journée.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG

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  5. Pourquoi tonton a donné une fessée après maman Huguette ?

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    1. Commentateur anonyme,
      Cela s'est trouvé comme cela. Les fessées que Josip a reçues lui ont été données naturellement. Après la fessée que j'ai donnée à Josip, Tonton a jugé qu'il était nécessaire qu'il la complète par une de son cru. J'ai trouvé cela plutôt bienvenu.
      Huguette

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    2. Pourtant il a été bien sévère pas trop ?

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  6. Josip si on compte bien ca fait 5 fessées dans la journée un record ?

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    1. Commentateur anonyme,
      Comme écrit dans le texte, cela fait 5 fessées dans la journée, effectivement.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG

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    2. Oui mais c’était nécessaire…

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  7. Quelle a été la fessée la plus cuisante pour toi Josip ?

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  8. Josip tu as été fessé par ton coach et tonton quelle correction t'as semblé la plus efficace?

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