dimanche 3 décembre 2023

Journal d’un grand garçon fessé – Samedi 03 décembre 2023 – 15h07

Il y avait pourtant eu plusieurs avertissements, mais souvent, aux dires de ma compagne, je n’en tiens pas compte. Elle m’avait menacé plusieurs fois d’aller chercher le martinet si la fessée de la veille au soir n’avait pas suffi. A mes yeux, ce qu’elle me reprochait n’étaient que des broutilles. Cela ne valait pas une fessée.

Le seul souci, c’est que ce n’était pas moi qui en étais juge. Et puis j’aurais dû me douter que ma compagne prendrait en compte l’accumulation de petites désobéissances. Cela finit de façon tout à fait prévisible.

Plusieurs fois dans la journée, ma compagne avait dû insister pour que j’obéisse. « Il est temps de t’habiller ! » ou encore « Tu ne vas pas rester au lit toute la matinée ». Je ne sentais pas une très grande insistance dans ses consignes. Je les avais négligées.

Il y avait bien eu une semonce que j’aurai dû prendre au sérieux. J’étais allongé sur mon lit à lire. Ma compagne était arrivée pour s’enquérir de ce que je faisais. Suite à une espièglerie, ce que ma compagne appelle une insolence, elle m’avait donné une claque sur les fesses. Non seulement je portais mon pantalon, mais il y avait par-dessus les draps.

« La poussière, rétorquais-je !
– Quoi poussière ?
– Poussière ! Tu ne fais que soulever la poussière. Je n'ai rien senti.
– Ah oui, c’est ce qu’on va voir ! »

Elle revint quelques courts instants plus tard, le martinet à la main. Chez nous, le martinet est accroché à un clou dans le séjour, à côté de la règle plate en bois et d’une baguette en bois. Tout cela est prêt à servir. Elle me donna un coup des lainières sur les fesses toujours recouvertes de mon pantalon de pyjama et des draps.

« La poussière, fis-je remarquer !

– Quoi, je vais punir ton insolence ! »

Elle se pencha pour s’emparer des draps et les rabattre. Si elle allait au bout de ses intentions, je ne doutais pas que mon pyjama ne protégerait plus longtemps mes fesses et que le chemin serait libre pour les lanières du martinet.

Je l’attirais vers moi et je la couvris de bisous.

« Non, fit-elle faiblement. »

Mais elle me rendit mes bisous. Je savais que je ne risquais plus rien. Pas de fessée en préparation... enfin pour le moment.


C’est après le déjeuner, que cela s’est gâté.
« Va réarranger le lit ! Ce matin, tu l’as mis dans un état ! »
Ma compagne avait raison. Je ne m’étais vraiment levé que pour préparer le repas et le lit était resté tel quel, sans avoir été remis aux normes qu’exigeait ma compagne. Il était dans un état discutable, mais cela ne me préoccupait guère.
Trois fois, elle a dû répéter son ordre. Les deux premières, j’ai cru bon de ne pas en tenir compte. La troisième, j’ai bien vu que j’avais atteint un trop grand niveau d’exaspération et qu’il était temps de réagir.
« Ou, c’est bon ! J’y vais ! »

Je l’ai sans doute dit avec trop de nonchalance et avec un zeste de provocation. Je vis ma compagne fondre sur moi. Je me levais du canapé sur lequel j’étais assis et je me dirigeais aussi vite que je le pouvais vers notre chambre.
« Oui, oui, je vais le faire ! »
Ma compagne m’avait suivi. Ce n’était pas bon signe.
« C’est sûr que tu vas le faire, mais ce sera après une bonne fessée ! »
Ce n’était plus le moment de faire valoir mon opposition ni mon obéissance qui avait été bien tardive. Ma compagne ne m’en laissa, de toute façon, pas le loisir. Elle me coucha à plat ventre sur son genou gauche. J’avais encore un petit espoir que la fessée me serait donnée sur mon pantalon, ce qui est bien inefficace. Je déchantais aussitôt quand je sentis ses doigts d’insérer dans la ceinture du pantalon de survêtement. Évidemment, ce serait une fessée déculottée. Je sentis mon pantalon glisser le long de mes cuisses, puis ma culotte suivre le même chemin.

Une petite fessée. Si l’on veut ! Une petite fessée mais qui suffit pour que j’en ressente la cuisson. Une bonne dizaine de fois, ma compagne claqua mes fesses de chaque côté. Je criais ma douleur et mes tortillements sur son genou montraient combien cette fessée atteignait son but. Mais rien ne l’empêcha d’aller au bout de la correction.
Elle me laissa alors me lever.
« Reculotte-toi correctement, puis tu arranges ce lit ! »
Je remontais ma culotte et mon pantalon et je m’attaquais au lit sans demander mon reste, les fesses encore cuisantes. Une seule fessée, cela suffisait.


D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus


La première fessée du journal racontée ici

 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage. 
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

2 commentaires:

  1. Pourquoi tu n'as pas reçu le martinet Josip ? je croyais que maman Huguette qui l'avait décroché allait s'en servir par ce que c'était bien mérité. Ou alors tu as menti et tu l'as reçu sans l'avouer.

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    1. Cyril,
      Ce qui est relaté dans l'article ci-dessus est l'exacte vérité. Ma compagne a décroché le martinet, mais elle ne s'en est pas servi.
      Au plaisir de vous lire;
      JLG.

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