samedi 9 décembre 2023

Journal d’un grand garçon fessé – Mardi 05 décembre 2023 – 11h54

Tonton m’a autorisé à quitter le coin et après avoir exigé que je lui demande pardon pour ma conduite de la voiture, il a remonté mon pantalon. J’avais eu la confirmation qu’il ne plaisantait pas. Si la première fessée avait été clémente, je me doutais qu’il n’en serait pas de même pour les suivantes.

Mais que pouvais-je y faire ? Il disposait de l’autorité qui lui avait été déléguée par ma compagne, il avait donc toute légitimité pour intervenir dans mon éducation comme bon lui semblerait. Et il paraissait que, comme ma compagne, il avait décidé que la fessée déculottée était le meilleur moyen pour y arriver. Je ne pouvais pas lui donner tort.

Nous étions assis à table à faire mieux connaissance autour d’un verre. Ma compagne et Tonton échangeaient sur leur vision de la fessée. Moi, je me tenais en retrait. J’avais toujours autant de mal à participer à une discussion qui abordait un sujet, la fessée déculottée, qui était plutôt dévalorisant pour moi. J’écoutais et je ne répondais que par monosyllabes.
Ma compagne et Tonton s’en aperçurent bien vite. Sans doute cela les agaça, car je fus interpelé directement, mais je ne sais plus quel était le sujet sur lequel mon avis fut requis.
« Et toi, Josip, qu’en penses-tu ? »
Je fus pris au dépourvu et ma réponse fut laconique… trop laconique.
« Euh… oui.
– Oui qui ?
– Oui Tonton »
Le regard que me jetèrent les deux personnes qui étaient autour de la table ne présageait rien de bon.
« J’ai l’impression que la nonchalance de Josip, s’apparente à de l’insolence. Qu’en dis-tu Huguette ?
– Oui, je crois bien, mais il fait souvent cela.
– Eh bien, je crois qu’il faut changer cette attitude. N’est-ce pas Josip ? »
Tonton se leva et contourna la table.
« Mets-toi debout, Josip ! »
Je jetais un œil vers ma compagne, mais ses mimiques étaient claires. Elle approuvait ce qui se passait et plus encore ce qui se préparait. Je me levais. Tonton me donna aussitôt une bonne dizaine de claques sur le fond du pantalon. C’était vexant, mais cela ne faisait pas mal. Il ne s’en tint pas là. Il baissa mon pantalon, puis ma culotte. Il n’y avait plus de pudeur d’adulte qui tenait. J’exposais mes fesses nues, prêtes pour recevoir une fessée. Sa main claqua alors mes fesses et je ne pus retenir des petits cris de douleur.
Heureusement, la fessée ne dura pas. Tonton me reculotta.
« Est-ce que tu vas répondre correctement, maintenant ?
– Oui Tonton ! »
Chacun ayant repris sa place, la conversation reprit. Je faisais plus attention à ce qui se disait, mais je participais toujours aussi peu aux échanges. Ma compagne, comme Tonton, s’en contentèrent. Mes fesses me cuisaient un peu mais cela ne dura pas. Il n’y avait pas eu de mise au coin, je ne m’en tirais pas si mal.

C’est quand ma compagne mit la conversation sur les articles que j’avais publiés sur le blog, que les choses se gâtèrent.
« Bien sûr, répliqua Tonton, je les ai lus. D’ailleurs, j’ai eu l’impression que Josip les avait écrits sans y prêter une grande attention, comme si son obligation s’arrêtait quand les articles étaient en ligne, quelle que soit leur qualité.
– Non, non, répondis-je bien vite, je fais attention.
– Alors comment se fait-il qu’il y ait autant de fautes ?
– Des fautes ? Non ! Il y en a peut-être quelques-unes, mais pas beaucoup. »
Cela fait partie de ma réputation et de ma fierté d’écrire sans laisser de fautes d’orthographe ou de grammaire.
« Pas beaucoup ? »
Tonton sortit des feuilles de son porte-documents. C’était l’impression des deux derniers articles que j’avais écrits. En rouge étaient surlignées les fautes.
« Dix-huit. Ce n’est pas beaucoup ? »
Je pris les feuilles, persuadé que ce qui n’était dit ne pouvait être la réalité. Il fallut me rendre à l’évidence : des fautes d’accord, des fautes de frappe, des inversions de lettres… Il y en avait effectivement dix-huit. Je ne sus pas quoi dire.
« Mais là, ça s’écrit bien comme cela ! Ah oui, c’est l’espace qui manque ! »
Quasiment toutes les corrections orthographiques ou grammaticales que Tonton proposait étaient justifiées.
« Bon, cela mérite une bonne fessée, non ? »
Je restais silencieux.
« Cette fois-ci, ce sera une grosse fessée et je finirai par le martinet. Un coup par faute ! »

Il installa une chaise à sa convenance et y prit place.
« Viens-ici, Josip ! »
Il désignait le sol devant lui. Je savais ce que cela voulait dire, mais je n’y pouvais rien. Je me levais et j’allais me placer là où il m’attendait. Il me gronda pour ma négligence tout en accompagnant ses paroles par quelques claques sur le fond de mon pantalon. Je savais que ce n’était qu’un prélude à une bien plus sérieuse punition.
Il ne tarda pas à me baisser le pantalon. Les claques sur le haut de mes cuisses nues étaient d’un tout autre effet. Il me prit par le bras et me conduisit à sa droite.
« Sur mes genoux ! Dépêche-toi »
Je m’allongeais. Il ne m’avait pas baissé ma culotte, mais je savais que c’était l’étape suivante. Il la fit glisser jusqu’à mi-cuisses. Le frottement de mon bas-ventre sur ses genoux lui interdit d’aller plus loin. Cela lui laissait largement de la place pour la fessée qu’il envisageait.
« Pourquoi vas-tu recevoir la fessée, Josip ?
– Pour avoir fait des fautes dans les articles sur le blog ?
– Exactement ! Tu as été négligent, je vais t’en punir ! »
Les claques commencèrent à tomber, sèches, fortes. Plusieurs fois au même endroit puis il changeait de côté. La fessée était interminable. Tonton s’appliquait à ce que je me souvienne de la fessée et de ce qui l’avait motivée. Mes fesses chauffèrent rapidement, mais cela ne l’arrêta pas. La fessée continuait et je ne pouvais que remuer, bien inutilement, mes jambes, sans que cela ne gêne le déroulement de la correction. Je prenais bien garde à ne pas plier trop loin mes jambes, ce qui aurait pu interférer avec la fessée. Je savais que je n’en avais pas le droit.
Cela faisait bien longtemps que mes cris confirmaient la sévérité de la punition quand Tonton s’arrêta. Je restais en place, n’ayant pas reçu l’autorisation de quitter la position punitive. Bien m’en prit, car la fessée n’était pas finie.

« Huguette, peux-tu me donner le martinet ? »
Huguette s’empressa d’accéder à sa demande. Avec le martinet, la fessée devint vite insupportable. Je la supportais pourtant. L’autorité de Tonton suffisait à me maintenir en place, malgré la fournaise qu’il faisait naître sur mes fesses. Je ne comptais pas le nombre de fois où Tonton appliqua les lanières sur mes fesses. Mais j’accusais, à chaque fois, par un cri désespéré. Tonton tint sa promesse. Ce ne fut pas une très longue fessée, mais elle fut bien suffisante pour me faire regretter la négligence qui m’avait dispensé de relire mon texte.
« Relève-toi ! »
La fessée avait cessé. J’en étais soulagé. J’avais l’impression que je n’aurais pas pu en supporter une plus longue. Heureusement que Tonton ne l’avait pas envisagé. Je savais qu’il en avait la possibilité et que si je lui en donnais l’occasion, c’est une fessée bien plus sérieuse que j’aurai avec le martinet. Pour l’instant il n’en était pas question.

Tonton me baissa la culotte jusqu’aux genoux. Il n’y avait plus de pudeur d’adulte qui tenait.
« Va au coin ! »
Je me dirigeais vers l’angle de la pièce où j’avais mes habitudes. Le pantalon et la culotte entravaient ma marche et j’avais conscience que je leur exposais mes fesses nues, aussi bien le derrière que le devant. Me trouver dans cet appareil alors que les deux autres personnes présentes étaient correctement habillées, était vexant. Mais je savais que cela faisait partie de la punition et qu’il aurait été malvenu de m’en plaindre. Je me dépêchais autant que je le pouvais de rejoindre le coin. Là, je pouvais cacher aux regards au moins une partie de ce que ma pudeur d’adulte m’empressait de dissimuler.
N’ayant pas reçu de consigne contraire, je plaçais mon nez dans le coin, les bras croisés dans le dos, comme j’avais l’habitude de la faire avec ma compagne. Je n’exposais plus que mes fesses nues, mais c’était un moindre mal. La position était inconfortable et blessait ma fierté d’adulte. J’étais au coin dans une posture enfantine, mais je n’y pouvais rien. La punition n’était pas encore finie.
Tonton m’y laissa un bon moment. Je ne sais pas exactement combien de temps. Il aurait fallu, pour cela, que je consulte ma montre, ce qui était formellement interdit. Je commençais à sentir l’inconfort de la position quand je fus autorisé à en sortir.
Demander pardon pour ma nonchalance et promettre de rectifier toutes les fautes fut la dernière étape de ma punition. Je me promis à moi-même, d’être bien plus attentif et surtout de prendre le temps de me relire.


D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus


La première fessée du journal racontée ici

 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage. 
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

21 commentaires:

  1. Je constate que jusqu'à présent vous vous en sortez bien , car à vous lire la fessée n'est pas encore la tres sévère que vous attendez ?

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  2. Marc,
    Il me semble que celle qui est relatée dans l'article ci-dessus peut entrer dans la catégorie des fessées sévères, martinet aidant. Cela dit, il y en a eu de plus sévère. Je vous invite à patienter un peu et à lire les articles qui seront publiés prochainement.
    Au plaisir de vous lire,
    JLG.

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  3. On dirait que tonton renforce sa sévérité la fessée devient plus difficile à supporter, et elle tombe bien vu la bêtise non ?

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    1. Commentateur anonyme,
      La fessée a, en effet, été plus sévère, mais il était normal qu'elle le soit, non. Je ne peux pas lui en vouloir. Il n'a fait que son travail. Les fessées font mal sur le moment et j'en ai ressenti les effets jusqu'au lendemain midi, mais cela me rappelait la bêtise que j'avais commise et m'empêchait de recommencer. Je vous assure que c'est très dissuasif.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  4. Huguette, est ce que tonton vous a convaincu quand il donne la fessée à Josip ?

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    1. Charline,
      Pour ma part, je pense qu'il a tenu son rôle autre de Josip. Ses fessées étaient cuisantes, mais bien adaptées aux bévues de mon compagnon. Je ne vois donc pas ce que je pourrai lui reprocher.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  5. Cela dit le martinet sur les genoux cela reste une petite correction selon moi

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    1. Charline,
      Avant sa venue, Tonton avait proposé de donner le martinet à Josip après l'avoir couché sur le canapé ou un lit. Pour ma part, je trouve que cela ne fait plus fessée parentale, mais s'approche du sado-masochisme, ce qui n'est pas du tout l'optique dans laquelle je punis mon compagnon. Je lui ai donc demandé de me donner de fessées qu'après avoir allongé Josip à plat ventre sur ses genoux ou l'avoir courbé sous son bras. Dans les deux cas, il était entendu que la culotte devait être baissée pour bien montrer à Josip qu'il n'était plus considéré comme un adulte.
      Il est vrai qu'en prenant Josip sous son bras, il aurait pu donner une fessée bien plus sévère, puisqu'il aurait eu plus d'élan pour manier le martinet. Cela-dit, la fessée que Josip a reçu avec le martinet a déjà été bien cinglante.
      Et vous, comment auriez-vous fait, Charline, à sa place ?
      Huguette

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    2. martinet sous le coude mais pour que le martinet soit plus efficace je l'aurai placé en travers d'une chaise ou de l'accoudoir du canapé.

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    3. Et pour marquer le coup j'aurai demandé à Josip d'aller chercher le martinet et de prendre la position.

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  6. Les fessées sont toujours adaptées par à port au bêtises, oui en plus déculottée cela fait partie intégrante de la fessée dite maternelle comme à l'habitude de donnée Huguette. Une fessée maternelle se donne toujour déculottée

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    1. Marc83 je ne sais pas si tu prend souvent des fessées mais pour ton orthographe il y aurait un motif pour t'en donner !

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  7. Je suis entièrement d'accord avec Huguette la fessée maternelle se donne la culotte baissée, pour bien dire et montré que l on est qu'un gamin et non un adulte

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    1. Pas un gamin mais un adulte qui peut avoir un comportement infantile oui plutôt marc83 et la fessée se donne sur les fesses et non sur le vêtement qui les protège c'est plus efficace même si c'est une rude épreuve de se faire déculotter comme adulte.

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  8. Josip as tu amélioré ta conduite auto depuis ta fessée? ca doit servir de leçon la fessée de tonton non ?

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  9. j'aime ce coté infantile, quand j allais voir ma maitresse d'école elle tenais à se que je sois habillé en schort pour la classe , donc oui je trouve cela tres gamin

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  10. Et elle te donnait aussi la fessée pour tes nombreuses fautes d'orthographe ?

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    1. Oui, j'allais chez elle tout les 10jours, avec mes cahiers de devoirs , et elle me faisait faire des dictées, de la grammaire, je recevais la fessée apres chaque dictée car l'orthographe est moi c'est pas terrible . Vous êtes un homme ou une femme?

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    2. Etes-vous dyslexique Marc83 ?

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    3. Je ne sais pas , je lis trés bien mais je sais qu'avec l'hortographe c'est une vraie galére .

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    4. Nous ne sommes pas parfait et faisons malheureusement tous des fautes d'orthographe à moins d'etre un académicien ou un parfait linguiste.

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