Ah, la bonne fessée de Maman !

Cet article a été initialement publié sous la forme d'un commentaire à l'article "Visite chez Huguette et Josip, un séjour d’éducation et de discipline. Jeudi 7 décembre 22H40". Il m'a paru qu'il était intéressant, pour le mettre en évidence, d'en faire un article. Merci à Estelle d'avoir pris le temps de rédiger ce court texte.

Pourquoi les adultes aiment la fessée éducative et maternelle ? Je me suis souvent posé la question.

C’est une fessée éducative et punitive, elle n’est ni érotique ni récréationnelle. La fessée est la punition décidée et imposée par une femme qui détient toute l’autorité et les prérogatives de bonne éducatrice pour corriger physiquement et moralement les mauvais comportements, l’immaturité et les bêtises enfantines d’un adulte placé sous sa responsabilité. Il s'agit d’avoir la responsabilité de bien éduquer un adulte à mieux se comporter, à corriger ses vilains défauts.

Il y a de nombreux exemples dans la vie courante ou un adulte n'est jamais sanctionné, car il n’a ni cadre, ni fermeté en face de lui. Certains parents punissent bien un enfant pour son insolence, sa désobéissance, mais jamais un adulte livré à lui-même sans sanction. Dans un cadre éducatif strict défini, corriger un adulte prend tout son sens, parce que la femme qui détient l’autorité, a le droit, le devoir et l'obligation de punir l’adulte pour ses bêtises ; donc la question de la légitimé de la punition ne se pose plus. La question de demander l’accord de l’adulte non plus. Il n’a pas le choix, il accepte d’obéir ou il est puni, c'est simple.

La punition principale, c'est la fessée déculottée. Pourquoi déculottée ? Par ce qu’une fois la culotte baissée, l’adulte perd son statut le temps de la correction, régressé à un statut d’enfant qui mérite d’être puni par une bonne correction fessière. Il ne peut ni s’opposer à la fessée, ni au déculottage. Est-ce qu’un enfant pas sage s’oppose à la fessée de Maman quand il doit être puni ? La réponse est non.

Pour punir un adulte, la fessée doit être donnée immédiatement dès la faute constatée à la seule décision de l’autorité maternelle afin d’appliquer la plus grande fermeté et corriger la bêtise. Elle n’est pas négociable et c’est tout l’intérêt de cette punition ou on ne joue pas. L’adulte la reçoit si l’éducatrice la juge méritée et son avis ne compte pas.

Elle doit être sévère, cuisante, appuyée, marquante pour qu’elle serve de leçon et que l’adulte n’ait pas envie de recommencer la bêtise. La stature adulte permet de donner de vraies fessées parentales bien plus fortes, car bien plus supportables que celle qu’on pourrait donner à un enfant. C’est aussi l’intérêt de cette fessée pour celui qui la reçoit et celle qui la donne.

La mise au coin longue est indispensable pour prolonger la punition et crée une sorte de soupape d’apaisement pour le puni qui a tout le temps de réfléchir à la conséquence de ses actes en offrant ses fesses rouges à la vue de l’éducatrice.

Il n’y a pas de jeux de faux-semblants de fessées pour des fautes fictives, des bêtises imaginaires ; l’adulte est corrigé pour de réelles bêtises ou manquement par une autorité féminine. Il peut choisir de défier l'autorité, de tester les limites, de provoquer en assumant pleinement les conséquences, celle d’une sanction immédiate. Dans ce cas, il perd son statut adulte et il est puni comme un enfant par une bonne fessée déculottée. Pour l’éducatrice, c'est une façon de dire « puisque tu te comportes comme un enfant, je vais te punir comme tel »

Quand on rajoute au cadre éducatif une dimension maternelle, la femme qui éduque, a toutes les prérogatives d'une Maman de substitution. Elle peut donc assumer une prise en main totale de l’adulte du lever au coucher à chaque moment de la journée.

Elle peut donc avec bienveillance et méthode imposer son autorité et discipliner en cas de besoin et la fessée s’impose immédiatement. De son côté, l’adulte pris en charge aime le côté rassurant qu’on s’occupe de lui. C’est un lâcher prise total, un retour vers l’enfance bienvenue, une façon aussi de corriger ses mauvaises habitudes avec un cadre défini. Ainsi, par exemple, une mauvaise conduite, une tenue non correcte, une hygiène approximative, une effronterie, qui dans la vie ne sont jamais corrigés, le sont dans ce cadre et l’administration de la fessée s'impose d’elle-même.

Il se crée un lien d'attachement entre l’adulte puni et l’éducatrice maternelle de par la proximité des corps : la main maternelle qui claque fort les fesses de l’adulte positionné en travers des genoux de Maman, le bras maternel qui entoure la taille pour bien maintenir la position. L’adulte en contact avec les cuisses de Maman, bien allongé sur ses genoux comme un enfant peut l’être pour une fessée, il redoute et reçoit à chaque claque la main de Maman sur ses fesses.

Après la punition il y a de la part de Maman le désir de pardonner et de réconforter l’adulte comme pour un enfant et c’est aussi ce que demande l’adulte, d’être justement puni puis pardonné et réconforté. Cela le rassure qu’on s’occupe de lui-même si on doit le punir d’une fessée.

La fessée solde la bêtise et évite les fâcheries et les longues discussions. C’est donc je pense une bonne méthode d’éducation pour l’adulte qui en a besoin.

Bien sur recevoir une fessée fesses nues est une vraie épreuve, il y a la vexation, la honte, la cuisson, mais cela ne dure pas longtemps et cela sert de leçon.

Pour toutes ces raisons, certains adultes aiment la fessée éducative maternelle.

Estelle

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Visite chez Huguette et Josip, un séjour d’éducation et de discipline. Jeudi 7 décembre 22H40

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