Journal d’un grand garçon fessé – Mardi 05 décembre 2023 – 11h18

« C’est la fessée ! »

Je redoutais de l’entendre prononcer ces mots et pourtant, je m’y attendais. Tonton n’était là que depuis quelques minutes et la sentence était déjà tombée. Je savais qu’il avait toute autorité sur moi. Ma compagne la lui avait déléguée. Je savais qu’il avait la légitimité pour me déculotter et me fesser à chaque fois qu’il jugerait que je l’avais mérité. Il avait exigé que je porte des sous-vêtements blancs sous un survêtement afin de pouvoir me déculotter plus facilement. Et pourtant…

La journée promettait d’être longue et mes fesses devoir souvent être mises à contribution. Elle l’a été.

J’étais allé le chercher à la gare à sa descente du train. Puis, nous étions revenus en voiture. Durant quasiment tout le trajet, c’est lui qui avait parlé. Il avait été question de fessée, de mon expérience en la matière, de ce que cela me faisait d’être puni par ma compagne et de mon blog, celui que vous lisez en ce moment. Je ne savais pas trop que dire et je me concentrais sur la conduite de la voiture.

Parler de mon blog était assez facile et quand il en a été question, je prenais plus facilement part à la conversation. Par contre, je n’avais pas l’habitude de parler ouvertement des fessées que je recevais. Comme il s’agit de réelles punitions et que ce n’est pas moi qui en décide, c’est toujours gênant, pour un adulte, mais c’est sûrement le cas également pour un enfant, de reconnaître, de fait, qu’il n’y a pas d’autres moyens que de le corriger pour qu’il se comporte comme on peut l’attendre, vu son âge. C’est encore plus compliqué quand les punitions se concrétisent par de réelles fessées décidées par une autre personne sans qu’il ne puisse rien y faire, sans compter qu’elles étaient toutes déculottées, soulignant le caractère irresponsable de mes écarts. C’est encore plus difficile quand les fessées déculottées que je reçois prennent un caractère public.

Pourtant, je savais que Tonton était parfaitement au courant de la façon dont ma compagne me punissait et qu’il n’hésiterait pas à en prendre sa part. J’avais déjà reçu la fessée déculottée devant lui, mais c’était en vidéo et le souvenir de cette punition, s’il ne cuisait plus mes fesses, était encore bien présent dans mon esprit. Mais il est difficile d’être en même temps une grande personne qui en rencontre une autre pour la première fois et un grand garçon dont la compagne a estimé que la fessée, culotte baissée, était un remède souverain pour me maintenir dans le chemin qu’elle a choisi. Bref, je ne tenais pas trop à parler des fessées que je recevais, mais c’est cependant de ce sujet dont il a été question durant tout le trajet qui nous ramenait à la maison. Je ne suis donc pas beaucoup intervenu dans la conversation.

Je savais que ma conduite était un point sensible. Ma compagne lui avait demandé explicitement d’être particulièrement attentif sur cette question. Tout le trajet durant, je n’avais pas eu l’impression que c’était quelque chose sur laquelle il portait son attention. Je m’attendais à des remarques immédiates et à des promesses de fessée. Il n’en fut rien, même lorsque, comme habituellement, je dépassais un peu la limite de vitesse autorisée. Avec ma compagne, cela aurait été : « Tu veux une fessée ? » Je pensais donc qu’il n’avait rien remarqué.

Nous étions arrivés à la maison depuis quelques instants. C’est ma compagne qui mit le sujet sur la table.

« Qu’as-tu pensé de la conduite de Josip ? »

Mon estomac s’est noué à l’instant où elle posait cette question.

« Justement, répondit-il, je voulais faire le point sur ce sujet ! »

Il se tourna vers moi.

« Qu’as-tu pensé, Josip, de la façon dont tu as conduit en me ramenant à la maison ? »

C’était une question piège. D’un côté, je ne pouvais avouer les quelques fautes de conduite que j’avais faites sans risquer une fessée, de l’autre, prétendre que ma conduite avait été irréprochable alors qu’elle ne l’avait pas été, pouvait passer pour de la prétention qui serait susceptible d’aggraver une punition si mon oncle estimait que j’en avais mérité une. J’optais pour une réponse qui n’en était pas une.

« Je ne sais pas. »

J’eus une mimique qui indiquait mon ignorance.

« Pourtant, moi, j’ai remarqué que ta conduite méritait qu’on en reparle ! »

Il fit alors la liste des circonstances qu’il avait remarquées comme étant particulièrement répréhensibles : vitesse, manque de prudence, attention relâchée… et il conclut.

« Pour tout cela, je crois que c’est la fessée ! »

Ce ne fut pas vraiment une surprise pour moi. Je savais que cela allait arriver, mais se trouver au pied du mur est toujours un mauvais moment à passer.

« Pas forcément une grosse fessée, poursuivit-il, mais je vais quand même baisser la culotte. »

Oui, forcément, pour que je comprenne bien la leçon, ma culotte devait être baissée.

« Viens ici ! »

Ici, c’était debout à sa droite, alors qu’il s’était assis sur le canapé. Ma compagne regardait ces préparatifs et visiblement, elle en approuvait la conclusion. J’étais coincé. Je n’avais plus qu’à obéir. Je fis les quelques pas qui m’amenèrent à sa portée.

Sans plus de cérémonie, comme s’il en avait l’habitude et moi aussi, il baissa mon pantalon.

« Viens sur mes genoux ! »

Je me couchais à plat ventre, laissant mes fesses à la disposition de sa main. Ma culotte couvrait toujours mes fesses, et même si je savais que Tonton allait la baisser, je la sentis toujours à sa place habituelle et cela m’étonnait. Un reliquat de pudeur accordé à un adulte ?

Avec ma compagne, il n’en est pas question. En plus de la douleur que provoque la fessée, elle tient à me faire faire perdre toutes les prérogatives que l’on reconnaît généralement à un adulte, et en premier lieu son droit à la pudeur. Particulièrement quand elle décide de me donner une fessée, elle ne tient plus compte de mon âge et elle expose à tout-va mes fesses et mes organes génitaux. Elle considère cela comme normal, cela fait partie de la punition. Elle me ramène au niveau de maturité dont j’ai fait preuve en commettant l’écart qui me vaut la punition. Je dois reconnaître que, debout devant elle avec la culotte baissée, elle dispose de toute mon attention, ce qui est bien utile quand elle me gronde.

Tonton me gronda lui aussi.

« Sais-tu pourquoi tu vas avoir une fessée ?

– Oui !

– Oui qui ?

– Oui Tonton !

– Alors, quelle est la raison de cette fessée ?

– Ma conduite en voiture ?

– C’est cela. Tu vas être puni pour la façon dont tu as conduit la voiture en revenant ici ! »

Sa main tomba sur mes fesses protégées par le tissu de ma culotte. Je savais que ce n’était qu’un préliminaire et cela ne dura pas longtemps. Il saisit l’élastique de ma culotte et la retourna sur mes cuisses. La véritable fessée débuta. Je sentais sa main qui échauffait mes fesses. Quatre, cinq fois du même côté, puis il passait à l’autre et il recommença plus d’une fois, mais je ne les comptais pas. La cuisson devenait difficile à supporter quand il stoppa et je commençais alors à gigoter sérieusement sur ses genoux en prenant bien garde à ne pas interférer avec la correction. Effectivement, ce ne fut qu’une petite fessée, mais elle suffit pour que j’en éprouve la vigueur et pour que la leçon porte. Il remonta ma culotte.

« Lève-toi et va au coin ! Les mains sur la tête !

– Tu sais où est le coin, rajouta ma compagne ! »

Je me dépêchais de rejoindre l’endroit qui m’était assigné. Je croisais mes doigts sur le haut de mon crâne et je m’immobilisais.

Si on exceptait la cuisson sur les fesses qui heureusement ne dura pas, c’était assez différent des punitions que me donnait ma compagne. Certes, dans les deux cas, il y avait eu une fessée et je finissais au coin.

Je m’y tenais les mains sur la tête, ce qui impliquait que je devais me reculer pour laisser de la place à mes coudes que la position obligeait à écarter. Avec ma compagne, j’ai toujours le nez dans l’angle de la pièce, mes bras étant croisés dans mon dos. Je m’y sens donc plus isolé, tout en entendant parfaitement les conversations qui continuaient derrière moi. J’avais pourtant l’impression d’être « moins » puni.

De plus, ma culotte avait caché mon intimité aux yeux des deux personnes qui assistaient à ma correction, autant pendant la fessée elle-même, qu’ensuite alors que je me tenais au coin. J’avais bien plus souvent l’habitude, quand j’étais en pénitence, d’exposer mes fesses nues à toutes les personnes qui étaient présentes, ce qui renforce le sentiment d’être puni.

Sans doute, mon oncle n’avait pas encore fait le pas de me traiter au niveau de responsabilité que j’avais été capable d’assumer. La culotte baissée, aussi bien avant, pendant ou après la fessée, montre combien il est nécessaire de me faire comprendre que je ne me suis pas comporté comme un adulte.

Je me doutais, qu’avec Tonton, cela serait bien vite rectifié.

D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus

Qui adulte reçoit des fessées par punition

La fessée déculottée : honte ? humiliation ? 

Recherche personne, homme ou femme, pour donner la fessée 

La première fessée du journal racontée ici

La précédente fessée

 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage. 
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.