lundi 19 février 2024

Journal d’un grand garçon fessé – dimanche 18 février 2024 – 22 h 05

Ce n’est pas que j’avais décidé de défier ma compagne. Je n’oserais pas le faire ouvertement, je sais comment cela se termine à chaque fois. Parfois, je m’y risque, mais j’essaye d’être discret. Ça ne marche pas toujours et quand je suis pris, je sais que j’aurai le droit à une bonne fessée déculottée. Je n’avais pourtant pas décidé de la défier. A la réflexion, il y avait tout de même un peu de ça. De toute façon, je ne peux pas prétendre que mon obéissance ait été parfaite.

Cela faisait donc deux raisons pour lesquelles une fessée était justifiée. Sans doute, si elle me l’avait donnée tout de suite, aurais-je été plus sage par la suite, quand elle m’a mis au coin. Sûrement, mais cela ne s’est pas passé comme ça.


Le séjour de Juliette à la maison s’était achevé en début d’après-midi. Elle était repartie chez elle et nous étions tous les trois satisfaits de ce qui s’y était déroulé. Bien sûr, ma compagne comme moi lui avions donné plusieurs fessées, mais elles étaient toutes méritées. Même Juliette en convenait.
J’avais assumé le rôle de Papa qui donnait la fessée et c’est sans doute pour me rappeler mon statut d’adulte dont elle avait la responsabilité, que ma compagne a décidé de me donner la douche. Il n’aurait pas fallu que les quelques fessées que j’avais données à Juliette, me montent à la tête et que j’en oublie que moi-même, je la recevais quand ma compagne estimait que j’en avais besoin. Quoi de mieux, pour ce faire, qu’une dizaine de minutes sous son autorité directe, dans une situation infantilisante, pour me ramener les pieds sur terre ?
Toujours est-il qu’après m’avoir déshabillé, ma compagne m’a conduit à la douche. Durant tout le temps où elle m’a lavé, j’ai obéi à ses ordres sans discuter. La hiérarchie habituelle était rétablie grâce à la relation filiale qu’elle avait réinstaurée. C’est quand elle m’a essuyé que les choses se sont gâtées.


Elle m’a d’abord mis le peignoir. Cela évite d’avoir froid en sortant de sous le jet d’eau. Ensuite, elle m’a essuyé le visage et là, insatisfait de ce qu’elle avait fait, j’ai attrapé le coin de la serviette et je l’ai passé sur mon visage. Une claque sur les fesses.
« Tu me laisses faire ! »
Le peignoir recouvrait mon postérieur. Si j’ai senti la claque, elle ne m’a, évidemment, pas fait mal. Ce n’était donc pas une réelle fessée. Juste un avertissement pour attirer mon attention en soulignant son exigence. Pour être sûre que je me suis bien séché, ma compagne préfère, en effet, le faire elle-même et elle ne veut pas que j’interfère. Je le sais. C’est une habitude qu’elle et moi avons quand elle me donne la douche.
Une fois une première partie de l'essuyage effectué, elle m’a ôté le peignoir pour s’occuper de ce qu’il recouvrait jusqu’alors. J’étais donc tout nu devant elle, mais cela ne me gênait pas plus qu’elle. Ma pudeur d’adulte ne pouvait avoir de la place à ce moment-là. C’était son petit garçon dont ma compagne prenait soin. Il était donc bien normal qu’elle ait facilement accès à toutes les parties de mon corps et qu'elle ait enlevé le peignoir qui faisait obstacle à ce qu'elle voulait faire.
J’ai de nouveau pris un coin de la serviette pour essuyer l’arrière de ma cuisse que j’avais jugé encore trop humide. Cette réaction d’indépendance ne fut pas du goût de ma compagne. Elle me le fit savoir d’une claque sur les fesses qui, cette fois-ci, étaient dénudées. J’en sentis la cuisson.
« Aïe !
– Je t’ai déjà dit que je voulais que tu me laisses faire ! »
J’oscillais entre le mécontentement et l’indifférence suite à cette petite fessée. Les deux sentiments, l’un comme l’autre, n’étaient pas un choix judicieux. Je la regardais, tentant de faire passer mon état d’esprit dans mon regard.
« Es-tu sûr d’avoir bien compris ? »
Ma compagne avait perçu la pointe de défi qu’il y avait dans mon attitude. Mais interpelé aussi directement, je ne pouvais pas me défiler.
« Oui, Maman ! »
Cela aurait dû me conduire à la plus parfaite obéissance, mais ce ne fut pas le cas. Sans l’avoir vraiment décidé, mais sans doute pour lui montrer qu’il me restait un reliquat de la liberté que je revendiquais en tant qu’adulte, je m’emparais de la serviette et je la passais là où je pouvais le faire, bien que ce fût totalement inutile.
La réponse ne tarda pas. Deux autres claques sur les fesses nues. Là, elles ont été suffisamment fortes pour que j’en ressente la morsure. Je le soulignais par un cri de douleur.
« Est-ce que ça suffit ou faut-il que je continue ? »
Sa main était prête à sévir de nouveau. Malgré cela, je couvris mes fesses de la serviette, là où la main de ma compagne venait d’imprimer sa marque. Elle me l’arracha des mains et, de l’autre côté, sa main claqua mes fesses. Je sais bien que j’aurai dû m’en tenir là, voire même arrêter bien avant, mais quand je suis lancé dans une désobéissance, je vais en général jusqu’au bout.
Je recommençais le même geste sans plus de succès qu’avant. À chaque fois que je tentais d’interposer la serviette, ma compagne l’ôtait de son chemin et sa main trouvait toujours un coin de peau nue où m’asséner une fessée. Ce jeu ne dura pas bien longtemps. Ma compagne s’en lassa bien vite. Quatre claques sur le haut de la cuisse et la sanction tomba.
« Tu es bien énervé, ce soir. Bien trop pour aller te coucher. Tu vas d’abord aller faire un tour au coin pour te calmer ! »
Mes protestations n’y firent rien, si ce n’est de me faire accompagner sur le lieu de ma pénitence avec quelques bonnes claques sur mes fesses. Elle m’emmena dans le séjour, sans m’avoir passé le moindre vêtement, et elle me mit dans le coin dans lequel Juliette se tenait quelques heures auparavant.
Il était inutile qu’elle me rappelle ce qu’elle attendait de moi à ce moment-là. Je savais qu’au coin, on y reste parfaitement immobile et silencieux aussi longtemps que ma compagne l’a décidé. Ces règles avaient été imposées à Juliette, elles étaient aussi valables pour moi.


Rétrospectivement, je me dis que si, avant de me mettre au coin, ma compagne m’avait administré la fessée que j’avais méritée, sans doute ma désobéissance aurait pris fin. C’est en général ce qui se passe après une punition. Effrontément, je n’en suis pas resté là.
Je sais que quand je suis mis au coin, c’est que ma punition n’est pas achevée. Souvent, vexé par la nature infantilisante de la sanction, je tente de retrouver un semblant du libre arbitre dont je devrais bénéficier en tant qu’adulte. Je respecte donc strictement les consignes de ma compagne tant que je suis sous son regard, mais dès que j’en ai l’occasion, j’enfreins les consignes qu’elle m’enjoint, soit en regardant derrière moi, soit en me massant les fesses pour en diminuer la cuisson.
Dès que j’ai cru entendre ses pas quitter la pièce, je me suis retourné. Hélas, j’avais mal interprété les bruits que j’avais entendus. Ma compagne était toujours là et elle regardait ce que je faisais avec un air indigné.
« Qu’est-ce que c’est que ça ? »
Je remis mon nez dans l’angle de la pièce, mais c’était trop tard. Je l’entendis qui venait vers moi. Son pas décidé révélait son courroux. Elle me prit pas le bras et elle m’entraîna à sa suite, jusqu’au fauteuil. Elle s’y assit et je me retrouvais aussitôt à plat ventre sur sa cuisse gauche. Elle entoura ma taille d’un bras et de sa main libre, elle commença la fessée.
Elle entreprit de mettre définitivement fin aux provocations de la soirée. Il ne fallut pas bien longtemps pour que j’oublie totalement mes prétentions d’adulte et que je me comporte comme un garçon que sa Maman fessait. Je la suppliais de mettre fin à la correction, je criais, je gigotais des jambes, mais cela ne gênait pas ma compagne pour me punir.
Cela ne lui prit pas plus d’une ou deux minutes pour que je revienne à de meilleurs sentiments et que j’arrive à la conclusion qu’il était préférable de lui obéir, même si mon égo d’adulte en prenait pour son grade. J’eus beau lui assurer que j’avais compris la leçon, cela n’écourta pas la fessée.
J’avais les fesses en feu quand elle cessa la correction.
« Tu retournes au coin ! »

Je m’y rendis sans discuter, plutôt avec empressement, et je n’y tins sans qu’il eût été possible de me reprocher quoi que ce soit. Comme d’habitude, ma compagne avait eu le dernier mot.


D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus


La première fessée du journal racontée ici

 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.

En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

1 commentaire:

  1. Bonjour Josip.
    Pour de grands garçons comme nous l’obéissance est essentielle dans l’éducation stricte dont nous avons besoin et c’est vrai que la fessée déculottée est plus que nécessaire pour sanctionner nos écarts. Je suis moi aussi souvent enclin à transgresser les règles qui me paraissent pourtant nécessaires et que j’accepte. Je deviens alors un vrai gamin et ma culotte baissée je me prends une bonne fessée cul nu. Lorsque je me retrouve au coin avec mes fesses bien rouges, je n’ai pas intérêt à broncher…sinon. Je reconnais que cette sévérité est dans mon intérêt. Je ne sais pas ce que tu en penses..?
    Bien a toi et au plaisir de te lire.
    Pascal.

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