Vendredi 2 février

Arno a franchi le pas. Il est venu rendre visite à Huguette et a été accueilli comme le fils de la maison. Il a désobéi ? Qu'à cela ne tienne, rien qu'une bonne fessée déculottée ne saurait remettre en place.

En voici la deuxième partie du récit, ce qui s'est passé le 2 février, la suite de l'article d'hier...

Nous sommes le vendredi 2 février, deuxième jour de ma visite chez Tata Huguette et Josip.

Conformément à la consigne exprimée la veille par Tata, je descends au petit déjeuner pour 9h00. La table est mise, café, lait, jus d’orange, pain, beurre, charcuterie, bref un petit déjeuner sympathique et copieux.

Nous n’avons pas besoin d’évoquer les punitions de la veille. Tata Huguette ne revient pas sur les fessées administrées, c’est de l’histoire ancienne. Un peu comme si rien ne s’était passé, ou presque.

Sitôt le petit déjeuner terminé et la table débarrassée, je dois me rendre à la salle de bain pour la douche du matin. Tata me rejoint rapidement afin de s’assurer que je fais bien ma toilette.

Une fois encore, je vais devoir déambuler tout nu devant elle, la pudeur n’a pas sa place chez les grands enfants qui ont besoin d’être encadrés. Tata va choisir les chaussettes blanches, le slip blanc et le maillot de corps blanc. Cela fait des années que je n’ai plus porté de slip, étant un adepte du boxer. Et je dois dire, que la journée durant, je vais être un peu à l’étroit dans ce petit slip blanc.

Étant apprêté comme il se doit, je regagne le salon et Tata nous demande d’aller faire des courses avec Josip. Nous nous rendons au supermarché du coin pour les emplettes du jour. La journée s’annonce sous de bons auspices.

De retour à la maison, je m’absente quelques minutes pour consulter mes mails professionnels et passer quelques coups de fils urgent. Une vie normale en somme.

Sauf que je suis un peu tête en l’air et qu’il m’arrive ainsi d’oublier les consignes élémentaires.

L’ambiance est chaleureuse et nous avons encore un peu de temps avant le déjeuner ; là, je descends au salon pour me livrer à mon passe-temps favori, la lecture des nombreux ouvrages de la bibliothèque de Josip. En fait, il faudrait que je m’installe plusieurs semaines pour en faire un tour approximatif !

Je suis dans le fauteuil, et je profite de l’instant. J’ai juste oublié de mettre mes chaussons qui sont restés à l’étage. Je n’ai pas eu à attendre bien longtemps la réaction de Tata Huguette :

« Arno, où sont tes chaussons ? »

Ce manque de respect aux règles élémentaires imposées par Tata Huguette l’a évidemment mise en colère.

Tata Huguette m’a pris le livre des mains, une fois n’est pas coutume, et m’a conduit vers le canapé sur lequel elle a pris place et expliqué que j’allais recevoir une fessée déculottée pour manquement aux consignes, pourtant clairement énoncées.

J’ai tant bien que mal tenté de me justifier et proposer d’aller les chercher de suite, rien n’y a fait. Tata à baisser mon jean et le fameux petit slip blanc. Une fois encore, les fesses à l’air et rouge de honte, elle m’a couché en travers de ses genoux et flanqué une sévère fessée largement méritée.

J’ai bien tenté d’interposer ma main, mais Tata me l’a bloquée dans le dos et a poursuivi son ouvrage salvateur sur mon derrière nu qui devait rougir à vue d’œil. C’était ma troisième fessée depuis mon arrivée la veille, et celle-ci fut plus marquée que les précédentes.

Au bout de quelques minutes, la fessée a cessé. J’ai dû remonter mon slip et mon jean, honteux et les fesses endolories. Tata m’a dit :

« Tu montes chercher tes pantoufles et tu reviens me voir, tout de suite. »

Évidemment, je n’ai demandé mon reste et j’ai filé dans la chambre pour mettre ces maudits chaussons. En revenant au salon, tata était dans la cuisine affairée avec Josip. J’ai cru que nous allions en rester là. Que nenni, Tata n’en n’avait pas fini avec moi.

« Viens ici » me dit-elle.

« Afin de mieux réfléchir à tes désobéissances, tu vas faire un passage au coin. »

Tata m’a conduit vers la porte d’entrée, et j’ai dû me positionner dans l’angle, au piquet. Mais c’était loin d’être fini, Tata a dégrafé mon jean et baissé mon slip, et j’ai dû croiser mes bras dans le dos et rester ainsi plusieurs minutes au coin, cul-nu !

C’est une situation très humiliante où vous ne percevez que le bruit des conversations et des déplacements derrière vous, alors même que vous offrez le spectacle de vos fesses nues et rougies à la vue de toutes les personnes présentes. Je ne saurais dire combien de temps je suis resté au coin ; mais c’est une épreuve éprouvante, même si elle est méritée.

À la suite de quoi, et après m’être reculotté, Tata m’a donné à rédiger une page de lignes :

« Je dois écouter Tata Huguette lorsqu’elle me demande quelque chose ; les chaussons, pas de gros mots ».

Dix fois !

Nous avons ensuite déjeuné et c’était très bon. J’ai tenté de faire attention à mon langage. Puis, nous sommes partis nous promener en bord de mer. Il faut dire que la météo était toujours aussi exécrable. Josip nous a acheté des huitres pour le dîner et nous nous sommes arrêtés dans une crêperie pour un petit goûter de milieu de journée.

J’ai été un peu surpris de ne pas avoir de remontrance de la part de Tata Huguette sur ma conduite automobile, je veux dire. J’ai scrupuleusement respecté le Code de la route, mais sans boucler ma ceinture, je déteste ça. Je me disais qu’à notre retour Tata allait probablement me sermonner à ce sujet, mais non.

La fin de journée et le dîner se sont passés dans une bonne ambiance. Et retour au salon pour un peu de lecture. J’entendais Tata qui semblait avoir du fil à retordre avec Josip. Finalement, cela me laissait un peu de répit et de tranquillité.

Quand Tata est réapparue, elle semblait un peu énervée, elle m’a intimé l’ordre de monter prendre ma douche et de me mettre en pyjama. J’ai un peu râlé pour la forme, et me suis exécuté. Tata m’a dit :

« Je termine avec Josip et je viens te voir après ».

Peut-être était-ce parce que la fin du séjour était proche, je me suis senti d’humeur taquine et insolente. J’ai bien pris ma douche et drapé dans ma serviette de bain, je suis allé me vautrer sur mon lit. Lorsque Tata est arrivée, elle m’a intimé l’ordre de me mettre en pyjama et j’ai purement et simplement refusé, que j’étais bien assez grand pour dormir comme bon me semble. Là, j’ai fait preuve d’insolence et de désobéissance caractérisées. Tata m’a menacé d’une sévère fessée et je n’ai pas cédé.

« Je reviens », m’a-t-elle dit.

Et elle est revenue avec deux instruments que je ne connaissais pas. De mémoire, une cravache sans doute et une espèce de ceinturon. En réalité, je n’ai pas eu le temps de voir grand-chose.

Tata a arraché le drap de bain, je me suis retrouvé tout nu au milieu du lit, elle m’a forcé à descendre du lit, j’étais à quatre pattes, les fesses en l’air et j’ai goûté des deux instruments punitifs. La fessée, et ce sera la dernière de mon séjour chez Tata et Josip, n’a pas été très longue, mais douloureuse.

Lorsque la fessée a cessé, il ne m’a pas fallu longtemps pour passer mon pyjama et me réfugier sous la couette. Tata est revenu quelques minutes plus tard avec la pommade magique et je me suis, une fois de plus, retrouvé les fesses à l’air. Ce fut ma deuxième et dernière nuit, je partais tôt le lendemain et Josip avait eu la gentillesse de préparer un copieux petit déjeuner.

Un grand merci encore à Tata et Josip pour leur accueil. Les quatre fessées reçues étaient méritées, comme le passage au coin. Je ne suis pas forcément pudique, mais ces situations où l’on est fessé et exposé cul-nu sont une grande leçon d’humilité.

J’aurais évidemment plaisir à rendre une nouvelle visite à Tata et Josip, même s’ils sont un peu loin pour moi qui demeure à l’autre bout de la France.

Je profite de ce témoignage bien réel pour lancer un appel aux commentatrices. S’il existe une femme intransigeante sur l’éducation, en Rhône-Alpes, qui accepterait de prendre en charge mon éducation, je serai ravi de la rencontrer.

Arno

Il y a eu d'autres visiteurs, chez Huguette et Josip, qui ont eux aussi reçu la fessée

C'est le cas de Juliette

et celui de Lucas 

Et la première d'Arno 

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