samedi 3 février 2024

Ma première fessée déculottée en extérieur

Ma compagne m’a demandé d’écrire sur les fessées déculottées en extérieur qu’elle m’a données, de raconter comment je les vis, leur utilité et de donner mon point de vue. Vous qui lisez le blog, vous savez que j’ai été puni plusieurs fois alors que nous n’étions pas à la maison. Je n’en ai pas fait, à chaque fois, le récit, puisque je ne dois mettre mes fessées par écrit que depuis le mois d’avril dernier. Toutes celles qui se sont déroulées avant n’ont pas été relatées, mais depuis cette date, cela m’est arrivé à plusieurs reprises. Vous pourrez en trouver le récit dans des articles précédents.

Je tiens d’abord à préciser que ce qui a été écrit dans l’article publié le 28 janvier dernier, est la stricte réalité de ce que je vis sous la férule de ma compagne. Il n’y a pas une ligne à changer pour se faire une idée de ce qui m'arrive, mais je sais que si ma compagne le fait, c’est pour mon bien et je ne m’en plaint pas… enfin... sur le moment si, mais avec un peu de recul, je reconnais qu'elles ont été parfaitement justifiées et qu’elle a eu, à chaque fois, raison de me punir.


Tout d’abord, il me faut avouer que si ma compagne donne la fessée, c'est moi qui en suis à l'origine. C’est sur cette thématique que nous nous sommes rencontrés et j’ai été déculotté et fessé, pour la première fois, quelques minutes après avoir fait sa connaissance. Allons plus loin dans les aveux, je dois vous dire que c’est parce que j’avais poussé le bouchon un peu loin que, durant ce premier week-end, ma compagne m’a donné une fessée au moment où je l’avais méritée… et nous étions à l’extérieur de la maison.
C’était le samedi en fin de journée. Quelque temps plus tôt, j’avais reçu une fessée déculottée parce que ma compagne avait constaté que la propreté de ma culotte laissait à désirer. Elle m’avait lavé les fesses, changé et mis une culotte propre… qui ne passa pas son inspection suivante. Sans se lasser, ma compagne me baissa la culotte, elle nettoya mes fesses et m’administra une nouvelle correction. Après quoi elle me changea de nouveau.
À ce moment-là, il n’y avait entre nous qu’une composante filiale explicite et revendiquée des deux côtés. Ma compagne avait donc fait son travail de Maman, mais je n’y étais pas encore habitué. Si la première fessée que j’avais prise le vendredi soir en arrivant, bien qu’elle ait été déculottée, n’avait rien d’une cuisante correction, pour les suivantes, elle avait rectifié sa pratique. Je sortais donc de ces deux fessées, reçues en une après-midi, le postérieur cuisant et certainement bien rouge. J’étais vexé par les déculottages, mais aussi d’avoir été pris en flagrant délit de culotte sale. Je n’avais pu maîtriser mes vents ventraux et d’avoir été mis aussi définitivement devant cet état de fait ne me réjouissait pas plus que ça. J'étais partagé entre la honte d'avoir été corrigé sans tenir compte de mon âge et la satisfaction d'avoir trouvé une personne qui prenait soin de moi.


Nous étions partis marcher le long d’une petite route, profitant des rayons de soleil de la fin d’après-midi, avant de s’attabler devant le dîner. Je ne savais plus trop quelle attitude adopter. Ma compagne m’avait pris en charge au-delà de mes espérances et les fessées qu’elle m’avait données avaient été de vraies punitions bien cuisantes. De ce côté-là, le séjour se déroulait comme je l’avais prévu. Cependant, mon ego de mâle en avait pris un coup, à moins que ce ne soit un résidu de pudeur d’adulte, notamment quand ma compagne avait dû s’occuper de me changer comme un petit garçon alors que j’avais sali ma culotte. Je ne pouvais m’empêcher d’avoir honte et je me demandais ce que ma compagne pensait de moi. La honte ne fit qu’empirer quand elle remit aborda la question, tout en marchant.
« Tu sais, Josip, que tu auras encore la fessée si je vois que ta culotte n’est pas impeccable. Et crois-moi, je vérifierai ! »
Il n’y avait là rien qui ne cadrait pas avec ce dont nous avions convenu avant ma venue, mais c’est une chose d’en parler au téléphone et une autre de le vivre réellement. Je ne voulus pas en endosser la responsabilité.
« Mais c’est de ta faute si ma culotte était sale. Tu m’as mal lavé la première fois ! »
Je vis les sourcils de ma compagne se froncer. C’était sans doute la première fois que je lui répondais, en refusant, de plus, d’accepter la responsabilité de mes actes. C’était une violation flagrante des règles qui régissaient notre relation Maman-garçon.
Elle insista en me grondant pour mon insolence et le déni de la réalité. Je renchéris sur son argumentation, ce qu’elle ne laissa pas passer.
« Josip, si tu continues, tu vas avoir une fessée ! »
Je haussais les épaules. Là, je vis qu’elle était réellement en colère. Elle n’était plus une Maman de substitution, mais son devoir maternel l’habitait complètement et il lui commandait de me punir sévèrement.

« Je vais te donner une fessée tout de suite !
– Tu ne peux pas, nous sommes en extérieur !
– Ah, tu crois ça ? »
J’avais poussé la provocation trop loin. Maintenant, je devais en payer le prix. Elle me courba sous son bras et elle retroussa ma veste, dégageant le fond de mon pantalon. J’allais prendre une fessée sur place.
« Non, Huguette, pas ici ! Si une voiture passe…
– Et alors ? Crois-tu qu’ils vont s’arrêter pour me dire que tu ne l’as pas méritée ou qu’ils approuvent que je te punisse ? »
La seule chose que j'ai arrivé à négocier, ça a été qu’elle m’amène sur le bord de la route, dans l’entrée d’un chemin, mais nous étions à peine à deux mètres de la route. Là, elle me remit dans la position punitive qu’elle avait choisie, elle rabattit ma veste sur mon dos et je sentis sa main qui cherchait, sous mon ventre, la boucle de ma ceinture.
« Non, Maman, non, pas le pantalon !
– Oh que si ! »
Elle prit le temps de déboucler la ceinture et de déboutonner mon pantalon. Puis, tout en me maintenant sous son coude, elle le fit glisser à mi-cuisses.
« Et ce ne sera pas tout ! »
Elle glissa son pouce sous l’élastique de ma culotte et elle la baissa, lui faisant rejoindre mon pantalon. Je ne savais plus trop quelle attitude adopter. Si j’avais déjà reçu plusieurs fessées déculottées depuis mon arrivée chez Huguette, ma culotte n’avait jamais été baissée sur le bord d’une route. Je sentais l’air frais caresser mes fesses nues. C’était une sensation nouvelle, troublante.
« Une bonne fessée déculottée, c’est tout ce que tu mérites ! »

Nous avions convenu, avec Huguette, qu’elle avait toute autorité pour me déculotter et me fesser quand je l’aurai mérité. Mais je n’avais jamais pensé que cela pourrait se dérouler en extérieur. J’étais partagé entre l’envie de faire cesser la punition qui se préparait et l’obligation de rester en place comme je l’avais promis.
« Si tu as sali ta culotte, c’est de ta faute. Tu dois faire attention. Et je ne veux pas que mon garçon refuse ses responsabilités et les rejette sur d’autres. À chaque fois que tu feras cela, ce sera la fessée déculottée. »
Huguette avait raison. Comme à son habitude depuis le début du week-end, elle avait baissé ma culotte et elle s’apprêtait à me fesser pour une raison tout à fait valable. Je crois que, pendant une seconde, j’ai oublié que je me trouvais sur le bord d’une route. Je n'ai pas bougé. Cette hésitation suffit. La première claque tomba sur mes fesses, forte, sèche.
« Aïe ! »
Je relevais la jambe du côté où la main de ma compagne venait d’imprimer sa marque. Mon mouvement fut vite interrompu par mon pantalon et ma culotte qui en limitaient l’ampleur. Une deuxième claque tomba de l’autre côté. Je n’eus pas plus de succès avec l’autre jambe. Puis, ce furent deux autres claques que Huguette me donna, une sur chaque fesse. Elles étaient bien plus fortes que les deux premières. La colère de ma compagne face à mon attitude se sentait à la fermeté avec laquelle elle me tenait sous son coude et à l’énergie qu’elle mettait à abattre sa main sur mes fesses. Je restais en place, sans penser aux voitures qui pouvaient passer sur la route. Je n’osais plus contrecarrer son autorité. Sa main claqua mes fesses suffisamment longtemps pour que l'échauffement de mes fesses ne fasse plus aucun doute pour elle. Elle m'avait justement puni et je ne pouvais que constater que je lui en avais donné une raison tout à fait valable.

La fessée ne dura pas très longtemps. Quand ma compagne me laissa me relever, j’avais les fesses en feu. Elle me laissa debout devant elle.
« Est-ce que tu as compris ?
– Oh oui !
– Tu as compris quoi ?
– Que c’était de ma faute !
– Exact et que je ne voulais plus t’entendre en rejeter la faute sur les autres ! »
Une claque sur ma cuisse vint souligner ses propos.
« J’espère que c’est bien entendu.
– Oui, oui ! »
Une nouvelle claque.
« Oui, qui ?
– Oui Maman !
– Je vois que nous avançons ! »
Je n’avais qu’une hâte, c’était qu’elle remonte ma culotte, ce qu’elle finit par faire. Puis ce fut au tour du pantalon.
« Reboutonne ton pantalon ! »
Je me dépêchais d’obéir, retrouvant une tenue plus conforme à mon âge.


C’est un garçon obéissant qu’elle ramena à la maison. J’étais très attentif à ne pas la contrarier tout au long du trajet. Heureusement, il n'était pas bien long. Pour rien au monde, j'aurais voulu recevoir une autre fessée. Ce n’était pas que la cuisson de mes fesses était encore présente, elle s’était estompée assez vite, mais je ne voulais pas qu’elle me baisse de nouveau la culotte là où nous étions. J’étais certain qu’elle n’hésiterait pas à le faire. Une fois m’avait suffi.
Loin de moi l’idée de lui en vouloir de la punition qu’elle m’avait administrée, ni de sa nature, ni du lieu dans lequel elle me l’avait donnée. Je n’en parlais plus et elle non plus, mais je savais que cette possibilité était maintenant suspendue au-dessus de ma tête et qu’il ne tenait qu’à moi de l’éviter. Cette fessée en extérieur avait renforcé son autorité et c’est moi qui l’avais provoquée et c’est moi qui l’avais acceptée. De retour chez moi, cela me troublait, mais je sentais que j’étais sur une voie dont j’avais besoin et l’ascendant de ma compagne sur moi me convenait parfaitement. À froid, en repassant le fil des événements dans ma tête, je reconnaissais qu’elle avait eu raison et je ne voyais pas osant refuser qu’elle me donne la fessée quand où cela lui semblait pertinent.

JLG


La deuxième partie 


Vous voulez aller plus loin ?

Je serai ravie d'échanger avec des personnes partageant une vision proche de la mienne en matière d'éducation des adultes en recourant à la fessée déculottée. Si la rencontre avec une personne de sexe masculin semble en bonne voie, il n'en est pas de même avec des personnes de genre féminin. Appel donc à des candidates.

Si le cœur vous en dit, n'hésitez pas à me contacter, dans les commentaires ci-dessous dans un premier temps. Après quelques échanges, nous pourrons décider si nous voulons aller plus loin. 


4 commentaires:

  1. Maman Huguette n à pas peur de déculottée et flanquer une bonne fessée en extérieur quand ont la mérite ,je suis impressionner..

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  2. Merci pour ce texte aussi bien pour la fessee en elle même que sur l histoire de votre rencontre

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  3. Huguette, une bonne fessée pour une propreté de sa culotte laissant à désirer. puis un lavage des fesses, et une nouvelle culotte propre. C'est effectivement une bêtise très enfantine accompagnée d'une fessée très régressive, la juste punition. Appliquez vous aussi la même règle à vos pensionnaires de passage? vérifier vous la propreté de leur culotte et donneriez vous aussi une fessée si elle n'est pas immaculée ?

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    1. Samia,
      Si les deux premières fessées l'ont été pour une culotte pas très propre, c'est bien parce que celui qui est devenu mon compagnon, l'avait mérité. Cela faisait partie de ses habitudes et je pense que j'ai réussi à la lui faire perdre. Ces deux fessées étaient donc, comme vous le dites, parfaitement justifiées.
      La troisième fessées, c'était pour la mauvaise foi dont il a fait preuve en ne reconnaissant pas ses torts. Encore, à mon sens, parfaitement justifiée. Il se trouve qu'elle a été donnée en extérieur, mais c'est là où nous nous trouvions à ce moment-là. Je pense qu'il ne s'attendait pas à ce que je le déculotte et je le fesse sur place.
      Je n'ai jamais eu l'occasion de sévir pour cette raison avec mes pensionnaires, mais s'il le fallait, je n'hésiterai pas.
      Auriez-vous fait pareil ?
      J'attends votre réponse.
      Huguette

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