mardi 27 février 2024

Séjour d’éducation et de discipline chez Papa et Maman le dimanche 18 février 2024

Et voici le récit du troisième et dernier jour que Juliette a passé ici. Il est court, mais il s'est achevé après le déjeuner... et Juliette a oublié une fessée (voir le commentaire) ! 


 9H15

« Juliette ! »

Maman est rentrée dans la chambre. Comme j’ai pris un cachet hier soir avant de me coucher, j’ai eu un peu mal de me réveiller.

« Tu peux continuer à dormir un peu et c’est Papa qui va venir te réveiller après »

Maman m’a parlé tout doucement.

« Oui, Maman »

En fait, ma tête était encore un peu dans les nuages. Je ne sais pas combien de temps passé, j’ai entendu le pas dans l’escalier, Papa est entré.

« Juliette, ça va ? »

Le ton de Papa est tout doux, rien à voir avec celui d'hier soir pendant la dictée.

« Oui, ça va, Papa »

Je me suis réveillée. Papa m’a fait câlins aussi ! Oh, comment c’était agréable ! Je n’ai pas cru que Papa pouvait aussi être doux, car il m’a donné toujours l’image très sévère. Il a vérifié qu’il n’y a pas eu de traces laissées sur mon postérieur par les fessées hier et il m’a dit :

« Tu prends toujours café au lait ? »

« Oui, Papa ! »


Après quelques minutes, je suis descendue, Maman est rentrée à la maison après avoir promené ses chiens. Nous avons pris le petit déjeuner en discutant de tout et de rien. Maman m’a préparé encore une bonne tisane. Tout à coup, Papa m’a dit :

« Tu sais, Juliette, il y a une fessée en suspens »

« Oui, je sais »

Maman a sorti la feuille sur laquelle j’ai fait deuxième fois la dictée. Malheureusement, il y avait encore trois fautes corrigées par Papa. J’ai regardé aussi mes fautes, il y en avait deux qui étaient nouvelles. Je les avais rajoutées alors que je n’avais pas fait d’erreur la première fois. Je n’étais vraiment pas fière de moi.

Maman a regardé toutes mes fautes, elle a haussé le ton :

« Toutes ces fautes, c'est de l'inattention ! »

Maman n’était pas contente.

« Donc c’est quoi ? » Maman m’a demandé.

« Une fessée, lui ai-je répondu d’une petite voix ! »

Même si je sais que je l’ai bien méritée, une fessée va quand même bien me chauffer mon postérieur. Maman s’est installée dans le fauteuil, elle m’a baissé mon pantalon, ensuite ma culotte a suivi le même chemin. Je me suis mise à plat ventre sur ses genoux, mes mains touchaient le sol et ma tête baissée. Maman a commencé à me punir. Maman a rarement tapé deux fois au même endroit, elle a réparti ses claques sur toute la surface de mon postérieur et de mes cuisses.

Je n’ai pas crié cette fois, j’avais réellement honte de moi. La cuisson de fessée devient de plus en plus forte. Je ne sais pas combien de temps a duré cette fessée. J’ai eu un peu mal à me relever quand Maman a cessé la correction et m’a demandé de me remettre debout. Après la fessée, elle a pris une feuille et elle m’a demandé comment s’écrivait le mot à chaque faute que j’ai commise. Elle ne lâche rien, Maman. J’ai répondu correctement cette fois et Maman était contente. Elle m' tout de même mise au coin.

« Va te laver et te changer » Maman m’a dit.

« Oui, Maman ! » 

J’ai obéi sans hésitation.


Après le déjeuner, mon séjour chez Papa et Maman s’est achevé.

Depuis vendredi, j’ai reçu six fois la fessée, elles ont toutes été bien méritées et surtout celle de la dictée. J’avais vraiment honte de moi, mais je pense qu’avec toutes ces fessées, mon niveau de français va certainement s’améliorer.

Merci Papa !

Merci Maman !



Le précédent récit


Des commentaires ?

L'expérience de Lucas, de Juliette de Josip avec Huguette ou de Marc avec sa femme vous inspire ? Vous inquiète ? Vous interroge ?

Vous avez vécu des situations analogues, soit en recevant ou en donnant la fessée à un autre adulte ? 

N'hésitez pas, les commentaires c'est fait pour ça !



 

24 commentaires:

  1. Juliette,
    Tu as oublié une fessée ! Comment cela se fait-il ? Je vais réfléchir avec Maman pour savoir si nous devons t’en punir. Il faudra, de toute façon, que tu fasses bien plus attention, une prochaine fois, afin de ne rien oublier.
    En effet, après la fessée que Maman t’a donnée ce matin-là, elle t’a envoyé au coin. Bien évidemment, tu avais encore la culotte baissée et j’espère que tu as pris le temps de réfléchir à toutes les fautes que tu avais encore laissées dans ta dictée. Au vu de celles que tu as faites dans les trois récits que tu as envoyés et que j’ai dû corriger abondamment, je n’en suis pas très sûr. Mais nous discuterons de tout cela au cours de ta prochaine visite. Tu sais que tu peux préparer tes fesses pour la fessée que tu recevras.
    Tu étais donc au coin et Maman et moi avions repris notre conversation, sans plus faire attention à toi. Il est vrai que, quand tu es ici, te vois au coin, montrant tes fesses récemment corrigées n’a rien d’inhabituel, bien que tu aies plus de quarante ans. Pendant un bon moment tu t’es tenue en pénitence comme nous l’exigeons : les mains croisées dans le dos, le nez dans l’angle de la pièce, silencieuse et immobile. Cela fait partie de la punition et tu as appris, non sans mal, à te faire oublier quand nous te mettons au coin.
    Je ne sais pas ce qui t’a pris. Cela faisait un bon moment que tu te tenais bien sagement en nous tournant le dos, quand tu as décidé de regarder ce qu’il y avait derrière toi. Il n’y a pourtant rien eu de particulier à ce moment-là. Je ne me rappelle pas de bruit ou de mouvement particulier. Toujours est-il que tu as tourné la tête.
    Nous ne pouvions pas laisser passer cela. C’était une désobéissance caractérisée, en enfreignant une des règles fondamentale que tu dois respecter quand tu es au coin. Nous ne voulions pas que tu reprennes tes mauvais comportements, ceux dont tu avais fait preuve lors de ton précédent séjour. Il fallait réagir tout de suite. Je l’ai fait.
    « Depuis quand as-tu le droit de tourner la tête quand tu es au coin ? »
    La question n’appelait pas vraiment de réponse. Tu ne t’y es pas trompée. Je t’ai fait faire demi-tour, sans vraiment te sortir du coin, en t’éloignant du mur, juste assez pour que j’ai la place de te fesser. Je t’ai prise sous mon bras. Je n’ai pas eu à te baisser la culotte, tu me portais que ton pantalon de pyjama et il était tombé sur tes chevilles durant les quelques minutes que tu avais passées en pénitence.
    Là, je t’ai donné une bonne fessée. Pas très longue. Des claques sèches, assez fortes, mais pas trop. Ce n’était pas nécessaire. Tu m’as laissé te punir, en criant ta douleur, mais sans esquisser le moindre geste de défense. C’était normal, tu savais que tu avais mérité cette fessée et il te fallait la recevoir pour que tu saches, une prochaine fois, à bien te tenir au coin. Ce n’était que justice.
    Ensuite, je t’ai remise au coin. Tu n’en as plus bougé jusqu’à ce que Maman t’autorise à en sortir et te dise de monter t’habiller. La leçon avait porté.

    Tu sais, Juliette, ce n’est pas une catastrophe si, de temps en temps, tu ne respectes pas une règle quand tu es à la maison. Mais il est alors normal que nous te donnions une bonne fessée, afin que tu te rappelles quelles sont les règles qui sont en vigueur ici. Tu dois apprendre à les respecter sans faute. Mais la fessée est là pour te rappeler à l’ordre quand c’est nécessaire. C’est pour ton bien et je sais que tu en es consciente.
    Papa Josip

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    1. Bonjour Papa,
      Je suis désolée pour cet oubli dans mon récit, je n'ai pas fait suffisamment d'attention. Si toi et maman, vous décidez de me punir pour cette faute, je n'ai rien à dire. Ca va certainement m'aider à faire plus d'attention.
      Je sais également j'ai pleinement mérité ta fessée quand je n'ai pas respecté les règles quand j'ai été mise au coin. En fait, le temps m'a paru longue et comme je manque de patience, j'ai tourné ma tête pour voir s'il y a une petite chance que maman pouvait me libère. Mais j'ai reçu une bonne fessée de ta part et tu m'as rappelé à l'ordre.
      Toutes mes fessées sont bien méritées.

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  2. Juliette,
    Comme cela t’a été un séjour profitable !
    Nous avions cinq domaines auxquels nous avons été particulièrement attentifs durant ces deux jours. Tu les as rappelés dans le premier récit que tu as fait de cette visite : l’obéissance, les gros-mots, la tenue au coin, l’orthographe et la grammaire et enfin la limitation du nombre de cigarettes.
    Si je compare avec le premier séjour que tu a fait à la maison, je ne peux que constater que tu as fait d’énormes progrès. Il n’y a rien eu à dire sur la cigarette. Tu n’en as fumé aucune. Tu avais mal à la gorge, ce qui a certainement aidé. Nous verrons cela la prochaine fois plus sérieusement. Il y a eu quelques ratés de ta part sur l’obéissance, les gros-mots et la tenue au coin, mais, à mon sens, rien de catastrophique. Une bonne fessée et tu as rectifié ton comportement.
    Rien que de normal. Nous n’attendons pas que tu réussisses tout du premier coup et nous sommes disposés à te fesser aussi souvent que cela sera nécessaire. C’est le rôle que nous avons accepté en t’accueillant ici.
    En ce qui concerne l’orthographe et la grammaire, tu as encore un long chemin à faire. Tu connais les règles qui s’appliquent, mais tu les ignore bien trop souvent. C’est ce que nous appelons des fautes d’inattention. Tu pourrais les éviter, si tu te concentrais un peu plus. Nous allons t’y aider, mais cela nécessitera certainement un bon nombre de fessées.
    Tu n’as pas mentionner, dans tes récits, que nous avons déjà prévu un point à rajouter lors de ta prochaine visite. Tu coupes la parole beaucoup trop souvent. Cela veut dire que quand une autre personne parle, tu ne l’écoutes pas. Tu crois que ce que tu as à dire est bien plus important que ce que d’autres peuvent dire. Nous te l’avons fait remarquer à plusieurs reprises durant ce séjour et nous t’avons promis une fessée à chaque fois que tu le feras, à l’avenir.
    Tu verras, cela t’aidera beaucoup à ne plus le faire, aussi bien quand tu seras avec nous que dans d’autres situations. Il faut que tu saches aussi que si tu n’écoutes pas quand les autres parlent et que nous sommes à l’extérieur, c’est là que tu recevras la fessée déculottée. Nous trouverons un endroit qui nous convient à Maman et à moi, nous te baisserons la culotte et nous te rougirons les fesses. Tant pis pour toi si d’autres personnes seront présentes. La leçon n’en sera que plus profitable.

    Ce qu’il y a de bien avec toi, c’est que les fessées sont très utiles. Elles te permettent d’améliorer ton comportement. Nous voyons bien, après avoir été punie pour une raison, au demeurant toujours légitime, que tu fais des efforts pour de ne pas recommencer. Cela ne marcha pas à tous les coups, mais tes progrès sont notables. Comme le fait une petite fille !
    Pour moi, mais je crois que c’est pareil pour Maman, quand tu es à plat ventre en travers de mes genoux ou que je te tiens courbée sous mon bras et que je t’ai baissé la culotte pour te claquer les fesses suffisamment fort et suffisamment longtemps pour que tu en éprouves la cuisson, c’est la petite fille que je punis.
    Évidemment, quand tu es déculottée, c’est un corps de femme que j’ai devant moi, comment en serait-il autrement avec des quarante ans passés ? Mais cette femme ayant eu un comportement enfantin, elle perd tous ses privilèges d’adulte et la fessée déculottée permet de te punir très efficacement et fort justement.
    Au vu des progrès que tu as faits en deux séjours à la maison, je suis certain que les fessées déculottées et les mises au coin que tu as vécues ici, t’ont été et te seront très profitables. Il y en aura assurément d’autres.
    Bisous,
    Au plaisir de te lire et de te revoir,
    Papa Josip.

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    1. Oui papa, j'ai oublié aussi mentionner que je t'ai coupé plusieurs fois tes paroles pendant que tu parlais. Maman m'a fait aussi la même remarque et je suis consciente de mon gros défaut. Mais je suis convaincue que une bonne fessée déculottée va certainement m'aider à corriger ce défaut, quelque soit à l'extérieur ou à la maison.
      Quand je viens chez vous, vous êtes comme mes parents et vous avez toutes prérogatives. Je ne serai certainement pas parfaite lors de mon prochain séjour, mais je vais essayer m'améliorer petit à petit.
      Merci papa, merci maman pour votre éducation et pour toutes vos attentions.
      Gros bisous,
      Juliette

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  3. Lorsqu’une charmante fille comme Juliette arrive pour ce “séjour d’éducation et discipline”, est-il convenable qu’elle s’habille toujours avec des pantalons? Le pantalon est toujours un obstacle pour se faire trousser et déculotter, combien mieux ne serait pas une robe ou une jupe pas trop longue…
    Félicitations pour le succès de votre magnifique projet et la salutaire discipline qui règne chez vous.

    Ludovic

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    1. Ludovic,
      Il est vrai qu'une robe ou une jupe ferait l'affaire pour donner une fessée à Juliette. Mais le port de ces vêtements devient de plus en plus rare.
      Cela dit, un pantalon ne me gêne pas. Il n'est pas plus difficile de faire glisser un pantalon le long des jambes que de retrousser une jupe ou une robe, surtout quand il s'agit d'un pantalon de survêtement qui n'est tenu à la ceinture que par un élastique.
      Nous avons discuté de ce point avec Juliette et comme elle n'a pas l'habitude de porter jupe ou robe, nous avons convenu qu'un pantalon de survêtement irait à merveille.
      Mais peut-être votre expérience dit-elle le contraire ?
      Bonne journée,
      Huguette

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    2. Le port d'un pantalon, relativement facile à baisser, n'a jamais été un obstacle pour déculotter un garçon, alors pourquoi le serait-il pour déculotter une fille ?
      Il me semble que comme le vêtement sera de toute façon baissé ou retiré au moment de la fessée, ça n'a pas grande importance. Chacun a certes ses préférences, mais selon moi, dès lors que la fessée s'inscrit dans la vie réelle et qu'elle n'est pas un "jeu", il est normal qu'elle se fasse dans les vêtements que porte le ou la punie au quotidien plutôt que de lui demander de s'habiller d'une certaine manière pour l'occasion. Cela dit, votre avis sur ce point m'intéresse.

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    3. AL,
      Je vous suis tout à fait sur cette analyse. Même s'il s'agissait de déboucler une ceinture, de défaire un bouton ou plusieurs, le résultat serait le même. A partir du moment où une fessée est méritée et que nous sommes dans la vie réelle, peu importe le vêtement porté. Il sera de toute façon baissé pour donner accès à la culotte qui, elle même, ne restera pas longtemps à sa place.
      Ce qui importe c'est que la fessée soit donné après avoir baissé la culotte, sans tenir compte du vêtement que le ou la punie portait par-dessus.
      Je parle, bien entendu, par expérience.
      Huguette

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    4. Je vous remercie vos réponses, Madame Huguette et A.L.
      Vos remarques sur la nature de la punition que vous administrez ne sont que très justes, et je crois bien que vous, Madame, faites preuve de la plus grande maîtrise au moment de déculotter le ou la punie, peu importe les vêtements qu’il/elle porte. J’étais simplement un peu surpris de lire dans ces récits que vous baissez pantalon et culotte à Juliette quand elle est déjà courbée sous votre bras, ce qui ne vous laisse qu’une main libre pour agir. La position sur les genoux ou sur un genou est plus aisée, d’autant plus qu’on peut préparer la fautive lorsqu’elle est encore debout devant vous.
      D’ailleurs vous me demandez pour mon expérience de la fessée, et je n’ai aucune raison pour vous cacher rien sur ce point. Je suis veuf depuis pas très longtemps, et durant ma longue vie en commun avec mon épouse nous avons pratiqué la fessée conjugale en mode switch. La nature de ces rapports était peut-être ludique, mais sans oublier pour autant les aspects punitifs, si importants pour l’équilibre de la relation entre deux personnes qui se doivent de l’amour et du respect.
      En tout cas nos fessées réciproques avaient lieu presque toujours le soir en l’intimité de notre demeure, et se déroulaient étant tous les deux en tenue de nuit. J’aimais surtout fesser ma compagne quand elle ne portait qu’une nuisette courte et fendue, alors que moi même était d’ordinaire corrigé en pyjama court d’été, qu’on peut facilement baisser même quand j’étais déjà sur les genoux de la fesseuse. Celle-ci me laissait souvent un bon moment au coin, avant de me pencher sur une table afin de me faire goûter le martinet ou la ceinture.
      J’espère, Madame Huguette, ne pas vous avoir ennuyé trop avec mes souvenirs, et aussi je veux m’excuser pour les fautes que sans doute je commis au cours de mes écrits en français. Je suis étranger, résidant hors de la France et, malgré mes efforts pour m’exprimer correctement, sans doute je recevrais presque autant de claques aux fesses que la charmante Juliette si vous deviez me soumettre à une preuve de dictée.
      Respectueusement

      Ludovic

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    5. Ludovic,
      A vous lire, je n'aurai pas deviné que vous n'étiez pas un locuteur maternel du français. Vous faites très peu de fautes d'orthographe et de grammaire, bien moins que de nombreuses personnes dont le français est la langue maternelle. Sans doute quelques tournures de phrases ne sont pas usitées en français, mais c'est tout ce que j'ai remarqué.
      Pour en venir à la position adoptée pour donner la fessée. Je la donne soit en allongeant le ou la punie à plat ventre en travers de mes genoux, soit en les courbant sous mon bras. Les deux positions me sont naturelles et je ne réfléchis guère pour prendre l'une ou l'autre.
      Sans doute, la position à plat ventre en travers des genoux est-elle plus solennelle et celle sous le bras plus spontanée. Je n'en suis pas vraiment sûre.
      Ce qui est certain, c'est que je n'éprouve pas plus de difficulté à baisser la culotte dans un cas, comme dans l'autre. Une main suffit largement pour le faire.
      Bonne soirée, mais peut-être, dans ce pays étranger, n'est-ce plus ou pas encore le soir.
      Huguette.

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    6. Bonjour Madame Huguette,

      Le vêtement, à mon humble avis, et la position de la personne qui va être corrigée participent au côté humiliant de la fessée, tant pour le garçon que pour la fille qui est punie. Personnellement, la seule fois où j'ai reçu la fessée , c'était à la fin des années 70, ne classe de 5è, un mercredi d'automne. Ce jour là, je feuilletais les catalogues de mode de ma Maman (style La Redoute, 3 Suisses et alt...) dans ma chambre quant Maman est entrée pour m'apporter des affaires repassées. Surpris, j'ai refermé les dits-catalogues avec le rouge aux joues. Je tentais de me justifier mais en vain, Ma maman, qui était de l'ancienne génération, avec des valeurs d'éducation simples mais strictes, m'a grondé et elle s'est assise au bord de mon lit. Puis, elle m'a fessé , avec mon pantalon en velours aux chevilles, en travers de ses genoux, sur sa jupe écossaise plissée. Ce vêtement féminin, typique, m'a marqué car par la suite , je l'ai associé féminin, à la sévérité maternelle !!! Et ma position en travers de ses genoux me semblait infantilisante au maximum. De plus, cette unique fessée déculottée reçue de ma maman a marqué mon adolescence et, à la suite de cette fessée, mon rapport avec les femmes. Depuis, les femmes qui portent parfois des jupes plissées (assez rarement, me semble t-il) me ramènent invariablement à ce épisode émouvant de ma jeunesse. Mais avec le temps, je ne lui en ai pas voulu. Une maman fait tout pour protéger ses enfants . Comme une bonne maman ourse !!!
      Mac-Miche.

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    7. Mac-Miche,
      Tout d'abord vous redire qu'en aucun cas, quand je donne une fessée, je cherche à humilier le ou la punie. Une fessée est une punition, visant à solder la faute commise ayant un caractère enfantin (désobéissance, imprudence, insolence...) et à inciter la personne que je fesse à ne pas recommencer. S'il s'agit, surtout pour un adulte, de régression en lui faisant perdre toutes les prérogatives d'un adulte, il ne saurait être question d'humiliation. Si la personne punie me laisse le corriger, c'est bien parce qu'elle a le sentiment qu'elle l'a mérité et qu'elle en a besoin. Je suis désolée d'insister, mais cela me semble un point essentiel qui place la fessée punitive donnée à un adulte à l'opposé du SM.
      Baisser la culotte est donc essentiel et quels que soient les vêtements que porte la personne punie ou celle qui donne la fessée, le résultat est le même.
      Je ne crois donc pas qu'il y avait intention, de la part de votre mère, de vous humilier, mais surement de vous administrer une leçon salutaire que vous n'oublierez pas de si tôt. Je crois qu'elle a réussi.
      Bonne journée,
      Huguette

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    8. PS : quel pseudonyme ! Venant du roman "un bon petit diable" de la comtesse de Ségue, si je ne me trompe pas.
      Huguette

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    9. Bonjour Madame Huguette,

      Je vous remercie beaucoup d'avoir pris le temps de lire mon message, en dépit de vos occupations. Vous êtes une personne bienveillante et protectrice envers votre entourage. J'ai toujours ce caractère calme, docile et rêveur, et ce malgré mon âge (58 ans). J'avais l'impression sur le moment de braver un "interdit maternel" en feuilletant ses catalogues de mode. Avec le temps, je comprend mieux sa réaction qui fut guidée par l'angoisse. Une angoisse qui était justifiée par des raisons médicales, un peu longues à justifier ici. Je me dis que parfois, je mériterais quelques fessées... Mon pseudo , je l'ai utilisé, en souvenir du fameux roman de la Comtesse de Ségur daté de 1865 que ma maman m'avait offert pour un de mes anniversaires. Elle avait fait sa scolarité chez les Religieuses. J'ai encore en mémoire ce qu'elle nous disait quant elle devait nous punir " Je fais comme la tante du Bon petit diable : Qui aime bien châtie bien". Et de nous trois, je suis peut-être le seul qui en a gardé un souvenir aussi émouvant. Merci encore pour votre sagesse, madame Huguette. Je vous souhaite un agréable week-end.
      Mac-Miche.

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    10. Mac-Miche,
      Vous regardez, a postériori, les fessées maternelles avec nostalgie. C'est bien normal, surtout après avoir pris conscience que ces fessées étaient méritées et nécessaires, mais ce n'était sans dote pas le cas sur le moment.
      Cela dit, je ne comprends pas bien. Vous avez dit, dans un de vos précédents courriels, que vous n'aviez reçu qu'une seule fessée. Dans votre dernier message, j'ai l'impression que vous parlez des corrections maternelles comme une habitude familiale à laquelle recourrait votre mère.
      Qu'ai-je mal compris ?
      Huguette

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    11. Bonjour Madame Huguette,

      Dans mes précédents messages, par "recevoir qu'une seule fessée" , je voulais dire qu'une seule fessée déculottée cette fois-là où elle m'a surpris à parcourant les pages lingeries de ses catalogues. Sinon, Maman m'a fessé quelques fois sur le pantalon deux ou trois tapes fermes pour me faire comprendre "qu'à la maison, c'est toujours Maman qui commande". Je ne cherchais jamais à éviter la fessée car je me disais qu'elle avait surement une bonne raison de la donner. Cependant, ma plus grande crainte pendant toute ma jeunesse fut de perdre son amour maternel après cela. Malgré mes absences en classe , je restais dans la moyenne des élèves pour ne pas ajouter l'échec scolaire à ma mauvaise santé. Les fessées sont des marques d'amour , en dépit de la douleur provoquée , d'où il est vrai cette "nostalgie " de la puissance maternelle, chez moi. Maman ne nous fessait que rarement, car elle avait un fort caractère avec un brin d'autorité. Et cette autorité naturelle qui était pour moi très rassurante.
      Je pense avoir éclairci mes propos. Je vous remercie pour votre attention et je vous souhaite une agréable fin de journée.
      Mac-Miche.

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    12. Bonjour Mac Miche,
      Dans votre commentaire ci dessus, j'aime bien votre phrase "les fessées sont des marques d'amour". C'est vrai que quand j'ai reçu les fessées de papa et maman, même quelques fois les fessées étaient sévères mais j'ai ressenti surtout leur amour, leur attention. C'est une énorme chance d'avoir autant d'amour et de me considérer comme leur propre fille.
      Je ne sais pas si vous avez l'attention de rencontrer Maman Huguette.
      Bonne soirée.
      Juliette

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    13. Mac-Miche,
      Effectivement, avec ces dernières précisions, c'est plus compréhensible.
      Je pense que cette fessée déculottée reçue quand vous deviez avoir environ onze ans, vous a marquée. C'était sans doute ce que voulait votre mère en vous baissant la culotte. Donner une fessée déculottée à cet âge-là a été un choix éducatif très fort de la part de votre mère. Il était certainement nécessaire.
      Vous n'avez probablement jamais recommencé cette bêtise. Si c'est la cas, c'est que la fessée maternelle avait porté ses fruits.
      J'attends votre réponse,
      Huguette

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    14. En réaction aux commentaires de Mac Miche et de Juliette,
      Effectivement, je ne me vois pas déculotter et donner la fessée à une personne qui me serait indifférente. Quand je prends le temps de punir, c'est que ce que va devenir cette personne, comment elle se comporter à l'avenir m'importe. Autrement, il ne s'agirait que de mauvais traitement.
      C'est le but de toutes les fessées que je donne. Elles ont pour objectif de faire comprendre à celui ou celle qui le reçoit, qu'il ou elle a dépassé les limites permises et que cela me semble assez important pour que je le ou la punisse.
      D'ailleurs, c'est assez efficace. Il n'y a qu'à voir comment Juliette fait maintenant attention quand elle écrit. Pas une seule faute dans son dernier commentaire !
      Huguette.

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    15. Bonsoir Madame Huguette,

      Je réponds à votre question.
      Malgré cette fessée maternelle qui fut quelque peu cuisante pour mon épiderme et mon égo, j'ai refait la même bêtise, aussi souvent que possible, je vous l'avoue. En cachette de ma mère, quant elle s'absentait avec mon père pour faire les courses, je me glissais dans sa chambre et je piquais ses catalogues pour feuilleter tranquillement les pages mode et lingerie sur mon lit. Et dès que je l'entendais rentrer, je faisais le chemin inverse. Je pense que, comme toute bonne maman qui se respecte, elle n'était pas dupe mais elle ne m'en a jamais fait le reproche. Je dois préciser que j'étais très complexé par mon physique filiforme, vis à vis des filles de mon âge. Ses catalogues sont devenus pour moi le moyen de découvrir les femmes, d'une manière très sage. Les pages de prêt-à-porter féminin avaient pour moi une portée symbolique forte, et en particulier les jupes longues plissées portées par toutes ces jeunes mannequins. Et j'ai associé ces pièces de la garde-robe féminine à la rigueur féminine et, donc à la fessée maternelle. Ma jeunesse, à l'image du héros de ce roman de la comtesse de Ségur, me poussait, à chaque fois qu'elle s'absentait, de la maison à "braver la consigne maternelle" et à m'adonner à mes "découvertes ". Malgré le risque d'être sévèrement fessé à nouveau... On ne se refait pas. Je vous remercie beaucoup, Madame Huguette, pour votre attention et je vous souhaite une agréable soirée. Mac-Miche

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    16. Mac-Miche,
      Si je comprends bien, votre seule et unique expérience avec la fessée se borne aux corrections reçues par votre mère, dont une seule a été déculottée.
      Huguette

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    17. Bonjour Madame Huguette,

      En effet, mon expérience de la fessée est basée pour moi sur les quelques corrections que ma maman m'a donné à l'occasion de quelques "bêtises" que j'avais faite et qui, après coup, me faisaient culpabiliser de mon comportement. Malgré ses "saines colères" , je ne lui en voulais pas d'avoir été sévère avec moi. Mais pendant toute ma jeunesse, j'ai angoissé à l'idée de perdre cet amour maternel à la suite de ses punitions reçues, même si elles ont été assez rares. Pour le jeune garçon timide et complexé que j'étais, cette sévérité féminine m'a fortement marqué et influencé ensuite dans mon rapport avec les femmes dans mon entourage. Et même encore aujourd'hui. Je vous remercie beaucoup pour votre attention et je vous souhaite, Madame Huguette, une agréable journée. Mac-Miche

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  4. Bonjour a vous,
    Madame Huguette, Monsieur Josip et autres lecteurs de ce blog. Je me présente Maëlle, je suis actuellement agée de 14 ans et je suis tombée sur ce blog à l’occasion de recherches internet pour me cultiver. Quand j‘ai commencé à lire, je n‘ai pas trouvé cela bien mais maintenant je pense comprendre et même approuver cette méthode purement éducative. J’aurais quelques questions mais je tiens à m’excuser si je n’avais pas le droit d‘être sur ce blog et je le quitterais directement après si l‘on me le demande.
    Toutes mes plus sincères salutations,
    Maëlle

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    1. Maëlle,
      Ce blog n'est, en effet, pas destiné aux enfants. Je ne pourrai donc pu publier vos prochains messages.
      Désolé,
      JLG

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