lundi 5 février 2024

Donner la fessée déculottée en extérieur, d'une possibilité à l'évidence

Cet article est la suite de celui où j’ai entamé d’expliquer comment et pourquoi Huguette a commencé à me donner la fessée déculottée en extérieur, ce que j’en ai ressenti et ce que j’en pense. J’ai essayé d’être honnête et de relater les faits tels qu’ils se sont produits. Par contre, il est évident que les explications fournies et les sensations décrites le sont après que soit passé un long moment, plusieurs années pour certains événements. C’est donc le résultat d’une réflexion et d’une prise de distance, et non d’une impression prise sur le vif.

Je vous assure que tout ce qui est exposé s’est réellement produit, mais vous devrez me croire sur parole, à moins de venir le vérifier sur place, bien évidemment, ce qui est possible. Il y aura prochainement un troisième volet.


Il y eut, suite à cette première fessée que j’avais reçue en extérieur, plusieurs mois pendant lesquels ma compagne ne recourra plus à la fessée, du moins quand nous étions en dehors de la maison. Sans doute ne lui en donnais-je pas de motif, mais surtout, à chaque fois qu’elle m’en menaçait, parfois à voix haute et à proximité d’oreilles étrangères, je cédais tout de suite. Ses « Josip, tu veux une fessée ? » me ramenaient, sans délai, à une obéissance scrupuleuse. Souvent, elle poursuivait en me promettant une correction dès notre retour à la maison. Elle tenait toujours ses promesses. Je ne reçus donc que des fessées à la maison.
Puis la covid et son premier confinement s’invitèrent dans nos vies, comme dans celles de tous nos concitoyens. Il n’était plus question, pour moi, de me rendre chez elle. Je fus sevré de fessées, que ce soit en intérieur ou en extérieur.
Je n’avais, cependant, pas oublié la fessée qu’elle m’avait donnée en extérieur. J’y pensais fréquemment comme la punition ultime, celle que je voulais éviter à tout prix, non pas en l’empêchant de me la donner, mais en faisant en sorte que mon comportement ne l’oblige plus jamais à y recourir. Je ne sais pas si elle y pensait. Ses avertissements semblaient des sommations sérieuses et j’évitais de tester sa résolution à me punir une autre fois de la même façon.
Je pus de nouveau revenir chez elle après le confinement et, les beaux jours arrivant, nous visitâmes la région que je ne connaissais pas, mais qu’elle ne connaissait que très peu.


Nous circulions en voiture et je découvris de nouvelles exigences de sa part. Elle m’imposait, entre autres, de respecter scrupuleusement le Code de la route, en particulier les limites de vitesse. J’estimais que, généralement, je ne conduisais pas plus vite que ce qui était autorisé. Je me servais abondamment du régulateur de vitesse pour le faire. Mais il est vrai que, parfois, lorsque la route est en descente, il m’arrivait de dépasser la vitesse autorisée, entraîné par la masse de la voiture. Cela ne me semblait pas important, mais Huguette ne l’admettait pas.
« Josip, ta vitesse, grondait-elle ! »
Et quand elle devait se répéter, elle m’avertissait.
« Josip, est-ce que tu veux qu’on s’arrête sur le bord de la route ? »
Certes, c’était une menace concrète, mais comme elle ne le faisait jamais, je n’y croyais pas vraiment.


Ce jour-là, nous revenions de faire quelques courses. Huguette m’avait quelques remarques sur ma conduite à l’aller, mais rien de très important. Sur le chemin du retour, j’avais mis, comme habituellement, le régulateur de vitesse, mais je n’ai pas fait attention à la vitesse légèrement excessive que prenait la voiture dans une descente. Cela n’avait pas échappé à Huguette.
« Josip, ta vitesse ! Tu veux une fessée ? »
Je ralentis la voiture, mais quelques kilomètres plus loin, j’abordais l’entrée dans un village au-dessus des cinquante kilomètres par heure qui sont d’usage dans ce cas.
« Josip, on va s’arrêter et tu vas prendre une fessée ! »
Je rectifiais ma vitesse et je me tins sur mes gardes. Les deux avertissements avaient été très rapprochés. Allait-elle passer à l’acte ? Nous passâmes devant un endroit où il y avait de la place pour arrêter la voiture, sans qu’elle ne dise rien. Puis devant un deuxième. Toujours rien. Je commençais à me détendre. Comme les fois précédentes, ses menaces resteraient lettre morte, me suis-je dit.
C’est un sortant du village suivant que les choses se gâtèrent. La route descendait et j’avais oublié les deux précédents avertissements. La voiture prit de la vitesse… et elle dépassa les cinquante kilomètres heure.
« Josip, est-on sorti du village ? »
Au ton qu’elle avait adopté, je compris tout de suite que j’étais de nouveau en faute.
« Non, pas encore.
– Et à quelle vitesse roulais-tu ?
– Pas très vite, je…
– À quelle vitesse roulais-tu ?
– Un tout petit plus de cinquante ?
– Cinquante-sept au compteur de ta voiture, ce qui fait cinquante-trois dans la réalité. Est-ce autorisé ?
– Non.
– Cela fait trois fois que je te le dis depuis que nous sommes partis du magasin. Nous allons nous arrêter ! »
Je tournais la tête pour le regarder et je vis tout de suite qu’elle était fâchée et que sa décision était prise. J’allais avoir la fessée qu’elle m’avait promise. Je n’avais plus qu’un espoir, c’était de ne pas trouver un endroit qui lui convenait pour stopper la voiture et me donner une fessée. De toute façon, au mieux, j’en recevrai une dès notre retour à la maison, mais c’était un moindre mal.
Je passais devant l’entrée d’un petit bois qui aurait convenu, mais, sans consigne de sa part, je continuais ma route.
« Josip, nous aurions pu nous arrêter là. Pourquoi ne l’as-tu pas fait ?
– Je ne savais pas.
– Je vois. Roule moins vite ! »
Je ralentis. Quelques kilomètres plus loin, la consigne redoutée arriva.
« Tiens, ici, ce sera parfait ! »
Elle me montrait l’entrée d’un chemin, bien trop dégagée à mon goût.
« Arrête-toi ! »
Que faire d’autre ? J’engageais la voiture sur le chemin de terre, cherchant à aller le plus loin possible. Cela ne lui échappa pas.
« Stoppe la voiture ici ! Coupe le moteur ! »
Je m’exécutais. Elle sortit de la voiture et en fit le tour. Elle ouvrit la porte de mon côté.
« Tu sors ! »
Elle me prit par la main et elle m’emmena, à sa suite, juste devant la voiture. Certes, le véhicule faisait un peu obstacle à la vue que des automobilistes, venant du village et passant sur la route, pourraient avoir sur nous, mais mes quelques tentatives, pour lui demander que nous nous dissimulions un peu plus, se soldèrent par un refus de sa part.
« Deux fois que je te préviens ! La troisième est de trop ! Maintenant, tu vas avoir une fessée et je vais te déculotter ! »
Malgré mes protestations, elle déboucla ma ceinture et déboutonna mon pantalon. Je ne cessais de regarder autour de nous pour vérifier qu’il n’y avait effectivement personne qui pourrait nous voir, surtout moi, une fois ma culotte baissée. Mon inspection fut écourtée. Ma compagne me courba sous son bras. Je ne résistais pas, malgré la boule qui s’était formée au creux de mon estomac. Je n’aurais pas osé. Cela faisait partie de ses prérogatives. Dans cette position, j’avais une vue imprenable sur les champs qui nous entouraient, mais je ne voyais plus du tout la route.
Je sentis sa main qui écartait mon pantalon et le faisait glisser jusqu’en dessous de mes genoux. J’eus le bref espoir qu’elle s’en tiendrait là, mais non. Ses doigts se glissèrent sous l’élastique de ma culotte et ils la baissèrent, la faisant descendre jusqu’à mes genoux. La sensation de fraîcheur que je ressentis, sur le haut de mes cuisses et sur mon postérieur, fut de courte durée.
Sa main tomba sur mes fesses, d’un côté, puis de l’autre. C’étaient des claques sèches, pas des plus fortes au regard de ce que j’avais pu recevoir en permanence, mais je n’avais qu’une hâte, c’était que la fessée finisse. Entre deux éclats sonores de sa main sur mes fesses, j’écoutais pour entendre si un bruit annonçait l’arrivée d’une voiture. Il n’en fut heureusement rien. La route n’était pas très fréquentée à cette heure-là. C’était sans doute pour cela qu’elle avait choisi cet endroit.
Ce ne fut pas une grosse fessée, ni par la rigueur des claques que ma compagne faisait tomber sur mes fesses, ni par sa durée, mais cette correction me fit comprendre que ma compagne n’admettait pas ma désinvolture quand je conduisais. Je me croyais à l’abri d’une fessée tant que nous serions en route, mais je devais bien constater que ce n’était pas le cas.
Elle me relâcha et me redressa devant elle. Elle ne jugea pas opportun de me remonter la culotte tout de suite. Je craignais toujours l’arrivée d’un autre véhicule qui n’aurait sans doute pas eu de doute sur ce qui venait de se passer, bien que rien ne s’annonçât jusqu’au virage où portait mon regard.
« Est-ce que cette fessée t’a suffi ?
– Oui Maman !
– La prochaine fois que tu dépasses la limite de vitesse, je recommencerai. Une fessée déculottée sur le bord de la route. Est-ce bien compris ?
– Oui Maman ! »
Alors seulement, elle remonta ma culotte, puis mon pantalon.
« Reboutonne ton pantalon, nous repartons ! »


Je fis très attention durant le reste du trajet à bien contrôler la vitesse à laquelle je roulais. Je n’avais plus aucun doute. Si mon comportement aurait déplu une nouvelle fois à ma compagne, elle n’aurait très probablement pas hésité à me demander d’arrêter la voiture et à me donner une autre fessée déculottée, peut-être dans un lieu plus passant. Je n’arrivais pas à croire qu’elle pourrait me baisser la culotte en public, mais pouvais-je en être sûr ?
Le reste du week-end, bien que nous ayons encore circulé en voiture, je fis très attention à ma vitesse. La leçon avait porté ses fruits. Je ne tenais pas à être, de nouveau, déculotté et fessé sur le bord de la route, au risque que d’autres personnes puissent me voir dans cette situation si peu en accord avec mon âge. Je restais concentré, plus aucune désinvolture.


Je reconnaissais bien, dans cette méthode, les principes d’éducation que m’inculquait ma compagne. Aurais-je dû et pu contester ? Je n’en avais pas vraiment envie et je n’en ressentais pas le besoin. Nous étions d’accord tous les deux pour qu’elle assume le rôle d’une maman avec moi et qu’elle en ait toutes les prérogatives. Nous n’avions pas abordé formellement la question de la fessée en extérieur, mais si elle l’avait fait, c’est parce qu’elle avait estimé, à ce moment-là, que je l’avais mérité et que c’était la meilleure façon de me faire comprendre combien ma légèreté au volant m’amenait à être imprudent. Je dois reconnaître que cette punition a été très efficace. Certes, j’ai de nouveau roulé au-delà de la vitesse autorisée, mais quand je m’en rendais compte, j’ai ralenti et je m’en suis senti coupable, bien content que ma compagne ne soit pas là ou qu’elle ne l’ait pas remarqué. Je savais que si elle m’avait pris sur le fait, j’aurais eu, sur le champ, une autre fessée déculottée. Cette correction avait eu un effet indéniable, je dois en convenir.
Cette fessée a été déterminante pour la suite de notre relation. Ses exigences ont monté d’un cran, se rapprochant encore plus de ce qu’une Maman pouvait exiger de son garçon. À chaque fois que je ne me montrais pas à la hauteur de ses demandes, j’avais une fessée. Je savais maintenant qu’être à l’extérieur de la maison ne m’en protégerait pas. Le détachement que je ressentais lorsque nous n’étions plus à la maison, qui s’apparentait parfois à de l’effronterie, disparut. Je fis bien plus attention à mon comportement, ce qui ne m’évita pas de recevoir quelques autres fessées déculottées en extérieur.

JLG


La troisième partie 


Vous voulez aller plus loin ?

Je serai ravie d'échanger avec des personnes partageant une vision proche de la mienne en matière d'éducation des adultes en recourant à la fessée déculottée. Si la rencontre avec une personne de sexe masculin semble en bonne voie, il n'en est pas de même avec des personnes de genre féminin. Appel donc à des candidates.

Si le cœur vous en dit, n'hésitez pas à me contacter, dans les commentaires ci-dessous dans un premier temps. Après quelques échanges, nous pourrons décider si nous voulons aller plus loin. 


8 commentaires:

  1. J'admire la détermination d'Huguette à ne reculer devant aucune raison de punir quel que soit le lieu. Quant à vous, Josip, le fait que vous mettiez un point d'honneur à vous plier aux instructions de votre compagne malgré d'éventuelles réticences à être fessé hors de la discrétion de votre maison vous honore.

    Je suis intéressée par le cheminement de vos pensées : comment en êtes-vous arrivé, intérieurement, à pleinement accepter de la fessée en extérieur, malgré le risque d'être entrevu et la gêne évidente ?

    S'il est clair que cela vous enjoint à mieux vous comporter à l'extérieur, dans quelle mesure pensez-vous qu'être fessé immédiatement après l'incident ait un réel intérêt en terme d'efficacité plutôt que d'attendre d'être rentré chez vous ?

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    1. Bonjour, A.L.
      Vous serait-il possible d'attendre encore un peu la réponse aux questions que vous posez ? Dans le troisième et dernier volet de cette question, je devrai répondre à vos interrogations, c'est du moins l'ambition que j'y ai placée. Il ne devrait pas être publié demain, mais après-demain.
      Il y a besoin d'un assez long développement pour arriver à expliquer mon cheminement er mes ressentis. Cela nécessite tout un article.
      Si, suite à la publication de l'article qui va s'appeler "la fessée déculottée en extérieur, une punition efficace" vous avez encore des questions, dans la mesure où je peux y répondre, je tenterai de satisfaire votre curiosité.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    2. Je vous remercie pour votre réponse. C'est parfait ainsi, je patienterai volontiers et me réjouis d'ores et déjà à la perspective de découvrir vos ressentis sur cette question.

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  2. dominique

    vous l'avez mérité cette fessée à l'extérieur josick. huguette a eu raison de vous punir pour cette excés de vitesse.
    il vaut mieux prendre une sévère fessée que provoquer un accident ou prendre une contravention
    durant mon adolesence j'ai reçu une fessée par une monitrice en camp de vacances le long du blavet pour désobeissance et manque de respect envers cette dame. cette fessée était méritée puisque j'ai été impoli et grossier envers cette dame.
    ensuite j'ai reçu une autre fessée a la main et au martinet par ma mére quand cette monitrice à annoncé mon comportement odieux durant ce camp de vacance.
    aujourd'hui adulte'1m65 65kg 62ans) de la région de quimper au comportement enfantin parfois comme un vilain garçon désobeissant et vu les compétences de maman huguette en matiére d'éducation en lisant votre blog huguette peut m'admisnistrer de cuisantes fessées réelles si elle le souhaite comme une mére de famille qui éduque son propre garçon pour ses fautes commises
    je veux dire une vraie fessée familiale pour vraiment punir et non pour jouer.
    au plaisir de vous lire

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    1. Dominique,
      Je sais que j'avais mérité cette fessée et je ne me plains pas qu'Huguette me l'air donnée.
      Pour information, mon prénom est Josip et non Josick.
      En ce qui concerne la fessée que vous méritez pour votre comportement, je laisse Huguette vous répondre.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG

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    2. Dominique,
      Vous faire venir ici peut s'envisager. Il me faut, cependant, plus de précision.
      Quelle est votre expérience en matière de fessée ? L'avez-vous reçue ? Quand vous étiez enfant, adulte ? Par qui ? Etait-ce des fessées déculottées ? A quelle fréquence ?
      Dites-moi tout ce qui peut me renseigner sur ce sujet.
      J'attends votre réponse.
      Huguette

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    3. BONJOUR HUGUETTE
      JE vous ai envoyé des précisions par votre boite mail , mais celle ci me montre que votre adresse est invalide
      jDOMINIQUE

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    4. Dominique,
      A quelle adresse courriel avez-vous envoyé le message ?
      J'attends votre réponse
      Huguette

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