vendredi 23 février 2024

Séjour d’éducation et de discipline chez papa et maman le vendredi 16 février

Deuxième séjour de Juliette à la maison. Il y a eu, hélas, quelques fessées !

Suite à la première visite chez papa Josip et maman Huguette, comme je suis d’origine chinoise, j’ai proposé de venir le week-end du 16 février, car c’était la période du Nouvel An chinois et je souhaitais leur faire découvrir les plats chinois et ainsi leur souhaiter une bonne année du dragon.


Vendredi le 16/02 12h00

Je suis arrivée à la maison, c’était maman qui m’a accueillie. Toujours très chaleureuse. Papa était absent, mais maman me dit : « Il va rentrer dans une heure ». Nous avons parlé de tout et de rien en attendant que papa revienne à la maison. Maman et moi, nous sommes très contentes de nos retrouvailles après ma première visite.

« Bonjour Papa ! »

Quand papa est revenu à la maison, je suis heureuse de le voir et il me fait un grand sourire. Nous dînons ensemble. Pendant le repas, j’ai dit deux fois le mot « chiant » et maman m’a fait remarquer que le mot « chiant » est un gros mot qu’il ne faut pas dire. Comme je toussais un peu, à la fin du repas, maman m’a proposé une tisane avec du miel.

C’était prévu que maman et moi allions à la piscine après le repas. Pendant que je prenais la tisane, on discutait de la piscine et j’ai dit :

« Quelquefois les deux dames nagent côte à côte en parlant ensemble et c’est chiant ! »
Je me suis aperçue tout de suite que c’est la troisième fois que j’ai dit ce mot « chiant ». Le pire, c’est le mot « Mxxxx » est sorti de ma bouche même sans réfléchir. Maman était en colère.
« Va au coin ! immédiatement ! »
Je me suis levée sans aucune résistance, c’était de ma faute, et je sais que maman avait été déjà très tolérante avec moi. Je suis restée au coin sans faire du bruit et j’ai vraiment regretté mes gros mots. Après quelques minutes au coin, maman m’a demandé de me tourner. Elle a pris ma main et m’a dirigée vers la table, elle m’a questionnée :
« Est-ce que je n’ai dit pas de gros mot à la maison ? »
« Oui maman ! »
« Alors, tu vas avoir une fessée ! »
Elle m’a prise sous son coude, mon pantalon et ma culotte ont été baissés en même temps, sa main a déjà commencé tomber….
« Aïe, Aïe, Aïe ! »
Mes fesses commençaient à sentir la chaleur monter de plus en plus, mais je ne me suis pas plainte, j’avais bien mérité cette fessée et je n’avais rien à dire.
Peut-être maman a pensé que nous allions à la piscine et c’était mieux de ne pas avoir les fesses trop rouges (sourire…) ? La fessée n’a pas duré très longtemps. J’ai été renvoyée au coin et quelques minutes après, maman m’a libérée de ma pénitence.

Avant partir à la piscine, papa m’a arrêtée et m’a posé une question avec un ton sévère.
« Tu sais, Juliette, il y a cinq objectifs pendant ton séjour ici. Ce sont lesquels ? »
Avec papa, hors de question que je rigole.
« Désobéissance »
« Oui, il n’y a que celle-là ! »
Papa m’a regardé.
« La dictée »
Je cherche très vite dans ma tête.
« Oui, tes écrits en français »
« La mise au coin »
« Oui, quoi d’autre ? »
Papa utilisait ses doigts pour compter les points que je devais citer.
« Pas de gros mot »
« OK, très bien ! »
« Et le nombre de cigarettes, pas plus de cinq par jour ! »
« Ok, Juliette, tu sais qu’on va travailler sur ces cinq objectifs et si tu n’atteins pas ces objectifs, ça sera une fessée ! »
« Oui, papa ! »
Je n’ose pas défier papa, car je me rappelle encore très bien de sa dernière fessée.

Ensuite, maman et moi nous sommes parties dans un centre aquatique et nous avons passé un super moment ensemble. Natation, jacuzzi et plein de massages dans l’eau. (surtout, j'ai bien profité le jet d’eau pour masser mes fesses). Je me suis bien amusée avec maman. J’ai voulu rester plus long temps à la piscine, car dans ma petite tête, plus tard, je rentrerai à la maison, plus de chance avais-je d’échapper à la dictée, exercice que je déteste. Mais maman, elle, a lu dans mes pensées et elle m’a dit :
« Juliette, on va rentrer, comme ça, tu vas faire ton devoir de dictée avec papa ! »
Rien qu’avec cette phrase, je sens déjà que la fessée de papa ne serait pas loin.


17H30
Nous sommes rentrées, sans perdre une minute, maman m’a dit :
« Papa va te faire une dictée ! et je vais sortir les chiens »
« Oui maman ! »
Même si je ne suis pas si volontaire que cela. Papa a déjà tout préparé, le stylo, les feuilles, et surtout le texte.
« On commence, et celui-là est un texte simple, correspondant au niveau 3ème »
Je prépare mon esprit, je connais la conséquence d’une dictée pleine de fautes. Je suis donc restée très concentrée. Après quelques minutes, pendant la dictée, maman est rentrée à la maison, elle était contente de voir que je travaillais avec papa, pour mon français.
La dictée est terminée, j’ai tout revérifié avant de donner la feuille à papa. Il a mis de la couleur rouge pour corriger et heureusement, il n’avait pas beaucoup de fautes.
« Ouf… ». J'étais stressée et j’ai repris mon souffle. Je n’ai pas eu de fessée cette fois.

20H
Papa et maman ont bien aimé mes plats chinois. Papa était super doué pour décortiquer le canard laqué, nous avons discuté de tout et de rien, l’ambiance était super sympa, j’ai vite oublié qu’il y a toujours la discipline dans cette maison.

22H.
« Juliette, je monte avec toi et tu vas prendre une douche ! »
« Oui maman »
J’étais très contente de notre soirée et j’obéissais tout de suite. J’ai préparé mon pyjama, je me suis déshabillée devant maman, j’étais toute nue comme une petite fille. Maman m’a accompagnée jusqu’à la cabine de douche. Elle est restée à l’extérieur, mais la porte de douche n’était pas totalement fermée. Elle a regardé scrupuleusement comment je me suis lavé les cheveux et comment je me suis lavé le reste de mon corps.
« Juliette, mets ta main dans le gant ! »
« C’est pareil, maman ! »
En fait, j’ai remis un peu de gel douche sur le gant pour laver mes jambes, mais je n’ai pas voulu m’embêter à remettre ma main dans le gant.
« Si, tu vas mettre ta main dans le gant ! »
« Oh, maman, regarde, je fais pareil ! » J’insiste.
« Tu vas prendre une fessée si tu continues à te laver comme ça ! »
Je trouvais que maman exagérait un peu et j’ai continué mes caprices.
« Regarde maman, c’est vraiment pareil ! »
« Ok, tu vas prendre une fessée quand tu vas sortir ! ça suffit ! »
J’ai fini ma douche, maman a pris la serviette et elle a essuyé mes cheveux, mes bras, le haut du corps. J’ai vu que maman avait du mal à se baisser, j’ai donc proposé d’essuyer le bas du corps moi-même. Nous sommes retournées dans la chambre, j’ai mis le haut de mon pyjama et maman m’a dit :
« Ce n’est pas la peine de mettre le pantalon. Tu vas avoir une fessée ! »
Elle était assise au bord du lit, sans discuter, je me suis mise à plat ventre sur ses genoux. Les claques ont commencé à tomber :
« Aïe ! Aïe ! Aïe ! »
« Quand je dis quelque chose, tu m’obéis, c'est tout ! »
« Mais c’est pareille maman, insistais-je ! »
« Tu vas voir si c’est pareil »
Maman a haussé le ton, mais aussi augmenté l’intensité et la force des claques qui atterrissaient sur mes fesses. J’ai commencé à me tortiller dans tous les sens, mes fesses sont de plus en plus chaudes, maman était fâchée.
« Maman ! Maman, criais-je ! »
« Tu as compris maintenant, m’a demandé Maman ? »
« Oui, maman, ai-je répondu tout de suite ! »
« Tu vas au coin ! Et tu vas y réfléchir pendant que je fais une tisane pour toi ! »
« Oui, maman ! »


Nous sommes descendues au salon, je suis allée au coin sans faire du bruit, car si maman demandait à papa de me donner une fessée, ça ne serait pas pareil ! J’y suis restée très sage. Comme je toussais, maman m’a préparé une tisane et ensuite, elle m’a libérée du coin.
« Dis bonne nuit à papa ! »
« Bonne nuit papa ! »
« Bonne nuit Juliette ! » Papa était déjà au lit.
Maman est montée avec moi dans la chambre. Elle m’a fait des câlins que j’adore.
« Bonne nuit ma Juliette ! »
« Bonne nuit maman ! Dors bien, tu as l’air épuisée »
« Oui, je suis fatiguée, et demain matin pas avant 9h, d’accord ? »
« Oui maman ! »
Elle m’a fait un gros bisou et j’étais très contente de ma journée.



Le précédent récit



 

 

6 commentaires:

  1. Bonjour Juliette,
    Je constate que ton dernier séjour chez Maman Huguette et Papa Josip a été riche en correction pour tes petites fesses !
    En ce qui me concerne je regarde mon agenda afin de pouvoir faire un nouveau séjour chez Tata Huguette et Josip.
    Du coup, et si tu en étais d'accord, à voir également avec Huguette et Josip, je me disais que nous pourrions peut-être essayer de venir au même moment ?
    Je serai en effet curieux de te voir recevoir la fessée déculottée !
    Dites moi ce que vous en pensez ?
    Bises à tous, Arno

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  2. Un récit touchant par sa sincérité et sa simplicité. Bravo à Juliette de n'avoir mérité que deux fessées au final, preuve s'il en est de l'efficacité des corrections reçues lors de sa dernière visite.

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  3. Arno,
    Je ne crois pas, Arno, que ce soit toi qui décides de ça.
    Huguette

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    1. Oups !
      Commentaire déplacé, si j'en crois la réponse un peu sèche d'Huguette, désolé, je retire mon propos. Bises à tous, Arno

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  4. Juliette,
    J'ai eu peur, lors de ce deuxième séjour, que tu recommences à tester notre résolution, à Maman Huguette et à moi, à te punir quand tu ne te comportais pas correctement. Ce n'est pas que cela m'aurait gêné de te donner les bonnes fessées déculottées dont tu aurais, alors, eu besoin. Mais j'aurais certainement dû te punir très souvent et ce n'est jamais agréable pour personne. Je m'y étais préparé. Heureusement il n'en a rien été.
    Ce n'est pas que je ne t'ai pas donné la fessée durant tout ce séjour. Je pense que tu vas en faire le récit dans tes prochains écrits qui paraîtront bientôt. Mais je n'ai pas eu à te fesser aussi sévèrement que j'avais dû le faire au cours du dernier week-end. Nos lecteurs le jugeront par eux-mêmes.
    Comme ton récit le montre, tu as fait de gros progrès. Nous n'avons rien eu à te reprocher question cigarette. Sans doute, est-ce parce que tu avais un peu mal à la gorge. La prochaine fois, le quota de cigarettes auxquelles tu auras le droit, diminuera. Je pense que nous arriverons bientôt à ce que tu t'en passes complétement, du moins quand tu es ici, à la maison.
    Sans doute y a-t-il encore des ratés sur l'obéissance, la tenue au coin ou les gros-mots, mais rien qu'une bonne fessée ne puisse corriger. Il est, en effet, normal qu'une petite fille oublie de temps en temps ces règles qui feront d'elle une grande fille. Nous sommes là pour te rappeler ce qu'il n'est pas convenable de faire. Une bonne fessée déculottée, donnée par Maman ou par moi, un séjour au coin, tout cela te permet de comprendre ce que tu as fait de mal, et la vie familiale peut reprendre ses droits.
    Tu as, par contre, encore beaucoup de progrès à faire question expression écrite. Ce n'est pas anomal. Le français n'est pas ta langue maternelle. Dans cette première dictée que tu as racontée dans ton article ci-dessus, tu as montré que tu connaissais la plupart des règles d'accord. Beaucoup des fautes que tu fais sont des fautes d'inattention. Le texte que tu nous a adressé et qui est publié ici après correction, en est un excellent exemple. Il va falloir que tu prennes l'habitude de faire beaucoup plus attention quand tu rédiges. Je n'ose annoncer le nombre de fautes que tu as faites. S'il est admissible que tu ne connaisses pas certains mots, il n'est pas acceptable que tu n'appliques pas les règles que tu connais. Ne t'inquiète pas. Nous te donnerons toutes les fessées dont tu auras besoin pour y arriver, à commencer celles que tu as mérité en laissant autant de fautes dans ton écrit. J'espère que tu feras un peu plus attention dans les prochains.
    Bisous,
    Au plaisir de te lire,
    Papa Josip.

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    Réponses
    1. Bonsoir Papa,
      Je sais que vous faites très attention à mon éducation et je sais que j'ai pas mal de défauts également, mais j'en suis sûre que je vais faire de grand progrès car une bonne fessée déculottée est efficace comme méthode.
      Je sais que j'ai encore beaucoup à faire pour améliorer mon français, mais tu es un très bon prof, je n'en doute pas le résultat. Et je te remercie pour ton éducation sur cette matière car je sais que c'est pour mon bien.
      Juliette

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