dimanche 18 février 2024

Journal d’un grand garçon fessé – jeudi 15 février 2024 – 21 h 15

J’ai, encore une fois, reçu la fessée. Évidemment, si j’en écris le récit, c'est parce que ma compagne l’exige. Elle veut que tout le monde sache que je ne lui ai pas obéi et comment elle m’en a puni. Ce n’est pas pour me plaindre. Je sais que ce n’est pas sur ce blog que je vais trouver une oreille compatissante qui jugera que la punition que j’ai reçue a été exagérée.

Et pourtant, ce ne sont pas les fessées déculottées qu’elle me donne que je préfère chez elle. Loin de là ! À mon âge, je ne devrais plus en recevoir et surtout, je ne devrais plus avoir la culotte baissée. Toutefois, je sais que si ma compagne me punit de cette façon, c’est parce que je l’ai mérité et que c’est très efficace. Après avoir reçu une fessée, je n’ai plus envie de tester sa résolution à me punir. Je fais très attention pendant un long moment. Comme ce jeudi soir.


Nous étions allongés sur notre lit, dans les bras l’un de l’autre. Ça, ce sont les moments que je préfère. J’aime bien quand ils durent. Je me sens à la fois petit garçon qui est cajolé et adulte qui tient sa compagne dans ces bras.
« Il va falloir aller prendre ta douche ! »
J’ai fait celui qui n’avait pas entendu. Oui, bien sûr, il fallait prendre ma douche avant de me coucher. C’est mon habitude et ma compagne y tient. Mais cela aurait voulu dire mettre fin à ce moment de douceur qui me contentait si bien. J’ai enfoui ma tête dans la poitrine de ma compagne et je lui ai fait quelques bisous.
« Avec un peu de chance, elle va laisser tomber pour le moment, pensais-je. »
Cela a fonctionné, mais pas plus de quelques minutes.
« Josip, il est l’heure de prendre ta douche ! »
Je savais qu’elle avait raison. Et puis, c’est son rôle de Maman de me rappeler ce que je dois faire et de surveiller que mon hygiène corporelle soit satisfaisante, selon les standards dont elle a décidé. Cela me va bien. Même quand je n'en ai pas envie, son exigence m’oblige à les respecter. C’est son côté Maman et je sais que je dois lui obéir sur ce point, comme sur de nombreux autres.
Mais, à ce moment-là, je n’avais vraiment pas envie de m’arracher à ses bras. J’avais bien enregistré qu’il s’agissait d’une deuxième demande et, habituellement, devoir se répéter excédait la patience de ma compagne. Cela se finissait, la plupart du temps, par une fessée. Là, il n’y avait aucun signe d’impatience de sa part. Sans doute goûtait-elle autant que moi ce moment de douceur ?
« Je t’ai déjà dit deux fois d’aller prendre ta douche ! Cela fait trois maintenant. Tu ne trouves pas que c’est beaucoup ? Je t’ai déjà dit que je veux que tu obéisses dès que je te demande quelque chose ! L’as-tu fait ? »
Tout en me grondant, elle se leva. Le temps qu’elle fasse le tour du lit, j’avais déjà commencé à me préparer pour la douche. Quand elle arriva devant moi, elle montrait tous les signes d’une Maman agacée par le comportement de son rejeton. Je savais que j’avais été un peu loin, mais j’espérais encore qu’elle ne veuille pas me punir et que ma bonne volonté me serve de caution.
« Mets-toi debout ! »
J’obéis à son ordre. Elle me baissa le pantalon, puis la culotte. Je me rassis aussitôt sur le lit afin d’éviter la claque sur mes fesses nues, qu’elle ne manquerait pas de m’asséner.
« Non, non, non, remets-toi debout ! »
Je savais que cette dernière consigne n’était pas une bonne nouvelle, mais j’obéis. Qu’aurai-je pu faire d’autre ? Elle prit place sur le lit, là où j’étais il y a quelques instants. Mon sort était scellé.


Elle m’attrapa le bras et elle m'installa à plat ventre sur sa cuisse gauche. Mes fesses étaient idéalement disposées pour la fessée. La première claque tomba. Elle était forte et sèche. Je ne pus retenir un petit cri. Je savais que ce ne serait pas le seul qui sortirait de ma bouche dans les minutes qui allaient suivre. Je réagis de la même façon à la deuxième fois que sa main imprima sa marque sur ma deuxième fesse. Puis le rythme s’accéléra sans que l’énergie qu’elle mettait à me punir ne diminue.
Comme à son habitude, il ne lui fallut pas bien longtemps pour que mes fesses soient en feu. Je me tortillais sur son genou, mais sans quitter la position dans laquelle elle m’avait mis. Mes gigotements ne gênaient en rien l’administration de la correction. Je le savais, mais je ne pouvais m’empêcher de gesticuler dans tous les sens, bien que je sache que cela était totalement inefficace pour atténuer la douleur de la fessée.
« Quand vas-tu apprendre à obéir du premier coup ? »
Elle avait fait une courte pause pour que la phrase pénètre bien dans mon esprit. Mais la fessée reprit aussitôt, pour s’interrompre quelques instants plus tard.
« Tu sais pourtant que tu vas prendre une fessée à chaque fois ! »
Oui, je le savais, mais j’avais toujours l’espoir qu’elle m’épargnerait à cet instant précis. Espoir toujours déçu.
« Dès que je vais avoir fini cette fessée, tu vas aller prendre ta douche ! Et je ne veux plus t’entendre ! »
Bien que la fessée fût interrompue par les courtes phrases qu’elle prononçait pour me faire comprendre pourquoi j’étais puni, cela ne diminuait en rien la fournaise que je ressentais sur mes fesses. Ma compagne n’utilisait que sa main, mais c’était bien assez suffisant pour que je comprenne les inconvénients qu’il y avait à lui désobéir.
Je ne pouvais plus supporter la cuisson de mes fesses quand j’interposais ma main. J’avais pourtant tenté de subir bravement ma punition. Je voulais lui montrer que je reconnaissais qu’elle avait raison de me punir ainsi, même si, à mon âge, se retrouver la culotte baissée, à plat ventre sur le genou de ma compagne, n’avait rien de réjouissant. Ma défense ne me procura qu’une petite seconde de répit. Elle prit mon poignet et le remonta dans mon dos, sans que je n’y puisse rien faire.
J’étais encore plus sans défense qu’avant. La fessée reprit et je lui demandais pardon entre deux cris qu’elle provoquait en appliquant sa main sur mes fesses. Je crois que je n’ai réussi qu’à prolonger un peu plus la correction.
La fessée cessa enfin.


« Relève-toi ! »
Elle m’aida à me remettre sur mes pieds. Elle acheva alors de me déshabiller et, d’une claque sur les fesses, elle me fit prendre le chemin de la douche. Heureusement, j’eus le droit, une fois douché, à l’application de la crème apaisante. Je retrouvais alors la douceur qui avait précédé la fessée déculottée.


D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus


La première fessée du journal racontée ici

 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.

En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

2 commentaires:

  1. Encore une fessée Josip pour ne pas aller prendre ta douche, c'est pourtant pas une chose difficile à faire mais j'ai l'impression que c'est souvent un motif de correction chez Huguette pour Lucas, Arno ou toi. Mais bon ce n'est pas non plus une grosse fessée et c'est un peu que tu l'a cherché aussi.

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  2. Marie,
    J'ai souvent constaté que les grands garçons, quel que soit leur âge, se passeraient volontiers de temps en temps d'une douche quotidienne. C'est aussi valable pour certaines filles. C'est pourquoi je suis aussi attentive à l'hygiène corporelle et à la propreté des personnes que je reçois ici. Bien entendu, mon attention concerne Josip, en tout premier lieu.
    Là, je pense que c'est plutôt la désobéissance que j'ai sanctionnée. Je crois qu'il n'est pas souhaitable de donner l'habitude, aux adultes dont j'ai en charge l'éducation, de répéter plusieurs fois une consigne. Ils doivent obéir du premier coup, même quand ils estiment avoir mieux à faire. C'est ce qui est arrivé à Josip et je pense qu'une fessée, pas trop sévère, s'imposait.
    Qu'auriez-vous fait à ma place ?
    J'attends votre réponse,
    Huguette

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