La fessée déculottée… oui mais

Je ne sais s’il s’agit de quiproquo, de malentendus ou si les personnes qui s’y livrent, en raison d’une pénurie dont beaucoup se plaignent, tentent leur chance bien qu’ils soient persuadés que leur démarche avait peu de chance d’aboutir. Beaucoup des contacts, pris sur ce blog ou par courriel, proposant de recevoir la fessée, beaucoup plus rarement de la donner, n’aboutissent pas ou s’achèvent prématurément.
Il y a, à cela, plusieurs raisons de différents ordres et je voulais, si cela est possible, clarifier dans cet article ce à quoi je porte attention. Ce n’est pas que les autres commentaires ou messages n’y ont pas leur place. Mais j’ai pris l’habitude de ne pas y répondre, laissant à d’autres, intéressés par la situation décrite, le soin d’y répondre.

Mettons tout de suite de côté les échanges que de nombreuses mamans et plus épisodiquement des papas ont postés sur ce blog. Ils évoquent les fessées, souvent déculottées, qu’ils donnent parfois à leurs enfants. Ces commentaires ont, sans aucun problème, leur place ici, même si je n’y réponds pas fréquemment, seulement quand je suis interpelée dans mon rôle maternel. Si on y regarde bien, ma responsabilité, vis-à-vis de mon compagnon ou celle que j’ai avec les hommes et les femmes qui viennent ici, en sachant que je serai en charge de leur éducation, n’est pas très différente celle qu’a un parent avec ses enfants ou qu’un adulte a avec des enfants, les copains et copines de ses propres rejetons par exemple, qu’il recevrait chez lui en sachant qu’il a l’autorisation de leurs propres parents de les déculotter et les fesser, s’il y a besoin. Pour moi, la question de l’âge n’est pas un facteur essentiel. C’est le comportement qui est déterminant.

Ces discussions, venant de parents, n’ont pas vocation à se traduire dans la réalité, mais à échanger sur des pratiques, alors qu’il y a peu d’endroit où on peut proclamer ouvertement que l’on donne la fessée à sa progéniture sans encourir immédiatement l’anathème de ceux qui confondent fessées parentales et maltraitance. Je ne dis pas que le recours à la fessée, avec un enfant, doit être systématique. Mais de temps en temps une bonne fessée au bon moment permet de remettre les choses à leur place et souvent l’enfant qui a été ainsi puni n’en veut pas au parent qui a sévi, y compris quand sa culotte a été baissée, pour peu que la fessée ait été justifiée.

Je veux mettre l’accent sur les discussions que j’ai à propos de la fessée donnée par un adulte à un autre adulte. Bien souvent ce sont des hommes qui postulent qu’ils bénéficieraient d’une bonne fessée que je pourrais leur administrer. Plus rarement, ce sont des femmes et je dois avouer que je verrai d’un bon œil d’aller jusqu’au bout avec l’une d’elles.

Couramment, ces postulants affirment « aimer recevoir la fessée ». Quand je leur demande des précisions, c’est souvent ce qu’ils expriment. C’est généralement, de ma part, le signal d’une fin de conversation. Pour moi, il est étonnant, pour ne pas dire plus, d’aimer recevoir la fessée. Ce n’est pas ce à quoi elle doit servir. La fessée est une punition et il n’est pas logique d’aimer la recevoir, s’il s’agit de réelles corrections, comme je les donne et comme, à mon avis, le ou la punie en a besoin. Je ne crois pas, sauf si on a affaire à une perversité qui n’est pas ma tasse de thé, qu’on puisse aimer recevoir une vraie fessée. C'est vexant, cela fait mal, cela cuit les fesses, cela y laisse une brûlure qu’on ne peut pas apprécier sur le moment.

Je suis souvent stupéfaite des vidéos que l’on trouve sur internet. Des hommes ou des femmes y reçoivent stoïquement la fessée, sans avoir une quelconque réaction. Ce ne sont pas de réelles fessées. Elles sont simulées. Pour ma part, un ou une puni(e) allongé(e) sur mes genoux ou courbé(e) sous mon coude et recevant la fessée n’a qu’une hâte, c’est qu’elle prenne fin et je trouve cela normal et bienvenu. C'est ce que je cherche quand je baisse la culotte et que je donne une fessée. Les cris et les gesticulations qui échappent au contrôle de la personne que je punis, en sont la preuve.

J’ai, le plus souvent, l’impression que ces correspondants imaginent une fessée comme une séance programmée au cours de laquelle ils seront déculottés et fessés sans qu’il n’y ait de raison, au-delà de celle qu’ils déclarent à leur arrivée, motif réel ou fictif, cela n’a que peu d’importance. Ils extrapolent, en imaginant ce qui pourrait se dérouler ici sous mon autorité, avec ce qui se passe avec une professionnelle tarifée de la fessée avec laquelle, pour un temps donné, on y prend une correction, la plupart du temps déculottée et on en repart après avoir subi la rigueur de plusieurs instruments punitifs.

Ce n’est pas du tout ce que je pratique. Quand je me rends compte que c’est ce que cherche la personne qui veut me rencontrer, en général, je mets fin à l’échange.

Je ne donne habituellement pas plus suite quand la conversation tourne vers le sado-masochisme ou vers le travestissement. Un maître ou une maîtresse, déguisé en soubrette ou habillé en jupon, habillé en écolière ou en petit garçon… tout cela ne me concerne pas. Ce n’est pas ce que vous trouverez ici. Inutile de le demander. Si vous venez à la maison avec une telle idée, vous allez être déçus et moi également. Autant s’épargner cette déconvenue.

Je continuerai, cependant, à publier ces commentaires sans y répondre. D’autres personnes y trouveront peut-être matière à réflexion ou à action. Josip et moi ne censurons que les commentaires ouvertement pornographiques ou commerciaux. Ils sont détruits sans être publiés.

Il arrive également que ce soient les personnes qui ont envisagé de venir ici soit pour donner la fessée à Josip, soit pour la recevoir qui n'y donnent finalement pas suite. Sans doute n'osent-elles pas franchir le pas qui donnerait du concret à ce qui reste un souhait irréalisé. Peut-être craignent-elles de se retrouver embarquées dans une aventure qu'elles ne maîtriseraient pas. Je comprends ces réticences. J'ai eu les mêmes et je les ai encore. C'est pourquoi je sélectionne avec une grande attention les personnes qui viennent ici, en cherchant à éliminer celles qui ne me semblent pas en adéquation avec ma pratique punitive.

C'est particulièrement vrai pour les personnes de sexe féminin que ce soit pour donner ou recevoir la fessée. Je suis énormément sollicitée par des hommes qui veulent vivre un séjour de discipline tel que je les conçois, mais peu par des femmes.

Elles n'ont pourtant rien à craindre. Certes mes fessées sont sévères, mais elles sont justes. Effectivement on en sort les fesses rouges et cuisantes, mais c'est un mal nécessaire quand on a admis que seule une bonne fessée déculottée est à même de corriger des écarts commis alors qu'ils auraient disparaître une fois la majorité atteinte. Ce sont des corrections comme, bien souvent, on en a reçues dans son enfance et son adolescence, tout en tenant compte de l'âge de la personne qui les reçoit. Si faire tomber sa main une dizaine de fois sur les fesses nues d'un enfant, sans doute un peu plus pour un adolescent ou une adolescente, suffit à lui faire comprendre qu'il ou elle a dépassé les limites, il convient d'être plus insistant avec des adultes. Mais les effets produits seront les mêmes. Ils permettront à l'adulte ainsi puni, de savoir qu'il a dépassé les limites admises et qu'il en est puni et de prendre de bonnes résolution pour l'avenir.

Accepter de se placer sous mon autorité le temps d'un séjour ici, tout en sachant que cela se traduira par une ou plus probablement plusieurs bonnes fessées, la plupart du temps déculottées, que c'est moi qui déciderai du lieu, du moment, de la sévérité et de la présence d'éventuels témoins et que cela finira au coin la culotte baissée, est une étape salutaire pour les adultes qui en ont besoin.

L'affluence de commentaires féminins en novembre et décembre pourrait inciter à croire que la tendance s'inverse, mais, pour l'instant, il n'y a pas eu de réelles concrétisations, tout au plus quelques personnes qui se sont dites intéressées. Certaines ont dernièrement envisagé de venir me rencontrer. Cela ne s'est pas encore concrétisé.

Les fessées que je donne et que donc reçoivent mes pupilles, le sont dans un cadre éducatif, en lien direct avec une bévue commise sur place, en ma présence, ou du moins en présence de la personne qui administre la punition, puisqu’il peut ne pas toujours s’agir de moi. Il importe de montrer à un ou une adulte que, s’il ne sait pas maîtriser son comportement, il trouvera en face de lui, d’autres personnes qui se chargeront de cette tâche pour lui. Baisser la culotte, donner une sérieuse et cuisante fessée et mettre au coin pour de longues minutes, la culotte toujours baissée, en est le triptyque habituel. Les raisons qui peuvent m’amener à fesser un adulte placé sous ma responsabilité sont nombreuses et j’en ai énuméré une bonne part dans l’article publié le 3 janvier dernier.

Je tiens à ce que les fessées soient de nature parentale et qu’elles ne s’apparentent en rien au sado-masochisme. Il n’est pas question de placer le ou la punie à distance, allongée sur un canapé ou courbée sur une chaise, même si cela donne la possibilité d’administrer une fessée bien plus cuisante. Les fessées sont donc administrées après avoir placé le ou la punie à plat ventre en travers des genoux ou après l’avoir courbé(e) sous le bras. Le contact corps à corps que cela implique, montre parfaitement au ou à la punie que la fessée lui est donnée pour son bien et par une personne qui prête suffisamment attention à lui ou à elle pour prendre le temps de le ou la déculotter et le ou la corriger quand il ou elle en a besoin. Il est tout à fait possible, dans ces positions, de donner de cuisantes punitions, à main nue ou avec un instrument punitif, tout en leur gardant un caractère domestique incontestable, comme le fait une Maman ou un Papa.

À la différence de ce qui peut se passer lors d’une séance de fessées, celles que l’on reçoit chez moi ne sont pas programmées. Elles dépendent des écarts constatés sur place et du contexte dans lequel ils sont mis en évidence. Il va de soi qu’une récidive, une insolence ou un comportement manquant de repentance aggrave automatiquement la sanction.

Presque toutes les fessées sont données à main nue. Cela suffit généralement pour embraser copieusement les fesses et faire regretter au ou à la punie ce qui l’a amenée dans cette position, mettant ses fesses nues à portée de ma main. Toutefois, je peux avoir recours, quand je le juge nécessaire, à un instrument punitif pour insister sur la punition. Le martinet, la règle plate en bois, le dos de la brosse à cheveux, des verges ou même des orties, permettent de laisser des marques sur les fesses quand c’est nécessaire. Elles sont salutaires quand j’estime qu’une fessée à main nue sera insuffisante pour amener le ou la punie au niveau de repentance nécessaire. Cela reste peu fréquent, mais pas exceptionnel. Tout ou toute punie qui vient ici doit savoir que si je le décide, il peut recevoir une fessée déculottée avec l’un de ces instruments, bien que ma main suffise en général.

Pour qu’un séjour éducatif porte ses fruits, moi et les personnes qui donnent la fessée doivent avoir toutes les prérogatives d’une Maman ou d’un Papa. Ils ont donc le droit et le devoir de baisser la culotte et de corriger leurs pupilles aussi souvent qu’ils ou elles jugeront qu’ils en ont besoin. Les fessées seront proportionnées à l’écart commis, mais dépendront également du contexte dans lequel elles se déroulent. Ce ne sera jamais au ou à la punie de décider quand il ou elle doit être corrigé(e), ni avec quelle sévérité.

Il sera donc normal que les personnes qui ont l'éducation des pupilles en charge, puissent déculotter le ou la punie, le ou la fesser puis le ou la mettre au coin, quels qu’en soient le moment ou le lieu et quelles que soient les personnes présentes. La fessée pourra donc être administrée en extérieur si celui ou celle qui l’administre le juge pertinent. Il est cependant évident qu’il n’est pas question de faire n’importe quoi. Il est des lieux et des circonstances dans lesquelles le déculottage et la fessée, sans parler de la mise au coin, ne sont pas possibles. La correction est alors différée jusqu’au moment où elle est possible, le retour à la maison en étant l’échéance ultime. Il est, cependant, fondamental, pour des raisons d’éducation, que le ou la punie sache qu’elle peut prendre une fessée déculottée n’importe quand, n’importe où, à partir du moment où celui ou celle qui donne la fessée en a décidé ainsi.

De toute façon, sachez que lors d’une rencontre à distance, par téléphone ou mieux par visio, nous aurons l’occasion d’échanger sur tous ces points et de vérifier la compatibilité réciproque des pratiques que je vous ai décrites ci-dessus.

Vous serez accueillis ici, pour un jour ou deux, soit comme un adulte placé sous ma responsabilité, soit comme un ou une proche ayant comme faculté, quand il ou elle le jugera nécessaire, de baisser la culotte de Josip et de lui donner la fessée suivie éventuellement d’une mise au coin, comme vous l’aurez décidé.

Je tiens effectivement à lui montrer que ce sont ses comportements irresponsables qui amènent des grandes personnes à le punir, comme je le fais. Je serai particulièrement attentive aux réponses féminines. En effet, en ce qui concerne la fessée paternelle, j’ai trouvé une personne qui assume ce rôle.

Je tiens également à faire bénéficier d’autres adultes de cette méthode qui a fait ses preuves. Je peux vous assurer qu’après avoir pris une bonne fessée déculottée, on n’a pas envie de se retrouver de sitôt en position pour en recevoir une autre.

Si vous vous reconnaissez dans l’un de ses deux portraits, n’hésitez pas à me contacter en laissant un commentaire au bas de cet article ou en m’adressant un courriel.

Huguette

Quelques articles qui illustrent le contexte punitif décrit ci-dessus

Qui adulte reçoit des fessées par punition

La fessée déculottée : honte ? humiliation ? 

Recherche personne, homme ou femme, pour donner la fessée 

Donner la fessée, une évidente marque d'attention

La fessée déculottée, de la découverte à la pratique habituelle 

La fessée déculottée, une nécessité avec certains adultes 

 Vous voulez aller plus loin ?

Je serai ravie d'échanger avec des personnes partageant une vision proche de la mienne en matière d'éducation des adultes en recourant à la fessée déculottée. Si la rencontre avec une personne de sexe masculin semble en bonne voie, il n'en est pas de même avec des personnes de genre féminin. Appel donc à des candidates.

Si le cœur vous en dit, n'hésitez pas à me contacter, dans les commentaires ci-dessous dans un premier temps. Après quelques échanges, nous pourrons décider si nous voulons aller plus loin.