dimanche 21 janvier 2024

Journal d’un grand garçon fessé – Dimanche 21 janvier 2024 – 11 h 20

Je me croyais à l’abri d’une fessée pour tout le week-end. En effet, à la demande de ma compagne, j'avais donné une fessée à Juliette qui en fera le récit dans les prochains jours. En effet, elle passait le week-end à la maison. J’étais installé dans ce rôle punitif et j’avais oublié que cela n’empêcherait en rien ma compagne de me punir. C’est ce qui s’est passé ce matin-là.

Je n’ai rien vu venir, mais je crois que ma compagne surveillait mon comportement et qu’elle avait décidé de me punir au premier prétexte. Elle ne voulait que je me place dans une fonction, celle de celui qui donne la fessée, que je n’aurai pas à occuper dans les jours qui venaient. Évidemment, je lui ai fourni une raison suffisante pour me punir.

J’avais plutôt été dans la position de celui qui donne la fessée. Juliette avait bien compris qu’elle serait punie au moindre motif. J’étais assez content de moi et je ne pensais plus que moi-même, je pouvais être déculotté et fessé. Ma compagne y veillait.
« Josip, va refaire le lit ! C’est un vrai champ de bataille ! »
C’est son expression favorite pour dire que l’endroit où nous avons dormi était en désordre.
« Tu sais que je veux un lit bien fait dans la journée. Et tu rangeras ton pyjama ! »
Somme toute, c’était assez facile à faire. J’ai donc fini ce que je faisais et je suis allé tirer les draps, regonfler les oreillers et réinstaller tout ce qui donnerait une impression d’ordre dans la chambre. Puis, j’ai oublié tout cela. J’avais fait ce que ma compagne m’avait demandé de faire.

C’est plus tard que les choses se sont gâtées. Sans y penser, je me suis couché sur le lit pour y lire quelques instants. Quand je me suis relevé, je n’ai pas fait attention à l’état dans lequel je laissais le lit.
« Josip, je t’ai demandé de faire le lit. As-tu vu dans quel état il est ?
– Mais si, je l’ai fait !
– Et tu crois que ce que tu as fait est satisfaisant ?
– Oui, oui, je vais y aller. Attends un peu !
– Il n’est pas question que j’attende ! »
Elle me donna une claque sur le fond du pantalon. Juliette était présente. Cette petite fessée écornait largement mon statut d’adulte responsable, celui qui avait l’autorisation de punir. Toutefois, je ne protestais pas. Je savais que cela me vaudrait aussitôt une bonne fessée déculottée dans le milieu du séjour. Je n’y tenais pas, surtout en présence de Juliette.
L’arrivée dans la chambre confirma ce que disait ma compagne. Le lit, que j’avais pourtant refait dans la matinée, était à peu près dans le même état que si nous avions passé une nuit dedans.
« Tu me refais cela et tu vas avoir une fessée. »
Je tirais les draps, réinstallais le traversin, repositionnais les oreillers. Le lit avait meilleure mine.
« Je t’assure que je l’avais fait et c’est en me recouchant que je l’ai…
– Peu m’importe. Je t’ai dit que je voulais un lit bien fait. Tu n’avais qu’à le retaper quand tu t’es levé ! Maintenant, c’est la fessée ! »


Ma compagne me prit par la main et, à mon grand dam, elle me reconduisit dans le séjour, là où Juliette se trouvait. J’avais espéré recevoir la fessée, sur ce point je ne me faisais pas d’illusion, mais dans la chambre. Certes Juliette entendrait les claques tomber sur mes fesses, mais au moins elle n'y assisterait pas. Ce n’était pas ce que ma compagne avait décidé. Elle bougea une chaise pour l’éloigner de la table et elle s’y assit. Elle m’approcha d’elle.
« J’aimerais bien que quand je te dis quelque chose, tu écoutes et tu obéisses. »
Elle me gronda peu longtemps, mais suffisamment pour descendre mon pantalon en dessous de mes genoux et pour me baisser la culotte qu’elle abandonna à hauteur de mes genoux. J’évitais de regarder Juliette, mais je me doutais qu’elle ne perdait pas une miette de ce qui se passait sous ses yeux. C’était la première fessée que j’allais prendre en sa présence.
« Le lit, en journée, je le veux correctement fait. Pas un champ de bataille ! »
Ma compagne me prit par le coude et elle me fit contourner ses genoux pour m’amener à sa droite. Je suivis le mouvement assez maladroitement à cause de mes vêtements qui, entourant mes chevilles, m’empêchaient de marcher normalement. Je n’eus pas vraiment le temps de réfléchir avant de me retrouver à plat ventre en travers de ses genoux. Était-ce préférable d’être déculotté alors que Juliette voyait mes fesses et mon sexe nu, ou bien fallait-il mieux être allongé sur les genoux de ma compagne, occupé à subir ma fessée, sans penser plus longtemps à la personne qui était témoin de ma déconvenue ? Ma compagne m’évita de me poser la question.
Sa main tomba sur mes fesses. Les premiers coups furent hésitants, comme si elle les retenait. Bien sûr, je les sentais, mais avec cette force-là, la fessée pouvait bien durer longtemps, elle ne me ferait pas grand mal. Hélas, ce n’était qu’un préalable qui permit à ma compagne de jauger la sévérité qu’il fallait mettre pour me punir. Les claques sur mes fesses devinrent très rapidement plus fortes et plus sèches. Je commençais à gémir. Ce n’était que le début.
Elle prit rapidement le rythme. J’accompagnais chacune des claques sur les fesses qu’elle me donnait, d’un petit cri qui lui signalait l’efficacité de la punition. J’ai bien imaginé simuler la douleur dès le début d’une fessée, mais j’ai bien trop peur que ma compagne s’en aperçoive et que cela me vaille une fessée supplémentaire. Et puis, à chaque fois, je n’ai pas besoin de pousser un cri fictif. Ce sont de vraies plaintes qui sortent de ma bouche, la rigueur de la fessée aidant.
Je ne pensais plus à la présence de Juliette. Seule comptait la cuisson qui s’installait et s’emparait de mes fesses. À ce moment-là, ma compagne aurait pu me donner une fessée déculottée devant toute une assemblée de personnes, je crois que je ne m’y serais pas intéressé. Juliette, à quelques mètres de moi, pouvait bien me voir dans cette situation en contradiction avec mon âge, cela m’était indifférent.
Ce ne fut pourtant pas une grosse fessée. Assez vigoureuse pour me chauffer les fesses, mais pas assez pour que la douleur se prolonge bien après la fin de la correction. Elle me releva.


« Ce n’est pas fini ! Va chercher la cravache noire ! »
La veille, elle avait tenu à ce que la cravache noire, cadeau de Tonton, rejoigne le martinet et la règle plate en bois. Tous ces instruments étaient maintenant suspendus, chacun à son clou, sur le côté d’une étagère dans le séjour. Ils nous rappelaient, sans cesse, que leur utilisation était une option véritable à laquelle elle n’hésiterait pas à recourir dès qu’elle en voyait la nécessité. Sans doute avait-elle estimé que j’avais besoin d’une fessée un peu plus sérieuse. De toute façon, mon avis ne comptait pas, à quoi bon l’exprimer ?
Elle me remit dans la position que je venais de quitter. La fessée reprit, mais cette fois-ci, avec la cravache. Les premières fois qu’elle l’abattit sur mes fesses, elle cherchait visiblement la bonne force. Ni trop fort, ni trop doucement. Elle la trouva au bout de quatre ou cinq fois et je recommençais mes cris désespérés.
Ce qu’il y a de bien, avec ces nouveaux instruments, c’est que ma compagne ne les connaissant pas, elle retient son bras. Sans être indolore, je sentais bien que la cravache ne donnait pas toute la mesure de ses possibilités punitives. Avec la règle ou le martinet, ma compagne aurait bien moins hésité et la fessée en résultant aurait certainement été bien plus difficile à supporter.
Enfin, elle jugea que ma fessée avait été suffisante.
« As-tu compris que j’attends que tu m’obéisses sans délai ? »
Deux coups de cravache vinrent souligner sa question.
« Oui, oui, j’ai compris ! »
Deux autres coups de cravache.
« Oui, qui ?
– Oui Maman !
– C’est mieux comme cela ! »


Elle m’autorisa alors à me lever.
« Tu vas au coin ! »
Oui, bien sûr, que pouvais-je attendre d’autre ? Le coin était tout proche, mais c’est terriblement vexant de devoir marcher, la culotte baissée, pour se rendre sur le lieu où j’étais mis en pénitence, alors que je sentais, dans mon dos, les deux paires d’yeux qui suivaient ma progression.
Je mis mon nez dans l’angle de la pièce, je croisais mes bras dans mon dos, relevant mon tee-shirt qui ne cachait plus rien de mes fesses douloureuses qui devaient avoir gagné une belle couleur rouge. Je m’immobilisais. Je savais que j’étais là pour un bon moment. Juliette et ma compagne avaient maintenant une vue bien dégagée sur mes fesses nues qui devaient porter les traces de ma récente fessée.
L’attente commença. Dans mon dos, les conversations avaient repris. Je n’en étais pas le sujet, comme si ma présence dans le coin, la culotte baissée, était banale. Ce n’était évidemment pas mon avis, mais il n’intéressait personne. Ma compagne sait me laisser au coin suffisamment longtemps pour que j’éprouve de l’ennui et que je commence à avoir du mal à tenir l’immobilité qu’elle exige de moi quand je suis en pénitence.
Le temps s’éternisait. Je n’avais aucun repère dans le temps qui aurait pu me donner une indication, ni sur depuis combien de temps j’étais là, ni combien de temps il me restait à y rester. Seule ma compagne en décidait. Elle m’y laissa bien plus de dix minutes. Sans doute plus de vingt. J’entendis ses pas se rapprocher de moi. Cela ne pouvait pas être Juliette, du moins l’espérais-je. Je n’espérais plus rien quand la phrase tant attendue vint enfin.
« Tourne-toi, Josip ! »
Je m’exécutais, soulagé. La punition touchait enfin à son terme. Il ne restait plus qu’une formalité, demander pardon et approuver une prochaine fessée si je recommençais. Je remplis ces obligations avant que ma compagne ne remonte ma culotte.

La punition était terminée… jusqu’à la prochaine.


D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus


La première fessée du journal racontée ici

 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.

En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

14 commentaires:

  1. J'ai hate de lire la fessée donner par Josip. J'ai bien lu le récit d'un grand garçon et je constate que Huguette à recour à la cravache , dans le dernier récit ( visite chez Huguette) avait aussi recour à un instrument. Huguette c'est tres rare , esque vous allez utilisé plus souvent un instrument ?

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  2. Quel bonheur cette maison où règne une discipline si bien structurée 😊
    Amitiés.


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  3. Au fait, une précision, je n’ai pas du bien suivre, mais je ne sais pas qui est Juliette…?

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    1. Commentateur anonyme,
      Si vous voulez une réponse, identifiez-vous, au moins un prénom réel ou fictif, en signature du commentaire.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    2. Désolé JLG, je suis Pascal.

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    3. Pascal
      Attendez demain, vous aurez une réponse plus précise.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  4. Ravie de retrouver régulièrement vos écrits et merci infiniment de partager ces tranches de vie avec nous.
    Je m'interroge quant à ces instruments accrochés dans votre salon : les "cachez-vous" à chaque fois que vous recevez des invités, ou demeurent-ils à la vue de tous, au risque de révéler à quiconque les remarquerait l'aspect disciplinaire de votre relation ?

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    1. Bonjour AL,
      Les instruments sont ôtés quand nous avons des personnes étrangères à notre pratique. Nous voulons laisser notre pratique en dehors du cercle de personnes initiées.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  5. Je ne l'aurai jamais cru si je ne l'avais pas lu mais je ne me serais par contre jamais douté un seul instant que Josip était bel et bien Switch malgré son penchant avéré pour la fessée en tant que Passif d'ou le blog en question.
    Comme quoi on en apprend tous les jours dans la vie.

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  6. Et oui heureusement la fessée n'est pas réservée aux hommes mais aux adultes femme ou homme qui se comportent comme des garnement. Estelle tu en a fait les frais fessées, martinet et cravache, vous pourrez comparer vos expériences avec Lucas et Josip.

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    1. Bonjour Arnaud,
      Je ne sais pas de quelle Estelle vous parlez. C'est Juliette qui s'est pris la fessée.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    2. Peut etre parle-t'il d'Estelle de Lyon ?

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  7. Oui c'est une erreur Juliette la vilaine petite fille quelles bonnes fessées. la fessée paternelle semble l'avoir plus marquée que celle de maman Huguette

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  8. Bonjour , Madame Huguette, je constate que JLG ne fais plus de bêtise, car nous ne voyons plus de récis sur son comportement ? Est il devenu vraimen sage?

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