mercredi 17 janvier 2024

Journal d’un grand garçon fessé – Lundi 15 janvier 2024 – 11 h 45

Tonton, le retour ! Eh oui, il fallait bien que je m’y attende, le retour de Tonton à la maison serait ponctué d’une belle fessée déculottée. Je le savais, mais c’est normal. Il est de son devoir de me punir quand je l’ai mérité et, comme le dit ma compagne : « rien de mieux qu’une bonne fessée ! » Elle a raison. Une bonne fessée est un remède très efficace pour me faire comprendre quelle bévue j’ai pu commettre.

Il n’y avait pas un quart d’heure que Tonton était arrivé à la maison, quand, prenant à témoin ma compagne, il me reprocha mon indolence lors de mes derniers courriels. Cela valait bien une bonne fessée. Je l’ai eue.


La conversation tourna vite vers ma conduite en voiture. Cette fois-ci, mon oncle avait peu de choses à me reprocher, d’autant plus que les excès de vitesse qu’il avait notés n’en étaient pas, en fait. Il avait mal lu les indications et j’étais resté en deçà de la vitesse autorisée. Ce n’était, hélas, pas le seul grief qu’il avait à mon encontre.

« Comment as-tu signé les deux derniers mails que tu m’as envoyés ? »

Je restais interdit. Je ne m’attendais pas à ce qu’on vienne sur ce terrain. La signature des courriels. Je n’y avais pas fait attention. Je dus chercher un peu dans mes souvenirs, pas si lointains puisque les deux messages incriminés dataient de la veille et du matin même.

« Euh… je ne sais pas. 

Cherche un peu, les deux derniers que tu m’as adressés ! »

Je ne savais pas quoi dire. Je ne me rappelais pas quelque chose de particulier au sujet de ces deux missives.

« Comment as-tu signé ? »

Je voyais bien maintenant comment cela s’était passé. J’avais utilisé la signature automatique de mes messages : au plaisir de vous lire, JLG.

« Moi, continua-t-il, je fais l’effort de personnaliser la fin de mes mails et toi, tu m’écris sans faire attention, comme tu réponds à tous les commentateurs du blog ! »

Oui, en effet, j’avais voulu répondre très rapidement aux deux messages que Tonton m’avait envoyés. Il y était question d’organisation de son séjour à la maison et j’avais fait le plus vite possible, une phrase assez courte à chaque fois, sans modifier la signature.

« Depuis quand te permets-tu de m’écrire de cette façon ? Il me semble que c’est un manque de respect flagrant. Tu ne crois pas ? »

J’étais coincé. Que répondre ? Si je tentais de m’innocenter, cela pouvait être pris pour de l’entêtement dans mon erreur. Si je reconnaissais m’être trompé, j’abondais dans son sens et à la fessée qui sanctionnerait ma maladresse. Se taire ? C’est l’option que je choisis, tout en sachant que je lui laissais ainsi le terrain libre, et j’en apercevais la conclusion inéluctable. Mais que pouvais-je y faire ?

« Sais-tu ce que tu mérites pour cette nonchalance ? »

Oui, je le savais, mais je ne prononçais pas le mot, comme si cela pouvait éloigner la correction qui se préparait.

« Eh bien moi, je crois qu’une bonne fessée va t’apprendre à ne pas recommencer ! »

Ma compagne qui se tenait silencieuse, mais ne perdait pas une seconde de ce dialogue, approuva d’un signe de tête. Il ne leur fallut pas bien longtemps pour positionner une chaise à leur convenance.

« Viens ici, Josip ! »

Je m’avançais de quelques pas, me présentant face à mon oncle. Sans autre commentaire, il prit la ceinture de mon pantalon entre ses deux mains et il le baissa sur mes mollets. Puis, ce fut le tour de ma culotte. Ses deux pouces glissés sous l’élastique, il la fit glisser le long de mes cuisses. Ça y était, j’étais la culotte baissée devant lui, en plein milieu du séjour. Je sentais le regard de ma compagne qui cautionnait ce déculottage.

J’eus quelques secondes pour ressentir la honte de me montrer publiquement dans cette tenue. Était-ce normal, à mon âge, de me faire déculotter ainsi, sans que je réagisse ? Ce n’était pourtant pas la première fois que je me trouvais dans cette situation. Avec ma compagne, ma pudeur d’adulte avait peu de légitimité. Même Tonton, ce n’était pas la première fois qu’il me baissait la culotte, ni la première fois que je me trouvais les fesses nues en sa présence.

C’était un sentiment très ambivalent. La situation n’était pas normale, je le sentais bien. J’aurais dû protester contre ce traitement infantilisant, voire m’y opposer. On ne baissait pas la culotte, contre sa volonté, à une personne de mon âge. D’un autre côté, je savais que me baisser la culotte était un passage obligé pour me punir. J’avais mérité cette fessée que Tonton avait l’intention de me donner. C’était donc une situation normale. Il ne pouvait pas en être autrement. Si j’avais maintenant la culotte baissée et que j’allais finir les fesses cuisantes, c’était bien de ma faute.


« Sur mes genoux, Josip ! »

Je contournais ses jambes pour venir à sa droite, puis, je me couchais sur ses genoux, prenant le bord de la chaise de mes deux mains. Je serrais les dents, appréhendant les premières claques.

« C’est quoi, ces marques sur les fesses ? »

Ma compagne s’approcha. Il y avait effectivement quatre cercles rouges sur ma fesse gauche. Ce n’était pourtant pas le résultat d’une fessée.

« Ce n’est rien, dit-elle. Ça revient régulièrement. Il peut tout de même prendre une fessée ! »

C’est un des avantages d’être déculotté par un autre adulte. En général, la plus petite rougeur, le moindre bouton, même là où, habituellement, ils sont dissimulés à la vue des autres, dans les endroits les plus intimes, sont notés. Cela fait partie de l’attention qu’ils ont vis-à-vis de moi. Bien que je sois, à ces moments-là, dans une situation qui n’avait rien d’avantageuse, cela fait partie des avantages à avoir d’autres adultes qui s’occupent de moi, jusque dans les moindres détails.


« Bon, d’accord ! »

La première claque tomba, forte, sèche, cuisante. Elle fut aussitôt suivie d’une autre de l’autre côté. Bien que je m’y attendisse et que je serrasse les dents, je ne pus éviter de laisser échapper un cri de franchir mes lèvres. Cela n’arrêta pas Tonton. Il savait donner la fessée et j’en fis l’amère expérience. En quelques instants, mes fesses furent brûlantes et sans doute bien rougies, mais ça je ne pouvais que le deviner, compte tenu de la cuisson que je ressentais.

Je m’accrochais à la chaise, je battais des pieds, je criais à chaque fois que sa main punissait mes fesses, mais la fessée continuait. J’espérais que Tonton estimât que la correction avait bientôt atteint son but. Moi, j’étais sûr d’avoir bien compris et que je ne recommencerais pas de sitôt.

J’étais déjà au bord de la rupture, je me demandais si j’allais pouvoir supporter cette correction plus longtemps sans mettre ma main en protection de mes fesses. Je savais que si je le faisais, la fessée durerait bien plus longtemps. Peut-être même, aurais-je le droit à une nouvelle punition. Mais il est un moment où je savais que je ne pourrais plus contrôler mes réactions.

Heureusement, la fessée cessa. Je me gardais bien de bouger, craignant que Tonton y trouve un motif pour poursuivre la correction. J’avais pourtant hâte de retrouver une position plus en conformité avec mon âge, mais je préférais rester allongé sur ses genoux, la culotte baissée, plutôt que de recevoir une deuxième fessée.


« Relève-toi, et tu vas au coin ! »

Je savais qu’il n’était pas question de couvrir mes fesses. Tonton ne le précisa pas, mais cela allait de soi. Ma punition n’était pas achevée et ma pudeur ne comptait pas à ce moment-là. Je traversais la pièce, mon pantalon et ma culotte entravant ma démarche, mais c’était légitime après avoir reçu une fessée déculottée. Je devais aller et rester au coin, exposant mes fesses nues et fraîchement fessées.

« Les mains sur la tête ! »

Ça, je préférais, plutôt que de croiser mes mains dans mon dos, comme ma compagne me l’ordonnait habituellement. Avec les mains sur la tête, j’étais obligé de me tenir éloigné du coin, alors que quand je devais mettre mes mains dans le dos, mon nez était positionné exactement dans l’angle de la pièce. Mon champ de vision était bien plus grand. J’avais moins l’impression d’être puni, même si dans les deux cas, je tournais le dos aux deux personnes qui poursuivaient leur conversation, comme s’il était naturel que je sois mis en pénitence.

Tout bien réfléchi, c’était tout à fait logique d’avoir été mis au coin. Je savais que j’allais y rester un bon moment. C’était la suite normale de la punition. Je ne pouvais en faire le reproche qu’à moi. Je pris la position requise, sans bouger et d=sans faire aucun bruit, et j’attendis que Tonton m’autorise à en sortir.


« Remonte ta culotte et viens ici ! »

Je me rhabillais. Je dus aller présenter mes excuses et convenir que si je recommençais, j’aurais le droit à une deuxième fessée, bien plus sévère que la première. C’était donc à moi de faire attention. Cela se comprenait et paraissait adapté. Je n’avais rien à y redire.

« Assieds-toi avec nous, me proposa ma compagne. »

Je déclinais son invitation. Il me fallait encore un peu de temps pour retrouver mon statut d’adulte. Je m’occupais à la préparation du déjeuner.



D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus


La première fessée du journal racontée ici

 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.

En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

5 commentaires:

  1. Je constate que vous commencez très bien là nouvelle année. Fessée par maman Huguette il n'y a pas longtemps et maintenant par Tonton.

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  2. Bonjour Josip.
    La venue de tonton est toujours justifiée. Et la fessée n’a d’autre but que de te faire progresser. À partir du moment où l’on fait des bêtises cela prouve que l’on n’est pas adulte et que l’on a conservé des attitudes de gamin. Il est donc tout a fait normal et nécessaire que l’on reçoive la fessée déculottée. Je suis moi aussi comme toi. Je fais sans arrêt des bêtises et je suis désobéissant.
    La seule solution pour me ramener dans le droit chemin c’est une bonne correction. C'est une méthode qui a fait ses preuves. Tu sais lorsque je reçois la fessée, c’est que je la mérite. Et la mise au coin me permets de réfléchir.

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  3. C'est reconnu depuis fort longtemps que les hommes ont vraiment la main plus lourde que les femmes surtout quand il s'agit d'administrer la fessée.
    J'en avais déjà fait l'expérience lorsque j'avais rencontré pour la toute première fois un homme qui m'avait mis la fessée et il n'y était pas allé de main morte et ce fut également le cas quand j'avais rencontré d'autres mecs par la suite.

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  4. Non, je ne suis pas d'accord que les hommes donnent plus fort la fessée. J'ai eu beaucoup de fessée donner par les femmes, et je peux dire quelle me fessée toujour avec la maniére et que pour moi la fessée etait trés, trés ,douleureuse , souvent je crié, pleuré car elles me disaient c'est des fessées que tu mérite vue ton comportement de gamin, Elles ont peut-être moins de force mais elles savent comment donnée la fessée maternelle

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    1. Je me suis peut etre mal exprimer mais comme vous l'avez parfaitement bien souligner, les hommes ont beaucoup plus de force que les femmes par contre il ne faut surtout pas les sous-estimer parce que certaines d'entre elles sont tout de meme sportive et à force de pratique et d'entrainement elles ont su acquérir de la force et avoir la main lourde en meme temps tout comme celle qui ont des muscles.
      Je vous aurai bien invité à lire le témoignage de Maitresse Altea qui est certes une dominatrice exercant dans son donjon SM mais elle est par contre une redoutable adepte de la fessée à l'ancienne puisque elle explique au passage avoir acquis l'endurance physique et avoir la main lourde après avoir fait notamment beaucoup de sport durant sa jeunesse qu'elle prend un malin plaisir à voir des hommes se tortiller de douleurs sur ses genoux quand elle leur administre la fessée qu'elle ne se fatigue pas le moindre du monde et reste en pleine forme pendant la session.

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