Un séjour d’éducation chez Papa Josip et Maman Huguette - Samedi 20 janvier 2024

Enfin, je suis sur la route pour rencontrer Maman Huguette. Depuis mi-décembre 2023, j’ai pris le contact avec elle, nous avons fait deux visios et tout de suite, je me sens très à l’aise avec Josip et Maman Huguette. Pendant la visio, on s’est échangé nos souhaits respectifs et la conversation m’a donné très envie de passer un séjour d’éducation chez eux. Et voilà, le jour J est enfin arrivé.

Presque trois heures et demie de route, mais le trajet me parait court. Est-ce que je vais bien comporter ? Est-ce qu’ils sont aussi sévères qu’avec les garçons comme je suis une femme ? J’ai lu quelques articles du blog, mais il n’y a pas eu de témoignage féminin.

Après m’être trompée de route, je suis bien arrivée devant leur maison. Tous les deux sont sortis malgré le froid glacial et bien sûr la consigne m’a été donnée aussitôt et clairement (en fait, je n’aime pas me garer avec la voiture), il faut que je m’arrête juste là où ils m’ont montré. (Sourire) Puis nous sommes rentrés à la maison et tout de suite, ils m’ont mis à l’aise. Aussitôt, maman Huguette m’a dit

« Juliette, tu vas te déchausser ici et je vais te montrer la chambre ».

« Oui, Maman, répondis-je, tout de suite ! »

Elle m’a montré, à l’étage, la chambre, les toilettes et la salle de bain. Je dépose mes affaires et je m’apprêtais à descendre.

"Où sont tes chaussons ?"

"Ah oui, mes chaussons !"

Je me baisse pour ouvrir ma petite valise (c’est vrai que dans cette position, mes fesses sont très bien exposées) et j’ai le droit déjà une claque sur le fond de mon pantalon.

Puis, nous sommes descendues rejoindre Josip. Sur la table, tout est déjà prêt. Je dis à Maman Huguette

"Je vais me laver les mains"

Merci à Lucas pour son récit, cela m’évite une fessée. Le déjeuner était très bon, surtout très convivial. Comme je suis d’origine asiatique, nous avons beaucoup discuté de mon parcours en France. À la fin du repas, Maman a proposé de faire une balade.

J’ai un peu aidé Josip à débarrasser la table et les assiettes.

"Bien Juliette ! Maintenant, tu vas te brosser les dents !"

« Ah bon ? le midi ? je ne me suis jamais brossé les dents le midi, répondis-je !"

« Chez nous, c’est le matin, midi et soir. Allez, Allez, pose ton téléphone et monte dans ta chambre te brosser les dents !"

Le ton donné est impératif et non négociable. Je sais que j’ai tout intérêt à obéir. Je monte et me brosse les dents.

Malgré le froid, il y a du soleil, pendant la balade, Josip a un peu taquiné Maman Huguette, cela me fait rire, Maman a donné deux petits coups de sa main sur le pantalon de Josip et bien sûr, j’y ai eu le droit aussi. Pendant la balade, je fais attention, car je n’ai vraiment pas envie d’être fessée en extérieur.

Nous sommes rentrés après une heure et demie de balade. J’ai pris un thé et discuté avec Maman Huguette.

18 h 45

"Juliette, tu vas préparer les couverts ?"

"Oui, mais je veux fumer tout d’abord, répondis-je."

"Non, tu vas mettre les couverts tout d’abord ! et tu iras fumer après. Ta dernière cigarette date de moins d’une heure ! "

Je boude un peu, mais je mis les couteaux, les fourchettes et les verres.

« Maintenant, tu vas mettre les assiettes ! »

"Non, je vais fumer maintenant"

Elle m’a regardée, pas très contente, mais elle a quand même donné son accord. Je suis partie en dehors pour fumer une cigarette et je suis retournée dans le salon cuisine. Je ne sais pas pourquoi, j’ai vu un truc qui ressemblait à une assiette et je l’ai pris dans ma main, bien que Maman Huguette me dise d’ouvrir le tiroir.

« Bon maintenant ça suffit ! Tu vas avoir une fessée ".

Je n’ai pas eu le temps de réfléchir à quoi que ce soit, elle m’a amenée près d’une petite table, et elle m’a dit

"Tu vas voir, si cela me gêne de te donner une bonne fessée !"

En même temps, elle a déjà déboutonné la ceinture de mon pantalon. Ma culotte a été baissée aussitôt. Elle m’a pris sous son coude, et elle a commencé à me claquer les fesses nues dans cette position.

"Aie, Aie, Aie !"

Je ne sais pas combien de claques elle m’a données, mais ce n’était pas très long. Elle a alors changé de position et elle s’est assise sur le canapé, et elle m’a demandé de m’allonger sur ses genoux. Je n’ose pas lui désobéir, mais je réponds tout de même.

"Ce n’est pas juste que je reçoive une fessée !"

"Ah bon ? Tu vas aller réfléchir dans le coin tout à l’heure ! "

Ses paroles étaient accompagnées de sa main qui tombe sans pitié sur mes fesses. Je commence à les sentir devenir de plus en plus chaudes.

"AIE !"

Elle a alterné la fesse gauche et puis la droite. Je ne sais pas combien de temps cela a duré. Je n’avais qu’une seule envie, c’est qu’elle arrête.

« Bon, maintenant, mets-toi debout et tu vas au coin là-bas ».

Elle m’a amenée au coin, et elle a placé mes mains dans le dos, la culotte toujours baissée.

"Tu ne bouges pas, m’ordonne-t-elle !"

Puis, elle est partie voir Josip. Je me sens très honteuse d’avoir les fesses nues ainsi exposées et j’imagine ce que je vais ressentir quand Josip va passer et les voir. J’utilise un peu le reflet du tableau en verre pour vérifier si elle est derrière moi, et j’ai profité de ce moment pour mettre mes mains sur mes fesses qui sont toutes chaudes.

"Juliette !"

Je ne sais pas quand elle est revenue, et tout de suite, j'ai remis mes mains correctement. Et puis elle est repartie… J’ai remis discrètement mes mains sur mes fesses pour les caresser et en atténuer la douleur.

"Juliette ! Je te vois !"

Elle a haussé le ton et puis elle est venue, m’a donné quelques claques bien appuyées sur mes fesses, ensuite elle m’a demandé de mettre mes mains sur la tête ! J’aurai moins de proximité pour toucher mes fesses.

Comme je ne suis pas quelqu’un qui peut rester immobile pendant longtemps, de temps en temps, j’ai tourné la tête vite pour voir où elle était. Heureusement, elle n’était pas dans le salon. Enfin, elle est revenue et elle m’a demandé de remonter ma culotte et mon pantalon. Elle m’a montré où sont les assiettes (j’avais confondu le saladier avec l’assiette) et je les mets sur la table. Mais comme je suis un peu têtue, j’ai insisté avec le saladier que j’ai pris dans la main.

« Tout à l’heure, il peut très bien aussi servir sur la table. »

Elle m’a regardé, mais sans un mot. Elle a décroché le martinet, elle m’a donné quelques coups. Malgré le pantalon, j'ai bien senti l’échauffement ; et puis la cravache, la petite main tape bien fort, heureusement elle ne m’a pas déculottée cette fois, la punition n’a pas duré très longtemps, quelques claques pas trop méchantes, mais je les ai bien senties quand même.

À la fin, Maman Huguette m’a dit :

« Si tu fais encore des bêtises, ça sera Josip qui va te punir ! »

À ce moment-là, je n’ai pas pris très au sérieux ce qu’elle disait. Puis, nous sommes passés à table.

Je n’ai même pas vu le temps filer. La connaissance de l’histoire dans le monde entier de Josip m’a beaucoup surpris. Comme je suis d’origine asiatique, nous avons beaucoup parlé de l’histoire asiatique et puis de la révolution en Asie, etc. L’ambiance est tellement conviviale, j’ai oublié que j’ai une douche à prendre avec Maman (Sourire).

22 h 30

Maman Huguette est montée à l’étage avec moi. Je sors mon pyjama et puis je me suis déshabillée devant elle. Nous sommes allées dans la salle de bain. Elle a ouvert le robinet de douche, mais l’eau chaude a pris un peu de temps pour arriver. Très honnêtement, je n’ai pas du tout ressenti aucune honte ou quoi que ce soit à ce moment-là, bien que je sois toute nue. Je me sens comme une petite fille et maman est en train de s’occuper de faire couler l’eau pour la douche.

« Juliette, je te laisse prendre une douche comme une grande et après, je remonte ».

"Oui maman"

Après quelques minutes, j’étais en train de m’essuyer avec la serviette, quand elle est rentrée.

"Tu t’es bien lavée ?"

"Oui, maman !"

Je m’approche du lavabo pour me brosser les dents.

"Très bien Juliette !"

Je suis très contente d’entendre ces paroles et je commence à être fière de moi. (Sourire) Et puis j’ai mis mon pyjama et suis retournée dans la chambre avec Maman.

« Tu vas mettre tes habits pour demain sur la chaise. »

En fait, ce n’est pas difficile, j’ai déjà tout mis dans un sac et j’ai balancé le sac sur la chaise.

« J’ai dit les habits ! »

« Oui, maman, les habits sont dans le sac ! »

J’ai souri avec un peu l’esprit de rigolade.

« J’ai dit les habits, pas le sac ! Et puis tes vêtements sales, tu vas les mettre où ?"

À ce moment-là, ça a commencé à m’agacer un peu et j’ai sorti les habits du sac et je les ai mis sur la chaise et puis j’ai décidé de me mettre au lit.

"Juliette, tu n’as pas mis tes vêtements sales comme je te l’ai demandé !"

"J’aurai le temps demain matin ! on aura toute la matinée !"

Elle patiente, et elle m’a répété plusieurs fois ce qu’elle exigeait, mais je suis têtue. Je ne veux pas changer d’avis, car je trouve un peu exagéré de faire tout cela et tout de suite, sachant que j’aurai largement le temps de le faire le lendemain.

"Bon, je te laisse cinq minutes, et quand je serai remontée, j’espère que tu auras rangé tes vêtements sales !"

Elle est partie. J’étais dans le lit, bien au chaud, je commence à avoir le sommeil. J’ai éteint la lumière et je me suis plus confortablement installée.

J’entends le pas de Maman qui s’approche. Elle a rallumé la lumière et, bien sûr, qu’elle a vu que rien n’avait été fait.

"Tu veux que j’appelle Josip ?"

Je ne lui ai pas répondu. J’ai mis l’oreille sur ma tête et je ne veux rien entendre.

"Josip, il faut que tu montes !"

Il arrive. J’étais dans le lit. Il a rabattu la couette, et en une fraction de seconde, je me suis retrouvée couchée à plat ventre sur ses genoux. Je ne sais même pas trop comment il a fait. Il a baissé mon pantalon de pyjama, exposant mes fesses à nu. Il a commencé à me fesser fort, même très fort. J’ai eu du mal à reprendre mon souffle, tellement les claques sont intenses et fortes. Après un bon moment à ce régime, inconsciemment, j'ai mis ma main droite, ma seule main libre, sur mes fesses pour essayer de les protéger. Bien sûr que ça n’a servi à rien. Il a pris mon poignet, il l’a remonté dans mon dos et a continué à me donner de bonnes claques. J’ai dit avec une petite voix.

"Ce n’est pas juste ! "

"Huguette, tu vas chercher le martinet, a dit Josip !".

Elle est revenue le martinet à la main. Josip n’a pas hésité une seconde à appliquer les lanières bien comme il faut sur mes fesses. J’ai commencé à crier. Si, avec sa main, la fessée était déjà très forte, la douleur du martinet sur mes fesses nues était juste insupportable. Je me tortille dans tous les sens, mais sa main gauche m’a bien immobilisée et il m’était impossible de bouger. Je n’ai pas été capable de compter combien de coups que j’ai reçus. La douleur était trop forte.

"Vas-tu ranger tes affaires, maintenant ?"

Je ne sais pas pourquoi, je n’ai pas répondu, mon cerveau ne fonctionnait plus. En tout cas, je n’ai pas réagi. Et j’ai commis une énorme erreur, car Josip a pensé que je continuais à résister. Il m’a encore fessé avec plus de force. Je ne sais pas si j’ai crié ou hurlé après chaque coup, et je ne savais pas comment je pouvais arrêter ce cauchemar.

"Tu vas ranger tes affaires maintenant ?"

Cette fois, mon cerveau m’a dit qu’il ne faut pas rater l’occasion et j’ai répondu

"Oui, tout de suite. !

J’ai eu du mal à me remettre debout. Je me suis approchée de mes vêtements. Je pense que Maman Huguette a eu pitié de moi d’avoir reçu une si sévère fessée. Elle m’a demandé quels sont les vêtements sales et c’est elle qui les a mis dans le sac.

Je cherchais à soulager un peu la douleur de martinet, les mains sur mes fesses.

"Je vais chercher la crème, tu vas sentir mieux après."

Maman est descendue chercher la crème. Et je me suis allongée à côté de Josip.

"Ne bouge pas, m’a-t-il ordonné !"

J’ai obéi. Je n’avais vraiment pas envie de recevoir une autre fessée. Maman est revenue et elle m’a mis de la crème partout sur mes fesses. Cela fait du bien.

"Maintenant debout !"

Je me suis levée, j’ai voulu remonter mon pyjama. Papa Josip a tout de suite grondé.

"Est-ce que je t’ai autorisé à remonter ton pyjama?!"

C’est lui qui m’a reculottée et il est parti. Je suis rentrée dans le lit, mais j’avais réellement mal, j’ai même voulu pleurer, mais j’ai réussi à me contrôler. Maman Huguette s’est assise à côté de moi.

"Il est plus sévère que moi, n’est-ce pas, Juliette ?"

"Oui !" J’ai répondu ».

J’ai mis ma tête sur la cuisse de maman et elle a passé sa main dans mon dos pour me consoler. La caresse de Maman m’a fait du bien. Et puis elle m’a amené une petite bouteille d’eau et un verre.

"Bonne nuit Juliette ! "

Elle m’a fait gros bisous sur mes joues et je me sens beaucoup mieux.

"Bonne nuit Maman !"

Je lui ai fait un gros bisous aussi et en ce moment-là, je suis sentie comme une petite fille, contente d’avoir les bisous de maman pour dormir.

Les principes d'éducation en œuvre ici

Qui adulte reçoit des fessées par punition

La fessée déculottée : honte ? humiliation ? 

Recherche personne, homme ou femme, pour donner la fessée 

Donner la fessée, une évidente marque d'attention

La fessée déculottée, de la découverte à la pratique habituelle 

La fessée déculottée, une nécessité avec certains adultes 

La fessée déculottée… oui mais 

Quelle fessée pour quelle bêtise ?

Juliette a-t-elle reçu d'autres fessées ? 

Vous le saurez très bientôt en lisant, dans quelques jours, la suite sur ce blog.