mardi 30 janvier 2024

Autorité et confiance, diptyque indispensable pour donner et recevoir la fessée déculottée

L’article que j’ai publié sur ce blog le 28 janvier dernier, explicitait ma pratique de l'administration de fessées déculottées à des adultes, en extérieur. Il a soulevé des réactions critiques parlant d’humiliation, d’angoisse, de refus… et j'en passe. La plupart des commentaires qui ont été postés rejetaient cette possibilité comme inadaptée à des adultes et pouvant amener certains d’entre eux à reculer devant cette perspective si elle était d’actualité lors d’un séjour ici.

Si bon nombre des commentaires publiés l’ont été par des personnes n’ayant jamais donné de fessée à un adulte, il y a eu quelques personnes, coutumière du fait, qui ont également exprimé leur désaccord.
Ces critiques ne m’ont pas fait changer d’avis. Je l’ai exprimé dans les réponses que j’ai faites, mais je me suis trouvée bien vite limitée dans ma possibilité de détailler mon point de vue. C’est l’objet de cet article. Bien entendu, si une autre personne voulait publier un autre article défendant le point de vue contraire, je leur ouvrirais bien volontiers le blog.

Vous êtes-vous déjà posé la question de ce qui amène un adulte, a priori sain d’esprit et bien dans ses baskets, à accepter que je le déculotte et que je le fesse suffisamment sévèrement pour provoquer une sérieuse cuisson sur son postérieur, et qu’il finisse, pour de longues minutes, au coin, immobile et silencieux, la culotte baissée, exposant ses fesses nues et toutes rouges à toutes les personnes qui sont dans la maison, sans pouvoir savoir qui peut le voir dans cette si peu valorisante situation ?
Vous êtes-vous également déjà posé la question, vous les mamans et les papas qui donnez la fessée déculottée à vos enfants, ce qui fait que, la plupart du temps, ils ne se débattent pas, alors qu’ils savent pertinemment ce qui va leur arriver et que cela n’aura rien d’agréable ?
Certains ont objecté qu’on ne demande pas son avis à un enfant. Mais on ne le demande pas plus à un adulte. Certes, la différence de force physique fait qu’il est plus facile de maîtriser un enfant qu’un adulte. Mais est-ce nécessaire puisque, dans la très grande majorité des cas, utiliser la force pour immobiliser celui ou celle à qui vous avez baissé la culotte et que vous tenez à plat ventre en travers de vos genoux, n’est pas indispensable puisqu’il consent à recevoir la fessée ?
Je me rappelle avoir lu, il y a longtemps, un roman dans lequel une petite fille suédoise (c’était avant l’interdiction de la fessée pour les enfants dans ce pays) expliquait que la fessée faisait partie de l’éducation de tous les enfants « biens » et qu’elle n’avait rien contre cette punition. Si elle s’était débattue pendant la punition qu'elle relate, c’était uniquement parce qu’elle considérait que la correction qu’elle recevait n’était pas justifiée.
Il me semble que, derrière ce récit dont je ne me rappelle plus ni le titre ni l’auteur, se trouve la réponse aux questions que j’ai posées ci-dessus. Je crois qu’on peut la formuler en deux mots : autorité et confiance.


Effectivement, venir ici vivre un séjour éducatif passant par de sérieuses fessées déculottées, relève d’un choix pour un adulte. Il faut en faire la démarche et elle n’est pas toujours simple, alors qu’un enfant, lui, n’a rien demandé. Cela dit, être déculotté et fessée par ses parents fait partie de l’univers familial de l’enfant qui est ainsi puni. Rejeter l’un signifierait rejeter l’autre. Inconsciemment, l’enfant le sait bien. Recevoir la fessée déculottée est donc un inconvénient imbriqué dans un ensemble d’avantages et on ne peut pas les séparer, refuser les uns et accepter les autres. C’est donc, dans les deux cas, pour un enfant comme pour un adulte, d’un consentement à recevoir cette punition vexante et infantilisante dont il s’agit, pour peu qu’elle soit donnée à bon escient et qu’ils ont le sentiment de l’avoir méritée.
Je ne crois pas qu’il soit possible d’imposer, par la force physique, peut-être à un petit enfant, mais certainement pas à un adulte, d’être déculotté et fessé, quels que soient son âge et sa corpulence et ceux de la personne qui a décidé de sévir. Ce n’est possible que si l’adulte puni laisse l’autre agir à sa guise.
Mais pourquoi se laisse-t-il faire, tout en sachant que les minutes à venir n’auront rien de confortable ? Il m’a suffi d’interroger les personnes qui viennent ici pour remarquer la cohérence de leurs réponses. Tous recherchent un cadre qu’ils n’arrivent pas à trouver de leur propre chef. Tous recherchent la personne qui va le leur imposer, comme il leur a été prescrit  dans leur enfance, sans qu'ils aient, le plus souvent, leur mot à dire.
C’est donc bien d’apprentissage dont il s’agit. Toutes les personnes qui viennent ici ont le sentiment qu’il est nécessaire de parfaire leur éducation et ils recherchent la personne qui, ayant l’autorité nécessaire, acceptera de les prendre en charge. Si on y réfléchit bien, il s’agit d’une figure parentale dont ils ont besoin. C’est le rôle que j’endosse à chaque fois.


Ils ont besoin de s’en remettre totalement à la personne qui peut exercer cette emprise, comme ils s’en sont remis, quelques années auparavant, à l’adulte (père, mère, grand-parent, beau-parent, voisin ou voisine, enseignant(e)…) qui exerçait sur eux l’autorité parentale, qu’elle soit de nature juridique ou de fait. Mais parfois, c’est parce que cette autorité leur a manqué qu’ils en recherchent un substitut. Ils ont alors besoin que cette tutelle soit absolue, donc qu’elle passe par l’administration de punitions, réminiscence de celles qu’ils ont reçues, ou succédané de celles qui leur ont manquées, même si elles sont infantilisantes.
Ce n’est possible que s’ils ont parfaitement confiance dans la personne à qui ils ont confié cette responsabilité. En effet, ici, un contrôle est exercé sur tous les aspects de leur vie : propreté, hygiène, travail… Il est aussi attendu d’eux une obéissance immédiate dont ils n’ont plus l’expérience depuis de nombreuses années. Ils n’ont enfin plus leur mot à dire pour approuver ou rejeter une correction, ni sur les modalités de son administration. Toutes ces décisions ne leur appartiennent plus. Ils ont besoin d’être convaincus, a priori, de la pertinence des dispositions que va prendre la personne entre les mains de laquelle ils se sont remis, même si elles ne sont pas toujours réjouissantes.


C’est à instaurer cette relation que servent les nombreux échanges qui précèdent un passage ici. Ils sont indispensables. Il faut, en effet, un parfait accord avec ce qui est exposé ci-dessus et c’est pourquoi je revendique une sélection rigoureuse. J’ai bien conscience que les séjours que je propose ne peuvent pas convenir à tout le monde. C’est bien normal. Mais il ne faudrait pas que des personnes recherchant un autre type de relation, viennent ici. Elles en seraient déçues et moi aussi. C’est déjà arrivé et je n’ai pas été surprise du résultat décevant.
Cette relation ne peut alors reposer que sur une autorité parentale avec toutes ses prérogatives, dans leur acceptation traditionnelle. Pour vivre pleinement cette situation, pour les personnes qui viennent me voir comme pour moi, il est nécessaire qu’ils me voient, au moins dans les moments où je les punis, comme une figure maternelle dans toutes ses composantes. Ils savent que j’ai la possibilité de leur baisser la culotte, de les fesser aussi sévèrement que je l’estime nécessaire et de les mettre au coin en tout lieu et à tout moment, quelles que soient les personnes présentes.
Ils savent que je n’hésiterai pas à les punir quand j’estimerai qu’ils l’ont mérité et qu’ils en ont besoin. Mais ils savent également que je ne ferai pas n’importe quoi. Ils ont confiance en mon appréciation de la situation, quelles qu’en soient les circonstances.
Cela s’applique, évidemment, à la fessée en extérieur. J’en ai explicité les conditions dans le dernier article que j’ai publié. Suite aux réactions suscitées, j’ai revérifié, auprès de chacune des personnes qui sont venues ou vont venir ici, leur acceptation à recevoir la fessée en dehors de la maison si je trouve important de la donner. Pas une seule réticence à me confier cette responsabilité. Au contraire, presque tous ont exprimé leur confiance dans mon jugement et dans le choix que je pourrai faire de les déculotter et de les fesser en extérieur ou de différer la correction. La menace permanente d'une fessée déculottées, y compris en extérieur, fait partie des conditions dont ils ont besoin pour grandir. C’est l’une des raisons pour lesquelles ils viennent ici.

Sans doute cette disposition rebutera certaines personnes qui préféreront ne pas venir, au risque d’être déculottées et fessées dans un lieu ou en présence de personnes qui ne leur conviendraient pas. C’est certainement qu’ils ne sont pas prêts à accepter la situation que je propose dans toutes ses composantes. Il est alors préférable, pour eux comme pour moi, qu’ils ne viennent pas ici.

Huguette.



Vous voulez aller plus loin ?

Je serai ravie d'échanger avec des personnes partageant une vision proche de la mienne en matière d'éducation des adultes en recourant à la fessée déculottée. Si la rencontre avec une personne de sexe masculin semble en bonne voie, il n'en est pas de même avec des personnes de genre féminin. Appel donc à des candidates.

Si le cœur vous en dit, n'hésitez pas à me contacter, dans les commentaires ci-dessous dans un premier temps. Après quelques échanges, nous pourrons décider si nous voulons aller plus loin. 

6 commentaires:

  1. Je suis bien d'accord avec vous. Quand je recevais la fessée par la dame qui s'occupé de moi , je venais chez elle en toute connaissance . j'amais je me suis débattue , cela me serais même pas venu à l'ésprit . Elle me prevenait à n importe quelle moment de la journée, des que je la mérité , elle me déculotté de suite et la fessée prenner tout son sens, oui j'avais honte , surtout au coin, cul nu, être devant un mur, neplus avoir le droit de bouger, alors qu'elle retournée à c'est activité. Je devais attendre qu'elle vienne me cherché . Je savais que c'était pour mon bien, car même si on est adulte, dans mon comportement laisse à désiré, et heureusement qu'elle était là pour me dire stop.

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  2. Tout à fait d’accord avec Huguette concernant la fessée en extérieur. Voir mon commentaire à l’article précédent.
    Jean N.

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  3. Entièrement d'accord avec Huguette , si tout est prévu et accepté en amont, aucune raison de ne pas recevoir une bonne fessée en extérieur si cela est nécessaire, ont sait à quoi s attendre lors de notre visite

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  4. Estelle,
    J'ai bien reçu vos trois commentaires que je vais demander à Josip de publier sous forme d'un article mais pas avant vendredi 2 février 2024. Il y a un autre article de programmé demain.
    J'aurai bien aimé que vous le relisiez avant publication car je ne suis pas sûr d'avoir conservé la bonne mise en page. Hélas, je ne peux vous l'envoyer. Il faudrait le faire sous la forme d'un courriel et je n'ai pas le vôtre. Auriez-vous une solution ?
    J'attends votre réponse,
    Huguette

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  5. Huguette, faites comme bon vous semble le contenu est plus important que la forme. Comme vous le voyez même si je suis parfois votre contradictrice, sur l'ensemble nous partageons la même vision de la fessée éducative et maternelle et je m'en réjouie car vous faites cela très bien.

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  6. Bonjour, en tant que personne qui a reçu de très nombreuses fessees, je tiens à dire que la menace permanente au dessus de sa tête d avoir le cul rougit à tout moment est ce qui est le plus efficace. Alors oui c’est gênant d être fessee cul nu en extérieur mais c’est souvent un mal nécessaire avec le recul

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