samedi 13 janvier 2024

Journal d’un grand garçon fessé – Vendredi 12 janvier 2024 – 14 h 25

Ma première fessée de l’année. « Et tu vas l’écrire pour que tout le monde sache que tu as été puni ! ». Oui, je dois l’écrire. Cela fait partie de ma punition.

« Tu piques ! Tu vas te raser aujourd’hui ! »

J’avais l’intention de me raser, de toute façon. J’aurais dû m’en tenir là. Acquiescer à l’injonction de ma compagne, d’autant plus que j’étais pelotonné dans ses bras. Mais non, il a fallu que je « fasse le malin », comme elle dit. Les conséquences ne se sont pas fait attendre.

« Oui, je vais le faire ! »

Ma compagne a l’habitude de mes promesses qui ne sont pas assorties d’une échéance. Elle sait que c’est une manière de contourner ses ordres.

« Oui, tu vas le faire, mais aujourd’hui ! »

– Aujourd’hui ? Non demain plutôt !

– Non, j’ai dit aujourd’hui ! »

J’ai râlé, un peu, pour le principe. Juste histoire de montrer que j’exerçais mon libre-arbitre. Enfin, un peu. Juste un peu. Je savais qu’il n’y avait plus de place pour une décision venant de ma part.

« As-tu entendu ? J’ai dit aujourd’hui !

– Oui, j’ai entendu, mais demain…

– Veux-tu une fessée pour que tu arrêtes de discuter ce que je te dis de faire ?

– Non, pas de fessée ! »

J’ai laissé s’installer un petit silence. Ma compagne m’observait. Moi, je ne levais pas les yeux sur elle. Je la regardais uniquement du coin de l’œil.

« Bon, alors j’ai jusqu’à minuit ! »

Minuit, bien sûr, ça n’avait aucun sens. À cette heure-là, nous serions couchés tous les deux. Il ne serait plus temps de se raser. Mais je suis assez coutumier des petites provocations gratuites. J’ai l’impression d’y gagner un peu de liberté et de tester sa résolution. Je m’attendais à la réplique qui a suivi.

« Non, tu n’as pas jusqu’à minuit, je te donne jusqu’à dix heures ! Non, neuf heures !

– Mais tu as dit aujourd’hui ! Aujourd’hui, ça finit à minuit, pas avant !

– J’ai dit neuf heures !

– Oui, mais avant, tu avais dit aujourd’hui. Aujourd’hui, c’est jusqu’à minuit !

– Tu as entendu ce que j’ai dit ? C’est neuf heures !

– Mais tu avais dit... »

Je n’ai pas pu finir ma phrase. Nous étions assis tous les deux sur le canapé. Ma compagne m’attira à elle et elle me coucha à plat ventre en travers de ses genoux.

« Non, pas la fessée ! »

Mais je savais qu’il était trop tard. J’avais poussé le bouchon un peu trop loin.

« Je vais t’apprendre à discuter toutes mes décisions ! »

Elle appuya sa main dans le creux de mon dos. Je n’étais pas réellement immobilisé, mais je savais que j’avais plutôt intérêt à rester là où elle m’avait mis, sous peine d’une très sévère correction. J’avais encore l’espoir que la fessée que j’avais méritée, je dois le reconnaître, ne serait pas trop longue ni trop forte.

Elle ne donna une dizaine de claques sur le fond du pantalon. Je ne les sentis presque pas, mais c’était symbolique. Elle m’annonçait ainsi que ma punition avait commencé. Bien entendu, alors que j’en avais encore l’espoir, elle n’en resta pas là. Elle glissa ses doigts sous l’élastique qui retenait mon pantalon et elle tira vers le bas. Le vêtement suivit sa main et se retrouva à mi-cuisse. Sans plus attendre, ma culotte prit le même chemin.

Alors, elle appuya un peu plus ses claques sur mes fesses. La véritable fessée venait de débuter. Elle ne mit pas longtemps à installer une fournaise sur mon postérieur. Sa main claquait sur mes fesses nues et sur le haut de mes cuisses.

Je ne retins pas mes cris. Je savais que c’était inutile. Il n’y avait de toute façon personne pour venir à mon secours et même s’il y avait eu quelqu’un, je doute qu’il se soit mêlé de cette punition domestique. Bientôt la cuisson de mes fesses m’obligea à battre des jambes. Je sais que cela ne sert à rien, mais je ne peux m’en empêcher. Une sorte d’exutoire.

La fessée se poursuivait et j’avais de plus en plus de mal à en supporter la cuisson. Ma compagne n’a pas besoin de me fesser longtemps pour que j’aie du mal à en supporter la rigueur. Dès que la fessée commence, elle abat sa main très vigoureusement et elle échauffe mes fesses suffisamment pour que cela me paraisse très vite insupportable. C’est à ça que sert une fessée. Je le savais, mais cela n’atténuait en rien la cuisson de mes fesses.

Sans y avoir réfléchi plus avant, j’interposais ma main droite, la plaçant en protection sur mes fesses, interrompant ainsi la correction. Hélas, cela ne dura pas. Ma compagne prit mon poignet et le remonta dans mon dos, dégageant de nouveau sa cible. La fessée reprit. J’avais juste réussi à prolonger un peu plus.

Je criais, je la suppliais, l’assurant que j’allais me raser, je battais des pieds sur le canapé, mais la fessée continuait. Elle alla au bout. Quand elle s’arrêta, ce fut un soulagement.

« Est-ce que tu as bien compris ?

– Oui, oui !

– Oui qui, dit-elle en me donnant deux claques supplémentaires sur les fesses ?

– Oui Maman !

– Relève-toi et remonte ta culotte et ton pantalon. »

Je m’exécutais aussi vite que je le pus. Il s’agissait maintenant que je lui obéissais avec empressement. Je savais ce que je risquais si je montrais le début d’une hésitation.

« Et n’oublie pas, rasé avant neuf heures ! »



Il était dix-neuf heures cinq quand je rentrais dans la salle de bains. Je pris mon rasoir.

Ma compagne passa sa tête par la porte entrouverte.

« C’est bien, dit-elle, il était temps ! »

Du temps, j’en avais encore, mais j’avais préféré ne pas prendre de risque.



D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus


La première fessée du journal racontée ici

 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.



3 commentaires:

  1. Ouchhhh première fessée de l année pour ne pas avoir obéi assez rapidement et avoir tenu tête à maman Huguette , début d année en fanfare ,après je peux comprendre que se rasé peut attendre ,moi même je ne suis pas fan , mais un moment où un autre faut le faire... mais je comprends que josip n était pas motivé sur le coup ,j aurais sûrement essayé de retarder au maximum , à mes risques et périls je pense...

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  2. Oui une première fessée un 12 janvier mais pas de fessée depuis début décembre, c'est la preuve que maman arrive à te faire obéir et si on rajoute l'intervention passagère de tonton la méthode est efficace.

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  3. Quand je lis cet histoire, je ne peux pas m 'empecher de repenser à la situation dans laquelle je m'étais trouvé par rapport à la fessée que j'ai recu à l'age de 16 ans en classe de 4ème Technologique des mains de ma prof de comptabilité au seul motif que j'avais complètement oublier de faire un devoir que nous étions en train de corriger ce jour là et qui était probablement rester dans la chambre de ma maison.
    Elle m'avait demandée de me lever puis elle s'est placée dans mon dos après etre passée derrière moi elle me mit à l'aide de sa main droite trois claques sur le fond du pantalon de ma fesse droite et après elle retourna s'asseoir à son bureau et le cours repris ou plutot continua comme si de rien ne s'était passé.
    Elle m'avait dans son collimateur depuis le début de la rentrée puisque que j'étais déjà été sous le coup d'un avertissement de sa part étant donné que j'avais oublié auparavant cet fois-ci mes affaires et elle m'avait donc prévenu qu'au prochain oubli je n'y couperai absolument pas du tout et que j'aurai donc le droit à la fessée puis elle m'envoya dans la salle des ordinateurs afin de m'isoler de mes autres camarades comme si elle m'avait mis au coin et je me mis à pleurer à chaude larmes.

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