La fessée déculottée en extérieur, craintes et réalités

Beaucoup de commentateurs sur le blog me demandent des précisions quant à la fessée déculottée que je donne quand nous sommes en dehors de la maison et particulièrement dans un lieu public, en extérieur.

Cela semble à la fois attirer et repousser. Il est, en effet, difficile, pour un adulte, de concevoir qu’il pourrait avoir la culotte baissée et recevoir une réelle fessée alors que des personnes non averties pourraient le voir dans cette situation vexante et infantilisante. Mais c’est aussi une expression ultime de l’autorité parentale que de donner la fessée quand et là où elle est nécessaire… y compris à l’extérieur. Réciproquement, c'est la manifestation finale de l'acceptation de la légitimité d'une autre personne à donner la fessée. Reconnaître le bien-fondé de cette autorité, c’est lui donner le droit de corriger quand elle le juge nécessaire. Cela fait donc partie de la situation dont beaucoup ont besoin.

Qu’en est-il réellement quand on vient ici, se placer sous mon autorité ?

Avant de venir ici pour un séjour d’éducation impliquant d’être puni quand on le mérite, il faut bien savoir à quoi on s’expose. De mon côté, je revendique tous les droits et les devoirs d’une Maman, dans une vision traditionnelle de l’éducation, vision qui est encore en œuvre dans bien des familles. Les témoignages que nous avons tous pu lire, ces derniers mois, sur ce blog s’en font l’écho.

Cette conception de l’éducation signifie d’avoir la responsabilité de corriger les défauts qu’un adulte n’arrive pas à rectifier de lui-même et on sait que ce n'est pas facile tant ceux-ci sont ancrés dans les habitudes, en recourant, aussi souvent que nécessaire, à la fessée déculottée. C’est à cette condition que j’accepte de recevoir des adultes.

Il est possible que d’autres personnes passent me voir, non pas pour me confier la responsabilité de leur éducation, mais pour contribuer à celle de mon compagnon. J’ai déjà eu l’occasion d’expliquer pourquoi cela me paraissait important, je ne vais pas y revenir ici. Il va de soi que l’article que vous êtes en train de lire ne concerne pas ces personnes.

Je crois fermement qu’une fessée, pour porter ses fruits, doit être donnée aussitôt qu’elle est méritée. Certes, différer l’application d’une punition peut amener à faire monter progressivement l’appréhension de la correction à venir, plus son application devient proche. Mais ce n’est pas vraiment le but recherché. À mon sens, il sera bien plus productif de baisser la culotte et de rougir les fesses d’un ou d’une contrevenante, sur le lieu et au moment où cela est mérité. La proximité entre l’écart commis et la punition qu’il engendre envoie un message bien plus clair.

Si cela n’est plus de mode, il a été longtemps admis qu’un parent avait le droit et le devoir de donner la fessée en tout lieu et à tout moment, quelles que soient les personnes présentes. Cela a souvent été pratiqué, il y a peu de temps encore, et j’y ai toujours recours quand des adultes me confient la responsabilité de les punir quand je juge qu’ils en ont besoin.

Il me revient donc d’estimer quand je peux et je dois baisser la culotte et donner une fessée, de même qu’il m’appartient de déterminer la sévérité de la fessée quand elle est méritée. Il va de soi qu’en aucun cas, quand la bêtise est commise en extérieur ou au cours d’un déplacement, la fessée en extérieur ne pourrait être exclue.

Il est cependant évident que je ne fais pas n’importe quoi. Il n’est, en effet, pas admis de déculotter et de fesser publiquement un adulte, pas plus qu’un enfant d’ailleurs, sous le regard d’autres personnes qui n’auraient pas approuvé préalablement cette mesure, y compris quand le ou la punie y consentirait. Cela risquerait de choquer les personnes qui pourraient en être témoins et tomber sous le coup de la loi pour exhibitionnisme, bien que rien n’interdise de corriger un adulte, mais je préfère ne pas prendre de risque.

Rien n’empêche, en effet, de donner une fessée déculottée à un adulte pour peu qu’il soit consentant. Se laisser faire, ce qui est une obligation pour toutes les personnes qui sont sous ma responsabilité, est évidemment considéré comme une forme de consentement, mais il faut aussi celui des personnes qui assistent à la fessée. Je ne donne donc la fessée, en intérieur comme en extérieur, qu’en présence de personnes qui approuvent cette méthode ou qui y sont eux-mêmes soumis.

Il y a donc des lieux où je considère qu’il n’est pas décemment possible de baisser la culotte d’un adulte et de le fesser. Ce sont tous les endroits où des caméras pourraient enregistrer la scène ou lorsque des personnes qui n’auraient pas donné leur consentement à être témoin d’une fessée, seraient trop proches. Bien évidemment, je m’interdis de la donner quand des enfants sont présents. Dans ces cas, la fessée est différée jusqu’à ce que je trouve un endroit adéquat, au pire à notre retour à la maison.

Il me semble important que ce soit les personnes habilitées à donner la fessée déculottée aux adultes qui viennent chez moi, qui décident seules de la pertinence d’une fessée, du lieu et du moment de son administration et de la présence ou non d’autres personnes. Être puni ici signifie potentiellement pouvoir recevoir la fessée déculottée et être mis au coin à n’importe quel moment, dans n’importe quel lieu et en présence de n’importe quels autres adultes.

C’est donc une question de confiance. Il est nécessaire que les personnes qui viennent se placer sous mon autorité aient toute confiance en moi pour les punir à bon escient et pour choisir le lieu et le moment où cela se passera et en présence de quelles personnes.

Josip, mon compagnon, a franchi ce pas depuis longtemps. Il a reçu quelques bonnes fessées en extérieur, mais il les avait méritées. Les premières fois, j’ai fait très attention que, bien que nous ayons été en extérieur, personne ne pouvait nous voir. Je ferai pareil avec toutes les personnes à qui je donnerai une fessée en extérieur. Ensuite, Josip a reçu quelques fessées déculottées où il a pu être aperçu de loin ou furtivement, mais ce n’était qu’après une longue habitude de ces corrections. Il me faisait totalement confiance à ces moments-là.

Nous n’en sommes pas là avec les autres personnes que je punis et sans doute n’y serons-nous jamais, mais cela est affaire de temps. De toute façon, la fessée en extérieur fait partie des points qui sont discutés préalablement à une rencontre. Si cet échange n'a pas pour but d'éliminer cette pratique, cela me permet d'estimer les craintes de mon futur pensionnaire à être déculotté et fessé en extérieur.

Quelques articles qui illustrent le contexte punitif décrit ci-dessus

Qui adulte reçoit des fessées par punition

La fessée déculottée : honte ? humiliation ? 

Recherche personne, homme ou femme, pour donner la fessée 

Donner la fessée, une évidente marque d'attention

La fessée déculottée, de la découverte à la pratique habituelle 

La fessée déculottée, une nécessité avec certains adultes 

La fessée déculottée… oui mais 

Quelle fessée pour quelle bêtise ? 

Vous voulez aller plus loin ?

Je serai ravie d'échanger avec des personnes partageant une vision proche de la mienne en matière d'éducation des adultes en recourant à la fessée déculottée. Si la rencontre avec une personne de sexe masculin semble en bonne voie, il n'en est pas de même avec des personnes de genre féminin. Appel donc à des candidates.

Si le cœur vous en dit, n'hésitez pas à me contacter, dans les commentaires ci-dessous dans un premier temps. Après quelques échanges, nous pourrons décider si nous voulons aller plus loin.