Et voici la première partie du récit du troisième séjour de Juliette à la maison. Il était accompagné de ces quelques mots :
Ci-joint tu trouveras première partie de mes récits. J’espère que je n’ai pas fait beaucoup de fautes.
Je te remercie pour le temps que tu passes à me corriger, je sais que c’est pour mon bien.
Bonne journée Papa !
Après deux séjours chez Papa et Maman, je suis très contente d’y retourner, car je sais que les fessées que j’ai reçues précédemment m’ont permis d’améliorer mes comportements.
Vendredi 08 mars à 11 H 30
Je suis bien arrivée chez Papa et Maman.
« Bonjour Papa ! »
« Bonjour Juliette, tu es en avance ! »
Il m’a fait un grand sourire et m’a fait des bisous.
« Oui, ça va sur la route, ai-je dit à Papa. Il n’y avait pas trop de monde. »
« Bonjour Maman ! »
J’ai sauté dans les bras de Maman, elle m’a beaucoup manquée, surtout ses câlins.
« Bonjour Juliette ! »
Maman m’a embrassée et elle aussi était contente de me voir.
« Allez, monte dans ta chambre et tu redescends après » m’a ordonné Maman.
« Oui, Maman ! »
Après quelques minutes, je suis descendue.
Ensuite, je suis sortie un peu avec Maman et nous sommes rentrées pour déjeuner.
13 H
Nous avons déjeuné ensemble, Papa a fait un gratin de poisson aux épinards, il était vraiment délicieux. J’aimais bien le poisson. Papa et Maman ont toujours envie de me faire plaisir. C’était une façon aussi de me montrer leur attention. J’étais très reconnaissante de leur amour.
14 H 15.
Nous avons fini de déjeuner, je les ai aidés à débarrasser la table.
« Juliette, tu montes et tu vas brosser les dents ! » m’a demandé Maman.
« Hum » lui ai-je répondu.
« Juliette ! »
« Franchement, matin et soir, cela ne suffit pas ? Pourquoi il faut se brosser les dents le midi ? » continuais-je dans mes pensées.
« Ici, c’est le matin, midi et soir ! » a répété Maman en me regardant sévèrement.
« Oui. » lui ai-je répondu avec une petite voix.
Honnêtement, je n’en avais pas très envie. J’ai juste fait un petit pas vers le salon. Bien sûr, mes gestes n’ont pas été échappés aux yeux de Maman.
« Juliette ! »
Maman a commencé à hausser le ton.
« Oui ! »
« Oui, qui ?! »
Maman était clairement en colère. Elle m’a basculé sous son coude.
« Maman, Maman, justement, je vais monter »
Je savais qu’une fessée n’allait pas tarder à tomber.
« Bien, trop tard ! » m’a répondu Maman.
Elle n’a pas hésité une seconde à baisser mon pantalon, la culotte a tout de suite suivi le même chemin. La main de Maman avait déjà commencé à claquer sur mes fesses.
Clac, Clac, Clac… aïe, aïe, aïe…
« Maman, Maman ! «
J’ai essayé d’expliquer à Maman, j'avais voulu monter me brosser les dents, mais de bonnes claques m’ont empêché de bien m’expliquer.
« Je voulais monter, Maman ! »
Maman continuait la fessée sans m’écouter. Toutes mes excuses n’avaient pas d’influence sur la fessée. Après quelques minutes, Maman a arrêté. J’ai repris mon souffle.
« Tu vas te brosser les dents ? »
« Oui, Maman ! »lui ai-je répondu comme une petite fille qui a reconnu sa faute.
« Très bien ! Après, tu es punie dans ta chambre jusqu’à ce que je vienne te chercher. As-tu compris ? «
J’avais toujours la tête baissée, mais sans hésitation, j'ai répondu « Oui, Maman ! »
Je suis montée brosser mes dents, je me suis reposée dans le lit, le sommeil m’a prise, j’ai fait une micro-sieste.
Je me suis réveillée après certain de temps, et puis j’ai entendu les pas de Maman dans l’escalier.
« Tu as fait une sieste, ma Juliette ? «
« Oui, Maman ! »
En lui répondant, j’ai décidé de m’amuser un peu avec Maman. Quand elle s’est approchée au bord du lit à droite, j’ai fait exprès pour aller à gauche, ensuite, elle s’est approchée vers le gauche du lit et j’ai roulé dans le lit pour être à droite. Elle n’a pas réussi à me rattraper, j’ai bien rigolé, mais bien sûr que Maman ne trouvait pas cela aussi drôle que moi. J’ai arrêté mon jeu, je suis descendue avec Maman.
« Tu vas écrire cette phrase : je dois obéir et ne pas me moquer de Maman sur toute la page «
Maman n’a l’air pas contente du tout.
« Quoi ? sur toute la page ? »
J’étais surprise d’entendre ces mots.
« Oui ! sur toute la page ! »
J’ai très vite réfléchi, Maman n’avait pas dit combien de fois, elle a dit juste toute la page, donc j’ai fait la maline en écrivant tous les mots en très gros. La phrase n’a été écrite que trois fois. Maman est venue vérifier ce que j’ai écrit. Elle s’est aperçue, bien sûr, que j’avais fait ma maline.
« Tu te fous de moi ?! »
Maman semblait très fâchée. Elle a ressorti une nouvelle feuille blanche et elle a mis des petits traits.
« Tu vas écrire cette phrase une fois en face de chaque trait ! Si tu recommences, je me fâche ! »
« Tout ça ? » lui ai-je répondu. « C’est chiant ! »
Je n’avais pas réalisé que j'avais dit un gros mot.
« Tu dis quoi ? »
Maman était très fâchée cette fois. Elle m’a pris par la main et m’a emmenée vers le fauteuil, sur lequel elle s’est assise. Elle m’a basculée à plat ventre. Maman n’a pas hésité une seconde à baisser mon pantalon et ma culotte. Elle a commencé taper fort, très fort… Au bout de la 3ᵉ claque, je me suis mise à crier…
« Aïe, aïe, Ouille, Ouille… »
Mais Maman n’avait pas l’intention de s’arrêter. J’ai eu l’impression qu’elle mettait toute son énergie dans sa main droite, ce qui s’est très vite senti sur mes fesses.
« Maman, Maman ! » ai-je crié avec un ton suppliant.
Elle a arrêté la fessée pour me repositionner correctement.
« Mets-toi à genoux ! »m’a ordonné Maman.
Maman a peut-être pensé que ma faute de gros mot était impardonnable et que la première partie de punition n’était pas assez suffisante. Elle a repris la fessée.
Clac, Clac, Clac…
« Wow, ouille, aïe »
Je ne savais même pas comment exprimer la douleur sur mes fesses. À un moment donné, je n’ai pas pu rester en place et je me suis allongée par terre. Cela n’a pas arrêté Maman, elle a continué quelques claques, ensuite, elle a cessé. Maman m’a laissé quelques minutes afin que je puisse reprendre mon souffle. Puis je me suis levée.
« Pardon, Maman »
« Bien, tu as appris la leçon ? »
« Oui, Maman ! »
« Va te préparer, on va faire un tour dans les magasins. »
Maman avait l’air plus calme maintenant.
18 H
J’ai accompagné Maman dans les magasins et nous étions aussi toutes les deux contentes quand nous avons mangé des crêpes au Nutella. J’ai acheté quelques nems et samoussas, car Papa et Maman aiment bien cela.
« On va rentrer, tu as un devoir à faire avec Papa. »
Maman tenait que je fasse le cours français avec Papa.
« Maman, tu ne veux pas faire d’autre magasin ? »
« Non, Juliette ! Tu as le devoir à faire ! »
En fait, je savais que Maman aurait refusé. Nous sommes donc rentrées à la maison. Ça y est, la récréation est finie. Et avec Papa, on ne rigolait pas. Il a sorti les 3 pages recto verso de la première partie de mon précédent séjour qu’il avait imprimées. Il avait tout corrigé et avait noté tous les points où j’ai commis des erreurs.
« Au total, il y a 52 fautes, ce qui fait moins 137 points ! » a annoncé Papa avec un ton très sévère.
« Que penses-tu ? « m’a-t-il demandé.
Je ne savais pas quoi lui répondre.
« Je pense que tu mérites bien une bonne fessée !« » m’a-t-il informée.
« Veux-tu la lui donner ou je m’occupe ? » a demandé Papa à Maman.
« Non, je te laisse faire » lui a répondu Maman.
Honnêtement, dans ma tête, Papa fesse quand même plus fort que Maman et j’aurais préféré que ça soit Maman qui me corrige. Papa n’a pas perdu le temps. Il a pris ma main, il s’est assis sur un fauteuil, il m’a mis à plat ventre sur ses genoux, mes mains touchaient le sol. Mes jambes étaient bien tendues, les claques ont commencé.
Gauche, droite, gauche, droite. Papa était comme un prof qui était en train de punir une élève qui a obtenu une très mauvaise note. J’avais réellement honte moi-même, j’ai subi en silence sa punition. Après quelques minutes, il a cessé la fessée, il m’a relevée.
« Va au coin ! » a dit Papa.
J’ai obéi tout de suite, avec mes fesses nues rouges, nez dans l’angle de coin, je n’osais pas faire du bruit. Après quelques minutes, Papa est venu me libérer de ma pénitence. Il m’a donné le texte.
« Tu vas corriger toutes les fautes et si tu fais encore des erreurs, tu vas avoir une grosse fessée ! »
Sa consigne n’était pas discutable. J’ai repris les trois feuilles et je les ai relues attentivement. Maman a vu que j’avais l’air embêtée.
« Si tu as besoin d’aide, tu nous dis »
Maman a toujours pitié de moi.
« Oui, Maman, merci ! »
J'ai corrigé les 3 pages recto verso, je les ai donnés à Papa, mais je n’étais pas rassurée du tout. Il a mis du rouge avec son stylo pour corriger les fautes qui restaient. Dès la première fois, j’ai su que j’avais encore commis des fautes.
21H.
Dès qu’il a eu fini, il est parti dans la cuisine. Mon devoir ainsi que ma punition avaient pris beaucoup de temps.
« Je vais avoir une punition ? » demandais-je à Papa.
« Tu verras » a-t-il répondu .
L’ambiance est revenue très conviviale, tout le monde a bien aimé des nems et des samoussas. Maman était contente de notre achat dans les magasins cet après-midi.
22 H 30.
J’ai pris une bonne douche, ensuite, je me suis mise en pyjama. Le meilleur moment est arrivé. Maman est venue me lire une histoire, le bouquin que nous avons acheté la dernière fois. « Juliette à la cantine ». Maman a commencé lire les deux premières lignes, et puis elle m’a dit :
« Je vais chercher mes lunettes, parce que là, je ne vois rien »
Elle m’a fait rire et elle est revenue avec lunettes. Elle a fini lire l’histoire de Juliette.
« Bonne nuit ma Juliette ! »
« Bonne nuit Maman ! »
Maman m’a fait un gros bisou et j’ai dormi comme un ange.
Les principes d'éducation en œuvre ici
La fessée déculottée, une nécessité avec certains adultes
Le précédent récit
Des commentaires ?
L'expérience de Lucas, de Juliette de Josip avec Huguette ou de Marc avec sa femme vous inspire ? Vous inquiète ? Vous interroge ?
Vous avez vécu des situations analogues, soit en recevant ou en donnant la fessée à un autre adulte ?
N'hésitez pas, les commentaires c'est fait pour ça !
Bonjour Tatie Huguette, bonjour Josip, et bonjour Juliette.
RépondreSupprimerEncore un beau témoignage d'un séjour éducatif émaillée de correction bien méritée. Dorénavant Juliette sait qu'il faut se brosser les dents trois fois par jour. Nous attendons la suite avec impatience...
Espérant avoir le plaisir de repasser par votre belle région, bises, Arno
Juliette,
RépondreSupprimerEh oui, il y restait encore beaucoup de fautes. Celles qui demeurent dans des mots ou des expressions que tu ne connais pas, le français n'étant pas ta mangue maternelle, ce n'est pas très grave. Nous allons, petit à petit, nous y attaquer. Non, ce qui est ennuyant, c'est que tu laisses encore énormément de fautes d'étourderie, sur des points d'orthographe et de grammaire que tu connais. Celle-là, je ne les laisserai pas passer. Faisons-en le point :
Les accords en genre et en nombre des adjectifs,
les accords des participes passés utilisés que ce soit avec l'auxiliaire avoir ou être,
les majuscules en début de phrase,
Mise au passé de tous les verbes quand le récit est au passé (sauf, parfois quand il s'agit d'un dialogue)
Je crois qu'avec cette liste, j'ai noté toutes choses que nous avons vues ensemble et pour lesquelles toute faute sera considérée comme une faute d'attention... la fessée que tu recevras alors sera en conséquence.
Nous allons maintenant aborder d'autres questions. Je pense que je serai particulièrement attentif aux répétitions et à l'usage des pronoms pour les éviter, ainsi qu'à l'inversion sujet-verbe dans un dialogue. Quand nous aurons vu cela ensemble, tout oubli sera considéré comme une faute d'attention. Tu en connais les conséquences.
Bisous,
Papa Josip.
Bonjour Papa,
SupprimerJ'ai commis encore beaucoup de fautes :-(
Merci pour ton résumé. Je sais que mon prochain séjour la fessée sera très sévère. Mais je suis convaincue que je vais faire le progrès avec ton éducation.
Bonne journée papa!
Bisous
Ces fessées à tour de rôle réussiront à affiner les manières de cette mignonne un brin étourdie :)
RépondreSupprimerLudovic