dimanche 17 mars 2024

Séjour d’éducation et de discipline chez Papa et Maman - le samedi 9 mars

Et voici la deuxième partie, précédée du texte suivant :
Ci-joint, tu trouveras la deuxième partie de mes récits. Je n’ai pas fini, si je ne peux pas finir aujourd’hui, est-ce que c’est possible que je t’envoie la dernière partie après mon retour ? Aujourd'hui, j’ai pas mal de choses à préparer.
 Je te souhaite une très bonne journée !
Gros bisous.
Juliette

 Nous attendrons donc un peu avant d'avoir la troisième et dernière partie.



9 H

« Ça va, ma Juliette ? Tu as bien dormi ? » Maman est rentrée dans ma chambre.

« Oui, Maman, et toi ? » lui ai-je répondu.

« Oui, tu vas te réveiller tranquillement, ensuite, tu descends. »

« Oui, Maman ! »

Quelques minutes après, je suis descendue, Papa était en train de préparer le petit déjeuner. Il m’a déjà préparé le café au lait, un œuf à la coque. Bien sûr, il y a aussi des viennoiseries sur la table.

Nous avons prévenu d’aller à la piscine ce matin. Après le petit déjeuner, nous avons préparé nos affaires.

11 H

Nous sommes arrivés à la piscine. Il pleuvait ce jour-là, mais il y avait du monde dans les bassins.

J’étais très contente de nager avec Papa et Maman. Papa était super doué pour la natation, Maman était un peu moins à l’aise. Quelques fois, Papa a taquiné Maman en lui attrapant ses pieds. (Maman ne pouvait pas donner une fessée dans l’eau 😊).

Quand je voyais Papa et Maman, ils se sont bien amusés et ils ont bien rigolé ensemble. J'étais heureuse pour eux comme une vraie famille. Nous avons passé presque une heure et demie à la piscine, nous étions tous satisfaits de notre matinée.





13 h

Retour à la maison, heureusement, la veille Papa a préparé la sauce bolognaise et il ne restait plus qu’à la réchauffer.

J’étais un peu excitée par notre matinée de natation, quand Maman a demandé de préparer la table, je n’ai pas vraiment écouté et j’ai voulu jouer avec elle. Maman était à l’autre bout de table, j’ai couru au tour de table pour qu’elle ne puisse pas me rattraper.

« Juliette ! Tu vas mettre la table ! »

Maman était moitié fâchée et moitié amusée, car elle ne parvenait pas à me suivre.

« Maman, je suis là »

J’étais complètement dans mon jeu et je riais.

Papa était dans la cuisine, je ne savais pas s’il m’avait entendue. Quand j’ai vu que Maman ne rigolait plus, j’ai arrêté mon jeu. Elle m’a rattrapée, la prochaine étape ne m’a pas tellement surprise. Elle a baissé mon pantalon et ma culotte et elle a donné des bonnes claques sur mes fesses.

« Aïe, Aïe, Aïe, Maman ! Maman ! »

J’étais sous son coude, les claques étaient bien fortes, j’ai fait la maline, je me suis couchée par terre, Maman a eu du mal à rester dos baissé. Elle m’a donné encore deux claques et elle a arrêté.

Puis, comme d’habitude, je me suis lavée les mains avant de manger. La patte à bolognaise était super bonne, après la piscine, nous étions tous fatigués et nous avons fait une grande sieste.

17 H 15.

Je suis descendue de l’escalier.

« Tu veux une tisane ou un thé Juliette ? »

Maman fait toujours fait attention à moi.

« Un thé s’il te plaît. »

J’ai pris un thé et quelques biscuits avec Maman.

« Je vais sortir les chiens et toi, tu vas faire ton devoir avec Papa ! »

« Je peux sortir avec toi ? », lui ai-je répondu, mais je connaissais la réponse de Maman.

« Non, Juliette, tu as ton devoir à faire ! »

Comme toujours, impossible de négocier avec Maman concernant mon devoir avec Papa. À peine que Maman soit sortie de la maison, Papa s’est assis à côté de la table, il a sorti les trois pages que j’avais corrigées la veille, mais j’avais encore commis six fautes.

« Viens à mon côté ! » Papa m’a demandé.

Je suis allée à côté du Papa. Papa a pointé son doigt sur ma première faute.

« Très chaleureux ou chaleureuse ? », Papa m’a demandé.

« Chaleureuse » lui ai-je répondu avec une toute petite voix.

« Alors, cette faute est une faute de l’accord, qui fait 4 points, et ça sera une fessée ! Bien sûr que c’est une fessée déculottée ! »

Il a baissé mon pantalon et ma culotte, il a commencé à claquer mes fesses.

« Gauche, droite, gauche, droite. Donc ça fait total 4 fois ! »

Papa a tapé très fort, j’ai commencé à souffler au bout de la 4ᵉ claque. Mais ce n’est pas fini.

« Cette faute est une faute d’étourderie, oui ou non ? »

« Oui »

Je n’ai même plus de voix.

« Alors si c’est une faute d’étourderie, la fessée est doublée »

Clac, Clac, Clac, Clac !

Papa a tapé tellement fort, j’ai crié au même rythme de ces claques.

« Aïe, Aïe, Aïe, Aïe ! »

J’ai déjà commencé à sentir la chaleur qui montait sur mes fesses.

Papa n’a pas perdu une seconde, il a déjà commencé à montrer la 2ᵉ faute.

« … Elle a pris ma main et m’a dirigé vers la table. C’est dirigé qui ? »

Je n’ai pas osé croiser les regards de Papa. Papa n’a pas vraiment attendu ma réponse.

« Donc, c’est une faute à 4 points »

Papa n’a pas hésité à utiliser sa force masculine pour me faire sentir la différence d’impact.

Clac, Clac, Clac, Clac.

« C’est une faute d’inattention, car tu sais très bien la règle. La fessée sera doublée. »

Clac, Clac, Clac, Clac.

Que pouvais-je dire ? C’était vrai ce que Papa avait dit, mais en même temps, mes fesses avaient subi tellement de claques que j’aurais réellement voulu que la fessée se soit arrêtée là. Malheureusement, Papa a tourné la page, 3ᵉ faute.

« … mes fesses commencent à sentir la chaleur monte… C’est monter ou monte ? »

Pareil, Papa n’a pas besoin d’attendre ma réponse, car il savait.

« Donc 4 points »

Clac, clac, clac, clac !

« Faute d’inattention, donc doublée »

Clac, clac, clac, clac !

J’ai commencé à souffler de plus en plus fort, je ne savais pas comment dire à Papa s’il pouvait taper un peu moins fort. J’étais submergée dans ma douleur, mais en même temps, je me disais comme j’étais irresponsable de commettre une faute si évidente. Papa n’a pas laissé le temps que je reprenais mon souffle. Il a montré ma 4ᵉ faute.

« … La dictée a été terminé ou terminée ? »

Papa n’attendait plus ma réponse.

Clac, clac, clac, clac.

« C’est une faute d’inattention, donc doublée »

Clac, clac, clac, clac.

Je ne sentais plus mes fesses, tout ce que j’ai senti, c'était la chaleur et la douleur. J’ai voulu supplier à Papa de taper moins fort, mais mon cerveau a été tellement envahi par la douleur que je ne savais pas comment dire. Je soufflais de plus en plus fort. Papa a déjà tourné la page et a pointé sur ma 5ᵉ faute.

« … si tu continues laver ou si tu continues à te laver ? »

Je ne répondais plus. Je n’avais plus de voix à lui répondre. Papa n’attendait pas non plus une réponse de ma part.

Clac, clac, clac, clac ! Clac, clac, clac, clac !

Encore huit fois de claques en quelques secondes. En ce moment-là, tout ce que j’aurais voulu, la faute qu’il a montrée était la dernière. Quelques lignes en dessous, Papa a pointé sur la 6ᵉ faute.

« … ce n’est pas la peine que tu mets ou tu mettes… »

Clac, clac, clac, clac. Clac, clac, clac, clac.

Il a tourné la page et il n’avait plus de faute. Je pensais que c’était la fin de la punition. Mais il a dit :

« Six fautes, 4 points par faute, donc ça fait combien ? »

« -24 points »

« Encore moins 20, donc c’est une fessée ! »

Quand j’ai entendu cette phrase, j’ai vraiment eu l’envie de pleurer. Papa m’a allongée en travers de ses genoux, il a continué la fessée sans pitié. J’étais au bout de mes souffles, je savais que je me souviendrais longtemps de cette fessée. Peut-être que Papa a vu que je n’en pouvais plus, il a cessé la punition. Enfin.

« Va au coin »

J’ai marché en canard vers le coin. Je continuais à souffler fort à cause de la douleur.

« Silence ! je ne veux entendre aucun bruit »

J’ai arrêté de souffler, mes mains derrière mon dos, sans bouger bien sûr. Au début de ma mise au coin, j’ai profité de reprendre mon souffle, ça m’a fait du bien. Après quelques minutes, j’ai commencé à m’ennuyer. J’attendais, j'attendais, mais Papa ne venait toujours pas. J'ai trouvé que le temps était long et je ne pouvais pas bouger. Cependant, j’ai essayé de voir où était Papa dans le reflet du tableau en verre à côté du coin, mais en vain.

Je ne savais pas combien de minutes passées, j’ai vraiment perdu ma patience, j’ai prononcé un mot : « Papa ? »

Bien sûr que Papa a entendu mon mot et il est venu me voir en demandant :

« Qui t’a donné le droit de bouger et de parler ? »

Je ne savais pas quoi lui répondre et Papa n’attendait pas non plus ma réponse. Il m’a tout simplement basculé sous son coude, sa main, sans pitié, a recommencé taper mes fesses qui étaient encore bien rouges suite à la fessée reçue quelques minutes auparavant.

La fessée était un peu moins forte que tout à l’heure, mais Papa a claqué au même endroit que précédemment. Cela fait mal. Heureusement, la fessée n’a pas duré très longtemps, il m’a renvoyée au coin. Cette fois, je n’osais plus chercher à bouger ou à parler. Mais je me demandais quand Maman rentrerait à la maison.


Après quelques minutes, Papa m’a enfin libérée de ma pénitence.

« Tu utilises quel logiciel pour corriger ? »

« Word »

« Tu as ton ordinateur ? »

« Oui, Papa »

« Va le chercher ! »

Il m’a montré un logiciel pour corriger des mots, etc.

« Tu vas maintenant corriger la deuxième partie de ton récit et tu me l’envoies. Si tu fais encore des fautes, ça sera une fessée avec règle ! »

Papa m’a jeté un regard très sévère, je savais que j’avais tout intérêt à faire attention. J’ai commencé la correction, Maman est rentrée avec ses chiens. Elle a vu que j’étais concentrée sur mon devoir, en même temps, j'avais l’air stressée.

« Tu as besoin d’aide ? » m’a-t-elle demandé.

« Maman, je dois me concentrer, si je fais des fautes, j’aurai une fessée avec règle », lui ai-je répondu.

J’ai passé mon texte corrigé dans le logiciel que Papa m’avait montré, je l’ai relu, et après, je l’ai renvoyé à Papa. Il a tout de suite commencé regarder. Je suis partie préparer la table, car nous avons passé beaucoup de temps pour mon devoir.

20H

Papa a fini de corriger, j’ai eu trois fautes. Je ne savais pas si Papa avait eu un peu de pitié de moi, parce que j’ai reçu une sévère fessée cet après-midi ou c’était Maman qui avait vu que j’étais stressée et elle avait aussi pitié de moi, en tout cas, Maman est venue me voir.

« Tu t’es bien améliorée, donc tu n’auras pas de fessée »

Ouf, quel soulagement.


Nous avons préparé la table et nous avons pris un apéro. Maman a proposé que l’on fasse une sortie pour danser et cela m’a bien plu. Papa n’a pas l’air motivé. Les huîtres ainsi que l’araignée de mer étaient délicieuses, ainsi que tout le reste de dîner. Papa et Maman voulaient toujours faire plaisir à leur pensionnaire. Après le repas, Maman et moi, nous sommes parties danser et nous nous sommes bien amusées.


Le précédent récit


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L'expérience de Lucas, de Juliette de Josip avec Huguette ou de Marc avec sa femme vous inspire ? Vous inquiète ? Vous interroge ?

Vous avez vécu des situations analogues, soit en recevant ou en donnant la fessée à un autre adulte ? 

N'hésitez pas, les commentaires c'est fait pour ça !


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