mardi 14 octobre 2025

Journal d’un grand garçon fessé – jeudi 9 octobre 2025 – 17 h 25


Le peu de publications sur ce site depuis un mois pourraient laisser supposer que je n’ai pas reçu de fessées depuis un mois. Ce n’est, bien sûr, pas exact. Ce n’est pas une période où j’ai été souvent puni. Sans doute ai-je moins désobéi à ma compagne, sans doute ai-je fait moins de bêtises ou moins d’imprudence, mais cela ne m’a pas complètement mis à l’abri de recevoir une bonne fessée déculottée.

En fait, ma compagne a dû me baisser la culotte à trois reprises pour me corriger. Je n’ai pas à m’en plaindre, à chacune de ces punitions, je les avais méritées. Vous savez sans doute, si vous avez lu les autres articles de ce blog, qu’elle comme moi trouvons ces corrections tout à fait justifiées.

Elle considère que c’est la meilleure façon de me faire prendre conscience des écarts que je commets, de mon comportement irresponsable, malgré mon âge, et de me faire réfléchir à deux fois avant que je recommence ce qui m’a valu une fessée. Malgré le caractère infantilisant de cette méthode, je suis d’accord avec elle.

Quand elle me baisse la culotte, sans tenir compte, à mon avis, du lieu où nous nous trouvons, je sais que c’est parce que je n’ai pas mérité de conserver mon statut d’adulte et que c’est en me punissant, comme si je n’avais pas l’âge inscrit sur ma carte d’identité, que je vais pleinement me rendre compte combien mon comportement a été enfantin.

Son autorité sur moi, que je reconnais comme étant nécessaire, signifie que je dois lui obéir à tous les instants. Toute récrimination de ma part et toute contestation de son droit et de son devoir de me punir quand elle estime que j’en ai besoin, son punissables. Je le sais bien. C’est ce qui s’est passé cet après-midi là.



Nous avions décidé d’explorer une forêt près de chez nous. Malgré sa proximité, nous n’y étions jamais venus. En son sein, il y avait un lac qui était bordé par un chemin qui en faisait le tour. Un jeudi, début octobre, bien qu’il fasse beau, nous ne nous attendions pas à y rencontrer plein de monde. Et dans le début de notre ballade, c’est bien ce qui s’est passé. Personne.

« C’est un endroit idéal pour te donner la fessée, me dit ma compagne !

– Mais il n’y a pas de raison, répliquai-je !

– Non, pas pour l’instant, mais ce n’est pas une raison pour me répondre ! »

Nous étions sur un terrain glissant. Glissant pour moi. Si ma compagne estimait que j’avais outrepassé mon droit d’échanger avec elle en contestant son droit à me punir, elle pouvait me corriger, rien que pour m’apprendre à ne pas le faire. Cela faisait partie de ses prérogatives maternelles et je n’aurais rien eu à y dire. Lui répondre insolemment, c’était une raison suffisante pour qu’elle me baisse la culotte et qu’elle me rougisse les fesses. J’acceptais donc la réprimande et je n’allais pas plus loin. Heureusement, ma compagne fit de même.

Heureusement, car quelques minutes plus tard, nous fûmes rattrapés par un couple de personnes âgées. J’envisageais avec horreur l’hypothèse que ma compagne ait décidé de me corriger sur place à ce moment-là. Nul doute qu’il aurait été difficile de leur cacher la honteuse situation dans laquelle je me serais trouvé : la culotte baissée, recevant une fessée dont ils auraient probablement entendu les échos avant d’en voir la réalité.

Même si je sais que ma compagne préfère éviter les situations où elle expose mes fesses nues pour me punir devant d’autres adultes sans avoir reçu leur consentement, je savais que cette situation pouvait se trouver. Cela s’était déjà produit une fois. J’étais passé bien près de revivre une telle situation et je n’y tenais pas. J’y avais échappé, je ne voulais surtout pas savoir si c’était passé près ou pas.

Nous continuâmes notre chemin. Le moment était agréable et le temps aidant, j’oubliais ce premier incident. C’est, plusieurs minutes plus tard, quand nous croisâmes deux autres personnes qu’il me revint en mémoire. J’attendis qu’elles se soient un peu éloignées et je fis part de mon sentiment.

« Il y a trop de monde sur ce chemin. Tu ne pourrais pas me fesser.

– Ah, tu crois cela ? »

Sans prendre le temps de finir complètement sa phrase, ma compagne me fit passer sous son coude. La position qu’elle me faisait prendre ne laissait aucun doute sur ce qui allait suivre. C’était une fessée et toute personne qui aurait surgi à ce moment serait arrivée à cette conclusion.

« Non seulement tu vas prendre une fessée, mais je vais te baisser la culotte !

– Non, Maman, pas la culotte ! »

Sans tenir compte de ma supplique, elle baissa mon pantalon.

« Et pourquoi donc ne te baisserais-je pas la culotte pour te donner la fessée ? »

Joignant le geste à la parole, elle fit glisser mon sous-vêtement le long de mes cuisses. C’était une fessée déculottée qui m’attendait.

« Non, Maman, il y a trop de monde !

– Tu aurais dû y penser avant d’être insolent. J’aurais déjà dû te punir tout à l’heure. Une fessée déculottée, c’est ce dont tu as besoin pour te rappeler que c’est moi qui décide quand tu dois être puni et comment, et pas toi ! C’est moi qui décide si je dois te baisser la culotte pour te punir ! »

Elle commença la fessée. Le bruit se propageait et toute personne qui l’aurait entendu se serait demandé ce qui se passait.

« Que nous soyons sur ne chemin où des personnes peuvent passer, m’est indifférent. Si elles arrivent et me voient te corriger, elles penseront que c’est une fessée amplement méritée pour ton effronterie. Ton insolence mérite bien une fessée déculottée ! Tu en es bien trop souvent coutumier ces derniers temps ! »

Quelques jours ayant passé, je dois reconnaître qu’elle avait raison. Depuis, je fais très attention à ne plus être insolent et surtout à ne pas donner l’impression que je remets en cause son droit à me punir. Particulièrement dans les endroits où je sais que d’autres personnes pourraient me voir.

Sur le moment, je trouvais démesuré le risque qu’elle me faisait prendre, mais je me gardais bien de le lui dire. Il ne me restait plus qu’à subir ma punition jusqu’au bout en priant pour que personne d’autre qu’elle et moi ne puisse se rendre compte de la façon dont elle me corrigeait.

Ce ne fut pas une grosse fessée. Elle se contenta de rendre mes fessées cuisantes et je le confirmai grâce aux cris que je poussais à chaque fois que sa main s’abattait sur mon postérieur. Au début, je retenais mes cris afin de ne pas alerter de témoins de mon infantilisation, mais cette résolution ne dura pas. Je crois que ma compagne attendait d’être certaine que la fessée portait ses fruits pour y mettre fin. L’importance du vacarme que je ne tardais pas à faire dut l’en convaincre. Elle me laissa me relever.

« Alors ? Est-ce que je peux te baisser la culotte et te donner une fessée sur ce chemin ?

– Oui, Maman !

– Ne t’avise plus de contester mon droit à te punir quel que soit le lieu ou les personnes qui y assistent. Sauf si tu veux une autre fessée ! »

J’avais toujours la culotte à hauteur des genoux. N’importe qui qui aurait passé le tournant du chemin et qui aurait vu mes fesses sans doute rougies par la fessée et qui aurait entendu ma compagne me gronder aurait tout de suite su ce qui venait de se passer. Je n’avais qu’une hâte, c’était qu’elle me remonte la culotte. Je n’aurais jamais osé le faire moi-même sans en avoir reçu l’ordre.

Elle finit par le faire et j’étais soulagé que personne n’ait pu me voir dans cette tenue aussi peu valorisante.



Nous reprîmes notre déambulation. Je restais silencieux, ne cessant pas de revivre, dans ma tête, la situation qui venait de se dérouler. Bien sûr, cela n’avait été qu’une petite fessée. La cuisson sur les fesses disparut bien vite. Mais le souvenir du risque que j’avais couru était, lui, bien vivace. Cela faisait longtemps que je n’avais pas eu de fessée. Surtout en extérieur. Et encore moins avec la crainte que surgissent des témoins. Ma compagne n’hésiterait pas à recommencer si je lui en donnais l’occasion.

Les cris que nous entendions depuis un petit moment devenaient plus forts.

« Oh, là, là ! Il y a plein de monde.

– Oui, et alors ?

– Si tu m’avais donné la fessée alors qu’ils…

– Je t’avais prévenu ! »

Il y avait, sur le bord du chemin, un banc qui faisait face au lac. Ma compagne me prit par la main et m’y entraîna. Elle s’y assit.

« Non, Maman, pas la fessée !

– C’est pourtant ce que tu vas avoir ! »

Elle me baissa le pantalon, puis descendit ma culotte. Elle m’obligea à me coucher à plat ventre en travers de ses genoux.

« J’ai l’impression que la première fessée n’a pas suffi. Pas de souci, une deuxième va venir résoudre cette question. »

Je n’avais rien à répondre et je crois que ce n’était pas le moment. J’allais recevoir une deuxième fessée et je me maudissais d’avoir fait cette remarque. Ma compagne l’attendait, je la lui avais servie sur un plateau. Elle voulait me faire savoir que je n’avais pas à ergoter sur son autorité et elle tenait à me le faire savoir. Je me retrouvais dans la même situation que la première fois. Je ne savais pas si j’aurais autant de chance que la première fois. Si quelqu’un passait ?

Les claques qu’elle m’asséna furent aussi fortes qu’elle le put, du moins en eus-je l’impression. Heureusement, elle mit fin à la fessée dès que j’en extériorisais bruyamment la douleur. Personne ne survint. J’avais encore eu de la veine, mais comme il commençait à être tard, cela avait dû réduire le risque de voir surgir des spectateurs. Je ne m’en plaignais pas.

Ma compagne me releva et elle me laissa un petit moment debout à son côté, la culotte baissée, juste le temps de me faire une promesse que je sais qu’elle n’hésiterait pas à tenir.

« La prochaine fois, tu iras cueillir une baguette !

– Oui, Maman ! »

Elle me reculotta. Si elle me menaçait d’une fessée à la baguette, c’est que la prochaine ne serait pas aussi facile à endurer. Je me promis qu’il n’y en aurait pas d’autre. Je réussis à tenir ma promesse.




 Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.

En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

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