lundi 23 mars 2020

Repas de famille mouvementé - scène 2

Mais qu'est-ce donc, mon gendre ? Où vous croyez-vous ? Pour qui vous prenez-vous ? Depuis quand osez-vous contester les méthodes que j'emploie pour discipliner mes enfants ? C'est de l'outrecuidance, de l'insolence !
Je n'admets pas que l'un de mes enfants, le fut-il devenu après avoir épousé ma fille, conteste mes décisions. De vous, comme de mes autres enfants, j'attends une obéissance scrupuleuse qui ne laisse pas de place au questionnement de la tutelle que j’exerce.
L'âge n'a rien à voir là-dedans ! Ce n'est pas, parce que, comme ma fille, vous avez plus de trente ans, que je n'aurais plus à surveiller votre éducation. Cette responsabilité que j'exerce depuis la naissance de ma progéniture, n'a pas subitement disparu.
A chaque fois que l'un de vous quatre – eh oui, ma bru, je vous inclus dans le lot, et ne prenez pas cet ait offusqué ou je vous le fais passer dès que j’en ai fini avec ce qui m’occupe en ce moment – commettra une bêtise, désobéira sciemment, se montrera insolent ou impoli, ou se comportera inconsidérément, j’exercerai mon devoir maternel.

Car il fait partie de mes obligations de surveiller votre éducation à tous et cette lourde tâche ne s’est pas arrêtée lorsque mes enfants sont devenus majeurs, ni quand ils se sont mariés. Au contraire ! Cela inclut plus de monde dans mon périmètre de vigilance, vous, par exemple, mon gendre.
Je ne sais si votre mère a été suffisamment ferme avec vous, mais en épousant ma fille, vous êtes entré dans notre famille, avec toutes ses règles et sachez que mes décisions ne s’y discutent pas. C’est valable pour tout le monde, et surtout pour mes enfants, dont vous êtes maintenant. Vous serez donc soumis au même régime qu’eux, y compris aux mêmes punitions.
J’ai bien noté tous les accommodements que vous vous permettez, dérogeant aux obligations qui incombent aux adultes responsables, tous les petits compromis contrevenant aux règles élémentaires de comportement de bienséance ou d’hygiène qui devraient faire partie des réflexes à votre âge. J’ai bien remarqué combien il vous est difficile de vous astreindre à la discipline nécessaire pour assumer l’indépendance que vous revendiquez.
Vous n’avez, hélas, pas encore atteint ce degré de maturité. Ma file n’a hélas rien à vous envier sur cette question. Et je doute que vous soyez à même d’y arriver sans une aide extérieure. Bien que vous ne l’ayez pas sollicitée et que vous considériez que vous n’en avez pas besoin, je me fais fort de vous l’apporter. Cela fait partie de la fonction que je dois exercer pour le plus grand bien des membres de ma famille.

Vous venez de constater ce qu’il en a coûté à ma fille de se comporter comme une gamine irresponsable et de me désobéir, je ne vois pas au nom de quel privilège, vous ne seriez pas puni de la même façon : une bonne fessée déculottée vous fera comprendre combien votre comportement laisse à désirer. La prochaine fois, vous y réfléchirez à deux fois avant de vos opposer à mon autorité maternelle.

une fessée déculottée par belle-Maman

Oui, oui, oui, je sais. Tout le monde a pu voir vos fesses nues et vos attributs masculins. En quoi cela pose-t-il problème ? Il est bien naturel que tous cela soit dénudé puisque je dois vous corriger. Cela peut-il se faire efficacement sans vous déculotter ? Ne croyez pas que cela offusque qui que ce soit. Ce que vous nous montrez n’a rien d’exceptionnel. Ce ne sont que les attributs d’un grand garçon dont le corps a grandi plus vite que son discernement.
Tante Louise en a vu d’autres, et ce n’est pas la comédie de la décence outragée que joue votre belle-sœur qui va m’arrêter. Ses simagrées commencent d’ailleurs à me fatiguer et je crois que je vais lui apprendre sous peu à bien se tenir.
Aucune grande personne autour de cette table ne sera étonnée que j’aie dû vous baisser la culotte pour vous punir. Puisque vous vous êtes comporté comme un garnement malpoli, il est bien normal que vous soyez corrigé comme vous l’avez mérité. Il faudra d’ailleurs vous y habituer.

Si c’est la première fois, mon gendre, que je vous donne la fessée déculottée, ce ne sera pas la dernière. Je compte y recourir, désormais, à chaque fois que vous en aurez besoin. Si j’en juge par ce que j’ai pu observer depuis six ans que je vous connais, vous allez vous retrouver très, très souvent à plat ventre en travers de mes genoux.
Six années, six longues années à me retenir d’administrer, à ma fille, les fessées qu’elle avait méritées. Six années à estimer qu’elles vous seraient nécessaires à vous aussi. J’ai été bien inconséquente de ne pas passer à l’acte plus tôt, mais ne regrettez rien. Nous allons rattraper le temps perdu.

Afin que sachiez bien ce qui vous attend à compter d’aujourd’hui, vous allez faire connaissance avec le piquet dès que j’en aurai terminé avec vous. Vous allez aller vous placer à côté de votre femme, le nez contre le mur, pour bien montrer à tout le monde ce qu’il en coûte de me désobéir. Cela permettra à vos fesses de refroidir. Je crois qu’elles en auront besoin.
Vous y restez parfaitement immobile tant que je ne vous aurai pas autorisé à bouger. Je crois que nous allons finir le repas sans vous. Enfin, plus exactement sans vous à table avec nous. J’espère bien que vous allez être très présent dans l’esprit de certains ici présents. D’ailleurs, je crois que je n’ai pas fini. Une autre tâche urgente m’attend !


Merci à Peter Pan qui est l'auteur de ces dessins.

Faute de trouver suffisamment de dessins qui cadrent avec la ligne éditoriale du blog, nous avons décidé, Peter Pan et moi, de les produire nous-mêmes. Il se charge des illustrations sur une esquisse de scénario que je lui fournis et je rédige le texte qui l'accompagne.
Si vous souhaitez me proposer un dessin à commenter qui n'a pas déjà été publié sur ce blog et qui corresponde à l'esprit du blog, n'hésitez pas ! Envoyez-le moi par courriel.

Il y a un début à cette histoire familiale

  une inattendue fessée déculottée en famille          

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2 commentaires:

  1. Amis de ma poésie et de la fessée à table ... Bonjour!

    Ah les repas, règlement de compte, en famille ! Menu salé pour grandes personnes indisciplinées. Belle maman fait preuve d'une belle autorité et cuisine avec brio les fesses de son gendre, à défaut de celles sa fille trop longtemps restées au frigo. Dans la foulée le derrière de la belle soeur pourraient bien aussi passer à la casserole... eu feu continu ! Cuisine à l'huile de coude .

    Le coup de main succède aux coups de fourchette. Menu gastronomique culotte baissée! Fessée d'échauffement à la main en hors d'oeuvre suivi d'une bonne déculottée à la brosse en plat de résistance, cuisson à point pour tout le monde. Fesses fouettées en dessert montée en fraisier à l'écarlate...
    L'illustration de Peter est édifiante avec la main de la fesseuse aussi large qu'une planche à découper!
    C'est Belle maman qui régale, prête à remettre le couvert si nécessaire. Qui a dit qu'on s'ennuyait dans les repas de famille ?
    Cordialement
    Ramina

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  2. Bonjour Ramina et vous tous...

    Bien dit. Qui disait que les repas de famille du Dimanche étaient ennuyeux. Entre la poire et l'apéritif, on tire à boulets rouges. Entre Mamie qui somnole et Tonton qui fredonne "Yesterday" en patois, ç'est pas triste. "Belle-Maman, la même chose ? Alors tournée de fessées générale. C'est vous qui régale !!!! " Rires. A taaaaaable !
    Amicalement. Peter.

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