mardi 17 mars 2020

Ces dames aux mains fermes - saison 3 - chapitre 24

 LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE

UNE FESSEE PEUT EN CACHER UNE AUTRE.

 La fessée sur les gros fessiers cramoisis des deux hommes, se poursuivait de plus belle. Gladys et Clarisse semblaient s’adonner à un concours de sévérité. Leurs mains vigoureuses claquaient à pleine fesses les solides derrières bien fermes, que leurs époux s’efforçaient docilement de leur offrir le mieux qu’ils pouvaient. Ils avaient d'ailleurs bien du mal à garder la positon exigée.
Durement secoués sous la puissance des claquées, ils devaient remettre leur derrière bien en place à chaque aller et retour pour être en mesure de recevoir le suivant dans les meilleures conditions. Ces Dames mettaient un point d'honneur à maintenir les fessées à un niveau de claquant et de cuisson aussi élevée que possible. Elles y avaient mis le temps, mais à force de persévérance, elles avaient dressé leur chéri à toujours parfaitement tenir ses fesses pendant toute la durée des fessées, si longues soient elles.
Ils pleuraient maintenant, en continu, comme de grands gamins corrigés, battant l'air en cadence, avec leurs pieds, empêtrés dans leur pantalon tendu entre les chevilles.
Positionnés tête bêche, l'un à côté de l'autre, ils étaient soumis tous les deux à une véritable double peine . Celle, de subir sa propre fessée et en même temps, de recevoir en pleine figure le souffle et la chaleur des claques qui tombaient sur les fesses de son voisin. Les deux femmes, à l'inverse, trouvaient l'idée du positionnement plutôt plaisante, bien humiliante et, tout en fessant, s'en amusaient ouvertement avec ironie.
– « Alors mes chéris, qu'est-ce que ça fait de se prendre sa fessée et de profiter en même temps de celle de son partenaire? »
 Dit Gladys d'un ton goguenard. Clarisse enchaîne sur le même registre.
– « C'est bien, chacun chauffe les joues de son voisin avec ses fesses ! »
une double fessée déculottée entre voisins


Jetant un regard à la pendule, Gladys, en gourmande,  allonge encore deux belles claques bien cuisantes sur les fesses écarlates de son puni. Pendant qu'il s'en tortille de douleur sur ses cuisses, elle lui dit en soufflant tranquillement sur la paume de sa main.
– « Tu as senti comme je te les ai bien claquées ces petites dernières sur tes grosses fesses ? Ça fait mal hein ? Que veux-tu... C'est comme ça que ça doit claquer une bonne fessée... Et ce n'est pas fini ! »
S'adressant cette fois à Clarisse qui continuait imperturbable, toutes jarretelles dehors, à faire sauter les fesses de son mari sur ses cuisses.
« Il est maintenant peut être temps de partir, pour aller acheter les martinets. Non ?
– Tu as raison, répond celle-ci en arrachant un hurlement à son malheureux époux,  d'un dernier aller et retour rageur. On ne pouvait pas mieux faire pour leur préparer les fesses... On peut y aller, elles sont à point... ! » ;


Robin ne compris pas, à ce moment-là, la scène offerte par Edouard quand Gladys le fit glisser de ses genoux. Il s’agenouilla devant elle, son slip toujours tendu entre ses cuisses, dévoilant son derrière provocant, écarlate, le visage inondé de larmes. Il la regarda et, la bouche grande ouverte, la langue pendante, resta en attente devant elle. Les fessées déculottées lui faisaient perdre son statut d'adulte, si bien qu'il avait parfois des réactions qui pouvaient ressembler à celles d'un adolescent, vexé d'avoir été corrigé par sa mère devant tout le monde.
Robin, se dit qu’il avait tout de même une bonne dose d'inconscience, après avoir reçu une fessée pareille,  de provoquer son épouse en lui tirant la langue comme un sale gosse. Sachant, en plus, qu'elle allait maintenant l’emmener acheter un martinet.

Comme il fallait s'y attendre, la réaction de Gladys fut immédiate. Elle lui flanqua une paire de gifles, certes sans commune mesure avec la sévérité de la fessée, mais qui claquèrent quand même bien sur ses joues mouillées.

– « Ah... tu ne les as pas volées celles-là ! Qu'est-ce qu'il te prend ?  On dirait que la fessée que je viens de te mettre n'est pas suffisante... Je vais régler ça avec la prochaine au martinet ! »

Elle le laissa à genoux parterre, se frotter les joues en pleurnichant. Pas aussi rouges que ses fesses, mais tout de même bien colorées et reluisantes de larmes. Elle se dirigea vers la cuisine en ondulant de la croupe après avoir proposé un café avant de partir.
– « Bonne idée tiens, ça va nous reposer un peu la main »
Répond Clarisse en train de reculotter Douglas. Elle doit insister pour recaler son gros derrière gonflé de claques dans un slip tendu, devenu trop petit pour contenir entièrement les volumineuses rondeurs en pleine cuisson. Après une fessée aussi sévère, l'opération reculottage est toujours une épreuve douloureuse supplémentaire. . 
« De toute façon, on a tout l'après-midi devant nous. »
Les élastiques tendus à craquer claquent sur la peau des fesses en feu, arrachant encore petit cri à la victime.  Les deux hommes sont joyeusement invités à aller se mettre au piquet les mains sur la tête en attendant le départ.

Robin, outrepassant son statut d'observateur, s'offrit le luxe d'un regard réprobateur en direction de son beau-père. Il se leva et se tourna en le regardant bien dans les yeux de son air le plus sérieux. Mais loin de détourner le regard, Edouard le fixa lui-même sans gêne et, passant devant lui en tenant son pantalon à deux mains, il fronça le nez et lui fit une grimace hargneuse.
Robin qui ne s'y attendait pas en fut d’abord surpris puis vexé. Les rapports conflictuels avec son beau-père ne dataient pas de la veille. Ce dernier lui signifiait ainsi clairement qu’il se fichait pas mal de ce qu'il pouvait penser. Que pour lui, il n’était qu’un gamin sans importance et qu'il ne comptait pas  ! Robin aurait bien voulu réagir mais n'en avait pas le moyen et, de toute façon, la situation ne le lui permettait pas.  Il avait déjà sa petite victoire avec l'achat du nouveau martinet, ce qui n'était tout de même pas rien. Il avait fait depuis longtemps un classement de ses ennemis dans lequel Edouard, avec Rodolphe, avaient une place de choix.

Pendant ce temps, Douglas se débattait désespérément contre son pantalon et son slip trop serré, dont les élastiques, tendues à craquer, mordaient la chaire écarlate. Ça lui faisait atrocement mal. Sous le choc de la fessée reçue, larmes plein les yeux et mains tremblantes, il tentait le plus discrètement possible de se frotter le derrière pendant que les épouses prenaient tranquillement leur café. Mais Clarisse qui surveillait du coin de l'œil, avait repéré la petite manœuvre.
– «Qu'est-ce qu'on a dit Douglas ! Tonne-t-elle en posant bruyamment sa tasse sur sa soucoupe. Les mains sur la tête, sans bouger... interdiction de se frotter les fesses ! Ce n'est tout de même pas nouveau ! Ça te vaudra une fessée supplémentaire en rentrant ce soir à la maison ! » 

Douglas trépigne sur place en replaçant aussitôt ses mains sur sa tête.
« Non-Clarisse ! Non ! Pitié, s'il te plaît... pas la fessée supplémentaire ! Regarde j'ai remis mes mains sur la tête !
– Trop tard mon chéri... trop tard ! Tu as désobéi... et puisque tu pleurniches, ça sera deux fessées au lieu d'une ! Ce sera parfait pour l'inauguration de ton nouveau martinet ! »

Clarisse, visiblement agacée, s'est levée, et d'un pas décidé se dirige vers le coin ou son mari, nez au mur marmonne en larmoyant sur son sort. Elle l'attrape par le bras et l’entraîne vers la porte sans se soucier de son pantalon baissé qui lui entrave toujours les jambes et lui impose une démarche ridicule. Gladys fait de même en administrant quelques claques de plus sur les fesses de son époux qu'elle fait avancer en sautillant. Les deux couples franchissent ainsi la porte d’entrée et se dirigent vers la voiture, laissant Robin sur place, aussi déçu que si on l'avait privé de dessert.

Clarisse avait garé sa voiture sur le bas-côté de la petite route qui longeait le jardin . Dès qu’ils furent partis, Robin sortit par la porte fenêtre et se posta pour les voir passer.
Il trouva qu’ils tardaient un peu mais eut vite l’explication.  Au croisement de la rue et de cette petite route, Gladys et Clarisse, avaient coincé leur mari sous le bras. Ils n'étaient ni très grands, ni très lourds et elles arrivaient à les porter dans cette position, la tête en bas, les fesses en l'air, tout comme des gamins qu'on s'apprête à corriger. Pour les humilier un peu plus, elles les avaient redéculottés et ils arrivaient ainsi, tous les quatre, les punis, pantalon baissé, le slip en travers des cuisses. Si des passants étaient arrivés dans l’autre sens, ils auraient pu contempler les deux volumineux derrières écarlates qui venaient tout juste d’être sévèrement fessés .

Heureusement pour les deux hommes ce ne fut pas le cas. En revanche, Robin aperçu de l’autre côté de la route, un couple dans un jardin qui ne manquerait pas de profiter de la scène. Edouard et Douglas durent s’installer à genoux, toujours déculottés, fesses en l’air sur le siège arrière de la voiture. Gladys monta à coté de Clarisse et la voiture partit, direction le cordonnier, après avoir fait demi-tour un peu plus loin. Robin, dépité de ne pas avoir été invité à les accompagner, les vit repasser,  les deux paires de fesses rouges bien en évidence à l’arrière .

Ce n’est qu’à la fin de l’après-midi que sa mère et son beau-père revinrent à la maison. Robin les aperçut de loin car Clarisse les avait déposés dans une rue voisine afin d’éviter un détour. Ils arrivaient sans hâte, Edouard marchant sagement et silencieusement à coté de sa femme. Il portait un paquet à la main dont la forme laissait supposer que c’était le nouveau martinet. Robin avait hâte de voir cet instrumentAu fur et à mesure qu’ils approchaient, il lui sembla qu' Edouard manifestait encore plus de docilité que d’habitude. Il marchait en tenant son pantalon baissé. Gladys avait sa main droite posée sur ses fesses et à distance, le slip à fessée” qu’il portait paraissait encore plus étroit et serré, lui moulant étroitement le derrière. Le garçon, se rassis devant la table de la salle à manger en faisant semblant de finir de rédiger son exposé, commencé depuis le début de l'après-midi.

Il entendit s'ouvrir la porte d’entrée et le bruit du paquet que Edouard venait de poser sur la table de la cuisine. D’un ton le plus innocent et gai possible le garçon s'exclama.
« Ah ! vous êtes revenus ! Et d'ajouter bêtement,  mais s'en apercevant trop tard. Ça s'est bien passé ? »

Ce fut sa mère qui répondit d’une voix enjouée.
« Oui à merveille !  Les fesses de ton beau-père en sont doublement rouges de plaisir... Mais toi... viens par ici  !”

Robin obéit tout de suite. Il se leva en refermant son livre avec ostentation et entra dans la cuisine. Gladys avait un air sérieux mais pas du tout en colère. Edouard, qui respectait sans doute les consignes et tenait toujours son pantalon dégrafé, n’avait pas l’air fier du tout. Il s’efforçait manifestement de garder un visage à la fois respectueux et avenant.
Robin remarqua que sa mère l'avait si solidement reculotté après sa fessée chez le cordonnier ’que son slip lui était presque à moitié rentré entre les fesses. Elles débordaient largement des élastiques, exposant leur vaste surface rouge striées de l'empreinte des lanières du nouveau martinet qui avait visiblement été essayé sur place. Il ne restait d'apparent qu'un petit triangle de nylon blanc, allant d’une hanche à l’autre et dont la pointe ne descendait pas plus bas que le milieu du fessier, là où la courbe de la rondeur proéminente s’inversait vers les cuisses. Cela avait pour conséquence de souligner encore plus la rougeur persistante des fesses corrigées.
Il était évident que ces slips à fessée, avaient pour effet principal de prolonger la cuisson de la fessée plutôt que de protéger le postérieur des regards. Au contraire il le mettait en valeur d’autant plus qu’il paraissait encore plus provocant qu’avant ...et d’ailleurs les claques et les cinglées reçues l’avaient certainement fait enfler. C’était deux sphères rougeoyantes que leur propriétaire ne pouvait dissimuler ...il ne cherchait pas à le faire d’ailleurs. Les mains croisées derrière le dos , debout devant Gladys, il restait immobile et muet, en attente, baissant souvent les paupières sur ses yeux rougis.

Robin détailla le nouveau martinet posé sur la table. Sans les compter il évalua à vingt ou vingt-quatre longues lanières de cuir noir fixées à un manche en bois, d’un diamètre suffisant pour être bien tenu en mains, terminé par un renflement ovale. Sur ce manche, il put lire, gravé dans le bois sur la longueur. '' Pour les fesses d' Edouard ''.  Les lanières retinrent son attention. Elles étaient un peu plus longues que celles du martinet précédent et surtout elles étaient toutes tressées. La moitié d’entre elles étaient terminées par un petit nœud plat.  A partir de ce nœud , les 3 lanières n’étaient plus tressées mais restaient indépendantes les unes des autres. Un rapide calcul, l’amena à déduire, qu’en fait c’étaient quarante-huit lanières qui s’abattaient ainsi d’un coup sur le derrière exposé pour la fessée .Il comprit , à cette vue , le surcroît de docilité affiché par Edouard, ne doutant pas que l’efficacité de ce martinet avait dû être déjà testée sur son fessier déculotté !

Gladys l'informa d'un ton professoral.
– « Soyons clairs... Cet après-midi, j’ai acheté ce martinet pour donner à ton beau-père les cuisantes fessées qu’il n’arrête pas de mériter ...Il n’y a que les fessées qui l’empêchent de faire des bêtises ! “ 
 D’une voix dont il perçu tout de suite l’inanité, il marmonna avec la plus parfaite mauvaise foi., feignant l’étonnement.
-- « Ah bon ? »
Sa mère haussant les épaules continua en fixant son mari et le pointant d'un doigt menaçant .
« Ce martinet il est fait exclusivement pour tes fesses mon ami. C’est pour tes fessées et c’est tout ! »
Edouard, au garde à vous, tenant toujours à deux mains son pantalon descendu sur ses cuisses, surjoue son statut de victime expiatoire pour bien montrer sa soumission.
« Oui chérie ...Pour me donner les fessées que je mériteque je mérite souvent ...tu pourras me donner de bonnes fessées avec çà ...Bien comme il faut, pour que je sois puni souvent et longtemps. De bonnes fessées... toujours déculotté même !
  C'est ça, oui... Alors écoute moi bien...  je veux que ce martinet soit toujours accroché à sa place.
 – Oui chérie... à sa place...
– Et que tu le regardes souvent, pour réfléchir à ce qui t’attend si tu continues à désobéir avec un comportement parfois digne de celui d'un adolescent attardé.
-- Oh oui , chérie ! Je le regarderai souvent... ,je te le promets !  Et je réfléchirai bien aux fessées que tu peux me donner avec !
   Et si tu sais que tu as mérité une fessée, je veux te trouver quand je rentre, déculotté , tes fesses bien présentées, prêtes à claquer, à genoux sur la “chaise à fessée”. Le martinet accroché au dossier de la chaise.
– Oui, bien sûr chérie...mais ça,  je le fais toujours … Mais si, si chérie, si ! Je le ferai !
– Deuxièmement , je veux que tu dises à Douglas, Walter, Gilbert et à tout tes complices que tu as maintenant un nouveau martinet, pour tes fessées sur ton gros cul déculotté !
– Oui ,chéri ...je le diraic’est normal. Je le dirai.
– Et je veux que tout le monde sache que tu es le mari le mieux fessé du quartier !
Euh, c’est déjà un peu comme çà chérie . Mais oui, bien sûr, tu me donneras souvent de bonnes fessées avec le nouveau martinet...et je serai le mieux corrigé du quartier !
– Parfait, j'espère que tu as compris !
Elle marque un temps d'arrêt et se tourne vers son fils .
– « Maintenant il faut aussi que j'achète un nouveau martinet pour Robin ! »
-        
L'intéressé qui suivait machinalement le dialogue entre sa mère et son beau-père, sursaute en entendant son nom associé à l'évocation d'un martinet.
« Aïe, aïe, aïe... évidemment, il aurait dû d'en douter... »

Sa mère s’amuse de son air inquiet, et insiste lourdement en le regardant d'un air sévère, les sourcils froncés.
« Toi aussi Robin, ne te fais pas d'illusions, tu as besoin de bonnes fesséeset c’est à moi de te les donner. A Patricia aussi, mais pas sans mon autorisation. Et de toute façon elle sera moins souvent disponible à la maison ; »
Devant le coup d'œil interrogateur de Robin, elle précise avec une pointe de fierté dans la voix.
«  Eh oui... Tes fesses apprécient régulièrement la sévérité des fessées de ta sœur. Et bien c'est grâce à ses belles dispositions qu’elle a obtenu un poste de surveillante chez les Sœurs Claque miches... . Elle a été engagée comme maîtresses de discipline.  ».
-        
Robin, pas mécontent d'apprendre que sa douce sœurette allait exercer ses talents sur les postérieurs de l'institut Claque miches, et par voie de conséquence, réduire sa fréquence d'intervention sur le sien, fit semblant d'être étonné. 
– « Ah bon ? Comment ça , depuis quand ?
– Parce que tu ne savais pas ? … Tu m'étonnes tiens ! Toi et tes petits copains qui, d'habitude, avez les yeux et les oreilles qui traînent partout pour faire vos mauvais coups !
Non-maman , je te jure !
Gladys regarde son fils avec un petit sourire narquois .
– « Et bien je vais même t'en apprendre une autre... Et une bonne...  Figure-toi que j'ai pris le thé hier avec Thereza Bellebourge et sa sœur Clarisse... »
Robin fronce les sourcils... ça sent le roussi, pour ses potes...
– « Vu les résultats catastrophiques de Gérôme, sa mère a décidé d'engager Patricia pour lui donner des cours particuliers !
– Non ! Et... Et elle a... Elle a accepté ? .
A condition qu'elle applique la méthode de la maison. Tu la connais bien sûr... Fessées déculottées à volonté !   Evidemment, Thérez a approuvé avec enthousiasme. Clarisse à même l'intention de lui confier Rodolphe si ça fonctionne bien. Je connais des paires de fesses qui ne vont pas chômer !
Robin, aussi faux jeton que les autres, affichait l'air navré d'une solidarité de façade. En réalité, il calculait la bonne nouvelle pour l'avenir de son cul, du coup, beaucoup moins exposé aux humiliantes fessées de la frangine, bien occupée par ailleurs.  
– « Elle commence quand ?  demanda-t-il, comme si ça l'intéressait . Et Gérôme, il le sait ?
– Oh, tu n'auras pas besoin de lui dire, sa mère l'a mis au courant, et, à mon avis, connaissant la réputation que Patricia s'est faites, il doit déjà préparer ses fesses le garçon ! …Elle commence lundi...

Robin fit la moue sans répondre. Une nouvelle fois il était en dehors du coup. Il se demandait jusqu'à quand il allait passer à travers les gouttes, lorsque sa mère l'interpella.
– « Tiens, mets donc la table au lieu de rester là sans rien faire... Allez, rends toi utile, si tu ne veux pas que je t'en mette une avant de manger ! »
 Elle se tourna vers Edouard, toujours debout au milieu de la pièce. N'ayant reçu aucune consigne, il n'osait pas prendre l'initiative de remonter son pantalon sans autorisation.
– « Et toi ! Tu vas rester là combien de temps, planté comme une quiche à tenir ton pantalon ? Hein ?... Et puis tiens... tu m'énerves ! Viens ici !  Puisque tu as les fesses à l'air autant les en faire profiter.»

Elle le courba sous son bras, lui tira son slip dans la raie et lui allongea une dizaine d'allers et retours bien claquant sur les fesses, qui portaient encore les marques rouges de la précédente fessée au martinet chez le cordonnier.  Il trépigna sur place en poussant de petits cris pathétiques et faillit tomber quand elle le relâcha brusquement, le derrière de nouveau écarlate.
– « .Maintenant remonte ce pantalon et va me ramasser ton martinet sur la table pour l'accrocher au dossier de ta chaise... La fessée suivante c'est après dîner ! »

Les derrières de ces messieurs, soumis à rude épreuve pendant toute la semaine, bénéficièrent, le Dimanche qui suivit, d'une trêve des fesseuses plutôt bien accueillie. Non par esprit de clémence, ces Dames en étaient totalement dépourvues. L'objectif était de leur laisser un temps de récupération pour qu'ils puissent présenter dès le lendemain, une paire de fesses en pleine forme, prêtes à affronter une nouvelle semaine de discipline domestique.


Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !

Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 23
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Il y a une suite, oui, le chapitre 25.

Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.

Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.


Si vous voulez un échange plus privé voici un courriel pour le joindre :  Ramina

2 commentaires:

  1. Bonjour Ramina,

    Ha ha ha ha !!! Retour du bât... euh... du martinet pour Rob'.
    Fallait bien qu'il s'y attende, un jour ou l'autre. Maman est sévère mais pas encore amnésique.
    Excellent le retour annoncé de la frangine prodigue. Préposée aux cours particuliers à domicile. Gérome va faire des progrès stupéfiants avec sa nouvelle "répétitrice". Au fait, quelle tenue portera t-il : kilt ou bermuda à bretelles ? Et Miss Pat' ? ensemble seyant ou robe longue décolettée ? Ou bien tenue écossaise Et coiffe assortie ? Pour son premier cours particulier, elle doit bien sûr impressionner la galerie. Pensez donc !!!
    Quant à ses messieurs, leurs lunes sont aussi gonflées que leurs maladresses. "Ah, les hommes, les hommes !!! " Soupirait Mam'e Bellebourge. Peter.
    Amicalement.

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  2. Bonjour Peter,
    Nos héroînes ne sont pas fatiguées. Retour très fessant de Miss Pat' dès le 25è épisode, ( déjà, on ne voit pas les fessées passer!) dans sa tenue de fessée habituelle (rires) Vest de tailleur seyante, sur petite jupe plissée ultra courte et bas nylon... Ces dames aiment être regardées par les Zhommes!
    Leçons accélérées d'anglais avec la discipline qui va avec. Gérôme en kilt retroussable à volonté n'a pas fini de faire des allers et retours sur les genoux de sa répétitrice.
    Comme tu dis... Ma pov' dames, ah les Zhoms', les Zhoms' !
    Amicalement
    Ramina

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