vendredi 20 mars 2020

L'institut de Madame Rose - chapitre 5

Valérie

Valérie était arrivée à 8 heures le lendemain, elle était en avance car elle s'était rendue compte avec effroi qu'elle avait rendez-vous le matin même avec sa gynécologue, elle ne pouvait pas le manquer sauf à en avoir un dans 6 mois, elle se voyait mal se présenter chez le Dr Durupt, pluguée et les fesses rouges de la fessée administrée par Sophie. Elle avait donc prévu de demander un report de quelques heures de sa punition. Sophie sourit en la voyant si matinale.
- bonjour Mademoiselle, vous êtes bien pressée de recevoir votre fessée à ce que je vois.
Valérie rougit sous le sarcasme mais elle ne répondit pas, et présenta sa requête.
- c'est parfaitement impossible Mademoiselle seule Madame Rose pourrait prendre cette décision et elle n'est pas là avant 10 heures, d'ailleurs je doute qu'elle aurait accepté. De toute manière vous avez mérité cette punition et que votre gynécologue soit au courant que vous êtes une vilaine fille participera à son efficacité. Bon assez discuté, allez m'attendre dans la salle de soins, pour gagner du temps, vous vous déculottez, allez vite !
Le ton était sans réplique et Valérie savait pour l'avoir expérimenté que ne pas obéir rapidement valait à son auteur une déculottée immédiate. Elle se rendit donc dans la salle de lavement et comme prescrit par Sophie elle baissa sa culotte après s'être troussée, ne sachant pas ce qu'entendait la jeune assistante par se préparer, elle l'a descendit jusqu'aux genoux et garda sa jupe retroussée, Sophie ne se pressait pas, elle jetait un œil sur sa patiente qui exposait ses fesses rondes et blanches.
Au bout de quelques minutes elle la fit se mettre en position, instruite par son expérience de la veille, la jeune femme se laissa violer son intimité par la canule enduite de vaseline, Sophie lui laissa comme précédemment la canule en place mais comme elle devait répondre au téléphone, la pénitence dura au moins 10 minutes. Quand elle put aller se soulager, Valérie serra fortement ses deux globes fessiers pour ne pas risquer d'accident.
A son retour, Sophie l'attendait assise sur une chaise, elle lui fit signe du doigt de venir se mettre en position, résignée Valérie se coucha en travers des genoux de sa jeune maîtresse. Sophie leva la main et commença à claquer ces deux fesses si bien présentées, une centaine de claques plus tard, Valérie pleurait sous la brûlure et son derrière était déjà bien coloré.
- voilà, rien de mieux qu'une petite fessée manuelle pour détendre un fessier, bon vous m'écartez ses fesses et vous ne bougez pas sinon gare !
Le plug pénétra lentement dans le fondement de la jeune femme, elle gémissait doucement mais ne bronchait pas, quand l'engin fut bien en place, Sophie tapota les fesses de sa punie.
- c'est bien, vous avez été sage, mais ça ne vous évitera pas la fessée prévue.
Valérie protesta faiblement, mais déjà la brosse à cheveux avait commencé sa danse, claquant et reclaquant inlassablement les deux fesses l'une après l'autre, maintenant Valérie pleurait à chaudes larmes et suppliait Sophie de cesser. Celle-ci était imperméable à ces jérémiades comme elle les appelaient, une fessée une fois commencée devait aller à son terme. Et le terme c'était une paire de fesses écarlates du bas des reins jusqu'à la pliure des cuisses, la rougeur descendait souvent sur le haut des cuisses car Madame Rose avait appris à Sophie que cette zone sensible ne devait pas être oubliée dans le cas d'une sévère fessée. Satisfaite du résultat, elle cessa la correction et comme à son habitude elle garda la pauvre Valérie dans cette position humiliante le temps que diminuent ses pleurs, ses fesses se contractaient pour essayer d'atténuer la cuisson, Sophie lui tapota les fesses.
- voilà c'est fini pour ce matin, arrêtez de pleurnicher, vous aviez mérité cette fessée et vous l'avez eu, gardez un peu de larmes pour la fessée de ce midi et celle de ce soir.
Puis elle la fit se relever et lui permit de se reculotter. Le passage du fin tissu sur son épiderme échauffé l'a fit grimacer, ce qui fit sourire Sophie.
- ma fessée a été efficace, ça m'a l'air de bien cuire ! Bon, je vous attends à midi précise, vous savez ce qui arrive en cas de retard ! Prévoyez un sandwich car vous passerez beaucoup de temps au coin.
Valérie quitta le salon avec des fesses bien chaudes sous sa jupe, elle était désemparée, elle se dirigea vers le cabinet de sa gynécologue qui était à deux pas, une idée lui était venue.
Arrivée devant la secrétaire, elle lui expliqua qu'elle avait ses règles et lui demanda s’il était possible de décaler son rendez-vous, la secrétaire en souriant lui signifia que c'était impossible, mais que le Docteur avait l'habitude et que cela ne devrait pas poser de problème, elle avait juste fini sa phrase que la porte du bureau s'ouvrit, le Dr Durupt appela Valérie, celle-ci était coincée, tête basse et rougissante, elle entra dans le bureau.
La gynécologue était une petite femme brune très énergique, Valérie la connaissait depuis longtemps, elle lui expliqua la situation, espérant un dénouement favorable. Le Dr Durupt balaya ses espoirs
- ce n'est pas grave, vous reviendrez la semaine prochaine pour le frottis, mais puisque vous êtes là, on va faire le reste, déshabillez-vous et montez sur la balance.
Valérie blêmi, elle savait que pour sa gynécologue, se déshabiller voulait dire se mettre entièrement nue, elle s'exécuta et tenta une dernière manœuvre en gardant sa culotte. Le Dr Durupt ne l'entendait pas de cette oreille.
- qu'est-ce que c'est que cette pudibonderie ! Enlevez-moi cette culotte.
Valérie confuse, s'exécuta et la mort dans l'âme, monta sur la balance, elle savait à ce moment-là qu'elle exposait ses fesses écarlates de la fessée de Sophie et la rondelle du plug au centre de sa raie fessière. Le Dr Durupt poussa un petit cri et elle s'approcha de Valérie qui pétrifiée sur la balance serrait ses deux hémisphères cuisants.
- mais qu'est-ce que c'est que ça, vous avez reçu la fessée ! Et en plus vous êtes pluguée. C'était donc ça vos pseudo règles.
Valérie ne répondait pas, le Dr Durupt passa sa main sur la peau rougie.
- mazette, pour une fessée, c'est une fessée, je ne sais pas qui vous l'a donné et pourquoi vous l'aviez méritée mais ça a dû vous cuire.
Puis se reculant, elle saisit Valérie par l'oreille pour la faire descendre de la balance et se tourner vers elle, la jeune femme avait les joues aussi rouges que ses fesses.
- vous savez ce qui arrive aux petites menteuses, non ? Eh bien je vais vous le dire on leur donne la fessée, et comme vous avez l'air d'en avoir l'habitude je ne vais pas me gêner.
Elle s'était assise sur une chaise et lâchant l'oreille de sa patiente, elle lui prit la main pour la faire basculer en travers de ses genoux. Sa main se mit immédiatement au travail et les claques se succédèrent sur le fessier endolori de Valérie. Celle-ci se mit à gémir, mais elle retenait ses cris pour que sa punition restât discrète, les fesses reprirent rapidement une couleur rouge foncé, cessant la correction, le Dr Durupt la garda dans cette position pour le moins inconfortable et lui fit raconter la raison de sa punition, quand Valérie hésitait, quelques claques bien appliquées lui redonnait de la mémoire. Quand elle eut fini sa confession, elle put se relever.
- eh bien c'est du joli, tenez venez avec moi,
La nouvelle fesseuse prenait son rôle au sérieux, elle ouvrit la porte de sa salle de repos et tenant Valérie par l'oreille elle l'a mis au coin.
- mettez vos mains sur la tête et le nez bien contre le mur, vous allez réfléchir à ce qu'il en coûte de mentir.
Elle laissa la porte entrouverte pour avoir un œil sur le derrière écarlate de sa patiente, les visiteurs ne pouvaient pas voir mais Valérie ne le savait pas ce qui augmenta sa confusion.
Le Dr Durupt annonça à sa secrétaire que sa patiente avait fait un petit malaise et qu'elle la gardait au repos, puis comme si de rien n'était, elle poursuivi ses consultations. Valérie était au comble de la honte, la cuisson de son derrière ajouté aux conversations si proches complétait sa punition. La gynécologue la laissa dans cette position durant deux consultations, celles-ci duraient environ 30', ce qui fit que Valérie passa une bonne heure au coin fesses à l'air. Quand enfin le Dr Durupt mis fin à sa pénitence, ses fesses gardaient des traces des deux fessées reçues depuis ce matin, mais elles n'étaient plus si écarlates.
- bien tournez-vous pour que je puisse voir vos fesses, c'est parfait, j'espère que cela vous servira de leçon, vous verrez avec ma secrétaire, je veux vous revoir la semaine prochaine. Allez rhabillez-vous et tâchez d'être à l'heure au rendez-vous de Sophie, j'ai bien l'impression que la journée n'est pas finie pour vos fesses !
Valérie avait pris sa matinée pour se rendre à son rendez-vous, il lui restait une heure avant de se rendre au salon, elle la passa à flâner, mais elle n'avait pas trop le cœur à faire du shopping, le plug planté dans son fondement lui rappelait sa condition et ses fesses étaient encore très sensibles.
A midi précise, elle se présenta devant Sophie, il y avait deux autres punis, un monsieur d'une quarantaine d'années et une dame très bien mise d'une soixantaine d'années. Sophie les accueillit avec le sourire
- bien voilà donc nos trois punis, je vous présente Aurèlie, c'est notre nouvelle collaboratrice, elle est là pour apprendre, je vais donc lui confier les fesses de l'un d'entre vous, nous allons commencer par Hugues, allez en position, monsieur et vite.
Le monsieur rouge jusqu'à la racine des cheveux s'avança vers sa correctrice, elle le saisi par l'oreille et le fit se coucher sur le plateau rembourré jouxtant son bureau puis rapidement elle fit glisser le pantalon sur ses chevilles,
- vous voyez Aurèlie, ici les sujets sont toujours très dociles, mais en cas de réaction même légère il ne faut pas hésiter à sévir. Bon passons au déculottage, toujours assez lentement, il faut que le sujet sente bien qu'il va montrer ses fesses à tout le monde.
Tout en parlant, elle avait saisi l'élastique de la culotte et comme elle l'avait dit, elle l'avait fait glisser doucement jusqu'à mi-cuisse.
- voilà un derrière bien préparé, je lui ai réservé la paddle, c'est une très bonne position pour cet instrument.
Elle avait pris cette petite raquette en bois longue de 30cm et elle commença la fessée, rapidement le fessier pris une belle couleur rouge foncé, Hugues n'en était pas à sa première correction, sa femme le fessait régulièrement et il faisait souvent des séjours à l'institut, donc il ne bronchait pas, il se contentait de trépigner sur place et de serrer et d'ouvrir ses fesses, il pleurait maintenant signe de l'efficacité de la punition. Satisfaite du résultat Sophie posa son instrument
- voilà une bonne fessée, relevez-vous, enlevez votre pantalon et mettez-vous de côté, vous avez le droit de regarder les fessées de vos condisciples, il n'y a pas de raison qu'elles aient vu vos fesses et que vous en soyez privé.
Les deux dames ne pipèrent mot à l'évocation de leur future fessée publique. Sophie fit signe à Valérie
- à nous mademoiselle
Elle posa son pied sur un petit tabouret et saisissant la jeune femme par la taille, elle l'a fit basculer sur sa cuisse horizontale, les pieds de la punie quittèrent le sol, la jupe fut retroussée haut sur les reins, découvrant la culotte qui rentrait dans la raie des fesses en raison de la position. Rapidement Sophie procéda au déculottage, puis elle prit la petite raquette en cuir, spécialité maison. Les fesses étaient tendues par la position, parfaitement exposées, la rondelle du plug semblait marquer le centre de la cible. La petite palette en cuir claquait alternativement chaque fesse qui retrouvèrent rapidement une jolie couleur rouge, Valérie criait sous la brûlure et ses jambes libérées par la position battaient l'air, rapidement la culotte descendit autour des chevilles. Sophie commentait la punition pour parfaire la formation d’Aurélie.
- voyez comme cette position est pratique, les fesses sont vraiment à portée, il faut une certaine technique pour bien positionner la patiente mais vous vous y ferez. J'appelle ça la position "à l'écolière" car c'était une des positions préférées des institutrices quand la fessée était encore de mise à l'école. Eh oui Valérie vous voilà redevenue une Vilaine petite fille.
Celle-ci maintenant pleurait abondamment sous la cuisson de son fessier, elle fut relâchée et du tenir sa jupe retroussée après avoir remonté sa culotte jusqu'au milieu de ses cuisses. Sophie se tourna vers Aurélie
- bien pour débuter, je vous ai réservé Mme De Nouvel, vous allez commencer par une bonne fessée manuelle, ensuite je vous confierai la brosse à cheveux.
La dame de soixante ans à qui était réservé ce traitement blêmi, c'était déjà une humiliation de recevoir la fessée à son âge, mais la recevoir de cette très jeune femme qui aurait pu être sa petite fille lui semblait impossible, elle tenta une protestation, la réplique fut immédiate.
- depuis quand une punie a-t-elle le droit à la parole, vous deviez venir encore demain pour la retenue du midi et bien vous avez gagné, vous viendrez tous les midis pendant quinze jours et croyez-moi je vais m'occuper personnellement de vos fesses !
Sophie se réjouissait du pouvoir qu'elle avait de faire descendre de leur piédestal toutes ces bourgeoises, dès leur entrée dans le salon, elles n'étaient plus que des jeunes filles que l'on pouvait trousser et déculotter à loisir.
Mme De Nouvel regrettait amèrement le jour ou sur les conseils d'une amie elle avait sonné à la porte de l'institut pour un traitement de sa cellulite, de fil en aiguille et de photos de ses fesses rougies prises fort à propos par Madame Rose, elle était devenue une habituée des fessées retentissantes et des longs séjours au coin fesses écarlates bien exposées.
Aurélie s'était assise sur une chaise et comme elle l'avait déjà vu faire elle fit signe avec son doigt à la punie, ce doigt qui désignait les genoux, Élisabeth De Nouvel savait ce que cela signifiait, elle redevenait la jeune fille que sa gouvernante anglaise troussait et déculottait à chaque incartade. Ce fut rapidement la réalité, Aurélie avait rapidement retroussé la jupe sur les reins, la baronne De Nouvel était de l'ancienne génération qui avait horreur des collants, elle portait des bas maintenus classiquement par des porte jarretelles, ce qui rendait la situation encore plus insolite, cette dame d'âge mur, portant des dessous très élégants, allongée en position disciplinaire et s'apprêtant, à recevoir une fessée déculottée comme une vulgaire gamine sur les genoux de sa maman, celle-ci en l'occurrence avait tout juste vingt ans et elle procédait au déculottage. La fine culotte de dentelle était maintenant à mi-cuisse, la fessée pouvait commencer. Aurélie savait qu'elle passait en quelque sorte un examen, aussi elle s'appliquait à montrer ses capacités, sa main claquait très sévèrement le postérieur d'Élisabeth qui ne put retenir longtemps ses gémissements, puis ses pleurs. Les fesses présentaient déjà une belle couleur quand Sophie tendit la brosse à sa nouvelle collègue.
- tenez, essayez cela, vous allez voir, Mme va nous chanter une nouvelle chanson, pour des vilaines filles la main ne suffit pas.
Effectivement, Mme De Nouvel se mit à chanter où plutôt à émettre un mélange de pleurs de supplications et de cris, sous les morsures de la brosse à cheveux. La fessée fut courte mais cuisante à en juger par la couleur de la croupe d'Élisabeth.
Elle fut autorisée à se relever, Sophie saisi Hugues par une oreille et de la même manière Valérie elle demanda à Aurélie de faire de même avec Élisabeth, les trois punis furent disposés chacun dans un coin, les jupes des deux dames épinglées dans le dos avec les consignes d'usage, nez au mur et main sur la tête et on ne bouge pas.
Sophie s'adressa ensuite à Aurélie
- bien à nous deux Mademoiselle, madame Rose a prévu de vous faire essayer toutes les prestations du salon afin que vous les appliquiez en connaissance de cause, ce midi ça sera le martinet.
Aurélie protesta, elle avait déjà reçu une magistrale fessée par madame Rose lors de son entretien d'embauche.
Aurélie était une jeune femme sans ressources en fin de droit de chômage et l'offre d'emploi et le salaire était alléchant aussi quand madame Rose lui avait expliqué son travail mais également les conditions d'embauche, à savoir qu'elle aussi pouvait être soumise à la fessée en cas de besoin, elle avait accepté sans hésiter, habituée dans sa jeunesse à recevoir des bonnes déculottées par sa mère et sa grand-mère. Sophie se mit à rire
- et vous croyez qu'avec une bonne fessée déculottée manuelle vous avez fait le tour de la question, ma petite, je pense qu'il va vous falloir une bonne semaine avant de tout connaître et je pense que vos fesses vont rester colorées pendant tout ce temps, bon assez discuté, en position !
Aurèlie se coucha comme prescrit sur la petite plate-forme contiguë au bureau qui avait déjà accueilli Hugues, Sophie retroussa la jupe et baissa la petite culotte blanche, puis elle prit un martinet numéro deux et se plaçant de côté elle commença à cingler le derrière tendu par la position, Aurèlie se mit à crier sous la brûlure et fit mine de se relever
- tenez-vous tranquille, et présentez-moi bien vos fesses, si jamais vous cherchez à éviter la fessée, elle sera doublée.
La menace fut efficace, Aurèlie trépigna sur place mais ne bougea plus se contentant de pleurer sous les cinglades. Quand Sophie jugea la punition suffisante, elle conduisit la jeune femme en la tenant par l'oreille jusqu'au dernier coin inoccupé. Puis elle s'installa à son bureau, satisfaite elle contempla le spectacle des quatre fessiers rougis qui se contractait convulsivement, signe de la cuisson qui devait les envahir.
- je ne veux rien entendre, et si j'en vois un bouger, c'est retour sur mes genoux immédiat !
Évidemment personne ne broncha, mais au bout d'une demi-heure, les fesses commençaient à perdre un peu de leurs couleurs, Sophie se chargea armée de sa petite palette en cuir de leur redonner une bonne mine, chacun des punis fut courbé sous son bras pour une rapide mais sévère fessée.
Quand madame Rose arriva, elle sourit en voyant ce charmant spectacle
- et bien ça a chauffé pendant mon absence, je vous félicite Sophie, ces derrières ont tous une très jolie couleur, bon je vois qu’Aurélie est déjà déculottée, vous lui faites un lavement et vous me l'envoyez.
Sophie saisi sa jeune collègue par l'oreille et la conduisit à la salle de soins. Dix minutes plus tard Aurélie en pleurnichant, tirée toujours par l'oreille était amenée dans le bureau de madame Rose, ses fesses écarlates montrait sans aucun doute que la brosse à cheveux avait dû se montrer convaincante pour que les fesses s’ouvrent et se détendent pour permettre le passage de la canule.
Il était l'heure de la délivrance pour les punis, ils durent se présenter l'un après l'autre pour une dernière humiliation.
- bien, Hugues, tournez-vous et montrez-moi vos fesses, c'est parfait, je pense que votre épouse sera contente, j'espère que vous serez sage maintenant, vous pouvez vous reculotter.
A nous Valérie, oui, c'est ça, tournez-vous et penchez-vous. Eh oui ça brûle, bon, ce plug est bien en place, ne bougez pas, c'est juste une petite fessée pour que vos fesses restent rouges cet après-midi.
Sophie avait saisi la palette et elle claquait la paire de fesses de la jeune femme. Valérie trépignait sur place.
- cessez ces simagrées, bon voilà un très joli derrière tout rouge, reculottez-vous et soyez à l'heure ce soir, c'est madame Rose qui s'occupera de vous, moi je vous revois demain matin.
C'était le tour de madame De Nouvel, elle se dirigea tête basse vers sa jeune maîtresse.
- tournez-vous, et bien c'est chaud et rouge mais on va compléter le travail, allez en position.
Sophie avait saisi l'oreille d'Élisabeth et s'asseyant sur une chaise elle bascula la baronne De Nouvel en travers de ses genoux, la fessée démarra sur un rythme soutenu et la dame redevenue une gamine se mit à pleurer et à supplier pour faire cesser sa punition. Sophie pris tranquillement la brosse à cheveux et elle continua la correction.
- la prochaine fois que vous mériterez une fessée, vous ne récriminerez pas, j'espère que vous avez compris la leçon, quinze jours de pénitence à midi, ça va vous faire le plus grand bien. Je vais appeler madame votre mère, je ne pense pas qu'elle sera contente de votre attitude.
Pendant tout le temps de la diatribe, la brosse n'avait pas cessé ses allers et retours sur la croupe d'Élisabeth. C'était maintenant deux beaux globes luisants, rouge carmin et brûlant au toucher. Sophie la fit se relever, des larmes coulaient sur ses joues, Sophie fit une photo pour garder une preuve de la sévérité de la correction.
- vous pouvez vous reculotter, je vous attends demain à midi.


Sylvie nous a déjà gratifiés de plusieurs récits.

Vous trouverez le premier ici et l'ensemble de ceux-ci sur la page des auteurs invités

Et celui-ci comporte un épisode précédent

Vous pouvez le lire pour savoir ce qui s'est passé auparavant dans l'institut de Madame Rose : chapitre 4
Ou bien tout reprendre au début : Chapitre 1

Et il y a une suite...

... le chapitre 6.

Et toujours les commentaires

Une nouvelle série qui commence, un nouvel épisode publié, cela mérite bien quelques mots d'encouragement... ou le contraire.

1 commentaire:

  1. Amis de la poésie et de la multiplication des fessées, comme celle des petits pains... Bonjour.

    C'est fou ce que ça claque... Sec et serré ! L'institut de madame Rose entretien avec bonheur et conscience professionnelle une culture de la fessée tout azimut. Et ça tombe avec la régularité des amendes sur le dos des malheureux que le confinement finit par faire déprimer... De bonnes fessées déculottées suffiraient et ça coûterait moins cher. N'est -il pas ?

    Madame Rose, et les petites nouvelles collaboratrices s'en donnent à coeur joie pour cuire et rougir avec assiduité les paires de fesses à leur disposition. Pour le bonheur de Sophie qui, elle non plus, ne rate pas une occasion de déculotter et claquer un derrière . . ;
    Et ça fesse en continu, dans toutes les positions, avec variation des instruments de discipline en complément des bonnes fessées à la main.
    Le lecteur ne gâche pas son plaisir, Sylvie non plus, dont on sent à travers l'écriture de la successions des situations disciplinaires, l'enthousiasme à décrire ces jubilatoires séances de fessées .
    Alors on attend la suite en se demandant: jusqu'où l'imagination de l'auteure va t elle nous mener?...
    Amicalement
    Ramina

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