mercredi 4 mars 2020

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 37

Hélène acheva seule le tri des vêtements de Marguerite qui se faisait oublier le nez contre le mur, exhibant ses fesses nues dont la couleur provoquée par la récente fessée, s’estompait rapidement. Un sac de voyage pour ce qu’elle avait décidé de conserver, quelques sacs poubelle pour ce dont il fallait se débarrasser.
« Teva, j’ai terminé le tri du rangement. Je vais voir avec la voisine si je peux régler la fessée qu’elle doit donner à Marguerite. »
Marguerite se crispa. Elle avait oublié cette punition en suspens. Malheureusement, Hélène, elle, s’en souvenait.
« Arrive-ici, ma vilaine petite fille ! »
Tenant Marguerite par le bras, Hélène se dirigea vers la sortie.
« Ma culotte, demanda Marguerite ?
– Ah, tu veux la remonter ?
– Oui… s'il te plait.
– Si tu y tiens. Mais je ne crois pas que ce soit vraiment utile, elle va être baissée dans quelques minutes. »
Marguerite remonta cependant sa culotte. Elle préférait ne pas circuler dans les escaliers et les couloirs de son immeuble, les espaces où elle pouvait être vue par de nombreuses personnes, dans cette tenue qui laissait voir sa culotte poindre en-dessous de sa jupe. Bien sûr son sous-vêtement retrouverait sa place en bas de ses cuisses pour la fessée, elle ne se faisait pas d’illusion. Hélène était là pour y veiller. Mais au moins cela se passerait-il au domicile de la dame avec laquelle elle avait été impolie et non au vu et au su de tout le monde.

La première étape consistait à retourner voir la voisine du dessous, celle qui avait si facilement accepté de fesser Marguerite quelques jours auparavant. Comme elle s’y était engagée, elle avait abordé la question avec la dame avec qui Marguerite avait été insolente.
« Je ne sais pas si elle est disposée à donner une fessée à Marguerite. Je crois qu’elle est un peu méfiante. Elle trouve cette proposition surprenante. Elle a besoin que vous la rassuriez. Elle m’a assuré qu’elle accepterait d’aborder le sujet avec vous. »
Marguerite ne savait pas si elle devait se réjouir ou s’inquiéter de cette nouvelle.
« Venez, je vais vous conduire ! »
La dame en question habitait l’étage en dessous. La présence de sa voisine la rassura, mais on voyait bien qu’elle se méfiait.
« Qui êtes-vous exactement ? »
C’était Hélène qu’elle interpellait ainsi.
« Je suis à mi-chemin entre une tutrice et une mère adoptive, pour Marguerite. »
Marguerite, malgré la situation difficile dans laquelle elle se trouvait et celle encore plus éprouvante qui s’annonçait, reçut cette déclaration comme un soulagement. Elle la prit comme un engagement d’Hélène qui la prenait sous son aile.
« J’ai toute autorité pour régir la discipline à laquelle Marguerite est soumise et pour décider des punitions à lui administrer. Elle a été insolente et impolie envers vous jeudi dernier. Il est donc normal qu’elle reçoive une bonne fessée. Nous avons pensé que la leçon serait bien plus claire si c’est vous qui la lui administrez.
– Une fessée ? Quel âge a-t-elle ?
– Un peu plus de trente-et-un an.
– Et à cet âge-là, elle reçoit encore la fessée ?
– Comme vous pouvez le constater.
– Et elle est d’accord ?
– Je ne sais pas si elle est d’accord. Je ne lui demande pas son avis. C’est une des conditions non négociables si elle veut habiter chez moi. C’est le choix qu’elle a fait.
– Ah, elle déménage.
– C’est cela. Avant de partir, il faut qu’elle soit punie de son comportement vis-à-vis de vous. Nous n’en aurons plus l’occasion de vous le proposer après. »
La voisine prit le temps de réfléchir quelques instants.
« Vous pensez que c’est moi qui doit la punir.
– C’est préférable. C’est auprès de vous qu’elle s’est montrée impolie. Les punitions sont d’autant plus efficaces qu’elles sont administrées au plus proche de la situation qui les a provoquées. Quand c’est la personne envers qui elle s’est montrée désobligeante qui punit Marguerite, je pense qu’il n’y a pas de confusion possible.
– Vous croyez ?
– Je pourrai vous en exposer autant d’exemples que vous le souhaitez. Cependant, je comprendrai si vous ne souhaitez pas sévir vous-même. Je trouverai alors une autre solution.
– Mais je ne sais pas si je saurais…
– Ne vous inquiétiez pas pour cela, intervint l’autre voisine. Je n’en avais pas donné depuis très longtemps, mais cela m’est revenu immédiatement quand j’ai puni Marguerite mercredi soir.
– Vous l’avez également fessée ?
– Oui, il m’a semblé qu’en la corrigeant, je faisais mon devoir. J’ai pensé que je lui rendais service.
– Vu comme cela, je veux bien essayer. »
Elle reporta son attention sur Marguerite qu’elle avait jusqu’alors ignorée. Elle la fixa droit dans les yeux, mais Marguerite n’arriva pas à soutenir son regard. Elle baissa la tête. Cela fut pris pour une acceptation de ce qui allait inévitablement arriver, renforçant la voisine dans sa détermination qui était, jusqu’à maintenant, plutôt fragile.
« Tu t’appelles Marguerite, n’est-ce pas ?
– Oui Madame.
– Viens-ici, Marguerite ! »
Il n’y avait pas plus de trois pas à faire, mais ils parurent longs à tous, sauf à Marguerite qui aurait aimé avoir une plus longue distance à parcourir. La voisine prit Marguerite par le bras pour la placer devant elle. Comme celle-ci baissait toujours la tête, elle le lui releva, d’une main placée sous le menton.
« Regarde-moi quand je te parle. Tu as décidément beaucoup de choses à apprendre en ce qui concerne la politesse. Regarder dans les yeux les personnes qui s’adressent à toi, en fait partie. »
Marguerite obéit aussitôt à cet acte d’autorité, bien que le rougissement qui lui montait au front, montrât combien cela lui coûtait. Hélène en fut étonnée. Elle ne s’attendait à une telle prise en main de la situation par cette femme qui avait tant tergiversé avant d’accepter de corriger Marguerite.
« C’est dommage que tu t’en ailles, car je peux te promettre que la prochaine fois que tu aurais été insolente, je n’aurais pas attendu une quelconque autorisation pour te punir. Tu aurais eu la fessée déculottée sur le champ. Tant pis pour toi s’il y aurait eu d’autres personnes à passer pendant que je t’aurais fessée. »
La dame ceintura Marguerite et, pesant sur son dos, elle l’obligea à se courber sous son bras. Elle releva l’arrière de la jupe. Les cuisses de Marguerite qui apparaissaient à la vue de tous sous sa culotte, étaient couvertes de chair de poule. La voisine glissa un pouce sous l’élastique de la culotte.
« Oh non, Madame, s'il vous plait, pas ici !
– Et pourquoi ne faudrait-il pas que je te déculotte ici ?
– Chez vous, Madame, je vous en prie !
– Crois-tu que je te demande ton avis ? »
Elle baissa la culotte. Marguerite serra les fesses et les cuisses, mais cela n’empêcha en rien la voisine de dénuder son postérieur.
« Là où tu as raison, c’est que je devrais prendre le temps de te descendre dans lehall d’entrée, pour te donner ta fessée. Si je m’en souviens bien, tu n’as pas hésité à être insolente dans un lieu public. Il est donc normal que tu sois puni dans un endroit qui s’en rapproche. C’est ce palier qui y ressemble le plus. Il est donc tout indiqué pour te donner la fessée. »
La transformation était spectaculaire. Il n’y avait plus aucune trace d’hésitation ni dans la voix ni dans les gestes de la voisine.  Elle replaça Marguerite sous son bras, l’obligeant à se courber un peu plus et en la plaquant contre sa hanche. Plus personne n’avait de doute sur l’efficacité de la fessée qui se préparait.
Les premières claques confirmèrent cette impression. . Elles résonnèrent dans la cage d’escalier et les fesses se colorèrent aussitôt d’un rouge, discret au début, là où la main avait porté. Les cris de Marguerite se répercutèrent sur les murs. Nul ne pouvait plus ignorer qu’il se passait quelque chose d’inhabituel au quatrième étage.
La voisine devait avoir l’habitude de donner la fessée ou elle l’avait eu dans le passé. Sa technique était irréprochable. Elle ne pouvait pas l’avoir découverte et assimilée en aussi peu de temps. Sa main prenait exactement la forme de l’endroit où elle tombait. Elle y insistait alors jusqu’à y obtenir une belle couleur cramoisie. Alors, elle changeait de côté et elle recommençait de l’autre.
Marguerite pleurait convulsivement. Elle avait du mal à respirer normalement. Son souffle dépendait du rythme de ses cris et elle n’avait pas vraiment le temps de reprendre sa respiration. Elle émettait un cri continu qui s’abîmait en un hoquet quand elle était au bout de ce que ses poumons pouvaient expectorer. Elle restait presque silencieuse, le temps d’avaler une goulée d’air ce qui ne se faisait pas sans mal, la main claquant les fesses interrompait plusieurs fois l’aspiration. Elle parvenait presque à ses fin avant de reprendre le long cri qu’elle n’avait suspendu qu’un court instant.
Alors, la fessée reprenait sur le premier côté, mais légèrement décalé. La voisine ne semblait pas se fatiguer, même s’il fallait maîtriser les mouvements de Marguerite qui se débattait sous l’avalanche de claques. Ses pieds battaient, le bas du dos se tortillait autant qu’il le pouvait, mais rien n’y faisait. La fessée continuait, inexorable.

C’est la personne qui habitait sur le même palier qui s’inquiéta en premier de tout ce raffut. Elle entrebâilla sa porte et reconnaissant ses voisines, elle rejoignit le groupe.
« Mais c’est la jeune femme du sixième, dit-elle ! Que se passe-t-il ? »
Quand on lui eut expliqué la raison de cette scène pour le moins inhabituelle, elle eut un commentaire lapidaire.
« C’est vrai que ce n’est pas la politesse qui l’étouffe ! J’espère que cette fessée lui fera du bien. Continuez ! Soyez sûre qu’elle aura compris la leçon avant d’y mettre fin ! »
Pendant qu’elle se lançait dans le récit d’une anecdote prouvant ses allégations sur l’impolitesse de Marguerite, l’autre porte du palier s’ouvrit. Une jeune femme qui devait avoir à peu près le même âge que Marguerite, passa son nez par la porte entrouverte. Derrière elle, apparut le visage d’un jeune homme qui n’était guère plus âgé.
« Mais que se passe-t-il ici, demanda la jeune femme ? Qui crie comme cela ? »
Quand les personnes qui lui cachaient le vue s’écartèrent, elle comprit tout de suite de quoi il s’agissait.
« Oh, c’est Marguerite ! Que lui arrive-t-il ? Enfin, je veux dire pourquoi reçoit-elle la fessée ? »
En quelques phrases la voisine qui venait d’arriver lui résuma la situation.
« Alors c’est une punition. Vous croyez qu’à son âge ? »
Hélène détailla quelque peu les explications lapidaires qui lui avaient été données auparavant. La jeune voisine prit un air dubitatif.
« Oui, bien sûr c’est un peu enfantin, comme comportement. Mais s’il fallait fesser toutes les personnes qui, étant adulte, se comportent comme des gamins.
– Ne croyez-vous pas que ce serait un service à leur rendre, argumenta Hélène ? Leur faire passer leurs mauvaises habitudes ? »
La voisine ne semblait pas convaincue.
« Personnellement, je ne crois pas que toutes les personnes de cet âge-là doivent être punies de cette façon. Elles ne sont pas toutes irresponsables.
– Ce n’est pas une question d’âge, mais de maturité. »
Le jeune homme qui avait passé sa tête derrière celle de la jeune voisine fit un pas dehors.
« Qu’est-ce qui se passe ? »
La jeune femme prit un air sévère.
« As-tu fini de réparer tes bêtises ? Faut-il que je le dise encore une nouvelle fois ? Je suis fatiguée de ton irresponsabilité. Rentre à la maison et finit de remettre à sa place tout ce que tu as laissé en désordre ! »
Le jeune homme engagea une retraite des plus rapides et il disparut dans l’appartement.
« C’est votre compagnon, demanda Hélène ?
– Officiellement oui, mais parfois je me demande si c’est n’est pas un petit garçon qui loge chez moi. Il faut lui redire dix fois les choses avant qu’il ne les fasse jusqu’au bout. C’est fatiguant !
– Utilisez-vous la bonne méthode ? »
Hélène tourna la tête vers Marguerite dont la fessée se poursuivait.
« Vous voulez parler de… »
La voisine regardait également dans la même direction.
« Je ne sais pas. Combien de fois avez-vous dû lui dire de finir ce travail ? A quelle fréquence journalière recommencez-vous cet exercice ? Croyez-vous que votre méthode est efficace ? »
La voisine resta muette. Elle était pensive.
« Peut-être serait-il temps d’en changer ?
– En changer ? Vous voulez dire… ça ? »
D’un mouvement du menton elle désignait Marguerite dont les fesses étaient maintenant particulièrement cramoisies.
« Ce serait une idée, vous ne croyez pas ?
– Mais ce n’est pas possible, c’est un garçon…
– Ce n’est pas plus une question de sexe du puni que de son âge. Cela fait un bien fou autant aux garçons qu’aux filles qui l’ont méritée.
– Oui, sans doute, mais s’il n’est pas d’accord et qu’il ne me laisse pas faire ?
– C’est une question d’autorité. Bien évidemment, vous ne devez pas lui demander son avis. C’est à vous de décider quand il a besoin d’une fessée. Ne lui donnez pas le choix. Annoncez-lui que vous en avez assez de ses gamineries et que, comme Marguerite, une fessée est nécessaire et que vous allez la lui donner sur le champ. Ne pensez-vous pas que recevoir une bonne fessée quand il l’a méritée, lui serait profitable ?
– Si, bien sûr ! Pour tout vous dire, j’y ai pensé à plusieurs reprises quand j’ai entendu dire qu’il y avait plusieurs adultes qui avaient été punis de cette façon. J’ai entendu dire qu’au supermarché, c’est devenu une habitude et que cela se passe devant tout le monde. Je ne sais pas si c’est vrai.
– Je peux vous assurer que c’est la vérité. Vous pourrez demander à Maeva qui finit le ménage à l’étage du dessus quand elle va arriver. Elle y travaille et elle bénéficie régulièrement de la fessée que lui donne sa cheffe. A la maison, sa sœur chez qui elle vit, lui donne la fessée à chaque fois qu’elle le juge nécessaire, comme pour Marguerite. Je crois que tout le monde en est parfaitement satisfait.
– Même les deux personnes qui reçoivent la fessée ?
– Je ne vous dis pas que quand Teva ou moi nous leur baissons la culotte et qu’elles prennent conscience qu’elles vont être fessées, elles sont euphoriques face à ce qui leur arrive. Mais je crois qu’elles ne changeraient de résidence pour rien au monde. L’attention que nous leur portons leur est précieuse. Elles ne s’en passeraient pour rien au monde. Essayez donc avec votre compagnon, vous serez surprise des résultats.
– J’essayerai bien. Mais s’il ne se laisse pas faire ?
– Dites-lui que c’est la condition pour que votre vie commune continue, que vous acceptez de vivre avec un adulte qui se comporte comme un enfant à la seule condition que vous puissiez, quand vous le jugez bon, le punir comme un enfant : d’une bonne fessée.
– Et s’il n’accepte pas ?
– Voilà ce que vous allez faire… »

Quand la jeune voisine rentra dans son appartement, elle trouva son compagnon accoté à la fenêtre. Il regardait les passants qui déambulaient sur le trottoir, un verre de bière à la main.
« As-tu fini de faire tout ce que je t’avais dit, Théo ?
– Non, pas encore. Je fais une petite pause et je m’y remets.
– Une petite pause ? Alors que cela fait plus de deux heures que je t’ai ordonné de nettoyer le frigidaire après que tu y as renversé le bol de sauce ? Tu te moques de moi ? Tu en avais pour quinze, peut-être vingt minutes, mais pas plus ! Deux heures après ce n’est toujours pas fait. Tu as dépassé les bornes ! »
Elle attrapa son compagnon par le bras et il dut la suivre. Elle s’installa sur une chaise.
« Je crois qu’une bonne fessée va te faire du bien ! »
Elle le plaça entre ses jambes qu’elle referma sur celle de son compagnon debout devant elle. Ses mains commencèrent à déboucler la ceinture avant qu’il réagisse.
« Non attend ! Clémentine ! Qu’est-ce que tu fais ? »
Il plaça ses mains sur celles de sa compagne, l’empêchant d’aller plus loin.
« Je te déculotte pour te donner une bonne fessée. Désormais, ce sera de cette façon que je te punirai quand tu en auras besoin. Ecarte tes mains de là !
– Non, tu ne peux pas. Je ne veux pas !
– Peu m’importe que tu le veuilles ou non ! Ce qui compte, c’est que tu en as besoin. Enlève tes mains !
– Non, non, non ! »
Ses mains restaient en place, s’opposant au débouclage de sa ceinture.
« Théo si tu n’enlèves pas tes mains tout de suite, après être allé au coin, tu auras une deuxième fessée, bien plus sévère que la première !
– Non, non, je ne veux pas. »
Clémentine essaya d’écarter les mains de force, mais Théo ne la laissa pas faire.
« Si tu ne me laisses pas te déculotter, je vais chercher les voisines. Elles me donneront un coup de main à te baisser le pantalon et la culotte et tu vas prendre ta fessée devant elles. Si nous sommes trois ou quatre, nous devrions bien réussir à te déculotter. Est-ce que c’est ce que tu veux ?
– Non attends, Clémentine, non ! Pardon, je vais finir ce que tu m’as dit de faire. Je le fais tout de suite ! »
Mais les mains restaient à la même place.
« Non, trop tard ! Maintenant, c’est d’abord la fessée ! Je compte jusque trois. Si à trois tu n’as pas enlevé tes mains, je vais chercher les voisines. Un… deux… et… »
Théo regarda Clémentine droit dans les yeux. Il y vit une résolution sans faille. A n’en pas douter, elle mettrait sa menace à exécution. La fessée que la jeune femme avait reçue sur le palier l’avait édifié. Les mégères qui habitaient dans les appartements à côté seraient ravies de rendre ce service. Quand à résister à trois ou quatre d’entre elles, il n’y comptait pas. Il enleva ses mains.
« Clémentine, s’il te plait ! Ce n’est pas nécessaire de  te fâcher… »
Les boutons de la braguette défaits, le pantalon tomba sur les genoux et Clémentine le fit descendre un peu plus bas.
« Clémentine, non ! Je vais obéir, je vais faire ce que tu m’as dit. Non, ma culotte, non ! »
Elle avait saisi la culotte de chaque côté de la taille de son compagnon et elle la fit glisser le long de ses cuisses. Le sexe semi-érigé qui en jaillit ne l’impressionna pas. Non seulement elle l’avait déjà contemplé dans cet état, mais elle savait, de plus, que ce ne serait pas la dernière fois qu’elle aurait l’occasion de le mettre à l’air comme elle venait de le faire.
« Ne bouge pas de là ! »
Elle devait suivre jusqu’au bout les recommandations de cette dame qu’elle avait rencontrée et qui semblait s’y connaître en matière de punition de jeunes adultes. La fessée que sa protégée recevait en public sans se révolter le démontrait. Elle lui avait donné de judicieux conseils. C’est exactement comme elle l’avait prédit que les choses s’étaient passées.
Quand elle revint, elle tenait une brosse en bois dont le dos plat convenait parfaitement pour l’usage qu’elle prévoyait.
« Clémentine, pourquoi cette brosse, demanda Théo la voix tremblante ?
– Tu vas le découvrir bien assez tôt ! »
Elle obligea Théo à se courber sur ses genoux, emprisonnant son buste sous son coude. La fessée pouvait commencer.


Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose

Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre  98, de sa sœur si sévère.

Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé

Voici le début du récit : le chapitre 1
L'épisode précédent : le chapitre 36
Et tous les autres sur la page "mes récits"

Mais, ce n'est pas fini

Y a-t-il une suite ? Bientôt, bien sûr, le chapitre 38.


Un commentaire, deux commentaires, trois... n'en jetez plus !

Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.

4 commentaires:

  1. Marguerite et Maeva doivent avoir les fesses qui refroidissent... Et la suite des claquantes relations entre Clémentine et Théo....J'espère qu'il y aura des suites sinon gare à la fessée !

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    1. Oui maintenant c’est la fessée déculottée pour ta paresse.

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    2. C’est sûr cette fessée tu la mérites, cul nu, sur les genoux, une bonne claquée et aussi une poignée d’ orties sur les cuisses et sur les fesses. Ça t’apprendra, paresseux.

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    3. Moi je la mérite vraiment la bonne fessée cul nu sur les genoux car je suis un garçon paresseux et insolent. Je sais que ça fait honte mais c’est la solution pour me faire filer droit et j’ai besoin d’autorité. Alors si tu veux bien me corriger et me fesser.

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