mardi 3 mars 2020

Ces dames aux mains fermes - saison 3 - chapitre 22

LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE

L'INSUPPORTABLE ATTENTE DE LA FESSEE.

Il était aux environs de midi et demi lorsque Robin rentra chez lui. A sa grande surprise il trouva Bettina, en grande conversation avec Edouard. La pétulante voisine, n'était pas du genre à s'embarrasser de principe ni mouronner dans le remord mais, il fallait lui reconnaître un sens de la légitimité.  Elle avait commis une faute, et mérité une sévère punition qu'elle avait acceptée sans faire de manières.
Walter, son mari, s'en était chargé, sans enthousiasme, mais consciencieusement et avec la rigueur nécessaire. Elle aussi, fessées matin et soir pendant toute la semaine... pour elle, l'affaire était classée. Seul changement notable dans son comportement, sous la fréquence des corrections, et malgré la persistance d'une cuisson douloureuse, elle avait fini par éprouver d'excitantes sensation à entendre et sentir claquer ses grosses fesses. Tant et si bien que son engouement pour la fessée, jusqu'alors à administrer, avait fini par déclencher le plaisir et le désir d'en recevoir à son tour.
Walter, à l'inverse, régulièrement corrigé, était assez peu expérimenté en la matière. Il fessait rarement, et davantage par nécessité que pour la satisfaction de claquer un derrière. Mais, suite à cette semaine de déculottées en série, il allait devoir maintenant s'employer à satisfaire les besoins de fessées du plantureux fessier de sa femme qui s'annonçait gourmand en la matière. Car pour madame, jusqu'alors plus habituée à donner que recevoir, la découverte des sensations sous l'effet d'une bonne déculottée, ouvraient de nouvelles perspectives à l'activité de son opulent derrière. Enrichie de ces aspirations, elle reprenait le cours normal de sa vie et renouait tout naturellement contact avec ses amies.

Pour Bettina au tempérament résolument optimiste, la vie était un jeu ! Et elle voulait sans cesse jouer. Elle pétillait d’une joie exubérante et même quand elle faisant semblant d’être triste, ou fâchée ou inquiète, c’était en fait pour s’amuser des réactions des autres ! Toujours dans la provocation, elle prenait un malin plaisir à agacer tout le monde et en premier lieu son mari, qui avait souvent du mal à suivre. Peu encline aux états d'âme, cela ne la perturbait pas outre mesure de passer parfois pour une garce aux yeux de son entourage. D'ailleurs, estimant avoir payé sa dette après cette brève aventure extra conjugale, elle n’éprouvait aucun scrupule à se vanter d'être à l'origine du régime de punitions de ces messieurs. Après tout ils l'avaient bien cherché et n'avaient qu'à s'en prendre à eux même de s'être mêlé de ses affaires. Bien fait pour eux ! Ils s'étaient montrés bien inconséquents d'essayer de tirer profit de la situation. Elle était encore trop bonne de passer prendre des nouvelles de leurs fesses !


Elle avait commencé par une petite visite de courtoisie en fin de journée, chez Clarisse, la plus proche de chez elle, pour papoter un peu et constater, sans surprise, que le gros derrière de Douglas était en bonnes mains. Elle était arrivée au moment où madame venait de l'envoyer au coin, déculotté, cuver sa fessée du soir. Ses fesses écarlates et cuisantes, témoignait de la qualité de sa correction.
Elle rendait visite à Gladys dans un esprit de réconciliation et pour les remercier au passage de leur mansuétude.  La solidarité féminine n’était pas un vain mot, ces Dames, conscientes, que ce genre de petit accroc à l'harmonie du couple pouvait arriver à n'importe qui, lui avaient rapidement pardonné son écart. Ce qu'elles étaient loin d'avoir accordé aux époux, misérables profiteurs dans l'affaire. Chaque occasion de renforcer la discipline conjugale était bonne à saisir. Clarisse comme Gladys, avaient même apprécié   de bénéficier d'un excellent prétexte pour les soumettre à un régime accéléré de fessées matin et soir pendant toute la semaine. 
 Régine de son côté, n'avait pas non plus lésiné sur la sévérité des corrections. Elle fit preuve d'une implacable sévérité à sanctionner sévèrement la conduite inqualifiable de Gilbert. Il dû lui présenter ses fesses à claquer à la même fréquence quotidienne que les deux autres protagonistes.

Gladys était en ville ce samedi matin et devait rentrer incessamment. Dans le cadre très stricte de sa participation aux tâches ménagères, Edouard avait pour consigne de préparer le déjeuner et mettre la table en l'attendant.  Bettina interrompit leur conversation lorsqu'elle vit arriver Robin. Elle le gratifia d'un large sourire, qu'il lui rendit distraitement, aussitôt perturbé par son décolleté ravageur qui avait du mal à contenir sa volumineuse poitrine débordante. Elle se tenait debout au milieu du salon, cambrée sur ses talons aiguille, dans une de ces tenues provocantes qu'elle affectionnait pour exhiber ces formes avantageuses. Elle aimait attirer le regard des hommes.
Impressionné par la sulfureuse créature, Robin ne put s'empêcher de penser en avalant sa salive – Qu’à moins d'être frappé de cécité, ou d'avoir une libido en arrêt de maladie, pas étonnant que Gilbert Duplessy avait fini par succomber à la tentation –

Elle dû se rendre compte de l'effet dévastateur qu'elle faisait sur le jeune homme. Sans doute à cause de la proximité de son beau-père, elle tira machinalement sur sa courte jupe pour essayer vainement de la faire redescendre par-dessus ses jarretelles, aussi apparentes que les poutres au plafond d'une maison de campagne.


Douglas paraissait embarrassé.  De toute évidence Bettina, pas gênée le moins du monde d'en être un peu responsable, avait dû engager la conversation sur son sujet favori, en l'occurrence son régime de fessées quotidien. Le ton inquiet du beau-père laissait deviner qu'il s'agissait de ce qu'on pouvait entendre pendant les correction administrées la fenêtre ouverte. 
– « Ah bon, Bettina ? On entend tout ce que je dis quand je reçois une fessée ?
– Mais bien sûr Edouard, quand on reçoit la fessée, c’est normal que les voisins le sachent et l’entendent.
– Oui… évidemment… mais....
– Le mieux pour qu’une fessée fasse bien effet c’est même qu’elle soit donnée en public... ou en famille... ou devant des amis ...”
  Je sais …oui, c’est certain…mais on entend tout ? Ooohhh, j’ai honte...
– Voyons Edouard, c’est fait pour cela …la honte de recevoir la fessée, ça fait partie de la fessée...c’est comme ça mon ami ! Surtout quand c’est bien mérité comme pour vous : les fesses bien déculottées et bien exposées à la fessée : c’est normal !
– Oui, mais...mais ...ais ais... quand même, Bettina … vous vous rendez compte !
  Allez, allez … on n’entend pas toujours tout …sauf le bruit des claques et les pleurs …mais ce que vous pouvez dire ...la plupart du temps, on peut pas comprendre... on ’entend des mots par ci ...par là …
  Ben oui ...Je sais bien c’est les fessées, hein ? ...ça en fait partie …  je les mérite en plus...alors il faut bien que j’en reçoive de bonnes ... »

Edouard, semblait résigné. Il avait renoncé à une part de sa dignité et, sans doute animé du besoin de se confier un peu, se laissait aller en se lamentant, malgré l'écoute peu complaisante de Bettina dont il connaît les penchants pour l'extrême sévérité. 
– « Oh et puis aujourd’hui …la fessée ce matin bien sûr ...et puis d’habitude, c’est la fessée le soir ...à cause de ce que j’ai fait par rapport à vous... Vous le savez bien.
Peu émue, Bettina sourit d'un air moqueur et répond avec cynisme.
– « Mais vous n'étiez pas obligé mon cher... je ne vous ai rien demandé...Ces fessées vous les méritez entièrement. D'ailleurs, j'ai pris les miennes aussi. Ça ne tiendrait qu'à moi, je renouvellerais le traitement pour une autre semaine ! » 

Edouard effondré sait qu'il ne trouvera aucun soutien, bien au contraire. Ces femmes sont impitoyables. Il se plaint encore, malgré tout, pour essayer...
 – « Mais aujourd’hui, cet après-midi Gladys va m’emmener choisir un nouveau martinet chez le cordonnier, à l’autre bout de la ville ...et...
Bettina le coupe sans ménagement.
– « Elle a raison mon cher ! Un bon martinet bien cinglant, c'est ce qu'il faut pour corriger des grosses fesses comme les vôtres !
– Oui... mais c’est sûr... Elle va me flanquer une autre fessée juste avant d’y aller, pour que j’y arrive bien puni aux yeux de tout le monde …alors ! Ouille ! Et si, en plus, il m’en redonne une autre ce soir …oh la la !
Bettina a du mal à bouder son plaisir et lui en remet une couche sans vergogne.
– « Mais bien sûr Edouard... C’est normal que vous arriviez les fesses bien rouges dans le magasin pour acheter un nouveau martinet. Il faut présenter un fessier bien gonflé par les claques pour choisir un martinet aux bonnes dimensions !
– Ben oui …je sais …évidemment …c’est forcé ...mais ce soir elle va vouloir l’essayer alors qu'elle l'aura déjà testé dans le magasin…c’est forcé aussi …oh la la !
– C'est bon Edouard, arrêtez de vous plaindre... Tout ça vous l'avez mérité... Une bonne séance de fessées cela vous remet à votre place... »

Tout en donnant raison à Bettina et en reconnaissant le bien-fondé de ses arguments, Robin observait son beau-père qui lui paraissait assez anxieux. Ce n’était certes pas la première fois qu’il lui donnait cette impression ces jours derniers quand la perspective d’une fessée s’approchait …mais sans doute que l’addition des fessées reçues depuis que Gladys l’avait puni commençait à faire sérieusement son plein effet sur lui. Il n’était plus du tout fière le cher beau-père …plus du tout rassuré. Il ressentait tout simplement la crainte de la fessée comme un incorrigible mari qui savait pertinemment, ce qui attendait ses fesses en cas de mauvaise conduite. La différence de comportement était spectaculaire entre le cadre en entreprise, sûr de lui et de sa position dominante au bureau, et le mari à la maison, dressé à la fessée, entièrement soumis à l'autorité de sa femme.

Forte de son emprise sur lui, Gladys ne lui laissait rien passer et, de plus, se plaisait à bien corriger la solide paire de fesses dont il était doté. Il savait qu’il ne pouvait en aucun cas se soustraire à la stricte discipline qu'elle lui imposait et, ce matin-là, il avait tout simplement peur de la fessée prévue. Il fallait qu'il soit vraiment désemparé pour chercher naïvement à ce que Bettina le rassure et lui témoigne un peu de compréhension. La fervente adepte de la fessée sévère, n'était certainement pas la bonne personne à qui s'adresser.  D’un ton embarrassé, toute dignité perdue, il l’interrogea, comme un petit garçon inquiet et apeuré, qui a oublié les consignes pour préparer ses fesses, que sa maman lui a données avant de sortir.
– « “ Oh là là ! je me souviens plus de ce qu’elle m’a dit de faire ? Est ce qu’elle veut me trouver déculotté quand elle va arriver... ou me déculotter elle-même ? Elle me l’a dit, ce matin, j’en suis certain mais je ne me le rappelle plus. Elle venait à peine d’arrêter de me fesser, je ne savais plus où j’en étais …j’avais les oreilles qui bourdonnaient, j’avais le fessier qui chauffait tellement que j’étais incapable d’enregistrer quoi que ce soit …qu’est ce vous croyez, vous, Bettina? Comment je dois l’attendre ? A genoux, évidemment ! »

Les bras croisés sous sa forte poitrine, en pleine expansion, les yeux au plafond elle soupira d'un air navré, se fichant éperdument des jérémiades du malheureux en pleine crise d'angoisse.  Elle jugeait même son attitude, pitoyable d'indignité. Elle porta son regard vers Robin.
– « Tu vois mon petit Robin, dit-elle en soupirant à nouveau, ce qui augmenta encore l'amplitude de sa poitrine. C'est bien parce que je respecte les choix de ta mère et puis, bon... je ne suis pas chez moi. Elle désigna Edouard d'un coup de menton. Mais je te l'aurais déjà calmé d'une de ces fessées !  Au moins ça lui aurait donné une bonne raison de pleurnicher et ça l'aurait mis en condition pour la suivante. Mais bon... ce n'est pas d'actualité. »
une fessée déculottée en public


 Robin, bien conscient qu'il se trouvait souvent à la place de son beau-père, observait la scène sans trouver quoi répondre. Qu'aurait-il bien pu dire ?... Edouard, quant à lui, à peine conscient du ridicule de sa situation, semblait ne pas avoir entendu, et s'obstinait naïvement à solliciter l'avis de l’exubérante voisine qui s'en fichait comme de son premier slip de nylon. 
– « Vous feriez quoi, vous, à ma place ? Qu’est-ce que vous en pensez ? ......et …est ce que vous croyez qu’elle va me laisser en punition pendant plusieurs jours encore ? ...à votre avis ?, » 
Bettina, s'amusait visiblement de la panique qui s'était emparée du malheureux, révélant ainsi toute la crainte que lui inspirait sa sévère épouse. Elle minauda, tournant autour de lui en faisant claquer ses talons aiguille.
– « Moi, je n’en sais rien, mon cher Edouard... que voulez-vous que je vous réponde ? Je ne suis pas dans la tête de votre femme. Depuis le temps qu'elle vous flanque des fessées, vous devez quand même bien savoir ce qu’elle veut ! Comment lui présenter vos fesses... Qu'est-ce que j'en sais moi ?
  Ben …quand elle m'a prévenu qu'elle allait m'en mettre une, elle veut me trouver en position quand elle arrive, mes fesses en évidence, prêtes à être bien claquées...
– Et bien voilà... Vous savez ce qu'il vous reste à faire mon ami ! »

Brusquement, découvrant l’heure, Bettina, annonça son départ pour rentrer chez elle. Elle lissa soigneusement sa jupe sur ses grosses fesses pour bien les mettre en valeur et jeta un clin complice à Robin en enfilant ses gants.  
– « Amusant ton beau-père. Gladys l'a bien dressé... Il est fin prêt pour sa fessée. On dirait qu'il sent déjà les claques sur ses fesses ! Tu transmettras toutes mes amitiés. À ta mère et mes encouragements à fesser très fort... Elle n'en a pas besoin, mais ça l'amusera... »

 Elle reprit son sac posé sur la table basse et passa devant Edouard, à genoux tremblant sur sa chaise à fessée.
– « Allons mon ami, tendez vos fesses mieux que ça, si vous voulez faire plaisir à votre épouse. Elle est comme moi, elle aime les fessées bien claquantes ! »
Elle sorti dans un grand éclat de rire, en ondulant des hanches pour mieux tortiller son majestueux fessier. Du pur Bettina !

Edouard, soudain conscient du ridicule de sa situation, tourna la tête par-dessus son épaule en direction de Robin. Leur contentieux était toujours vivace. 
– « On dirait que ça t'amuse de me voir comme ça... Mais tu feras moins le malin quand ce sera ton tour et que ta mère aura décidé de s'occuper de tes fesses ! Elle ne te fera pas de cadeaux non plus.  Comme tu as eu la bonne idée de couper les lanières du martinet, toi aussi tu vas en avoir un neuf mon petit gars ! 
– En attendant, ce n'est pas moi qui suis en position de m'en prendre une, répond Robin en jetant un œil par la fenêtre. Vous feriez mieux de préparer vos fesses, maman ne devrait pas tarder à rentrer... D'ailleurs la voilà !. »  Il venait juste de l'apercevoir au bout de la rue.

Edouard ne put s'empêcher de pousser un petit gémissement plaintif. Les coudes reposant sur le dossier bas de la chaise, son postérieur déculotté était plus haut que sa tête. Il avait creusé les reins, exhibant le plus possible son plantureux fessier de façon provocante, l’arrondissant en le faisant ressortir au maximum. Il apparaissait totalement épanoui dans toute sa ronde ampleur, disposé à recevoir la fessée la plus sévère que Gladys déciderait de lui administrer.  Le petit échange d'amabilités avec Robin n'était plus d'actualité. Maintenant il semblait quasiment trouver que sa présence était négligeable. La tête relevée et tournée vers la porte d’entrée, il la fixait d’un regard soumis et suppliant, tout en présentant sa croupe bien tendue... C'était ça la soumission à la fessée.

Gladys entra en coup de vent, les bras chargés de sacs aux marques des boutiques qu'elle avait faites.  Elle fit claquer la porte en la fermant d'un coup de talon aiguille et annonça tout de suite la couleur.
– « Robin, bouge tes grosses fesses et viens m'aider ! Dépêche-toi, si tu ne veux pas que je m'en occupe dès que j’aurai les mains libres ! »
Dès qu'elle haussait le ton dans la maison, tout le monde serrait les fesses ! Il se précipita vers elle pour la délester de ses sacs et la saluer d'un bruyant :
– « Bonjour maman ! »  Et l'embrassa.
   Tout en ôtant ses gants un à un, elle le fixa avec un petit sourire ironique. 
– « Dis-moi mon ami, il paraît que tu t'es encore fait remarquer avec Gérôme et son Cousin ce matin à l’Olympic ? »
Avant que Robin, le regard interrogatif, ait eu le temps de répondre elle poursuivit ravi de son petit effet de surprise.
 – « Vous vous êtes engueulés devant tout le monde... En plus, pour une histoire de petite culotte !  Bravo, de mieux en mieux ...C'est du propre !
– Mais... mais maman... Ce n’est pas vraiment comme ça que …
– Te fatigue pas à me raconter des blagues... je l'ai appris, c'est tout ! Et ne cherche pas à savoir par qui. Vous n'êtes pas les seuls que je connaisse à fréquenter l'Olympic
– Oui... maman, mais laisse-moi t'expliquer...
– Rien du tout ! On va régler ça plus tard mon chéri... J'aurai une petite conversation avec tes fesses ! En attendant cet après-midi ; opération martinet ! Elle se tourna vers Edouard transis de trouille sur sa chaise. Tes fesses sont prêtes mon ami ? »
 Edouard accentuant sa position inconfortable, lui adressa pour toute réponse un timide. :
 – « Bon... bonjour, ma Chérie ! “
Elle le regarda, paraissant juger la position et apprécier le volume du fessier à sa disposition, mais elle ne lui répondit pas.

Elle s'assit à table et demanda à Robin de lui servir un verre de vin blanc qu'elle commença à siroter à petite gorgée. Elle aimait se sentir maîtresse des situations en rendant sa présence redoutée par la crainte de la fessée.  Elle recula sa chaise de la table pour croiser haut les jambes, faisant crisser à plaisir ses bas nylon sur ses fortes cuisses.  
– « Ta sœur n'est pas là ?  Demanda-t-elle en croquant distraitement dans un petit salé à apéritif que Robin avait placé devant elle. La voix légèrement tremblante, il répondit en restant debout devant elle. Il n'avait pas reçu l'autorisation de s’asseoir.
– Non maman, elle est partie pour le week-end chez une copine.
– Dommage pour elle, elle va rater une belle séance de fessées ! »

Elle afficha un grand sourire, lourd de sous-entendu. Elle hocha la tête sans rien dire de plus. Tout en buvant son verre tranquillement, à petits coups, elle jetait de temps en temps un œil sur son puni qui s'appliquait à garder sagement sa position sans rien dire, son fessier présenté, développé au maximum. Il attendait sa fessée avec anxiété. Elle l'interpella d'une voix enjouée comme s'il s'agissait de la perspective d’un moment agréable 
« Je vois que tu sais ce qui attend tes fesses mon ami !
– Oui, ma chérie... je sais …
– Alors dis le moi que j'ai plaisir à l'entendre.
– Tu vas me flanquer une fessée ...Une bonne fessée...
– Une fessée comment, tu dis ?... Je n'ai pas bien entendu.
– Heu... Une très bonne fessée, chérie … Une fessée bien sévère sur mon gros derrière d’époux désobéissant ...une fessée bien méritée, chérie ...Euh mais pas trop fort quand même s'il te plaît.
– Ça mon cher c'est à moi de décider... »

La tête baissée mais les yeux levés vers elle, le regard soumis, les mains agrippées au dossier de sa chaise, l’air repentant et docile, Edouard est prêt à reconnaître n'importe quoi pour abonder dans le sens de son épouse et retarder l'échéance de sa fessée.
« La fessée de ce matin t’a mis un peu de plomb dans la tête ?
­L'autre servile.
-- Oui, ma chérie, tu as bien fait de me la donner... Je les mérite bien les fessées…les bonnes fessées sur mes fesses déculottées...
– Et comme chacune de tes fessées est justifiée, tu sais pourquoi je vais te mettre celle-là ?
– Oui... Gladys... oui..., c'est...  c'est pour préparer mes fesses au nouveau martinet sur mesure.
– Voilà ! C'est bien...  tu as tout compris mon ami ! 

Histoire de prolonger l'angoisse de l'attente de sa fessée elle décida cette fois de la lui flanquer après le déjeuner. 
- « Nous allons passer à table, mais soit tranquille... et je m'occuperai de tes fesses juste après ! »

Gladys et Edouard se faisant face. Robin, assis en bout de table, remarqua vite qu’alors que sa mère et lui mangeaient de bon appétit, il n’en allait pas de même d'Edouard qui picorait lentement quelques bouchées. Il sautait aux yeux qu’il n’avait plus aucune assurance et avait visiblement renoncé à faire bonne figure, comme il l’avait fait pour répondre à son épouse. Maintenant, il s’abandonnait à la crainte qui l’avait envahie de l'imminence de sa fessée. Robin le voyait, fixer son regard sur la main de sa mère qui n'allait pas tarder à claquer sur ses fesses et sur le martinet placé sur la table à côté d'elle. Il se tortillait sur sa chaise comme s'il sentait déjà la cuisson sur ses fesses…Il tripotait un peu de mie de pain machinalement...respirait plus vite qu’à l’accoutumée sans pouvoir s’empêcher de renifler. 
Robin se demanda s'il n’allait pas se mettre à pleurer tout de suite, à table, avant même que sa fessée commence …Il n’était plus qu’un puni peureux de se faire corriger sévèrement sur le derrière, comme il savait que cela était inévitable...

Le repas se passa rapidement, quasiment en silence. Certes Robin et sa mère discutaient un peu, comme si de rien était, mais Edouard, un peu sonnée par la perspective de la fessée qui l'attendait, et pire, de cette virée chez le cordonnier pour l'achat de son martinet sur mesure, restait pratiquement pensif et silencieux …De temps en temps, sans doute inconsciemment, il se trémoussait sur sa chaise anticipant les vigoureuses claquées qui attendaient son généreux postérieur.

Ils avaient à peine fini de manger, Edouard préparait ses fesses pour sa déculottée, quand Robin aperçu Clarisse et son mari Douglas qui arrivaient. Ils n'avaient pas entendu leur voiture, car en raison de travaux de voirie, Clarisse avait dû se garer un peu plus loin de la maison. Elle avançait d’un pas rapide et décidé, tenant fermement Douglas par l'oreille, qui peinait à suivre son allure, en trottinant, le slip en travers des cuisses, tenant à deux mains son pantalon baissé. Elle aimait faire savoir qu'elle corrigeait son mari, dressé à la fessée, et ne se gênait pas pour l'exhiber en public, les fesses à l'air, écarlates et cuisantes après une sévère déculottée.
C’est Robin qui leur ouvrit la porte, un peu vexé que Clarisse ne réponde que distraitement à son bonjour et que Douglas semble à peine s’apercevoir de sa présence, plus préoccupé par l'état de ses fesses rouges de sa récente fessée.


Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !

Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 21
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Il y a une suite, oui, le chapitre 23.

Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.

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