mardi 24 mars 2020

Ces dames aux mains fermes - saison 3 - chapitre 25

LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE

LA METHODE PATRICIA.

Ce lundi matin, premier jour de vacances, Patricia, toute pimpante dans son habituelle jupe plissée ultra courte qui lui battait le haut des cuisses au ras des jarretelles et sa veste de tailleur assortie, claquait joyeusement du talon aiguille sur le trottoir pour se rendre, comme convenu, chez Thérez Bellebourge.
Gérôme, pour lequel sa mère envisageait l’année suivante, une entrée en école de commerce, avait un besoin urgent d'améliorer ses connaissances et sa pratique de l'anglais. On ne pouvait pas dire que celui-ci, comme son cousin Rodolphe et l'autre énergumène de Robin, développait une énergie monstrueuse au travail. Leur statut d'étudiant à Ste Marie relevait plus de la fiction que d'un réel intérêt pour les études. L'attractivité du baby-foot, du jeu de fléchettes et du comptoir de ‘'l'Olympic'' l'emportait largement sur celle des salles de cours. 


Les fréquentes séances de fessées à la maison ne suffisant pas à inciter son paresseux de fils à étudier sérieusement, Thérez Bellebourge, avait décidé de lui donner des cours particuliers pour une énergique remise à niveau en anglais. La maîtrise de la langue s'avérait indispensable dans le cadre du commerce international. Patricia, la fille de son amie Gladys, qui la parlait couramment, avait accepté ce challenge. Tout comme sa mère, elle s'était taillé une excellente réputation par ses méthodes radicales en matière de discipline éducative. La pratique systématique de la fessée faisait partie du patrimoine familiale, et si les fesses de son frère Robin avaient su parler, elles auraient pu témoigner de l'efficacité de sa cuisante force de frappe. S'occuper du cas Gérôme, représentait pour elle un projet pédagogique intéressant avec, comme argument d'incitation au travail, une solide paire de fesses bien entraînée à son entière disposition. La culture de la discipline à l'anglaise commençait, par un rappel de sens du mot ''spanking'' ...

– « Entrez Patricia, entrez ! Gérôme vous attend, il est dans sa chambre, dit Thérez Bellebourge en lui ouvrant la porte. Elle ajoute avec un sourire entendu... Pas bien rassuré d'ailleurs. Elle rit... Il vous attend et il sait aussi ce qui l'attend s'il ne se remet pas sérieusement au travail …
– Vous avez bien fait de le mettre au courant, répond la jeune femme d'un ton assuré. C'est déjà du temps de gagné en explications inutiles.
– Oui. Ses fesses sont prêtes pour la leçon. Il a déjà eu deux fessées aujourd'hui.  Alors n'hésitez pas à sévir. C'est un coriace, comme son cousin et Robin qui jouent aux petits durs entre eux.... Les fessées, même pas peur. Il est habitué à s'en prendre souvent plusieurs fois par jour,  même par ses sœurs et ses cousines qui adorent lui claquer les fesses et ne ratent jamais une occasion de s'en régaler. 
-- Ne vous en faites pas Thérez, je n'ai pas l'intention de lui ménager le derrière. Je vais le faire marcher à la fessée le garçon. Faites-moi confiance... Je vous garantis que si ça ne va pas comme je veux, ses fesses, vous allez les entendre claquer de là-haut, même la porte fermée ! Ça fait partie de notre contrat non ? , »

Lorsque Patricia entre dans la chambre de Gérôme celui-ci est à son bureau, penché, la tête entre les mains, sur son livre d'anglais, se récitant à mi-voix la fiche de vocabulaire qu'elle lui a demandé pour préparer sa première leçon. Trop concentré pour être honnête le jeune homme. Il semble bien que son attention studieuse ne date que du moment où il a entendu claquer les talons aiguille de Patricia en montant l'escalier. 

Celle-ci, sans un mot, approcha une chaise et s'assit devant lui. Sa jupe très courte se retroussa naturellement.
– « Bonjour Gérôme Dit-elle d'une voix suave. On est prêt pour sa première leçon,  j'espère ? »
Elle croisa très haut les jambes, faisant crisser ses bas nylon sur ses cuisses, qui captèrent aussitôt le regard de Gérôme, attiré par la vison de ses jarretelles apparentes. Elle fit comme si de rien était et s'amusa de son trouble, sachant qu'elle le mettait déjà en difficulté pour mieux assurer son ascendant sur lui. Il répondit en avalant péniblement sa salive.

– « Bon... Bonjour madame Patricia. Je... je suis prêt... oui...
– Allons, pas de manières entre nous ? On se connaît Tu peux m'appeler Patricia tout court... Maintenant, autant mettre les choses au point tout de suite. Ta mère t'a prévenu ?... Tu sais pourquoi je suis là.... Pour te faire travailler et m'occuper de tes fesses si ça ne va pas comme je veux. Alors je suppose qu'elles, aussi, sont prêtes, parce que tu as vivement intérêt à y mettre du tien, sinon je te garantis que les fessées, ça va claquer, sec et serré  !
  Euuuuh... Oui.... Oui madame...
– Tu vas voir comme on travaille mieux après une bonne fessée,  les fesses déculottées, rouges et cuisantes, bien calées sur sa chaise ; . D'ailleurs je vais demander à ta mère de remplacer ta chaise de bureau par celle en osier cannelé que j'ai vue en bas. Tu resteras assis dessus après chaque fessée pendant que je t'interrogerai, pour bien profiter de l'effet de cuisson.  C'est un excellent stimulant pour la mémoire. .
– Ma... ma mémoire... Oui, Madame.
– Bon... ajoute-t-elle avec un petit sourie en coin. Continue à m'appeler ''Madame'' si tu veux. Mais ce n'est pas la peine de prendre ce petit air faux jeton de chien battu.
– Mais Madame, non... je ne prends pas de…
– C'est ça oui... Vous faites les malins, toi, ton cousin et mon frère avec vos petites combines à deux balles, à sécher les cours pour aller au bistrot et à faire faire un sang d'encre à ta mère. Mais maintenant devant moi, tu essayes de le faire profil bas...!
– Euuuh... Non.... Ma... Madame Patricia... 
– Madame Patricia, comme tu dis, elle va te remettre vite fait au travail, mon mignon.  Alors je résume... c'est très simple. Je veux des leçons par cœur.  A La moindre erreur,  la plus petite faute, c'est la fessée, immédiate ! Autant de fois qu'il le faudra, jusqu'à ce que tu saches correctement ce que je t'aurai demandé d'apprendre. Les langues étrangères ça se pratique, les fessées aussi.  Alors, prépare-toi à reculotter des fesses écarlates à chaque fois je sortirai d'ici. Tu vas voir, ce sont juste des mauvais moments à passer, mais c'est pour ton bien ! »

Gérôme, bouche bée, ne s'attendait pas à un tel sermon. Patricia, l'impressionnait. Elle l'avait avait pris à froid, et il sentait soudain son derrière se crisper sous son kilt, trembler au fond de son slip...

;Patricia le fixa droit dans les yeux avec un grand sourire faussement engageant et croisa ses jambes dans l'autre sens histoire de lui remettre un effet de jarretelles dans les mirettes. .
– « Bon ! Je suppose que tu as travaillé la leçon de conversation courante que je t'avais donnée à apprendre par cœur pour aujourd'hui ?
– Oui madame Patricia, j'ai tout vu !
– J'espère pour toi… Je vais demander à ta mère si je peux avoir un Thé. Révise encore pendant ce temps-là et je t'interroge après. »

Il y était le garçon. Déjà dans le mensonge, et sans connaître la moitié de l'exercice.  Cette annonce était pour lui une sacrée bonne fessée à prévoir dès la première leçon ? Bon, il avait quand même travaillé... un peu,  mais pas assez pour savoir répondre à toutes les questions et engager une conversation en anglais... loin de là. En plus, il savait par Robin que Patricia, cherchant toujours des motifs de fessées, se montrait extrêmement exigeante, intransigeante même. S'il trouvait le bon mot ou la tournure de phrase exacte, mais ne prononçait pas avec le bon accent, cela ne marchait pas. La réponse était fausse, de son point de vue. Conclusion : il n’avait pas bien écouté ni travaillé l’enregistrement audio... c'était la fessée immédiate ! Il savait qu'il n'y échapperait pas... C’était l’heure de la fessée… pas de miracle à l’horizon pour sauver son derrière qu'il sentait déjà se contracter sur sa chaise. Son slip à fessée que sa mère, sur les consignes de Patricia, lui faisait enfiler pour la circonstance, n'allait pas le protéger beaucoup... Au contraire, il servait à augmenter et prolonger la cuisson des fessées.  

Après quelques minutes qui lui avaient paru très courtes, Patricia réapparu, sourire aux lèvres, une tasse de thé fumante à la main.
– « Ta mère est vraiment charmante... dit-elle en refermant la porte d'un coup de talon aiguille. Tu devrais avoir honte de lui compliquer autant la vie... Elle se tracasse pour toi, et tes études, et tu ne t'en rends même pas compte... Allez, on y va ! Première page, conversation à la réception d'un hôtel... je suis la réceptionniste... tu viens confirmer la réservation d'une chambre pour deux personne avec bagages... je t'écoute... »

Gérôme se lança rapidement dans un échange qui se dilua au bout de quelques phrases dans un mélange d'anglais et de français confus, nourri de « yes »... « euh... » « C'est pas ça !' » « no »... « Euuuuh... very désoled ! » Pour finir dans un silence lourd d'ignorance.

Patricia poussa un soupir d'impatience qui faillit projeter la moitié de sa volumineuse poitrine hors de son décolleté.
– «   Tu sais pas Gérôme... Tu sais pas ! Tu dis n'importe quoi ! ... Tu sais rien !!
– Mais si madame Patricia , je savais... j'ai appris, mais plutôt une conversation au restaurant...
– C'est pas ça que je te demande Gérôme !!!  Là on n'est pas au restaurant, on est à la réception d'un hôtel ! Gé-rô-me ! Tu m'entends ?  Si on te demande l'heure tu ne dis pas mardi ou mercredi !! T’as rien appris !
– Si madame... j'ai appris... Mais je ne me souviens plus de tout …
– Tu te fiches de moi ! T’as rien fait  ! T’as fait semblant !  J'ai bien vu quand je suis arrivée...tu faisais mine d'être concentré sur ton livre.  
– Non...j’ai appris, je vous jure !   Madame ça ...
  Ça suffit Gérôme, lève-toi et vas ouvrir ta fenêtre bien en grand que tout le monde entende claquer tes fesses… et reviens ici que je te mette ta première fessée. Tu vas ,  inaugurer tes cours particuliers !
Gérôme hésite un peu et finit par se mettre debout. Patricia compris aussitôt le pourquoi de ses hésitations et faillit éclater de rire en voyant sa tenue jusqu'alors masquée par le bureau.
  – « Mais enfin Gérôme, tu t'es vu ?! Qu'est-ce que c'est que cet accoutrement ? »

Redoutant sans doute des fessées à venir, le garçon avait enfilé un pantalon sous le kilt que sa mère lui faisait porter habituellement. Difficile de savoir ce qu'il lui était passé par la tête, car, mis à part de retarder ses déculottages de quelques secondes, cela ne changeait pas grand-chose à sa situation. Il regarda ses jambes en s'enfonçant bêtement dans le ridicule .
– Euuuh... C'est que... j'av... J'avais froid au genoux... et...
– Mon pauvre ami... c'est ça... Tu avais froid aux genoux... Mais qu'est-ce qu'il ne faut pas entendre !...
– Si... C'est vrai …
– Ce qui est vrai... c'est qu'avec ce qui va t'arriver, je te garantis que tu ne risques pas d'avoir froid aux fesses ! … Aller, ça suffit...  la fessée !
 – Ouiii, la fessée ... mais pas trop fort s’il vous plaît... C’est ça… une petite fessée pas trop forte, qui fasse pas trop mal au derrière...
– Tu te fiches de qui, là ? ... C'est une '' Very hard spanking'' que je vais te mettre oui !  Déculotte-toi, tout de suite ! Baisse-moi ce pantalon ridicule ! »

 Gérôme comprend vite qu'il a plutôt intérêt à obéir et à se déculotter au lieu de continuer à discuter inutilement et risquer de se prendre une deuxième fessée consécutive. Il connaît le tarif, c'est le même qu'avec Ma'am Thérez, ses sœurs comme ses cousines.  La fessée supplémentaire à chaque contestation.
Il déboucle sa ceinture, déboutonne sa braguette et baisse son pantalon avec empressement pour montrer sa docilité. Ça ne change rien. 
– « Le slip aussi ! Ordonne Patricia qui suit l'opération avec un petit sourire goguenard. Je te déculotterai moi-même à la fessée suivante. J'adore déculotter des fesses quand elles sont encore rouges d'une fessée précédente. Surtout quand c'est moi qui l'ai mise !»

Le jeune homme, soudain tout pâle,  ne répond pas. Le pantalon aux chevilles, le slip baissé à mi-cuisses, il se hâte à petit pas en le tenant d’une main,  pour aller ouvrir la fenêtre de sa chambre. Il jette un œil dehors. Pas de Bettina en vue...mais cela ne saurait tarder. Elle habite entre les deux maisons, celle de Clarisse et la sienne. Les jardins communicant, elle peut passer de l'un à l'autre pour se régaler des fessées de Rodolphe et de celles qu'il reçoit. Mais il s'’en fiche… depuis qu'il sait qu’elle en reçoit-elle aussi... elle peut dire ce qu’elle veut.  .

Patricia s’est assise sur la chaise de son bureau et lui ordonne.
– « Viens ici ! sur mes genoux ! »
Il obéit immédiatement et s’allonge sur ses genoux, plutôt sur ses cuisses, gainées de nylon... Il glisse un peu sur ses bas et son ventre frotte douloureusement sur les boucles métalliques de ses jarretelles, prévues à cet effet.
Soumis, obéissant, il n'a pas le choix et, par réflexe conditionné, se met aussitôt en position de fessée comme il a été dressé à le faire pour présenter ses fesses dans les meilleures conditions. Le derrière en l’air, bien gonflé, bien arrondi, bien exposé, la tête presque au sol, appuyé sur ses mains, les genoux pliés et les pieds en l’air. Il se regarde dans la glace de sa chambre. Il voit surtout ses fesses, bien fermes mais bien charnues,  encore bien blanches, mais plus pour très longtemps. Il voit aussi le visage sévère de sa préceptrice, son regard fixé sans indulgence sur son postérieur déculotté.

– « Présente-moi ton derrière !  Ne serre pas les fesses !
Dit-elle en reculant sa chaise du bureau pour avoir la place de fesser à l'aise.
– Oui Madame... Il s'exécute aussitôt. Comme ça, c'est bien ?
– Plus tendues encore... Aller fainéant, pousse sur les mains...Mieux que ça !!! »

Elle pose son pied sur le barreau de la chaise pour remonter sa cuisse droite et passe sa main gauche qui lui enserre la taille sous son ventre pour le soulever. Il est un peu plus déséquilibré et sent ses grosses fesses s'élever et s'épanouir en s'écartant un peu plus.  On ne voit plus dans la glace qu’un copieux postérieur bien développé, tourné vers le haut, offrant ses volumineuse rondeurs à la fessée qui va démarrer.

Patricia, ajuste tranquillement la position en resserrant sa prise autour de sa taille, le bras droit ballant le long du corps, la main souple prête à partir à la volée pour lui claquer sa fessée.
– « Je veux tes fesses présentées comme ça à chaque fois que j'aurai décidé de te corriger. Et tel que c'est parti, ça risque d'arriver très souvent !  Tu as bien compris ?
La voix étranglée du puni en mauvaise posture, remonte du niveau du sol.
– « Oui Ma... Madame Patricia, oui... J'ai..., J'ai bien compris …
– C'est toujours ça ! Maintenant mon petit bonhomme, je vais t’apprendre, à te moquer de moi... Comme ça tu as appris ta leçon... sans blague !... Eh bien moi je vais t’apprendre ce que c’est qu’une bonne fessée déculottée sur un gros derrière de garnement de vingt ans. »

Et commence alors l'autre leçon, de mise en condition celle-là, qu'elle va faire durer un moment, l'obligeant à attendre sa fessée, la tête en bas, les fesses en l'air, déculottées, dans un humiliant jeu de questions /réponses interminable.

– « Tu sais ce que tu vas recevoir maintenant ?
 Demande-t-elle d'une voix chantante, affichant la mine réjouie de quelqu'un qui va lui annoncer une bonne nouvelle.
  Oui madame ... je sais...
– Et alors? Que va-t-il donc t'arriver ?
– Euuuuh... Une... une fessée Madame...
– Une fessée bien sûr, mais encore... Une simple fessée ?
– Non, madame... Une... Une bonne fessée madame...
– Oui... Mais encore... c'est tout ?
– Non, madame Patricia ! Non,  euuuuh... une bonne fessée... déculottée ! 
– Je préfère ça oui !  Une bonne fessées déculottée...  Et l’as-tu bien méritée au moins cette fessée ? 
  Oh oui Madame, je l'ai bien méritée !
– Et pourquoi tu as mérité cette cuisante fessée déculottée ...Que je vais maintenant t'administrer ?
  Parce que madame...Pat... Patricia... Parce que je n'ai pas appris ma leçon et que j'ai menti.
– Alors ?
– Alors... C'est la fesssssééééé !

Il a à peine fini sa phrase que la première claque vient d'éclater sur une de ses fesses qui chauffe aussitôt… puis la deuxième. Patricia a carte blanche. C'est fessées à volonté avec toute la rigueur nécessaire pour faire travailler Gérôme.  Les '' hard Spanking'' s'imposent naturellement comme la meilleure méthode de progression.
Elle prend son temps mais claque avec vigueur une fesse, puis l'autre, stimulée par le plaisir de corriger et d'humilier l'insolent et paresseux jeune homme. Habituée à sentir vibrer sous sa main les formes bien charnue et rebondies du derrière de son frère,  elle ne peut s'empêcher d'en comparer la fermeté avec celui de Gérôme qu'elle est en train de claquer sévèrement. Elle constate avec satisfaction qu'il lui présente une paire de fesses tout aussi bien disposées à recevoir des fessées.  Preuve de la régularité de Ma'am Thérez à les entretenir avec soin.

La cuisson gagne vite la totalité de son fessier et il sent un flot de larmes arriver à ses yeux… Aucun copain, ni Rodolphe, ni Robin, n’assiste à cette fessée, il n’a donc pas de raison pour se retenir de pleurer, de faire le “dur”,  de résister à la douleur en serrant les dents.  Il se lâche et fond en larmes en laissant son postérieur se démener en tous sens et ses pieds pédaler dans le vide. 

.Gérôme, averti par Robin qui était bien placé pour le savoir, de la ferveur de sa sœur à administrer les fessées, sait que la sienne ne vient que commencer et qu’elle va durer longtemps, comme toutes les fessées qu'administrent en général les femmes de leur entourage. Patricia, initiée par sa mère, partage l’opinion en cours selon laquelle une vraie bonne fessée déculottée ne commence vraiment que quand le puni pleure bruyamment à chaudes larmes sans pouvoir contrôler ses sanglots ni les mouvements de son postérieur, alors monté à l'écarlate.  Aussi, il ne lui’ servirait à rien de vouloir, par fierté, résister à l’envie de chialer comme un petit garçon. Le moment de lâcher prise arriverait inévitablement comme c’est toujours le cas. Il valait donc mieux pour lui que sa “vraie bonne fessée” débute le plus tôt possible lorsque ses fesses seraient devenues rouge écarlate. Il pleure donc sans aucune retenue, ses sanglots bruyants se mêlant aux claquements sonores de la main de sa préceptrice sur ses fesses déculottées


Il se doute que le moment ne va pas tarder où Bettina va pointer son nez au bout du jardin pour voir ce qui se passe à travers la fenêtre ouverte.  Elle le sait bien mais elle veut profiter du spectacle. Il connaît sa propension à entretenir les rumeurs et que sa fessée va ainsi devenir publique et connue de tout le quartier et de tous ses copains.  Mais eux ne sont pas là ...alors l’avis des autres il s'en fiche. Les Rodolphe, Robin et compagnie ne pourront pas se moquer de lui en disant qu'il s'est effondré en larmes dès les premières claques ...qu'il a j’ai pleuré comme un gamin à qui on flanque sa fessée.   Recevoir une “vraie bonne fessée “ et se mettre à pleurer au bout d’un moment c’est –dans leur code d’honneur de “garnements” – sujet de honte mais pas de déshonneur !

Il subit donc sa fessée en pleurant et en gigotant comme un beau diable, obligé, sous la puissance des claquées, à s'accrocher aux pieds de la chaise pour garder la position exigée par sa préceptrice. Un coup de pied malencontreux, lancé à l'aveugle dans son bureau fait voltiger livre et stylo, par terre. Patricia réagit aussitôt par une volée de claques plus appuyées.
– « Attention Gérôme ! Tu n'es pas en mesure de résister... encore un mouvement d'humeur comme ça et je te flanque une deuxième fessée plus sévère, tout de suite après celle-là ! … Remets moi immédiatement tes fesses en position... Mieux que ça ! »

Gérôme, calmé sur le champ, s'exécute et s'applique à bien cambrer les reins pour déployer à sa main, un derrière rougeoyant parfaitement soumis à la fessée. Il sait qu’avec Patricia, réputée pour le plaisir qu'elle prend à flanquer des fessées, celle qu'elle est en train de lui mettre n’est pas près d’être finie.
De temps à autre tout en passant d'une fesse à l'autre, elle l’interroge, moitié en anglais moitié en français.
– « Alors tu la sens bien ta fessée ! '' The 'good spanking'' déculottée ? Crois-moi tu vas t’en souvenir ! Je vais te faire apprendre tes leçons moi... Imprimée sur les fesses !
– Ouiiiii... Madaaaaame, Pat … Patriciaaaa ! Je la sens bien… ça me chauffe dur ! Ouiii !

patricia donne la fessée déculottée


Insensible à ses supplications elle le maintient solidement en position sous son bras et fait son devoir de préceptrice avec rigueur et enthousiasme. Infatigable, elle fesse toujours, les yeux rivés sur le magnifique postérieur déculotté, devenu écarlate, flamboyant.  Redoublant de vigueur elle décide par instant de varier les effets en accélérant le rythme pour claquer, à toutes volées, son fessier bondissant.  Le malheureux, ne pèse pas lourd sous la poigne de la jeune femme et sa cuisante force de frappe. Par moments, il entrevoit dans la glace, son visage inondé de larmes, sa salive s’échappant de sa bouche et coulant sur son menton mélangées à ses larmes salées.

Initiée par Gladys, Patricia, sait donner une bonne fessée., et en recevoir une encore de temps en temps.  Pour en avoir encaissé maintes et maintes fois sur les genoux de sa mère, elle,  elle connaît , par expérience, l’effet de la répétition des claques sur telle ou telle partie du fessier, leur cadence, la position du postérieur.  A s’occuper régulièrement des fesses de son frère, de temps à autre de celles de son beau-père, elle a acquis la force, l'endurance et le savoir-faire nécessaires pour infliger de cuisantes déculottées.
On craint ses fessées pour leur sévérité et le plaisir qu'elle prend à les administrer. Elle en fait largement bénéficier Gérôme, dans le cadre des cours très particuliers qu'elle s'est engagée à lui donner. Proportionnellement à l'ampleur et la fréquence des fessées programmées entre les séquences de travail, il devrait, vraisemblablement, progresser très rapidement.


Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !

Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 24
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Il y a une suite, oui, le chapitre 26

Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.

Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.


Si vous voulez un échange plus privé voici un courriel pour le joindre :  Ramina

3 commentaires:

  1. Bonjour Ramina,

    Excellente entrée en matière ! Sans fioritures, directe, et cuisante.
    J'aime bien le coup du pantalon sous le kilt ! D'ailleurs, dans le roman "un bon petit diable" de cette chère Comtesse, le jeune héros Charles McLance trompe sa tante acariâtre en glissant un renfort en cuir dans son pantalon avant une fessée !!!
    Pour Gérome, c'était très rusé mais pas efficace ! On n'apprend pas à une virtuose de la fessée à claquer le beignet ! Calamity Pat' a encore frappé !!!! De la fermeté et de la séduction : maitres-mots pour la fessée-recette de Patricia. Bilan de la première leçon ? A suivre...
    Amicalement. Peter.

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  2. Bonsoir Ramina,

    Seconde entrevue entre Patricia et Mam'e Bellebourge après le diner des Etrennes avec la fessée d'Edouard.
    Gérome fera t-il sous peu connaissance avec les genoux musclés et la main ferme (ou bien l'inverse. Rires) de Tante Gladys ? En tous cas la séance du martinet chez Mam'e mocassin s'approche... Hé hé hé !
    Amicalement. Peter.

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  3. Bonjour Peter,
    Eh oui, toute la jeunesse et la fougue de Patricia qui effectivement rentre direct dans le vif du sujet. Formée à bonne école sous la direction de sa mère elle a appris à sévir quand il le faut et à la moindre occasion. Consciencieuse, elle le fait avec enthousiasme pour répondre à son engagement de faire progresser notre paresseux de Gérôme.
    Facile : au rythme d'une ou deux fessées minimum par page du livre d'anglais, et en prévision de deux heures de cours par semaine... combien faudra t-il de déculottées, en 46 pages, pour parler couramment la langue ?
    Question subsidiaire pour départager les ''ex écho'' ... Quelle est la couleur du slip de Patricia ? My god... shoking, zat iz ze couestionne !
    C'est pas tous les jours qu'on rigole en ce moment... Gérôme non plus
    Amicalement
    Ramina

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