Repas de famille mouvementé

Pour ce dimanche de Pentecôte, la famille était réunie : la vieille tante Louise de Limoges, le beau-frère et la belle sœur  et bien entendu ma chère et douce compagne. Douce n'était pas le qualitatif adapté, mais bon.
Ne manquait plus que... Belle-maman ! Quel esclandre allait -elle encoooore nous réserver avec son irascibilité coutumière ? Ah, la voilà ! Bon, passons à table.

"Combien de fois, ma fille, faudra-t-il te dire de cesser d'asticoter ton frère ? J'ai l'impression de te faire cette remarque à chaque fois que nous nous trouvons en famille. Tout le monde est fatiguée de tes moqueries incessantes qui visent toutes les personnes de ton entourage, sans compter les persiflages visant ceux qui ne sont pas présents.


Les gros yeux et les mimiques réprobatrices que je t'adresse sont sans effet, les remontrances que je te fais, qu'elles soient en public ou en privé, n'y font rien. Il va pourtant falloir que cette détestable habitude te passe.
Je croyais t'en avoir guéri il y a une dizaine d'années, quand tu as eu vingt ans. Il est vrai que tu habitais encore à la maison. Je t'avais sous la main. Tu profites de la liberté que te procure la distance que tu as mise avec le domicile familial, maintenant que tu as ton propre appartement avec ton mari.
Je suis désolée de devoir t'annoncer que cela ne change rien. Même à trente-deux ans, tu es toujours ma fille et je  considère que j'ai toujours un regard à porter sur la façon dont tu te comportes. Et pour ce qui est de ton comportement, il y a beaucoup à redire !
Et en plus, tu oses me répondre quand je te demande de cesser immédiatement ! Et Insolemment ! C'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase. Depuis quand as-tu l'autorisation de me parler sur ce ton ? Tu te crois peut-être avec tes copines ?
Il est temps que je te reprenne en mains.

Eh bien, puisque tu ne comprends pas autrement, je vais revenir aux bonnes vieilles méthodes qui ont fait leurs preuves, celles que j'utilisais avec toi, il y a une dizaine d'années. Comme cela avait très bien fonctionné, à l'époque, je ne vois pas pourquoi elles resteraient sans effet aujourd'hui.

Cesse de te débattre. Ce n'est pas tes gesticulations qui vont m'empêcher de te baisser le pantalon et la culotte ! Au contraire ! Si tu continues, je vais bien trouver une ceinture ou un quelconque instrument pour laisser quelques marques sur tes fesses. Ce n'est pas une gamine d'une trentaine d'années qui va contrecarrer mes plans. Il est clair pour tout le monde que tu as besoin d'une bonne fessée déculottée, et tu vas l'avoir sur le champ. Tu peux compter sur moi !

Je sais bien que toute la famille est présente. Et alors ? Tu l'as bien cherché ! Tu ne t'es pas gênée pour te montrer désagréable et impolie devant tout le monde ! Pourquoi voudrais-tu que ta punition ne se déroule pas en présence de ceux qui ont assister à tes façons de faire déplorables ? Chacun saura comment je traite les grandes filles qui pensent que leur âge leur donne le droit de mal se comporter et d'être insolente avec leur Maman !

Je compte bien aussi que tous mes enfants, non seulement ton frère mais également sa femme et bien entendu ton compagnon aussi, sachent ce qu'ils risquent si j'ai des reproches à leur faire. Il ne faudrait pas qu'ils pensent que la fessée déculottée ne les concerne pas.

Tu vas voir comment elle fait un bien fou à ceux qui n'ont pas encore compris comment des adultes responsables doivent se tenir en société. Tu vois, ta fessée va te servir à toi, mais également à bien d'autres personnes ici présentes. Pour cela, il faut que tout le monde puisse en constater les effets. Il est donc indispensable que ce soit en public que tu sois fessée.

Voilà qui est bien mieux. Une bonne fessée déculottée à plat ventre en travers des genoux de sa Maman, il n'y a rien de tel pour rappeler à l'obéissance. Même à ton âge, cela fonctionne très bien.

Je suis maintenant certaine que tu ne prendras plus mes avertissements à la légère. Mais pour te laisser le temps d'y penser, tu vas aller au piquet, le nez contre le mur pendant que nous finirons de manger. Ta culotte restera là où elle est. C'est que ta punition n'est pas encore finie. Nous verrons si tu as compris ce que j'attends de ma fille quand tu viendras me demander pardon, après un long séjour le long du mur ! J'espère que cela fera également réfléchir tous les autres !

Merci à Peter Pan qui est l'auteur de ces dessins.

Faute de trouver suffisamment de dessins qui cadrent avec la ligne éditoriale du blog, nous avons décidé, Peter Pan et moi, de les produire nous-mêmes. Il se charge des illustrations sur une esquisse de scénario que je lui fournis et je rédige le texte qui l'accompagne.

Si vous souhaitez me proposer un dessin à commenter qui n'a pas déjà été publié sur ce blog et qui corresponde à l'esprit du blog, n'hésitez pas ! Envoyez-le moi par courriel.

Se tenir correctement en famille, ce n'est pourtant pas si difficile !

            

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