vendredi 13 mars 2020

L'institut de Madame Rose - chapitre 4

C'était un peu le coup de feu à l'institut de Madame Rose au sens figuré car la maîtresse des lieux et son assistante Sophie étaient débordée par le nombre de fessées à administrer et au sens propre pour ce qui concernait les clients qui ressentaient tous une cuisson intense sur leur derrière déculotté.
Sophie finissait d'administrer une fessée à la brosse à cheveux à un jeune homme qui pleurait à chaudes larmes, son fessier n'était plus que deux belles boules rouges séparées par le sillon central qui s'ouvrait et se refermait au rythme des gesticulations de ses jambes, Hugues exécutait une magnifique danse des fesses. Aux coins de la pièce se tenait deux dames avec des croupes écarlates signes de magistrales fessées, elle se tenait bien droite le nez collé au mur et les mains sur la tête, les contractions de leurs fesses laissait deviner une intense brûlure. Sophie venait de cesser la correction de Hugues et elle le gardait comme elle en avait l'habitude allongé sur ses genoux exposant son derrière cuisant pour pouvoir le morigéner comme un gamin dans cette position humiliante pour un adulte.
- j'espère que vous avez compris la leçon cette fois ci, ma brosse à cheveux est une excellente institutrice n'est-ce pas, si ce n'est pas suffisant on recommencera, en attendant vous allez vous mettre au coin, il reste une place à côté de vos petites camarades. Et tâchez de ne pas bouger si vous ne voulez pas revenir sur mes genoux !
Pendant que Hugues s'exécutait, l'interphone sonna, c'était Valérie une jeune femme d'une trentaine d'années à qui Madame Rose avait placé un plug trois heures plus tôt et qu'elle avait dû garder pour aller à son travail cet instrument introduit bien profondément, associé à une paire de fesses bien rouges avait perturbé son activité, difficile de se concentrer devant son ordinateur quand on est gênée pour rester assise par la cuisson de ses fesses et un plug bien en place.
- vous venez pour le retrait de votre plug, je vais m'occuper de vous, tenez en attendant préparez-vous, mettez-vous là, vous retroussez votre jupe et vous baissez votre culotte ça nous fera gagner du temps.
En disant cela, elle avait montré un emplacement rembourré juste à côté de son bureau, l'endroit où elle même c'était courbée pour recevoir une correction par Madame Rose. Surprise mais docile, la jeune femme s'exécuta, après tout, à part Sophie toutes les personnes présentes exposaient leur fesses nues. La jeune assistante s'était éclipsée et elle revenait tenant Gérard par l'oreille, celui-ci avait également la culotte descendue aux genoux et ses yeux rougis laissaient deviner que Madame Rose avait dû s'occuper sérieusement de son postérieur. Elle le conduisit au coin occupé par une dame relativement âgée, Sophie de sa main libre lui saisit également l'oreille.
- bien Gérard, vous allez prendre la place de Jacqueline, allez, nez au mur et mains sur la tête que tout le monde voie bien vos fesses, quant à vous, direction le bureau de Madame Rose, je pense qu'elle veut avoir une conversation avec vos rondeurs...
- et tenant cette dame d'une soixantaine d'années comme si elle était une mauvaise élève conduite chez la directrice de l'école, elle lui claqua les fesses de sa main libre pour la faire avancer plus vite. Quand elle revint, Valérie attendait toujours, troussée et déculottée les fesses bien présentées. Sophie écarta les deux globes jumeaux pour pouvoir saisir le plug et elle le retira et vérifia immédiatement le compteur de manipulation, celui-ci indiquait le chiffre 3.
- nous allons avoir un problème madame, vous allez devoir nous expliquer pourquoi il y a eu une manipulation en trop sur votre plug. En attendant vous restez là, fesses à l'air, je vous conseille d'avoir une bonne explication à donner à Madame Rose.
Puis sans s'attarder elle continua ses activités, répondre au téléphone, administrer des fessées au fessier qui perdait leur belle couleur rouge. Valérie ne pensait plus à sa position humiliante mais à ce qui n'allait pas manquer de lui arriver à savoir une correction exemplaire, elle avait eu un doute quand un peu gênée par le plug, elle avait discrètement passé une main dans sa culotte pour essayer de le faire un peu bouger, elle n'aurait jamais pensé que le mécanisme était aussi sensible, Madame Rose ne croirait jamais à cette explication, elle était de plus en plus inquiète, une patiente venait pour régler une prestation, elle était à cinquante centimètres à peine et elle avait une vue parfaite sur son derrière déculotté, mais comme elle même quelques instants auparavant était dans la même tenue allongée sur les genoux de Madame Rose, elle ne fit aucun commentaire. C'était toujours un plaisir pour Sophie de voir ces dames ou ces messieurs venir payer après avoir reçu de si belles corrections, ça faisait partie des petites humiliations que l'institut réservait à ses clients, payer pour recevoir une fessée déculottée. Le téléphone sonna,
- ah, bonjour Mlle Lola, oui un rdv pour Edwige, pas de problème, qu'est-ce qu'on prévoit ? Un forfait "Vilaine Fille », pas de problème. A quelle heure nous l'envoyer vous, 15h à la sortie du travail, très bien c'est noté. A j'oubliais, si Madame Rose n'est pas disponible, ça ne vous dérange pas que ça soit moi qui m'occupe d'Edwige ? Il va y avoir un peu d'attente, nous sommes un peu débordées en ce moment, ne vous inquiétez pas je m'occupe de tout, vous serez contente du résultat.
Valérie exposait depuis vingt minutes ses fesses déculottées quand, Sophie la prit par l'oreille pour l'amener chez Madame Rose.
- ah, voilà notre délinquante, venez me voir.
Dès qu'elle fut à sa portée, elle bascula Valérie en travers de ses cuisses, puis tapotant les fesses tendues.
- bien, j'attends vos explications.
Valérie, comme elle l'avait prévu s'embrouilla dans des explications confuses. Madame Rose l'interrompit sèchement.
- cessez vos balivernes, vous avez désobéi et vos fesses vont en payer le prix.
Et immédiatement elle commença à administrer à Valérie une magistrale fessée, qui en quelques minutes fit passer les fesses de blanches à écarlates, celle-ci surprise par la violence des claques battait désespérément des jambes et criait sous la cuisson. La fessée cessa dès que la couleur parut satisfaisante à la fesseuse. Puis la gardant en position, elle lui énonça la sentence.
- bien, vous serez pluguée cet après-midi et vous resterez au coin jusqu'à la fermeture, une fessée toute les heures, ensuite une semaine de plug à garder toute la journée, vous viendrez le matin à 8h,
Sophie vous fera un lavement vous administrera une fessée et vous placera le plug ensuite vous irez travailler, à midi vous reviendrez à l'institut pour une heure de pénitence avec fessée et le soir à 18h30 vous viendrez vous le faire retirer et recevoir votre dernière fessée.
Valérie était abasourdie par la sévérité de la punition, elle fut autorisée à se relever. Madame Rose s'adressa à Sophie
- vous lui faites un lavement, 2 litres à garder 5 ', puis vous me la renvoyez.
Comme à son habitude, la jeune assistante pris Valérie par l'oreille pour l'amener dans le box contigu. C'était là qu'on faisait les soins, Sophie désigna une sorte de banc rembourré avec des pieds plus haut d'un côté,
- retirez votre culotte et allongez-vous là
Valérie s'exécuta, du fait des pieds dissymétriques, sa tête était plus basse et sa croupe était surélevée, les jambes pendant de chaque côté ouvrait largement ses fesses écarlates, Sophie prenait son temps pour préparer ce lavement jouissant de l'humiliation de la jeune femme, elle se dirigea vers le hall d'accueil dont tous les coins étaient garnis de paires de fesses bien rouge elle avait laissé la porte grande ouverte si bien que la pauvre Valérie exposait son infortune à tout le monde. La jeune assistante jugeant que les fesses de Gérard perdaient leur couleur le fit venir vers elle puis le courba sous son bras et lui administra une rapide mais sévère claquée. L'ayant remis à sa place elle revint vers Valérie avec tous le matériel, délibérément elle laissa à nouveau la porte ouverte. Elle posa une noisette de vaseline sur l'anus bien présenté puis elle posa la canule sur l'orifice, s'en était trop pour Valérie qui contracta ses fesses, Sophie n'attendait que ça, elle prit la petite raquette en cuir et fessa la croupe déjà très enflammée.
- il va falloir vous laisser faire sinon vos fesses vont vraiment vous cuire mademoiselle.
La pauvre Valérie pleurait et suppliait sous la brûlure, elle relâcha ses fesses qui s'ouvrirent comme par enchantements. Sophie repris la canule et l'introduisit lentement dans le fondement de sa victime, Valérie gémissait mais ne bougeait plus, quand l'instrument fut bien en place elle ouvrit le robinet du bock à lavement, le liquide lentement coulait suscitant des supplications de la punie.
- cessez de pleurnicher, garder vos pleurs pour la bonne fessée que vous administrera Madame Rose tout à l'heure pour le moment c'est juste un petit lavement, ça n'a jamais fait mourir personne. Voilà c'est fini, vous allez me le garder pendant 5', vous avez de la chance je vous laisse la canule, normalement c'est au coin, les mains sur la tête et là je peux vous dire que vous devriez serrer les fesses.
Elle tapota les fesses de Valérie.
- soyez sage, je reviens.
Les crampes envahissaient le ventre de Valérie mais elle pensait à la suite et au futures fessées qui allait enflammer son fessier.
Sophie la libéra au bout des 5', puis toujours avec une petite claque sur les fesses rouges elle lui dit en riant.
- filez aux toilettes et serrez bien les fesses, je ne veux pas une seule goutte qui fuit.
Quand rouge de honte, Valérie revint, elle la saisit à nouveau par l'oreille pour l'amener à Madame Rose.
Celle-ci l'attendait assise sur une chaise, elle la bascula à nouveau en position disciplinaire, puis elle lui fit écarter les cuisses pour ouvrir les fesses et elle posa le plug sur la petite rondelle brune après y avoir déposé un peu de vaseline.
- détendez-vous mademoiselle, ça sera moins douloureux, voilà c'est bien, c'est fou comme la fessée rend obéissante les demoiselles.
Le plug était maintenant bien en place, la petite rondelle blanche était calée au milieu des fesses. Madame Rose saisi un paddle, posé sur son bureau, cette petite raquette en bois était redoutable pour l'épiderme fessier, Valérie s'en rendit compte immédiatement et elle poussa un cri sous la brûlure. Une cinquantaine de claques bien appliquées suffire à redonner une belle couleur à la croupe de la jeune femme. Celle-ci pleurait encore quand elle fut conduite au coin dans le hall d'accueil par Sophie.
 L'interphone sonna c'était Edwige qui arrivait pour son rendez-vous, Sophie l'accueilli par une de ses petites piques humiliantes dont elle avait le secret.
- vous êtes en avance madame, vous êtes pressée de montrer vos fesses ? Je vais vous demander d'attendre.
Comme Edwige en rougissant sous l'allusion à sa future fessée, se dirigeait vers une chaise, Sophie l'arrêta
- non pas là, je vous ai réservé une place.
Elle désignait un petit tabouret à côté de son bureau. Elle l'a fit s'agenouiller dessus puis elle lui releva la jupe et lui baissa la culotte.
- voilà tout le monde peut admirer vos jolies fesses, on va compléter le tableau, mettez vos mains sur la tête.
Puis saisissant une baguette souple qui servait à corriger les derrières récalcitrants, elle la coinça entre les fesses serrées.
- tâchez de bien serrer vos fesses si la baguette tombe il vous en cuira !
Edwige était habituée aux humiliations, mais c'était beaucoup, et elle se mit à pleurer.
- cessez de pleurnicher, madame, gardez vos larmes pour tout à l'heure, vous n'avez pas été très sage à ce que m'a dit votre amie Lola, elle m'a recommandé de vous soigner, croyez-moi après la bonne fessée que je vous réserve vous allez devenir une vraie petite fille modèle.
L'après-midi se déroula comme prévu, une succession de fessées toute plus retentissante l'une que l'autre, Valérie fut courbée trois fois sous le bras de Sophie pour entretenir la cuisson de son postérieur plugué, Edwige reçu une fessée de petite fille couchée en travers des genoux de Sophie puis une bonne fessée au martinet par Madame Rose avant de finir la journée au coin en compagnie de Gérard et de Valérie exposant tous les trois de belles paires de fesses rubicondes.
Quand ils purent enfin se reculotter, ils durent se rendre en file indienne devant le bureau de la jeune assistante qui leur fixait à chacun un rdv pour une prochaine séance cuisante.
Quand ce fut le tour de Valérie, la seule qui était encore fesses à l'air, elle se leva s'installa sur une chaise et après l'avoir fait se coucher sur ses cuisses, lui retira le plug, puis comme annoncé par Madame Rose, elle lui administra une vigoureuse fessée manuelle, l'épiderme préalablement échauffé par la succession des corrections repris rapidement une couleur rouge brique, Valérie pleurait à chaudes larmes et suppliait comme toutes les punies dans sa position mais Sophie impassible continuait son œuvre. Les deux autres punis regardaient leur infortunée compagne, et en sentant encore la chaleur en bas de leur rein, ils se réjouissaient d'avoir les fesses culottées.
Quand la punition fut terminée, Valérie dut venir au bureau toujours déculottée pour que Sophie lui explique la suite de sa semaine.
- bien, je vous attends demain matin à 8h30, soyez à l'heure sinon ce n'est pas une mais deux fessées !


Sylvie nous a déjà gratifiés de plusieurs récits.

Vous trouverez le premier ici et l'ensemble de ceux-ci sur la page des auteurs invités

Et celui-ci comporte un épisode précédent

Vous pouvez le lire pour savoir ce qui s'est passé auparavant dans l'institut de Madame Rose : chapitre 3
Ou bien tout reprendre au début : Chapitre 1

Et il y a une suite...

... le chapitre 5.

Et toujours les commentaires

Une nouvelle série qui commence, un nouvel épisode publié, cela mérite bien quelques mots d'encouragement... ou le contraire.

2 commentaires:

  1. Amis de la poésie et de la journée continue de la fessée ... Bonjour!

    Ou la la ! !les fessées pleuvent comme les giboulées de mars, au point que ces dames sont débordées... En apparence seulement, madame Rose assure au four et au moulin des paire de fesses à corriger.
    Ces messieurs-dames en ont pour leur argent. Car, très drôle en effet, de payer pour se faire abondamment claquer le derrière.

    Amusante idée, après le thermomètre, on investi dans le Plug anal... pas banal, pour occuper le fondement et rendre les déculottées plus performantes. Nouvelle introduction, nouvelles sensations. La fessée à objet pénétrant dans le derrière. Succès et émotion garantis!
    On n'en attendait pas moins sous la plume du clavier de notre amie Sylvie!
    Amicalement
    Ramina

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  2. Bonjour, Sylvie.

    Il y a de l'ambiance chez vous, dites-moi! Que de croupes dénudées! Que de fessiers rougis offerts à la contemplation des uns et des autres. Que d'humiliations qui seront très certainement profitables à celles et ceux qui en sont les "victimes".
    Amicalement.
    François

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