mardi 10 mars 2020

Ces dames aux mains fermes - saison 3 - chapitre 23

LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE

LA FESSEE DOUBLE EFFET.

 Clarisse, la mine réjouie, embrassa Gladys. Elle avait l'air tout excitée à l'idée de cette expédition punitive chez le cordonnier pour l'achat des martinets sur mesure. C'était, pour ainsi dire, le point d'orgue de cette âpre semaine de fessées quotidiennes et le passage obligé pour solder de tout compte, cette sombre histoire de trahison conjugale. Douglas et Edouard, devaient payer jusqu'au bout le prix de leur complicité.

Quant à Gilbert, le mari coupable, il restait encore sous le feu purificateur des fessées de son épouse.  Régine qui, pour des raisons d'emploi du temps n'avait pu se joindre à ses amies, était loin de lui avoir pardonné son écart de comportement. Elle comptait bien, dans un proche avenir, lui faire goûter à lui aussi, aux joies d'un martinet fabriqué à la mesure de son gros fessier.  En attendant, ceux de Douglas et Edouard allaient en expérimenter la nouveauté et l'efficacité.

L'arrivée de Clarisse et son mari, ne fait qu'alourdir un peu plus une atmosphère déjà bien chargée. Robin se fait discret. Ça sent la fessée à pleine main et, pour vivre régulièrement ces moments de haute tension, il sait que, selon l'humeur de sa mère, tout peut dégénérer rapidement et se retourner contre lui au moindre faux pas. Déjà en délicatesse avec son histoire de lanières de martinet coupées, il a préféré se mettre un peu à l'écart, sur une chaise près de la porte de la cuisine. De là il peut, tout à loisir, profiter du spectacle sans trop se faire remarquer. Douglas et Edouard, plantés au garde à vous au milieu du salon, ont parfaitement compris que ce n'est pas le moment de faire les malins et attendent docilement les consignes de leur épouse.

Clarisse s'est débarrassé de sa veste de tailleur pour se mettre à l'aise.
– « On a bien fait de décider de les emmener ensemble... On va déjà leur préparer les fesses ici avant de partir ! 
– C'est bien ce qui est prévu, ne perdons pas de temps ! …
Répond Gladys. En approchant la chaise à fessée. Clarisse commence à retrousser la manche de son chemisier pour bien dégager la main qui va fesser. Elle interpelle immédiatement son mari d'un ton sec.
– « Toi ! Baisse ton pantalon... tout de suite ! »
Gladys enchaîne.
– « Edouard tu te déculottes... toi aussi ! »
Les deux hommes obtempèrent prestement sans broncher... Edouard, a déjà dégrafé sa ceinture. Gladys lui fait porter des pantalons si moulant pour bien mettre ses grosses fesses en valeur, qu’il est obligé de se tortiller comme un beau diable pour le faire descendre. Douglas confronté aux mêmes difficultés s'exécute de la même façon. Pas assez vite au goût des deux épouses, qui, prétextant qu'ils mettent de la mauvaise volonté à se déculotter décident de prendre les choses en main. Assise l'une à côté de l'autre elles les font mettre, Edouard, à genoux fesses en l'air entre les cuisses de sa femme, Douglas   à plat ventre sur les genoux de la sienne.
 – « C'est tout de même malheureux, si on veut être bien servie, il faut tout faire soi-même ! »
 Soupire Gladys, faussement dépitée, en passant ses doigts sous l'élastique du slip de son mari. Les élastiques des slips à fessée sont extrêmement souples pour rendre les déculottages plus agréables et en faciliter l'exécution. Ce qu'elle fait en un habile tour de main. Le slip claque sèchement juste en dessous de ses fesses qui, soudain libérées de l'étreinte du nylon, semblent s'épanouir et prendre encore du volume. Elles sont visiblement prêtes pour la fessée.
Clarisse procède de la même façon, et accompagne une vigoureuse descente de slip d'un commentaire enjoué, simulant l'annonce d'une bonne nouvelle.
– Nos petits chéris ont déjà mérité une récompense. Ils auront droit à une fessée supplémentaire pour avoir manifesté aussi peu d'enthousiasme à préparer leur fesse !  
Ils en ont de la chance, d'avoir des épouses aussi généreuses et attentionnées ! » 
 Gladys ajoute sur le même ton du sarcasme.
– « On a eu beau chercher, on a trouvé rien de mieux qu’une bonne fessée déculottée pour bien leur chauffer les fesses avant d'aller passer commande du martinet chez le cordonnier ! De toutes manières, la fessée, la vraie, c'est toujours déculotté... pantalon aux chevilles, le slip aux cuisses, et en avant la musique ! »

une double fessée déculottée

-        
Robin avait compris depuis longtemps les raisons des exigences de ces femmes sur la manière d'infliger les corrections. Être fessé “déculotté” le slip en travers des cuisses, était en quelque sorte plus vexant que d’être simplement '' cul nu''.  Après tout on pouvait avoir les fesses à l'air pour de nombreuses raisons et cela n’impliquait pas forcément de présenter son derrière pour subir une punition. En revanche le fait d’être “déculotté” en vue de recevoir une fessée, en rendait l'exécution plus humiliante, plus punitive.

Edouard, sans rien dire, se dirigea à nouveau machinalement vers la “chaise à fessée “ Il n’y avait évidemment que la place pour un puni et non pour deux. Douglas, ne sachant pas où s’installer, demanda docilement à sa femme, qui avait entamé une discussion avec Gladys sur le trajet à prendre pour aller chez le cordonnier.
– « Ça y est chérie... je suis déculotté …je dois me mettre où, pour que mes fesses soient bien en vue ? »
On aurait dit un enfant s'adressant à sa mère avant de recevoir sa punition. Gladys trancha d'autorité.
– « Allez tous les deux vous mettre à genoux sur le canapé, et se tournant vers son fils.   Robin, rends toi utile et vas nous ouvrir en grand la porte fenêtre qui donne sur le jardin …que les fessées s’entendent bien et que les voisins en profitent. »
 Et Clarisse ajouta avec un petit rire moqueur.
– « De toutes façons, dans peu de temps, ils ne seront pas mécontents qu’un peu d’air leur rafraîchisse les fesses ! »

Robin ne se fit pas prier, et suivit Douglas et son beau-père, qui se dirigeaient, les fesses à l'air en se dandinant comme des pingouins, vers le canapé près de la porte-fenêtre. Cela lui convenait d’autant plus que comme cela, Il avait du coup, une bonne raison de bien se placer dans cette pièce et donc d’être aux premières loges pour assister à la fessée de ces Messieurs.

Soumis, sans condition, à l'autorité de leur épouse, ils s’installèrent, tous les deux agenouillés, les coudes posés sur le dossier du canapé, le fessier indécemment exposé du mieux qu’ils pouvaient. Robin, savourant sans vergogne une provisoire impunité, prit tout son temps pour admirer le spectacle des deux postérieurs plantureux, parfaitement sphériques, massifs, proéminents, bien rebondis. Les deux époux présentaient de belles fesses bien lisses, assouplies par les corrections à répétition de la semaine. D'un rouge un peu plus vif pour celles de Douglas qui avait dû recevoir sa fessée matinale plus récemment, ou de manière plus claquante, que celle d’Edouard dont le fessier paraissait un tout petit peu moins cuit.  De plus, de petites marques rouges plus foncées parsemaient le bas et les côtés des fesses de Douglas.  Robin en déduit que Clarisse n’avait pas eu le même geste impulsif que sa mère pour se débarrasser du martinet à remplacer. A moins que ces marques résultent de l’utilisation d’une ceinture. Il se souvint avoir entendu Douglas s’en plaindre une fois, au cours d'une conversation avec Edouard.

 En tout cas le spectacle des deux magnifiques derrières lui paraissait bien provocant et justifiait, dans sa tête, une fessée aussi magistrale que possible. Il ne pouvait, à son avis, en être autrement sûr de telles grosses fesses si bien exhibées, si agréables à contempler et, sans doute, à claquer !  Même si l'idée que les siennes pourrait très bien se trouver à leur place lui venait à l'esprit de temps en temps, pour le moment, il était un spectateur comblé et comptait bien en profiter !!

Edouard et Douglas n’en menaient pas large ni l’un ni l’autre, et offraient involontairement au jeune homme, un spectacle qui l’amusait beaucoup. Les voir tous les deux, perdre toute assurance et toute fierté, dans la crainte qu’ils étaient sur le point d’en recevoir ''une bonne'', le réjouissait bien ! Petite revanche, notamment sur son beau-père qui ne manquait jamais l'occasion de le tourner en ridicule lorsque sa mère le déculottait pour lui passer les fesses au Dolic avant de lui flanquer sa fessée.

Les deux épouses prenaient tout leur temps. Elles avaient entrepris une discussion sur la manière dont la femme du cordonnier procédait pour la prise de mesure des postérieurs destinés aux martinets que son mari fabriquait. Tout en papotant à voix bien haute pour faire entendre le sujet de leur conversation, elles jetaient des petits coups d’œil attentifs à leurs maris et à leur derrière, qui attendaient fébrilement le début de leur fessée,
A l'inverse, les deux hommes se faisaient part entre eux, à voix basse, de leur crainte grandissante de l'inévitable correction. Mais au lieu de tenter de se rassurer mutuellement, ils avaient plutôt tendance à s’effrayer l’un et l’autre encore un peu plus, se lamentant comme deux gamins redoutant la sévérité de leur mère respective.  

 – « Oh là là ! pleurniche Edouard, en se dandinant sur le dossier du fauteuil, elles sont furieuses ! Quelle fessée on va encore recevoir ! Ça va drôlement claquer sur nos fesses !
Douglas, de plus en plus angoissé, se tortille aussi pétri d'appréhension.
– « Sûr... Ce n'est pas le moment de les contrarier... il vaut mieux faire ce qu'elles nous demandent sans discuter... Dis-moi ? Mon derrière, il est bien exposé ? Bien en vue ?
  Ah pour ça oui ! Qu’est-ce que tu vas prendre ! Mais tu la mérites ta fessée, reconnais-le... C'est quand même bien toi qui as poussé Gilbert à fricoter avec Bettina, pour le faire chanter.
– Ouais mais bon, t'en a bien profité tout de même !... Et... et moi ? On les voit bien mes fesses aussi ? Elles sont en bonne position ?
– Et comment ! On le voit bien ton gros cul ...et tu vas dérouiller aussi, parce que tu en mérites autant que moi, non ?
-- Sans compter les fessées qu'on va ramasser avec les nouveaux martinets... chez le cordonnier... et à la maison ! Parce que sûr qu'elles vont vouloir les essayer tout de suite en rentrant !
– Rabah...  Les fessasses !!! …Qu’est-ce qu’on va recevoir ! ”
-        
Enfin, ces Dames ayant mis un terme à leur conversation, le moment fatidique arriva
Après s’être rapidement concertées, elles étaient convenues qu’elles seraient plus à l’aise pour administrer à leurs époux la grosse fessée bien sévère prévue, en étant assises sur de bonnes chaises placées l’une en face de l’autre. Elles risquaient de manquer de place et de se gêner dans leur mouvement en fessant côte à côte dans le canapé. Changement de position donc. Elles avaient chacune pris une chaise qu’elles avaient judicieusement placée juste devant la porte-fenêtre grande ouverte. Edouard et Douglas saisis tous les deux par une oreille, furent donc positionnés, à plat ventre sur les genoux de leur épouse, de façon que leurs jambes et leur fesses déculottées soient tournées vers l'extérieur, alors que le haut de leur corps était à l’intérieur.
La manière dont étaient orientées les chaises faisait, de plus, que le visage de Douglas était à proximité du postérieur d'Edouard et le fessier de celui-ci à quelques centimètres également de celui de son complice. Elles appellent ça la fessée double effet ! Chacun sentant sa propre fessée claquer sur ses fesses et simultanément recevant en plein visage, le souffle brûlant des claques tombant sur les fesses de son voisin.  

Malgré le choix des positions déjà bien contraignantes, les deux épouses, jouent les prolongations sur les préparatifs en multipliant les consignes. 
Gladys, d'un ton péremptoire pose de nouvelles exigences avant de commencer.
– « Maintenant ; chacun va garder les yeux fixés sur le fessier de l’autre, pendant toute la durée de la fessée, sans jamais détourner le regard sous aucun prétexte ! »
Et Clarisse, comme pour compliquer les règles d'une touche d'humiliation supplémentaire.
– « Avec obligation à chacun, de commenter en détail l’effet de la fessée sur le derrière de son partenaire ! Amusant non ? » 

 Edouard comme Douglas en gémissent de honte. Ils étaient parfaitement conscients, qu'à la douleur prévisible d’une fessée, attendue comme claquante à souhait, s’ajoutait donc l’humiliation de savoir que les réactions de leur fessier déculotté bien en vue de tous, seraient largement commentées sans aucune complaisance. 
Ils n'eurent pas vraiment loisir de se lamenter davantage et furent rapidement mis en demeure de plier les genoux et de lever les pieds du sol afin que l’arrondi de leur postérieur soit encore plus provocant et réceptif à la fessée.  Les ordres pour imposer une position idéale ne manquèrent pas de fuser pour l’un et l’autre.

– « Aller Douglas... Tends ton gros derrière mieux que cela ! Ordonne Clarisse d'un ton sans réplique. Ne serre pas les fesses et garde-les-moi bien souples ! »
Gladys n'est pas en reste et manœuvre son mari avec autorité.
– « Etale moi ces belles grosses fesses que j’en ai bien toute la surface sous la main !” Et creuse mieux les reins qu'elles soient mieux exposées !... Puis comme il ne s'exécute pas assez vite.  “ – « “ Ecarte les fesses ! Edouard ! Pieds en l’air !... Je te l’ai déjà dit ! Tu veux une fessée supplémentaire tout de suite pour commencer ? »

Les deux hommes, bombardés de consignes, font ce qu'ils peuvent pour répondre aux exigences de leur épouse, qui les regarde amusées de les voir se tortiller sur leur cuisse à la recherche de la meilleure présentation de leurs fesses.
Le premier réflexe de Douglas, mais surtout d’Edouard, avait été de jeter un regard circulaire anxieux vers la fenêtre ouverte. Il se doutait que Bettina ne manquerait pas d’apparaître bientôt pour profiter, du merveilleux spectacle de cette double fessée sur de beaux derrières volumineux, soigneusement positionnés, pour rendre la correction la plus efficace possible. Sûr qu'elle allait se régaler, sans scrupule, aux dépens des deux punis, peu soucieux d’offrir ce plaisir à la voisine.
Cependant dès que les fessées commencèrent à claquer, sachant que ce n’était vraiment pas le moment de se faire accuser de désobéissance, chacun essaya de se concentrer sur le fessier rebondissant qu’ils avaient pratiquement sous le nez.

Dans l'euphorie de son sentiment de réussite dans la gestion du martinet saboté, à l'origine de cette double fessée avant le passage chez le cordonnier, Robin se sentait soudain détenteur d'un pouvoir de sanction inhabituel. C'était la conséquence de son idée. Non seulement, pour une fois, ce n'était pas lui qui se faisait punir mais, belle revanche, il était l’instigateur de la correction que recevait Douglas et son beau-père.  A ce moment précis il était loin de penser à un éventuel retour de bâton … ou plutôt de martinet.
 D'où il était placé, près du canapé, la vue sur la danse des fessiers en pleine montée vers l’écarlate, se trouvait en partie masquée par les deux femmes en action. Il entreprit alors de manœuvrer discrètement.
  Sa mère désireuse de surveiller son travail en attendant l'arrivée de Clarisse, lui avait ordonné de s'installer sur la table de salle à manger plutôt que de rester dans sa chambre.  Il y avait laissé ses documents de recherche et, bien évidemment, en tant qu’’'élève consciencieux'‘, il avait à cœur de finir de rédiger l'exposé qu'il devait rendre pour le lundi matin à Saint Joseph. L’ordre d’aller ouvrir, en grand, la porte –fenêtre lui avait sauvé la mise. Il repéra qu’en changeant de coté de la table, grâce au reflet des vitres, il pouvait avoir une vue discrète mais très satisfaisante du postérieur déculotté de ces Messieurs.

La porte fenêtre, grande ouverte, laissait passer les rayons d’un soleil, ce jour-là éclatant, qui miraculeusement inondait d’une luminosité, bien sûr insoutenable pour un élève studieux, l’endroit de la table où étaient disposées ses affaires. Pas question, évidemment, de refermer la porte-fenêtre.  Avec un air très soucieux, les yeux mi-clos en raison de cette satanée luminosité qui l’éblouissait, il se mit donc à déplacer discrètement ses documents afin de trouver la meilleure place pour ...”travailler”. Il pensa que Rodolphe le fourbe, dans le genre, n'aurait pas été plus malin.  Après plusieurs essais, il trouva rapidement le meilleur endroit …avec vue “imprenable “ sur les deux paires fesses en attente de la déculottée.

C'est à ce moment que d’un commun accord, avec une parfaite synchronisation, sa mère et Clarisse firent tomber une première volée de claques retentissantes sur les magnifiques fessiers déculottés que leurs époux leur tendaient avec soumission. Les premiers cris de surprise et de douleur emplirent vite la pièce et se répandirent dans la maison, jusque dehors, tandis que les deux derrières corrigés entamaient une danse frénétique.


Dans un premier temps, Edouard comme Douglas, s’évertuèrent à faire bonne figure, ou plutôt bon derrière, en s’efforçant de rester aussi stoïques que possible sous la dégelée de claques qui leur tombait sur les fesses. Mais rapidement, après les plaintes et gémissements provoqués par les impacts sur leurs belles fesses rebondies déjà bien sensibilisées, les deux postérieurs charnus à souhait s’étaient mis à gigoter désespérément dans tous les sens, à se rétracter sous les claques et à se regonfler quand la main se relevait.
 L'un et l'autre, fixant, les yeux écarquillés d'angoisse, le fessier bondissant de son compagnon de fessée cherchait à ne pas éclater en sanglots.  Obéissant aux humiliantes consignes de leur épouse respective, chacun veille à maintenir son derrière dans la meilleure position, bien exhibé, bien arrondi, déployé au maximum. Comme dit souvent Clarisse avec l’humour grinçant qui la caractérise ;
– « L'essentiel étant de participer, il est important qu'ils prennent l'habitude de bien présenter leurs fesses pour favoriser l'administration de leurs propres fessées ! »

Douglas, le visage dans la chaleur du cuisant fessier de son voisin, lui lance, entre deux gémissements, sur un ton où perçait à la fois la commisération et l’ironie maligne.
– « Ouai IIIe !! Ah là.... Tu la reçois bien ta bonne fessée, sur ton gros cul déculotté, hein Edouard ? IIIe -- Ouche ! Ouche ! Tu la prends bien ta... ta fessée !... Harrar !!!” ! »
Edouard piqué au vif réplique.
– « Et toi Douglas ! – Aiea – Tu crois que je ne les vois pas danser tes grosses fesses toutes rouges --- Aiea ! Aiea ! --- Tu la mérites bien va … ta bonne fessée ! --- Harrar--- Ta fessée déculotté ! – Aiea !
– Odoo, pour ça... Moins que toi ! -- ouille-- ou-- ouille !

Les deux femmes amusées d'entendre leurs deux punis trouver le moyen de se disputer pendant leur fessée, continuent à leur claquer vigoureusement le derrière en échangeant un clin d'œil rigolard. Clarisse intervient la première en s'appliquant à bien ajuster les claquées d'une fesse sur l'autre.
– «   Alors comme ça Douglas, tu trouves que tu mérites moins la fessée que ton copain ?
– Non non ! je ne sais pas ! je ne sais pas ! …mais …moins fort ! Rabah... moins fort s'il te plaît !
– Ah bon, c’est toi qui décides maintenant ?
– Non non chérie …c’est toi, c’est toi ! --- Harrar ! aïe ! aïe !
Gladys s'y met aussi rendant le dialogue carrément désopilant.
--« Tu as entendu Edouard ? Ton ami dit qu’il faut que sa fessée soit moins forte que la tienne ...alors, il a raison, pour toi... c’est plus fort ? Non ? » 
Sans attendre, évidemment, de réponse, elle joint le geste à la parole et pousse une vigoureuse accélération en augmentant l'intensité des claques. Edouard se met à trépigner en hurlant.  
– «   Aiea ! aïe ! Ahhrrrrr ! aïeee ! noooonnn !
– Comment ça non ??
  Siiiiiii !
– Siii quoi ?
– Siii...  Ouiiii... tu as raison chérie... Plus fort les fessées ...aaaaaaïeee !!! Sur nos grosses fesses déculottées   Aïiiie -- de maris désobéissants...

– « Et Douglas, qu'est-ce qu'il en dit ? S'exclame joyeusement Clarisse en accélérant à son tour, la cadence de la fessée qui devient de plus en plus cuisante
Le malheureux réagit aussitôt en braillant.
– « Oarrrh non ! Pitié, nooooon, plus ! plus ! plus la fessée. !
Gladys, hilare fait semblant de ne pas avoir compris et attise encore le feu sur les fesses de son mari.
– « Edouard mon chéri, tu entends ce que dit Douglas ? Il dit, plus fort la fessée ! 
Ouiiiiiii !! Noooonnn , --- aïe ,aïe -- oh ouiiii …plus fort les fessées .... on les mérite ...
ahrrrrr non !... Non... pas plus fort ! »

Le derrière en surchauffe sous les volées de claques,  les oreilles assourdies à quelques centimètres des fesses retentissantes du voisin, les malheureux ne savaient plus ce qu’ils disent, ne contrôlent plus ni leurs réponses ni les soubresauts de leurs fesses qui sont redevenues plus écarlates que jamais.  Leur position sur les genoux de leur épouse, derrière en l’air, bombé, pieds battant le rythme des claques, font que leurs volumineuses croupes toutes rondes, d’un rouge vif flamboyant, s’encadrent dans la porte fenêtre comme s’il s’agissait d’un tableau destiné à les mettre en évidence.
Cela fait déjà un moment qu'ils ont cessé de résister. Edouard, le premier, a éclaté en longs sanglots bruyants, immédiatement suivi par Douglas qui semblait attendre que son ami cède, pour laisser tomber à son tour, tout semblant de fierté.

On n'entend plus désormais que les pleurs sonores entrecoupés parfois de bribes de mots hachés qu’un des deux laisse échapper, durement secoué par le rythme infernal de sa fessée. ''pardon'...'‘ serai obéissant'''... ferai plus jamais... la fessée...! » 

Fasciné par le spectacle, Robin n’a pas quitté la scène des yeux. Par curiosité, il regarde à l’extérieur et, sans surprise, aperçoit Bettina, la mine réjouie, les coudes carrément appuyés sur la clôture de son jardin. Comme d'habitude, très à l'aise et décomplexée, elle ne cache pas son plaisir d’assister à la double fessée. En revanche, il est étonné de voir Walter, son mari qu’on ne voit pratiquement jamais, surgir de leur maison et se diriger vers elle avec, à la main, ce qui lui semble bien être un martinet. Il en a confirmation, d’abord par ses gestes et le changement d’attitude de Bettina, quand il se place derrière elle et, semble-t -il,  lui  relève sa jupe pour lui cingler les fesses. Il n’a plus aucun doute quand il voit la plantureuse femme rentrer chez elle en trébuchant sur ses talons aiguille, suivie par son mari le martinet à la main. Elle tient à deux mains sa courte jupe retroussée par derrière jusqu’au-dessus de ses jarretelles,  balançant sa croupe majestueuse sanglée dans un slip de nylon presque entièrement rentré dans la raie des fesses. Il se dit que sa punition ne devait probablement pas être terminée et que si, comme elle s'en vantait, elle avait fini par prendre goût à la fessée, avec une telle paire de fesses, elle allait être servie.


Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !

Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 22
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Il y a une suite, oui, le chapitre 24.

Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.

Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.


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2 commentaires:

  1. Bonjour Ramina,

    C'est "Règlements de comptes à Spank City" !!!
    Quelle déculottée !! Robin s'en tire à bon compte cette fois. Mais pour combien de temps ?
    La visite chez le cordonnier : voilà un lieu de rencontre pour les mères-poules du quartier. Je les imagine bien inspectant les martinets et les essayant sous l'œil malicieux de Mam'e Mocassin, la cordonnière. (ça ferait une idée de saynète...)
    Amicalement. Peter.

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  2. Bonjour Peter,
    Et oui, Robin passe pour le moment à travers les gouttes... les lanières plutôt ! Et pourtant il est est loin d'être innocent le bougre! Mais quand ça va tomber...
    La visite chez Mam'e Mocassin va certainement laisser des traces sur queleques derrières désobéissants! Et Patricia, occupée ailleurs ces derniers temps, devrait fait un retour remarqué sur le devant de la scène !
    Ma pov'dame il s'en passe des choses à Spank City!
    Amicalement
    Ramina

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