lundi 30 mars 2020

Les rebelles - chapitre 28

En ces temps de confinement, dû au COVID-19, nous sommes tous à la maison. L’établissement Ste CROIX étant fermé et les élèves de l’internat renvoyés chez eux, les professeurs nous ont donné un tas de révisions à faire pour occuper nos journées, ne pas perdre notre trimestre et des compléments sont accessibles sur le portail Web PRONOTE de l’école. Nous avons la possibilité de poser des questions à nos professeurs ou de chatter entre nous soit par texte soit par webcam, en mode classe virtuelle.
N’ayant pas d’emploi du temps stricte, nous en profitons un peu pour faire autre chose que notre travail scolaire. Certains jouent à la console pendant que d’autres passent leur temps sur Internet ou au téléphone avec les copains et les copines.
Maman m’a déjà plusieurs fois prise en flagrant délit de téléphoner à Iourievna, à Olga ou d’autres copines durant la période de la journée où j’étais censée travailler. Il s’en est suivi des remontrances, car étant professeur elle-même, elle ne tolèrera pas que je rate mon trimestre, et encore moins mes examens, d’ailleurs. J’ai beau lui dire que je suis à jour de mes révisions, elle me pousse à ne pas tomber dans la facilité et il faut que je surpasse ces temps compliqués.
Le lendemain matin, elle me surprend une nouvelle fois, dans le jardin au téléphone. La colère lui prend et elle m’ordonne de raccrocher tout de suite et elle me dit que je vais m’en prendre une bonne. Là, mon cœur commence à battre la chamade dans ma poitrine, car sous le terme « m’en prendre une bonne », je sais ce qui se cache derrière. Je pose mon portable dans la précipitation, je m’excuse pour cette conversation et je lui jure mes grands Dieux que je vais me mettre à travailler. Je faisais juste une petite pause mais que je suis largement dans les temps pour terminer le programme que nous a imposer nos professeurs. Là, Maman, me regarde droit dans les yeux et me dit que je suis en train de la prendre pour une imbécile, qu’elle a horreur de ça et qu’elle va me faire passe l’envie de recommencer.
M’empoignant par le bras, elle veut me fait rentrer. Comme je résiste en rouspétant pour retarder l’échéance, Maman décide de me fesser sur la terrasse, puisque je refuse de rentrer. Papa nous rejoint à ce moment-là. Je le regarde, le regard implorant, mais il reste de marbre, car je pense que lui aussi juge que j’ai mérité cette correction. Elle se saisit de mon pantalon de survêtement qu’elle baisse prestement, je me retrouve en culotte et je continue de lui promettre tout ce qu’elle voudra si elle ne me fesse pas. Le pantalon sur les chevilles, je m’empêtre dedans au point de tomber. Maman se saisit alors de ma culotte qu’elle retire également avec le pantalon. Je me retrouve sur la terrasse les fesses à l’air, toute rouge et honteuse de me retrouver comme une petite fille que l’on va punir. Je continue à contester, car Maman est en train de me courber pour que je sois couchée sur la table du jardin. C’est avec difficulté qu’elle me courbe et c’est lorsque je reçois une grande gifle qui me fait rougir la joue que je cesse enfin de résister. Maman me couche sur la table et m’oblige à écarter les cuisses. Elle me promet qu’après ce que je vais prendre, je serai plus studieuse et plus docile. Je m’en veux d’avoir fait ma tête de mule et d’avoir désobéi.
Les claques commencent à dégringoler sur mes fesses. Celle-ci sont sonores et je prie pour que les voisins ne les entendent pas. Je serre les dents pour ne pas crier de douleur, car ce serait la honte d’être vue par le voisinage. Lorsque la douleur monte crescendo, je pousse des gémissements étouffés mais bientôt la douleur est vraiment trop dure à supporter et je crie, n’en pouvant plus. Maman ne lésine pas sur les claques sur les fesses, les cuisses et sur l’intérieur des cuisses qui m’arrachent des cris aigues. Je gesticule et me tortille en la suppliant de stopper, lui assurant que j’ai compris la leçon. Mes larmes coulent sur mon visage, brouillant ma vision. La fessée, entrecoupée de reproches, dure plus de dix minutes durant lesquelles le bas de mon corps est en feu et vraiment rouge. Je tente de mettre mes mains en protection, mais elle me bloque la main dans le dos et augmente le nombre de claques pour m’apprendre à accepter la correction dans son intégralité.
Lorsque les claques se terminent, je me relève en me massant les fesses en feu, et je subis un ultime sermon pour mettre un point final à ma correction. En russe, Maman me dit que ça aurait pu être la ceinture et que je peux m’estimer heureuse de n’avoir eu qu’une fessée manuelle. M’essuyant les yeux et mes joues, d’une petite voix pleine de remords, je demande humblement pardon. Maman ramasse ma culotte et mon pantalon de survêtement et me les lance à la figure. C’est en relevant la tête que je m’aperçois que des voisins, ayant entendu les claques sonores et mes cris, sont à leur fenêtre en train de bien rigoler. Les voyant, mes joues s’empourpre davantage, car je sais qu’ils n’en ont pas perdu une miette. Je me sens humiliée et je voudrais me terrer dans un trou de souris. Par réflexe, je cache mon pubis, mais bien trop tardivement, car dans la position où je me trouvais durant la fessée, j’en ai exhibé largement plus. Je ramasse mon téléphone et je rentre lorsque j’entends une voix qui me parle. Prise de panique, je m’aperçois que je n’avais pas coupé la communication avec Olga et celle-ci a tout entendu. Affolée, je coupe enfin la communication, mais beaucoup trop tard, en remontant prestement dans ma chambre pour faire mes révisions. Depuis le pallier, j’entends Maman qui m’ordonne de rester les fesses à l’air pour le restant de la journée pour me rappeler que je suis punie et Papa me dit de laisser mon téléphone hors de ma chambre, ce qui m’empêchera d’être distraite durant mon travail.
Peu de temps après, je reçois un mail d’Olga qui me demande ce que j’ai bien pu faire pour recevoir une telle fessée, car ce qu’elle entendait correspondait belle et bien à une monumentale fessée et mes cris en attestaient. Toute confuse qu’elle ait tout entendu, je lui explique qu’ayant désobéi à Maman, elle s’est énervée et m’a flaquée cette correction, et dehors en plus, alors qu’il y avait des gens à leur fenêtre. Un certain nombre de voisins qui ont une ouverture dirigée vers notre jardin ont pu m’apercevoir, dans une piètre situation, affalée sur la table du jardin et les cuisses écartées... J’ai pu me rendre compte, après coup, qu’ils avaient le sourire d’avoir assisté à ça ! Olga, Iourievna et Théo me plaignent, car eux deux, aussi ont pu entendre les reproches que me faisaient Maman, les claques sonores et mes hurlements. Je continue à lui écrire que maintenant, je suis cloitrée dans ma chambre avec l’obligation de rester les fesses à l’air pour le restant de la journée, mais que, finalement, ça m’arrange un peu, car je n’aurais pas su renfiler mon pantalon de survêt, car mon postérieur et mes cuisses me cuisent et que j’ai du mal à rester assise.
Durant le repas du soir, où je reste silencieuse, je porte un tee-shirt le plus long que je puisse trouver, histoire de masquer un peu le bas de mon ventre, malgré le fait que ce soit mes parents, je souhaite cesser d’exhiber mon intimité en public. J’ai largement eu mon compte avec les voisins que je vais avoir du mal à regarder en face, à présent, car c’est l’image de mes fesses rougies et de ma fente exhibée qu’ils auront en tête, lorsqu’ils me verront.
Dans la maison voisine de la nôtre, se trouve Reece, presque dix-neuf ans, étudiant anglais de mon établissement. Il est présent dans une famille d’accueil, d’origine anglaise, qui l’héberge durant ses années d’études. Ses parents ont préféré la location chez l’habitant qu’une chambre à l’internat de Ste CROIX.
Le surlendemain de ma fessée, peu après midi, nous entendons qu’une dispute a lieu entre Hariett C. et Reece, du fait des fenêtres ouvertes, car avec les rayons du soleil, il fait bon et nous ouvrons pour faire rentrer la chaleur. Être confinés n’est pas synonyme de rester sans aérer la maison...
Depuis ma chambre, j’ai une bonne vue sur la façade de la maison d’Hariett C. dont les deux filles sont dans ma classe, Chelsea et Grace, des jumelles âgées de dix-huit ans. C’est Hariett C. qui gère la maisonnée, car son mari est coincé toute la journée sur son ordinateur, en télétravail.
J’ouvre ma fenêtre en grand et de ce que j’en comprends, Reece s’est fait contrôlé par les gendarmes et il était en infraction : Sans motif réel de sortie et surtout sans attestation de déplacement dérogatoire. Les gendarmes lui ont dressé une contravention de cent trente-cinq euros, à régler dans les plus brefs délais. Dans la mesure où ses parents ne sont pas sur place, c’est à Hariett C. de régler le procès-verbal, d’où l’accrochage entre eux et les reproches d’Hariett C. envers Reece sur son inconscience d’être sorti, avec toute la probabilité d’être contaminé et de contaminer les autres. Reece minimise sa transgression en disant qu’il a pris des précautions et qu’il ne lui arrivera rien, ce qui n’est pas l’avis d’Hariett C.
Hariett C. relate l’incident aux parents de Reece et contre toute attente, le père de Reece, un officier de la marine anglaise de PORTSMOUTH demande à Hariett C. de fesser son fils à la ceinture comme il se doit. Reece qui se trouvait à proximité lors de l’échange téléphonique, proteste, mais il est rapidement interrompu par son père qui lui dit que les règles sont à respecter, sous peine de sanctions. Il a voulu en faire qu’à sa tête, et bien maintenant, il doit payer, car il n’y a pas que lui qui est en danger, il y a sa famille d’accueil, qui ne doit pas pâtir de son inconscience.
Hariett C. lui ordonne de se mettre entièrement nu. Reece qui voit Chelsea et Grace arriver dans la pièce devient rouge écarlate de honte, car étant secrètement amoureux de Chelsea, celle-ci la verra d’un tout autre œil et ses chances de la conquérir seront réduites. Les deux sœurs regardent la scène, tout d’abord incrédule et puis de plus en plus excitées d’assister à ce spectacle chez elle, car les seules fessées auxquelles elles ont assisté étaient à Ste CROIX et elles se rappellent très bien dans quel état elles étaient, et surtout l’état de leur culotte après...
Contraint, Reece enlève piteusement vêtement par vêtement jusqu’à se retrouver nu, les mains devant son sexe qui a une tendance à se relever, étant donné que son entourage féminin le reluque du haut en bas. Hariett C. prend une des grosses ceintures de son mari et la déroule complètement. Hariett C. ordonne à Reece de se retourner et de retirer ses mains qu’elles puissent admirer ses attributs. Comprenant qu’il n’a pas le choix et à contre cœur, Reece ôte ses mains et exhibe son pénis qui se dresse instantanément. Chelsea et Grace pouffent de rire aussitôt, ce qui gêne encore davantage Reece, dont le menton tremble, proche des larmes.
Hariett C. le retourne et le fait se mettre en appui sur la table du salon, penché en avant et avec la ceinture utilisée comme un fouet, elle commence la fessée. Les cinglées sonores font trembler et se raidir Reece qui se redresse, en se contractant pour résister à la morsure de la lanière. Depuis ma chambre, j’entends les claquements caractéristiques d’une fessée. Je me précipite à la fenêtre et avec l’angle que j’ai sur la maison voisine, j’aperçois nettement Reece, entièrement nu, en train de se faire fesser. Je vois aussi les deux filles de la famille qui gloussent lorsque Reece se contorsionne et tape des pieds sous les brulures que procurent les fouettées. Lors de ses contorsions, je vois bien qu’il est en érection maximale et ce spectacle commence à m’émoustiller franchement, et presque par réflexe, j’ai une main dans ma culotte, me massant énergiquement le clitoris, déjà bien trempé, et l’autre me caressant les tétons bien dressés et les seins, plus soutenus par mon soutien-gorge que j’ai dégrafé. Le plaisir est plus fort que la peur de voir entrer, dans ma chambre, Papa ou Maman qui ne comprendraient pas mon attitude... Submergée par le plaisir, je suis à deux doigts de crier de jouissance.
Entre deux spasmes, j’aperçois Reece qui crie de douleur en sautant comme un cabri d’une jambe sur l’autre en faisant de grands gestes. Il implore la fin de sa correction, mais Hariett C. en a jugé autrement, car elle continue de le cingler. J’aperçois même quelques traces rouges sur son dos, preuve qu’elle le cingle vraiment pour le punir et pour lui faire retenir la leçon. La santé de sa famille est trop importante, pour qu’un inconscient vienne contaminer toute la famille.
Enfin, la correction prend fin. On peut entendre Reece gémir, à genou en train de reprendre son souffle. Chelsea et Grace viennent près de lui et l’aident à se relever en regardant de près ses belles marques bien rouges et boursoufflées, ainsi qu’admirer de beaucoup plus près son membre qui est retombé. Et moi, ayant un peu repris mes esprits, j’en suis quitte pour me changer, ce que je fais rapidement avant que quelque rentre.
Dans l’après-midi, je vois Reece, nu, passer la tondeuse à l’arrière de la maison, sous les ordres de Chelsea et Grace, assises sur leur terrasse, qui lui donnent ordre sur ordre. Je prends une cinquantaine de photos de cette scène incroyable. Sur certaines photos, on voit nettement les zébrures rouges de sa récente fessée. Dommage que je n’ai pas pu prendre des photos lors de sa fessée, mais je n’étais pas en état de le faire ! Je me rends compte qu’Hariett C. l’a rendu docile et je me doute maintenant pourquoi Chelsea et Grace sont des filles bien élevées, si leur éducation a été celle-là. De mémoire, elles n’ont jamais été punies à Ste CROIX, ce qui corrobore mon hypothèse sur leur tenue de la part de leurs parents.
Juste avant de descendre prendre mon dîner avec mes parents, je regarde par la fenêtre et la famille mange en terrasse, avec Reece toujours dans la même tenue d’Adam. C’est même lui qui fait le service à table. Je refais quelques photos que j’envoie à mes amies, avec quelques commentaires croustillants.
Lorsque je suis à la cuisine, j’aide Maman à préparer le repas et elle me demande si j’ai bien rincé ma culotte ? Je deviens rouge pivoine. J’ai l’impression que le ciel vient de me tomber sur la tête, car Maman m’a vu en train de ma masturber. Bien évidemment, il est hors de question de nier l’évidence. Je réponds en bafouillant que je l’ai fait. Elle a dû rentrer dans ma chambre et dans l’état d’intense émotion où je me trouvais, je n’ai rien entendu. Maman ajoute que ce n’est pas très élégant de ma part de prendre du plaisir en regardant quelqu’un se faire corriger. Je me contente de baisser les yeux, la gorge nouée.


Une série écrite par Elena

Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : le chapitre 1, début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 27

Retrouvez-les tous sur la page des auteurs invités

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5 commentaires:

  1. Bonjour, Elena. Et bonjour à tous.

    Non, mais elle va bien, elle! Parce qu'elle est punie pour passer trop de temps au téléphone, au lieu de travailler, pendant la période de confinement. Et elle ne trouve rien de mieux à faire, à peine la fessée terminée, que d'aller perdre son temps à épiloguer avec les copines sur la fessée qu'elle vient de recevoir. Ça mériterait une deuxième par-dessus la première, ça, tiens! Et une sévère! Non, mais!
    Amicalement.
    François.

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    1. Absolument François,
      Je suis vraiment incorrigible. Mais il fallait donner le change à mon amie Olga, car dans la précipitation, j'ai mal coupé la communication et mes amis ont tout entendu, la dispute, les claquements, mes supplications, mes pleurs, mes hurlements... La honte, car c'est comme si ils étaient présents. Moi sur la table et le téléphone à côté, au premières loges ! Imaginez mon angoisse lorsque j'ai vu que tout avait été suivi ! même par Théo...
      Amitiés.
      Elena.

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  2. Amis de la poésie et de la pandémie de claques aux fesses... Bonjour!

    On peut dire qu'Eléna a un talent particulier pour cueillir l'actualité au vol, et en tirer matière à produire des épisodes dans l'air du temps. Un air plutôt vicié en ce moment, mais un air quand même.

    Si notre héroïne échappe au "Corona"( ne pas confondre avec la bière... pas pareil!) elle est, par contre,clairement victime du virus du portable ... Maman sévi après plusieurs avertissements. Malgré ses réticences, la vilaine désobéissante,rebelle et tout et tout, est bien obligée de se mettre à table. En l'occurrence sur celle du jardin pour s'y prendre une magistrale fessée déculottée en pleine air, bien cuisante comme on les aime. Les voisins, confinés aussi, se régalent du spectacle, par la fenêtre, sans avoir besoin de sortir de chez eux! Solidarité, aide à la personne, livraison fessées à domicile;
    Reece lui aussi, est en pleine rebellitude. Sa sortie sans autorisation dérogatoire lui vaut évidemment une amende et, double peine, une raclée à la ceinture par sa mère, qui, elle, ne dérogent pas à la règle. C'est toujours mieux que de tomber malade!
    D'ailleurs, une bonne fessée sur place à chaque contrevenant serait peut être plus efficace et coûterait moins cher. Par contre, vu le confinement en cours il y aurait peu, voir pas du tout de public.

    La coquine du jour, à distance, ne rate rien de la séance...Le spectacle de la fessée et d'un "corona-prépuce" en pleine expansion l'incite à un vigoureux travail manuel en dessous du nombril qui finit par provoquer un raz de marée dans la culotte.

    Ce qu'il y a de bien, au moins, avec notre auteure, c'est qu'elle ne s'embarrasse pas de principes, ni de fausse pudeur. Elle écrit tout haut ce que d'autres font plus bas...La fessée, ça fait mal mais ça excite aussi, et ça fait du bien. Alors les rebelles...pourquoi bouder son plaisir, même si maman, emplie de mansuétude, trouve simplement que ce n'est pas très élégant...
    Un bon point aussi pour les prénoms... Reece, Hariett, Chelsea... fallait les trouver ceux là!
    Amicalement
    Ramina

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  3. Bonjour Ramina,
    La confinée parlent aux confinés. Petit message personnel : La corona est au frigo, je répète, la corona est au frigo...
    Un immense bravo pour votre commentaire haut en couleurs et toujours drôle à souhait. Décidément, vous êtes un sacré décortiqueur de textes, rien n'échappe à votre regard aiguisé.
    J'adore produire des textes lorsque j'ai de la matière / contexte particulier. La Pandémie, je ne pouvais pas la rater, celle-là.
    Pour étoffer le scénario et les prénoms, je vais explorer Internet pour les choisir. Certains autres points sont directement issus de mon vécu. C'est nom secret pour que tout semble assez proche du probable dans mes fictions...
    Je vous envoie toutes mes amitiés et portez-vous bien.
    Elena.

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  4. Bonjour Eléna,
    Merci pour le commentaire de mon commentaire..."haut en couleur"" comme le rouge domine sur les paire de fesses désobéissantes de vos personnages.
    J'apprécie la spontanéité et l'enthousiasme communicatif de vos réponses.
    Amicalement... vôtre.
    Ramina

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