lundi 27 avril 2020

Les rebelles -chapitre 31

Ce matin, le facteur a laissé un gros paquet devant la porte. Papa est allé signer le registre et a rapporté le colis, avec un grand sourire. Maman et moi qui étions en train de faire à manger, venons voir ce que c’est. Maman me regarde et me dit que c’est pour moi. En répondant que ce n’est pas mon anniversaire, je suis très surprise de ce cadeau. Maman me laisse ouvrir le paquet. Hormis le carton, il y a deux autres paquets souples.

En ouvrant les paquets, je trouve un long fouet tressé et un long martinet à dix longues lanières de cuir. Toute rouge de confusion d’avoir ça en cadeau, je ne comprends pas et je pense à une plaisanterie. Papa me dit que non et que beaucoup de familles du quartier ont acheté ces ustensiles pour discipliner leurs enfants, car, sur les recommandations de Sœur Marie-Zénaïde, les familles, de plus en plus nombreuses au conseil des mères, ont passé commande auprès de la célèbre société DELANIAIRES, manufacture de fouets et autres ustensiles de punition où ceux-ci sont fait-main. Astrid D. la patronne, teste même ses fabrications sur sa nièce Géraldine, pour dit-elle « roder » le matériel !

Maman m’explique que le long fouet sera pour les sévères punitions, tandis que le martinet à longue lanières, un peu plus souple, sera plus les corrections plus légères et lorsqu’elle devra me fouetter le ventre, le bas ventre et les seins. Je la regarde, médusée, mais elle confirme ce qu’elle vient de dire et elle accroche les deux ustensiles de punition dans un coin de la cuisine pour qu’ils soient à porter de main, si besoin et elle ajoute qu’elle en fera cadeau à mon futur mari pour les cas où je le comporterai mal...
Maman me dit que pour le moment, il est temps que tous les turbulents du quartier rentrent dans le rang, car la réputation du secteur en pâti. Le maire a déjà envoyé des lettres d’avertissement sur nos comportements de vauriens et les gendarmes sont également sur le qui-vive, avec « droit de sévir ». J’ai beau me défendre en disant que nous ne sommes pas du tout des délinquants, Papa m’interrompt et me répond qu’il ne faut pas attendre cette limite pour redresser la barre.
Dès le lendemain matin, à peine levée, en ouvrant ma fenêtre de chambre, j’entends des cris dans une maison un peu plus loin. Les bruits sont reconnaissables de loin, il s’agit qu’une lanière qui claque sur la chair. Lorsque je descends dans la cuisine, avec un sourire entendu, Maman me dit que la mère d’Augustin étrenne son acquisition, car, hier, le conseil des mères a validé la punition, presque à l’unanimité... Avec ses cris déchirants, je me doute qu’Augustin passe vraiment un sale moment. En voyant ma mine déconfite, Maman me dit que je hurlerais de façon similaire si je venais à être corrigée. Sœur Marie-Zénaïde a donné des recommandations d’utilisation afin de ne pas blesser la chair, ce qui fait que la correction peut durer assez longtemps sans aucune crainte. Que je me le tienne pour dit !
Dans la mesure où nous sommes toujours en confinement, la Maman d’Augustin enverra le film de la punition à toutes les mères du conseil, pour attester de la sévérité de la flagellation, car Augustin a, une nouvelle fois, fait le mur, ce qui lui vaux ce châtiment corporel. Sous prétexte d’aller faire du sport, seul, en fait, il était avec des amis.
Sur un autre plan, la gendarmerie de notre ville s’est récemment équipée de drones qui survolent en permanence la ville et le littoral. Avec cette supervision, les équipes des forces de l’ordre sont rapidement sur place et encerclent les contrevenants. Les amendes pleuvent, d’autant plus que le thermomètre dépasse vingt degrés, incitant les riverains à la ballade plutôt qu’à rester chez eux.
Un second effet des surveillances accrues est le repérage des trafics en tout genre. Il n’est pas rare que des contrebandiers arrivent par la mer, déchargent leur cargaison et la fassent embarquer par des passeurs, en Go Fast. Les produits débarqués sont des cigarettes, de l’alcool et de la contremarque.
Un marché parallèle s’est créé sur les plages, car quelques riverains viennent et achètent directement aux bateaux. Un célèbre contrebandier fait des fortunes avec ce genre de vente. Les forces de l’ordre le connaissent sous le surnom du « Négociant ». Mais celui-ci n’a jamais été pris, s’arrangeant toujours pour se fondre dans la cohue et fuir, lorsque, par malchance, les gendarmes arrivent. A chaque descente, ce sont les acheteurs qui se font prendre et le Négociant s’en sort toujours indemne. Avec le nouveau système de drones, les voies maritimes pourront également être surveillées de plus haut, ce qui donnera une vue d’ensemble de la côte et des alertes préventives.
Dans mes camarades du quartier, certains sont des habitués des achats aux bateaux. Connaissant certains passeurs, ils se font livrer en cigarettes et en alcool. Augustin et Clément sont de ceux-là...
Clément téléphone à Augustin pour qu’ensemble ils aillent se réapprovisionner, car lorsque le déconfinement sera prononcé, ils organiseront une fête avec tous les amis pour fêter leurs retrouvailles. Augustin lui répond qu’il a déjà été sévèrement puni pour une sortie non autorisée, et qu’il ne veut pas risquer de s’en prendre une autre, car les cuisses ses fesses et son dos lui font encore très mal et il a du mal à s’assoir. Clément lui demande quelques explication et Augustin lui explique qu’il a menti à ses parents en prétendant qu’il partait seul, mais en rentrant, sa mère lui a dit qu’une copine l’avait appelé et son fils aussi était sorti, alors il était simple de comprendre qu’ils étaient ensemble. Augustin, très honteux d’avouer ça à Clément, qu’il a reçu une centaine de coups de fouet avec les instruments nouvellement reçus. La douleur était atroce et sa chair le cuisait. Il n’a jamais trépigné et pleuré comme ça et à force de contracter le bas de son corps, il en a éjaculé sans pouvoir se retenir et sa mère, furax, l’a traité de tous les noms et en a rajouté une dizaine de cinglées pour cette inconvenance en sa présence. Augustin termine en disant qu’il est toujours nu, car le frottement des vêtements sur sa chair est très douloureux. Clément lui dit que c’est une mauviette et que quelques coups de martinet n’ont jamais fait cet effet-là. Sa mère aussi a reçu ses nouveaux fouets, mais qu’ils n’ont pas l’air si méchants que ça et qu’il suffit de serrer les dents, en attendant la fin de la punition.
Clément, ne voulant pas aller seul à la plage, demande à Lisendro, qui accepte de suite, ne voulant pas rater une occasion de sortir. Se donnant rendez-vous dans un endroit désert, à la nuit tombante, les deux amis, se retrouvent et tous excités de faire une virée ensemble, se dirigent vers la plage, en faisant très attention de ne pas croiser les forces de l’ordre qui patrouillent.
La crique est déserte et ils guettent le bateau du Négociant qui devrait bientôt accoster, car ils repèrent un homme qui a allumé une torche et fait des signes avec. Clément et Lisendro sont accueillis par les passeurs qui contrôlent qu’ils ne sont pas des indics, puis ils descendent sur la crique, assez difficile d’accès.
A l’arrivée du bateau, des caisses sont déchargées et une dizaine d’acheteurs arrivent pour leur ravitaillement. Les caisses sont montées dans des voitures tandis que les transactions se font assez vite, car il faut que les Go Fast partent sans délai.
Les négociations sont presque terminées lorsque des gendarmes de la douane arrivent. Des chiens sont lancés et encerclent les riverains tétanisés et encore sous le coup de la surprise. Il règne une atmosphère de confusion extrême, car les Go Fast sont pris en chasse par les voitures de gendarmerie tandis que sur la plage, le bateau du trafiquant n’est pas encore parti. Le Négociant est coincé parmi les acheteurs. Lorsque certaines personnes tentent de forcer le passage, le Négociant oriente les douaniers vers un homme qui fuit en le faisant passer pour lui et il profite du désordre pour fuir vers la mer en direction de son hors-bord, qui ne tarde pas à repartir vers la pleine mer. Avec plein de malice, le Négociant passe, une fois de plus, entre les mailles du filet.
La crique ne permet pas aux acheteurs d’aller bien loin et l’encerclement de ceux-ci permet aux forces de l’ordre de les arrêter. Les identités sont contrôlées et c’est avec de vives protestations que les acheteurs sont menottés et embarqués. Sept hommes et trois femmes sont emmenés vers la gendarmerie. Les marchandises de contrebande sont réquisitionnées.
Dès le lendemain matin, le juge est nommé pour une comparution immédiate, car les tribunaux ne fonctionnent plus et il faut donner une rapide décision de justice et libérer les dix prévenus. Le flagrant délit ne fait pas l’ombre d’un doute et les avocats des prévenus ne peuvent rien faire pour atténuer les fautes. Maitre Virginie B., l’avocate de Clément et Lisendro, leur dit qu’ils ont fait preuve d’imprudence et qu’ils vont devoir payer pour les deux motifs : Sortie sans autorisation et détention de produits de contrebande. Avec de nombreux dossiers en souffrance, Maitre Virginie B. bâcle le cas des deux jeunes et ne se donne même pas la peine de tenter une action, pour atténuer la peine. N’ayant pas eu d’objections de la part des avocats, le juge annonce son verdict, ce sera quatre-vingts coups de fouet sur les fesses, les cuisses et le dos puis chaque prévenu sera reconduit chez lui, à pied et nu, menotté, main dans le dos. Leur défilé à travers la ville devrait intéresser le voisinage sur leur passage... Les dix corrections auront lieu dans la cour de la gendarmerie devant l’escadron et les familles de gendarmes, qui sont au premier plan depuis leur balcon.
Les prévenus sont dirigés vers l’infirmerie de la gendarmerie où le Dr. Cindy B. les examine entièrement. Les femmes rouspètent, car elles vont être auscultées en présence des hommes. La doctoresse ironise en leur disant qu’il ne faut pas qu’elles s’inquiètent pour leur pudeur, car elles vont être fouettées entièrement nues et devant beaucoup plus de monde et on les ramènera chez elle à travers la ville, sans aucun vêtement. De cette façon, ils apprendront à respecter les lois. La doctoresse les palpe et s’arrange pour qu’elles aient les cuisses ouvertes face aux autres prévenus.
Lors de l’examen de Mario P., trente-trois ans, l’un des prévenus, la doctoresse est très admirative, car il a une belle musculature et un membre de fort belle taille. Son examen est plus raffiné que pour les autres. Cindy B. le palpe jusque dans ses parties les plus intimes de façon plus intense et plus langoureuse, jusqu’au moment, où les palpations lui font une véritable stimulation et bien malgré lui, il a une superbe érection, qui ravit la gente féminine présente. Cindy B. trouve dommage qu’il soit corrigé et préfèrerait qu’il soit avec elle... Mario P. méprise la doctoresse et lui reproche de l’avoir fait être en érection exprès pour l’humilier, ce à quoi Cindy B. lui répond qu’elle n’y peut rien s’il est autant sensible, mais il perdra son verbiage lorsque les lanières lui zébreront le corps.
Après cet examen médical qui ne révèlent aucune contre-indication pour la punition, elle leur enduit le corps d’une lotion huilé et contrôle qu’ils soient intégralement épilés afin de les rabaisser au stade d’enfants. Pour donner le change, elle leur dit que l’épilation est idéale pour leur hygiène, surtout en ce moment...
Les dix prévenus sont emmenés vers la cours de la gendarmerie où les attendent déjà les heureux spectateurs. Deux solides femmes gendarme se chargent de cingler les prévenus à l’aide de longs fouets.
Les trois femmes passent les premières. Elles sont trainées de force, hurlantes et gesticulant de peur, jusqu’à la « poutre de punition » et attachées bras et jambes bien écartés, le corps totalement offert aux fouets. Les deux flagellatrices font claquer leurs lanières sur les chairs nues, provoquant le rougissement immédiat de celles-ci en faisant hurler et se contorsionner les punies, pour la plus grande joie des spectateurs, qui se délectent de les voir tressaillir et ne plus faire attention aux postures plus qu’indécentes qu’elles prennent. Les deux femmes gendarmes sont précisent dans les zones cinglées et s’arrangent pour fustiger les parties sensibles des punies. Un raffinement consiste à cingler le haut de l’intérieur des cuisses et faire s’enrouler la lanière autour du corps pour venir faire claquer le bout de la lanière soit sur le bas ventre et le pubis, soit sur les seins. La punie pousse un hurlement déchirant et strident, lui faisant regretter amèrement sa faute. Le corps enduit d’une pellicule d’huile fait que la lanière claque davantage, rendant plus impressionnante la correction. La douleur et les gesticulations déchainées fait que les punies sont trempées de sueur accentuant l’impression de sévérité. Les punis qui regardent celles et ceux qui passent avant eux, implorent le pardon, car leur angoisse est à son apogée et il est très compliqué de les faire avancer jusqu’à la poutre de punition. Trois voire quatre gendarmes sont obligés de s’y mettre pour placer les punis en position de correction, tant le spectacle des prédécesseurs les ont impressionnés.
Clément et Lisendro n’en mènent vraiment pas large. De peur, ils en urinent alors qu’ils ne sont même pas encore passés, incapable de se retenir. Les réactions des prévenus et des deux jeunes en particulier font beaucoup rire les spectateurs, qui trouvent qu’ils ne montrent aucun courage, à la limite du ridicule.
Lorsque quelques prévenus ont été corrigés, c’est maintenant à Mario P. d’être attaché et c’est au tour des deux correctrices d’être toutes émues en regardant de près sa virilité. Leur trouble se ressent dans l’intensité des premières cinglées. S’en rendant compte, le Commandant Jean-Luc L. reprend les deux femmes gendarmes et leur dit que ce ne sont pas des caresses qu’il faut lui faire... Les reproches acerbes de leur supérieur hiérarchique les sortent de leur émoi et à contre cœur, elles font claquer les lanières comme pour les autres punis. Mario P. réussit à se contenir avec courage. Les traces rouges sur son corps ne semblent pas l’émouvoir plus que ça. A part quelques tressaillements et gémissements, il ne montre pas de souffrance. Lorsqu’il est détaché, Mario P. dit aux spectatrices qui rigolent, qu’il espère que ce spectacle les a bien excitées et, très ironique, il « félicite » le Commandant pour l’organisation de ce divertissement qui ne fait pas honneur à sa fonction !
Piqué au vif, le Commandant encaisse les insultes mais pour punir cet arrogant, il demande aux gendarmes de le rattacher et de lui redonner vingt cinglées supplémentaires sur les fesses de façon plus appuyée, afin qu’il ravale ses paroles inconvenantes.
Remis en position de correction, Mario P. se laisse faire, sûr que ce surplus de cinglées le laissera de marbre. Les deux femmes gendarmes donnent plus d’ampleur à la lanière qui cingle les fesses de façon plus sonores et le résultat est immédiat, Mario P. lâche des grognements plaintifs en gesticulant. La suite est sur la même méthode et Mario P. doit se cramponner à ses liens pour ne pas hurler. Mais un peu avant la fin, n’en pouvant plus, il finit par crier qu’il est désolé et qu’il présente toutes ses plus excuses à tout le monde. L’incendie que laisse les lanières sur ses fesses, déjà très rouges, lui procure l’effet escompté par toutes, on le voit avoir une splendide érection, ce qui fait pouffer de rire les femmes, dont les quatre cadettes, qui n’en peuvent plus de s’esclaffer. Un des gradés leur dit qu’elles étaient moins guillerettes lorsqu’elles étaient à sa place, ce qui coupe net leur fou-rire. Elles en deviennent toutes rouges de cette réfection qui les a remises à leur place.
En dernier, lorsque Clément et Lisendro passent à la correction, c’est tout le contraire de Mario P., ils ont l’air de deux petits garçons contrits. Leur pénis s’est rétracté d’un seul coup, presque inexistant... Les réflexions ne manquent pas d’accompagner leur préparation. Leur état fait presque de la peine aux deux gendarmes qui vont les punir. Entre deux sanglots, les deux garçons implorent les deux femmes de ne pas leur faire trop mal. Une des gendarmes leur dit qu’elles vont les faire danser et chanter et ainsi ils se rappelleront longtemps de leur passage.
Sous les claquements des lanières, les deux jeunes adultes trépignent, se débattant tout en criant, puis en hurlant. Ils livrent une belle prestation de contorsions, où toutes les parties de leur corps sont offertes aux « caresses » du fouet. Il en résulte des trainées rougeâtres de haut en bas. Lorsque les deux femmes appliquent la dernière fouettée, les deux jeunes pendent au bout de leurs liens en criant puis en gémissant.
Détachés, ils sont remis avec les ceux et celles qui sont déjà passés. Le Commandant Jean-Luc L. autorise le médecin Cindy B. à étaler sa « crème incendiaire faite maison » sur les fesses des punis, afin qu’ils fassent quelques « pas de danse ». Le Capitaine médecin enduit les fessiers des dix punis avec sa préparation à base de plantes, de piment et de camphre. La réaction des punis ne se fait pas attendre, puisqu’on peut les entendre hurler et gesticuler dans tous les sens, sautant d’un pied sur l’autre ou en adoptant des postures très impudiques, car ils ne savent plus comment se mettre pour calmer l’incendie qui se réveille. Ils ont l’impression d’être assis sur un poêle ardent. Dans la cour, on peut assister à la « danse des déments ». Clément et Lisendro tapent des pieds à qui mieux mieux, en se secouant...
Fatigués et trempé de sueur par leur intense prestation, les punis finissent par se calmer, ainsi que les fou-rire des spectateurs, qui applaudissent leur performance assez excitante à regarder. Les punis sont tous en larmes.
Avant de les relâcher, le médecin Cindy B. procède à un dernier examen de l’état général des punis, mais ne décèle rien. Elle annonce qu’ils sont bon pour la libération. Elle leur dit qu’il ne faut pas qu’il s’inquiète car les marques rouges et la douleur resteront quelques jours, leur rappelant leur faute, et ajoute de façon très ironique qu’une flagellation de temps en temps est excellent pour la circulation sanguine...
Menotté, mains dans le dos, chaque puni est ramené à son domicile, à pied, à travers la ville, escortés par un gendarme.
Lucie S. a le privilège de raccompagner Mario P. chez lui. Elle est toute fière d’avoir ce beau mâle bien musclé, enchainé près d’elle. Simplement muni d’un masque sur le visage, les punis déambulent dans notre ville, les gendarmes ne se pressant pas trop pour faire durer le plaisir. Muni d’un fouet à lanière courte, le gendarme accompagnateur à l’ordre de s’en servir si le puni n’est pas tout à fait docile. Un peu vicieuse, Lucie S. retrousse le prépuce de Mario P. et se délecte de lui reluquer le gland, ce qui lui occasionne un réflexe de pudeur, vite sanctionné par Lucie S. Elle lui applique trois bonnes cinglées sur le dos, avant de terminer ce qu’elle avait commencé. Etant tripoté par une jeune femme, le fait être en érection, ravissant la cadette... C’est nu, le gland à l’air, que Mario P. défile dans les rues de son quartier sous les regards éberlués des passants et des rires des personnes qui se sont mises à leur fenêtre pour mieux le regarder passer.
De notre côté, Maman me dit que Liliya S., mon ancienne nourrice et voisine, vient d’être ramenée chez elle par la gendarmerie, toute nue, les fesses et le dos portant des longues traces rouges ! Nous nous demandons bien ce qu’elle a pu faire pour avoir été punie comme ça.
Dès que le gendarme est reparti, Maman et moi tentons d’aller discrètement sonner à sa porte, mais avec le monde qui s’est posté à leur porte ou leur fenêtre, nous ne passons pas inaperçues. C’est Aleksandra, sa fille de onze ans, qui vient ouvrir. Elle nous dit que sa maman est toute nue, qu’elle a mal partout et qu’elle ne veut voir personne, mais lorsque nous lui disons que nous sommes venues pour prendre soin de sa maman, Aleksandra, que nous connaissons fort bien, nous laisse finalement entrer.
Nous prenons toutes les précautions pour soigner la pauvre Liliya S. qui pleure toutes les larmes de son corps en tremblant et tente de nous expliquer ce qui lui est arrivé et pourquoi. Maman et moi tentons de lui étaler des linges humides pour calmer la cuisson. Je suis assez impressionnée par les traces laissées par les lanières. Il y en a partout, même sur les seins, le ventre et le pubis. Elle a dû sacrément hurler et se débattre lorsque les fouets lui ont cinglés ses parties hyper sensibles, sans compter que ses cuisses, ses fesses et son dos n’ont pas été épargnés non plus.
Après l’avoir aidée à prendre une douche fraiche revigorante, Liliya S. nous raconte pourquoi elle a été flagellée dans la cour de la gendarmerie et tout ce qu’elle a enduré, car les gendarmes ne lui ont rien épargnés. Toute sa dignité a été mise à rude épreuve. Et maintenant, tout le quartier est au courant de sa correction, car nombre de voisins l’ont vu rentrer, nue. Elle se demande comment elle va pouvoir ressortir de chez elle après ça et affronter les regards salaces et réflexions désobligeantes des voisins. Le bouche à oreilles va fonctionner et beaucoup de monde saura. Nous tentons de la rassurer en disant qu’avec le temps, ça s’apaisera un tout petit peu, enfin, on espère pour elle... Nous lui assurons que nous ne la laisserons pas tomber et reviendrons durant la semaine qui vient pour nous occuper d’elle et lui faire ses courses, car se rhabiller lui est impossible, car sa chair est trop sensible au frottement d’un tissu. Elle devra rester entièrement nue quelques jours.
Après cette première visite, lorsque Maman et moi rentrons, j’ai des mails avec des photos de mes copines qui montrent Clément et Lisendro, nus, chacun encadré par un gendarme. Je suppose qu’ils ont fait partie de même groupe de punis que mon ancienne nourrice et j’en aurais la confirmation auprès de Liliya S.
Je tchat tout l’après-midi avec mes copines pour avoir des explications complémentaires et croustillantes, puis je renvoie les photos reçues, pour que toutes mes autres amies soient au courant en ce qui concerne les deux garçons. Après tout, je déculpabilise en me disant qu’ils feraient la même chose s’ils étaient à ma place.
Même la presse locale s’empare de l’évènement et les articles ne sont pas tendres avec ceux qui achètent aux contrebandiers, à qui on impute un certain désordre dans la ville. Avec des photos en tout genre, les journalistes en rajoutent une couche à l’humiliation des punis, espérant que cet exemple servira à ceux qui serait tentés par ce commerce parallèle.


Une série écrite par Elena

Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : le chapitre 1, début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 30 acte 2

Retrouvez-les tous sur la page des auteurs invités

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4 commentaires:

  1. Amis de la poésie et de la fessée gland-ouille à l'air...Bonjour!

    Ah, ah! le joli clin d'oeil à CDAMF!! Les personnages se croisent et rebondissent d'un récit à l'autre, comme les lanières d'un martinet de chez madame "Delaniaires" sur les fesses d'un contrebandier pris en claquant délit.

    Il paraîtrait que, selon l'expression bien connue des connaisseurs, Tous les chemins mèneraient à Rome (?). Ce qui est certain, d'après le guide du Fouettard d'Elena... ils mènent tous à la raclée!!
    Chaque chapitre apporte son originalité de situation et de prétexte à en mettre une sévère. Et le mot est faible.
    Ici la contrebande de produits illicites produit un effet de bandaison explicite, sous l'effet de nouvelles magistrales volées de cuir. Chaque punition est un traitement de surface dénudée, écran total rouge écarlate. Les "Crimes et Chatîments" chez Elena ne sont pas de la littérature, mais de la correction à la russe aussi raide que la Vodka
    Le Goulag c'est la cour de la gendarmerie. Devant un public en majorité féminin au bord de la pâmoison, des gendarmettes musclées, excitées comme des radars automatiques en rut devant un excès de vitesse, se chargent de refaire le tannage de l'épiderme des contrevenants à grands coups de lanières.
    On en frémit d'horreur, et on se demande si on peut encore faire pire. A voir dans le prochain chapitre!
    Amicalement
    Ramina

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  2. Bonjour Ramina,
    Décidément, je vous adore, vous et vos commentaires qui sont un feu d'artifice tant le texte est revu et les idées principales, mises en exergue, sont habillées de leur plus beaux habits de drôlerie.
    Pour les clins d'oeil, j'aime reprendre les idées que j'ai aimé de certains textes et les saupoudrer de-ci de-là. Vous aurez bien compris que j'aime innover en situations.
    Faire pire, je ne sais pas encore, mais autrement et toujours avec un aspect moralisateur, c'est clair.

    Amitiés.
    Elena.

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  3. Bonjour Elena, bonjour Ramina. Et bonjour à tous.

    Des cadeaux amers. Un quartier en ébullition. Des fessées bien méritées à tout va. Et en groupe. Et une punition qui va jouer les prolongations puisque des vidéos ont été tournées et des photos ont été faites. Il va s'en parler longtemps.
    Amicalement.
    François

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  4. Re-bonjour Elena.

    Merci de votre spontanéité et de votre enthousiasme. j'en rosis de confusion... On garde le rouge pour les fesses des puni(e)s.
    Amicalement
    Ramina.

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