jeudi 9 avril 2020

Le journal d'Olga - chapitre 12 acte 2

Les cours étaient terminés. On venait de quitter Sainte-Croix.
Lenka marchait seule, à petits pas, sur le boulevard, devant moi. Je l’ai rattrapée.
« Ça va ?
Elle m’a coulé un regard de côté. A grimacé.
‒ Ça pourrait aller mieux. Nettement mieux.
Et elle a haussé les épaules.
‒ Si on n’avait pas tant déconné aussi…
‒ Ça te brûle beaucoup ?
‒ Ah, ça ! Pour déguster, je déguste. Le contact du tissu, là-dessus, c’est une horreur. Et encore ! Moi, j’ai pas trop à me plaindre. Parce que tu verrais l’état du derrière de ma sœur !
‒ Et ton frère ! Ça doit être quelque chose, ton frère ! Vu comment elle l’a cinglé, l’autre !
‒ Oui, oh, ben lui ! Les vêtements, c’est même pas la peine. Il reste à poil du coup. Du moins à la maison. Mais ce qu’il y a surtout, c’est qu’il est vexé d’une force ! D’avoir dû sauter à la corde…
‒ Faut reconnaître C’était sacrément humiliant.
‒ Et que vous ayez été là. Que vous ayez assisté à ça et qu’après vous l’ayez vu se faire fouetter.
‒ Forcément ! Devant des filles, ça ! Dans ce genre de situation, leur fierté, aux garçons, elle en prend toujours un coup.
‒ En tout cas ça le préoccupe, lui. Et pas qu’un peu. Il arrête pas de nous demander, à Zdenka et à moi, ce que vous faisiez, comment vous réagissiez, si vous rigoliez, tout ça, tes sœurs et toi, pendant qu’elle lui tannait le cul, la Tiphanie. Tu parles comme on y faisait attention, nous ! Quand t’as un barbecue dans le derrière, tu te préoccupes pas de ce qui se passe autour.
‒ En attendant, quelle espèce de petite saloperie, cette fille, hein !
‒ Une véritable peste, oui ! Mais ça, on le savait ! C’était d’autant plus idiot d’aller lui piquer sa tablette. Parce que c’était couru que, d’une façon ou d’une autre, elle allait pas nous louper. Mais le pire, c’est que c’est pas fini.
‒ Pas fini ? Comment ça pas fini ?
 Faut qu’on y retourne. Le week-end prochain. Tailler les haies. Et faire d’autres trucs. Alors évidemment, elle sera là. Et, de sa part, on peut s’attendre à tout. Absolument tout. Elle a complètement barre sur nous maintenant. On aura toujours l’épée de Damoclès d’un dépôt de plainte au-dessus de la tête.
 Peut-être que tes parents
 Oui, oh, eux ! Tu penses bien qu’on les a suppliés de tout faire pour nous épargner ça. Ils n’ont rien voulu entendre. Comment ils sont remontés contre nous, c’est de la folie ! « Si seulement ça pouvait vous servir de leçon ! Une bonne fois pour toutes. »
Elle a soupiré.
 Non. Faut qu’on s’attende à passer un sacré sale quart d’heure. »

Iourievna m’a écoutée, les yeux brillants.
« Et nous ?
 Quoi, nous ?
 On sera invitées ? Comme la dernière fois ?
 Je sais pas. Elle en a pas parlé.
 Et toi, t’as pas demandé ! T’es vraiment en dessous de tout, hein, il y a des fois ! Oh, mais sûrement qu’on va l’être. Sûrement ! Il y a pas de raison. Alors là, si c’est le cas, je peux te dire qu’il va pas être déçu du voyage, le Jan. Ah, il va le savoir comment j’ai réagi ! Quel pied j’ai pris à le voir obligé d’être à poil, sauter à la corde, bander quand elle l’a attaché, se cabrer sous les cinglées et tout et tout. Parce qu’attends ! Ils se sont pas régalés peut-être, eux, les mecs, quand la coach, en gym, elle m’en a collé une ? Ils se sont pas foutus de ma gueule ? Chacun son tour !
 Il y est pour rien, lui ! Il était pas là.
 Oui, ben alors, ça, je m’en fiche ! Complètement. Il aurait pu y être. Et, s’il y avait été, il aurait fait comme les autres. Ils sont tous pareils. Exactement pareils. Tous.
Elle s’est allongée sur son lit, mains sous la tête.
 De toute façon, il est pas vraiment là, le problème. Il est que plus ça va et plus ça m’excite d’en voir punir, des types. J’aime trop ça, les voir gigoter et se tortiller sous les cinglées. J’aime trop ça, réussir à croiser leurs yeux, des fois, et lire toute la honte qu’il y a dedans. La démultiplier d’un petit sourire narquois. C’est pour ça : je peux te dire que, si on y va là-bas, le week-end prochain, il sera pas déçu du voyage, alors là ! Ah, il veut savoir ce que ça nous fait de le voir se prendre sa raclée, eh ben il va le savoir ! »

Cet après-midi-là, chez les De M., avait d’autant plus marqué Théo qu’il n’y était pas.
« Justement ! C’est pour ça !
Et il voulait que je recommence encore et encore mon récit.
 Ça fait vingt fois !
 Oui, mais t’as peut-être oublié quelque chose. Un détail.
Et il m’assaillait de questions.
Sur ses seins à Lenka.
 Ils sont vraiment si petits que ça ?
Sur l’épisode de la corde.
‒ Elle sautait haut ?
Sur son minou.
‒ Elle se l’épile ?
Sur les cris qu’elle poussait. Sur la façon dont elle trépignait. Dont elle se contorsionnait. Dont la peau de ses fesses rougissait et se boursouflait sous les coups.
Lenka. Encore Lenka. Toujours Lenka.
‒ Je vais finir par croire que t’es amoureux d’elle.
‒ Mais non, mais… Tu sais bien… Je t’ai dit…
‒ Que tu crèves d’envie de la voir s’en prendre une. Je sais, oui ! Mais peut-être que ça viendra.
Son œil s’est allumé.
‒ Oh, mais il y a rien de sûr, hein ! C’est juste que si, un jour, je peux te susciter une opportunité…
‒ Tu le feras. Je t’adore. Je t’adore vraiment. »

Finalement, on n’avait pas été invitées.
Iourevna a haussé les épaules.
« On n’a pas perdu grand-chose, si ça tombe…
Mais, le lundi suivant, elle a quand même voulu qu’on se poste à l’angle de l’avenue Victor Hugo. Qu’on y attende Lenka.
‒ Elle nous racontera comme ça, le temps qu’on arrive à Sainte-Croix.
Du plus loin qu’elle l’a aperçue, elle s’est précipitée à sa rencontre.
‒ Alors ? Vous avez dû en baver, non ? Avec l’autre garce…
Oui. Enfin, non. Elles, un peu. Mais pas tellement. Jan, par contre…
‒ Ah, oui ? Qu’est-ce qu’il s’est passé ? Il s’en est repris une ? Tout nu ? Il a crié, cette fois ? Et il a bandé ? Je suis sûre qu’il a bandé.
‒ Mais laisse-la parler !
‒ Ah, oui ! Oui. Pardon. Vas-y ! On t’écoute.
Oui, alors… Ce qu’il y avait eu, c’est qu’elle avait commencé par les faire se déshabiller.
‒ Tout de suite. À peine arrivés. Elle nous attendait. « Allez, mes petits voleurs, allez ! Montrez-moi vos fesses ! Que je voie dans quel état elles sont depuis l’autre jour ! » Sauf qu’en une semaine elles avaient complètement disparu, les marques. Il y avait plus rien. Ce qu’était pas ce qu’elle escomptait, elle. Du coup, de rage, elle s’en est pris à Jan. Dont elle a décapuchonné la queue. « Et tu restes comme ça ! Parce que je peux te dire que toi, tu vas apprendre à m’obéir, alors là ! »
‒ Oui. Elle se vengeait de pas avoir réussi à le faire crier, l’autre fois, sous les cinglées, quoi !
‒ Et on l’a eue sur le dos tout l’après-midi. À trouver que ça allait jamais ce qu’on faisait. Qu’elle était pas taillée régulier, la haie. Qu’il y avait un bout de branche qui dépassait là, un autre ici. Que les parterres étaient mal ratissés. Qu’on pouvait pas faire attention, non ? On piétinait là où ça avait été bêché. Ça a été des tas de réflexions sans arrêt. Et mauvaise avec ça ! Jusqu’au moment où elle s’est aperçue que le bout de Jan était recalotté. « Je te l’avais interdit. Je te l’avais pas interdit ? » Il a voulu discuter. Que c’était pas de sa faute. Qu’elle était remontée toute seule, la peau. « Prends-moi bien pour une imbécile ! » Et elle l’a obligé à se le remettre à découvert. « Je vais t’apprendre à me désobéir, moi, tu vas voir ! » Et elle lui a balancé de grands coups de ceinture sur les cuisses. Alors ça a recommencé. Comme l’autre week-end. Lui, à serrer les dents pour ne pas crier. Et elle, à cingler tant qu’elle pouvait pour l’obliger à le faire. En visant les endroits les plus sensibles. C’était un vrai combat. Un défi. Sauf que là, cette fois, elle a réussi à le faire plier. Il a crié. Il a hurlé. Il a sangloté. Et il a même fini par tomber à genoux devant elle. Qui a triomphé. Qui l’a achevé d’une dizaine de coups sur le dos. Qui l’a fait se relever. « Là ! Et maintenant tu retournes bosser. Sinon… »
‒ Et il y est allé ?
‒ Il y est allé. »

Iourievna était aux anges.
« Alors, comme ça, il s’en est repris une. Et pas piquée des vers. Génial ! Non, mais comment j’aurais aimé voir ça, moi ! Parce qu’il devait être mal, mais mal !
Elle a froncé les sourcils.
‒ Tu crois qu’elle nous a tout dit, Lenka ?
‒ Il y a pas de raison qu’elle nous cache quoi que ce soit.
‒ Je sais pas. Peut-être qu’il s’est passé des trucs qu’elle a pas envie qu’on sache. Ou qu’elle a oublié de nous dire. Alors tu sais ce qu’on pourrait ? C’est aller trouver Zdenka. Qu’on ait sa version à elle… »

À quelques détails insignifiants près, son récit, à Zdenka, a été exactement le même que celui de Lenka. Par contre, ce qu’elle pensait, elle…
‒ C’est quoi ?
Elle a un peu hésité.
‒ Je suis pas complètement sûre, mais je crois bien que ça lui a pas déplu tant que ça finalement à Jan.
‒ D’être battu ?
‒ Non, pas ça. Pas vraiment. Même si… Non. Plutôt d’être humilié. D’avoir honte. Parce que c’est sans arrêt qu’il m’en parle de ce qui s’est passé. Il me parle même plus uniquement que de ça. Et ils sont pas pareils que d’habitude, ses yeux, à ce moment-là. Sa voix non plus. Ce qu’on dirait, c’est que ça lui est absolument insupportable ce qui lui est arrivé, oui, mais qu’en même temps ça a quelque chose de très agréable, de profondément jouissif, que ce soit insupportable justement.
Elle a eu une petite grimace.
‒ C’est pas très clair, hein, ce que je dis ? J’arrive pas à expliquer vraiment en fait.
Si ! Si ! On comprenait. On comprenait même très bien.
‒ Et de nous ? De ce qu’on avait été là, la première fois, qu’on avait tout vu, il lui en parlait ? Parce que Lenka, elle, elle nous disait qu’il arrêtait pas de lui poser des questions sur comment on avait réagi, qu’est-ce qu’on avait bien pu penser, tout ça…
‒ À moi aussi, oui.
‒ Pour le plaisir d’avoir un peu plus honte encore. C’est ça, hein ?
‒ Peut-être… Sûrement…
‒ Oui, ben alors le mieux, c’est encore qu’on aille le lui dire nous-mêmes, entre quatre-z-yeux, ce que ça nous a fait de le voir. Qu’il sache à quoi s’en tenir. »

Il était en pleine discussion avec trois copains. Et deux copines.
On s’est approchées.
‒ Salut, Jan !
‒ Salut !
Un salut qu’il a bredouillé tout bas. Très vite. Avant de détourner le regard.
‒ Tu nous reconnais pas ?
Il s’est mis à se balancer d’une jambe sur l’autre.
‒ Mais si ! Rappelle-toi ! L’autre jour ! Chez François de M. Le saut à la corde. Ah, ça y est ? Ça a fait le tour ?
Il y a une des filles qu’a froncé les sourcils.
‒ Le saut à la corde ?
‒ Comment ! Vous êtes pas au courant ? Mais tout le monde parle plus que de ça ! Partout.
Les autres non plus, ils savaient pas. Personne.
‒ Oh, ben alors dans ces conditions…
Et on a fait celles qui voulaient plus rien dire. Qui voulaient lui garder le secret.
Évidemment, ils ont insisté. Les filles surtout.
On s’est fait prier. Un bon moment. Et puis…
‒ Bon alors, en gros, en très gros, ce qu’il y a eu, c’est que, sous prétexte de venir aider son père aux travaux de jardinage, il a piqué la tablette de la fille de François de M. Et qu’ils lui ont laissé le choix. Ou bien elle allait lui donner elle-même une bonne correction, la fille, cul nu, devant tout le monde. Ou bien ce seraient les gendarmes. Et la réputation de son père singulièrement écornée. Au risque de perdre toute sa clientèle.
L’une des filles lui a donné une petite tape sur la main.
‒ Tu nous avais pas dit ça, toi, petit cachottier !
Iourievna ne s’est pas arrêtée en si bon chemin.
‒ Vous auriez vu la volée qu’il s’est prise, du coup ! À la sangle. Il avait le derrière dans un état !
L’un des garçons, un petit bouclé, lui a donné un grand coup de coude dans les côtes.
‒ Oh, ben dis donc, mec ! Et par une nana. C’est carrément la honte, oui !
‒ Surtout qu’elle a remis ça samedi dernier, à ce qu’il paraît. Et autant la première fois il s’était à peu près tenu, autant là, il a été lamentable, mais vraiment lamentable. À se traîner à quatre pattes devant elle en hurlant et en la suppliant d’arrêter. Tout juste s’il lui embrassait pas les pieds. Elle en a fait ce qu’elle a voulu, du coup. Tout ce qu’elle a voulu.
Ça l’étonnait pas, la fille au pull bleu. Pas du tout.
‒ Je le vois bien dans le rôle.
Et l’autre, sa copine, a voulu savoir.
‒ Mais alors c’était quoi, cette histoire de corde à sauter ?
‒ Oh, ça, c’est lui qui va vous raconter. Lui-même. S’il veut. S’il a envie. C’est lui qui voit. Mais je peux vous dire que ça valait le coup d’œil. Comme quand elle l’a obligé à se décapuchonner le bout.
Ils se sont esclaffés. Tous les cinq.
‒ C’est pas vrai ! Et il l’a fait ? Tu l’as fait, Jan ? Eh ben, raconte, quoi ! Mais si, allez !
On s’est discrètement éclipsées.
‒ On vous laisse.

À peine tourné le coin de la rue, on est parties d’un grand fou rire toutes les deux.
‒ Alors là, il est pas sorti d’affaire !
‒ Ah, ça, pour le cuisiner, ils vont le cuisiner.
‒ Et elles ont l’air redoutables, ces deux filles.
Elle m’a posé la main sur le bras.
‒ Je mouille, Olga ! Non, mais comment je mouille ! C’est de la folie.


Et Iourievna ? On la connait

Je veux ! Elena nous l'a longuement présentée mais si vous êtes passés à côté,  voici le premier épisode de la série : le chapitre 1

Il y a un début à cette série

Le chapitre 1
et l'épisode précédent : chapitre 12 acte 1
Mais si vous voulez lire ce récit d'un autre point de vue : les rebelles chapitre 12

Et la suite ?

François nous a écrit le chapitre 13 acte 1

N'hésitez pas pour les commentaires

Tout le monde les attend : que pensez-vous de cette série croisant l'imaginaire d'Elena et celui de François ?

5 commentaires:

  1. Amis de la poésie et de la grosse raclée qui fait mal... Bonjour!

    Parce que là... attention les fesses! Et pas que les fesses!... ça tombe partout! Et le dos, et les cuisses, et les jambes, et le torse... et la tête, alouette! Non pas la tête quand même... C'est bien le seul endroit où il n'y a pas un coup de ceinture, de fouet, de martinet de... de ... qui ne claque pas. Parce qu'il n'y a pas que l'imaginaire de François et Elena à se croiser, les coups de lanières aussi, sur les fesses, et le dos, et les cuisses...etc...
    Bref, on est loin de la simple fessée à la main ou d'une classique au martinet qui, par comparaison ressemblerait à une déculottée au coton tige !
    Ils sont vraiment charmants ces jeunes gens. Quand ils ne se prennent pas des raclées ils commentent celles des autres et s'en régalent entre eux! Elle ne serait pas un peu sadique la Lourievna là ? Et l'autre furie de la ceinture...Thiphanie...c'est ça? Le pauvre garçon, a bas la calotte, elle en mouille sa culotte... c'est la grosse dérouillée à la sangle... je te dis pas !

    Et ben ça y est j'ai pris le style de François "Fab" ( comme dirait Peter qui aime bien abréger les prénoms), vif, alerte, langage direct, tout plein de modernité.
    Episode d'autant plus vivant qu'il est presque entièrement construit en dialogues...
    Mais à ce rythme là, que va t il rester de la peau de leur derrière?
    Nous le saurons en lisant le...
    Cordialement
    Ramina

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  2. Beaucoup d'humour et d'analyse de la part de notre Ramina national ou international, on choisira.
    Hymne à la joie... non, à la fessée. Le style de notre François est tout à fait approprié à ses textes. Le style parlé renforce les images décrites. Mais bon, c'est tant mieux, car les protagonistes ont besoin de s'exprimer pour "libérer, délivrer" leur paroles. Et puis quelques coups de sangles sur d'autres parties que les fesses renforcent la punition. Ce n'est pas le lecteur qui s'en plaindra. On aimerait d'ailleurs être à la place des spectateurs...
    Amitiés.
    Elena.

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  3. Re-Bonjour, Elena.

    Euuuh... je vais me contenter d'un régional, voire local... mais merci du compliment.
    Amicalement
    Ramina

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  4. Bonjour Elena, Bonjour Ramina. Et bonjour tout le monde.

    Ah, sûr que les commentaires de notre Ramina national valent leur pesant d'or. Ils font chanter le texte d'une autre façon. Quant à la liberté de ton d'Elena dans ses récits, elle est très stimulante. On se laisse emporter et chacun des personnages laisse s'exprimer sa véritable nature. Pour leur plaisir et pour le nôtre.
    Amicalement.
    François

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  5. Au boulot.... On attend la suite !

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