lundi 13 avril 2020

Les rebelles -chapitre 30 - acte 1

En ces temps de confinement, les forces de l’ordre sont une fois de plus extrêmement sollicitées pour les contrôles sur la voie publique. Ils ont un rôle pédagogique et répressif lorsqu’il y a dérapage des citoyens.
Dans notre ville, les gendarmes sont submergés et sont obligés de faire appel à des cadets, encore en école à Tulle. Ces cadets de l’école sont envoyés là où les gendarmeries sont en sous-effectif. Quatre cadettes de dix-huit ans, à peine, débarquent dans notre gendarmerie. Elles sont affectées à une référente, le Gendarme Gwenola G. dans le peloton du Lieutenant Helga K. C’est ainsi qu’Alicia H., Marina de St T., Fiona V. et Lucie S. sont mises dans le grand bain pour leur première expérience terrain, en conditions réelles. Elles iront terminer leur formation à Tulle lorsque le confinement sera levé.

Dès le lendemain matin, au centre de la caserne de gendarmerie, le Commandant Jean-Luc L. rassemble les effectifs et donne les consignes à ses troupes, car tout le monde sera sur le terrain, pas seulement pour mettre des amendes aux resquilleurs, mais aussi pour assurer la sécurité des habitants de notre commune.
Equipées comme tous les autres gendarmes, les quatre cadettes enfilent leur gilets d’intervention et autres équipement de protection. Le Gendarme Gwenola G. les passe en revue avant la mission et elles partent à pied à travers la ville.
Leur première destination est la côte, car de nombreuses personnes, voyant le retour du grand soleil, ont une attirance pour la plage. La température flirte avec les vingt degrés et les promenades et autres sports de plein air sont prisés par les riverains.
Dès leur arrivée, quelques personnes s’enfuient pour ne pas se faire arrêter. Une course poursuite a lieu mais avec leur lourd équipement, les gendarmes perdent rapidement du terrain et les contrevenants disparaissent sans être inquiétés. Reprenant leur souffle, cette course n’a toutefois pas été vaine, car les promeneurs ont vu que les forces de l’ordre étaient présentes et surement qu’ils ne s’aventureront plus ici.
Les gendarmes continuent leur ronde et contrôlent plusieurs personnes et véhicules en demandant l’autorisation de déplacement et papiers, pour être sûr que ces gens sur la voie publique sont bien en règles. Quelques procès-verbaux sont établis, car des récalcitrants n’hésitent pas à braver les interdits, sous prétexte qu’ils sont seuls. Le Gendarme Gwenola G. est obligée de donner de la voix pour se faire respecter, car la jeunesse des quatre cadettes et leur manque d’expérience étaient prises pour des handicaps par les personnes contrôlées.
La première journée en patrouille est finie et les quatre cadettes terminent leur journée par une petite patrouille, sans leur gros équipement, aux abords de la caserne, sans leur référente. Marina de St T. pique un sprint et arrête un homme qui dit être à la recherche de son chien. Flairant l’arnaque, elle lui colle un procès-verbal, car l’homme n’a rien qui prouve qu’il était en train de promener son chien. Marina de St T. lui dit que pour une première fois, s’il lui donne cinquante euros, il ne sera pas enregistré sur le fichier des contrevenants. L’homme, tout d’abord outré, paie la somme et rentre chez lui.
Lorsqu’Alicia H., Fiona V. et Lucie S. la rejoignent, Marina de St T. leur confie qu’elle a récupéré cinquante euros. Elles se partageront la somme à la buvette de la caserne... Les autres filles font la tête, car elles sont mises devant le fait accompli, mais, à regret, promettent qu’elles ne la dénonceront pas.
Dans les jours qui suivent, Marina de St T. dresse une contravention pour une dame qui faisait ses courses sans son laisser-passer, mais pendant que le Gendarme Gwenola G. a le dos tourné, Marina de St T. dit à la dame qu’elle peut ne pas l’enregistrer sur le fichier si elle lui donne une vingtaine d’euros. L’avantage de la contrevenante serait que si elle venait à se faire arrêter une nouvelle fois, le fichier indiquerait qu’elle est en infraction pour la première fois et elle n’aura pas mille cinq cents euros à verser, mais cent trente-cinq, seulement. La dame accepte le marché et paie. Marina de St T. s’arrange pour refaire la même opération à chaque fois que c’est possible.
Lorsqu’elles sont rentrées, Alicia H., Fiona V., Lucie S. et Marina de St T. encodent dans l’ordinateur central leurs procès-verbaux, et les quatre jeunes femmes en oublient certains ! La supercherie rapporte une coquette somme aux cadettes. Ce n’est pas qu’elles l’acceptent, car c’est le l’abus de pouvoir caractérisé et elles risquent leur place, mais ça améliore drôlement l’ordinaire et puis si ça discipline les gens, ce n’est pas plus mal. Tout le monde y trouve son compte.
Lors des synthèses de la semaine, le Lieutenant Helga K. s’aperçoit que les procès-verbaux ne sont pas du tout en rapport avec le nombre des contrôles effectués. Assez rapidement, les quatre cadettes sont mises en cause.
Elles sont convoquées par leur Lieutenant et elles donnent des versions alambiquées pour se dédouaner de ces erreurs. Le Gendarme Gwenola G. se prend au passage, une ronflée, car elle aurait dû contrôler le travail d’encodage de ses cadettes. Le problème est que les chiffres ont été envoyés au département et que l’écart fait tâche. Il y aura un manque de confiance sur la fiabilité des informations que donnera la gendarmerie et le Lieutenant n’aime pas ça du tout. Après leur avoir dit qu’elle va mettre des observations sur leur livret militaire, les quatre filles sont renvoyées dans leurs chambrée où il y a une sacrée explication, car Alicia H., Fiona V., Lucie S. en veulent à Marina de St T. de les avoir entrainées dans ces magouilles. Marina de St T. leur répond, très calmement qu’elle va arranger la situation et téléphone à son père qui est Colonel de gendarmerie à Tulle. Les trois cadettes reprennent espoir, car là, elles risquent vraiment de se faire renvoyer et d’abandonner tout espoir de faire carrière dans la gendarmerie.
Au téléphone, l’entretien n’est pas cordial du tout, Alicia H., Fiona V. et Lucie S. entendent que Marina de St T. est en train de se faire copieusement sermonner, et ce ne sont pas les vaines tentatives de sa maman qui arrangent les choses. Suite à cet appel, le Colonel Gonzague de St T. téléphone au Commandant Jean-Luc L. pour lui expliquer la situation et lui demande de punir sa fille mais de la garder et de ne rien indiquer sur ses états de service, qui nuirait à sa carrière. L’insistante demande émanant d’un haut gradé, le Commandant Jean-Luc L. est un peu contraint d’accepter et lui demande s’il a carte blanche pour la punition. Le Colonel Gonzague de St T. lui dit que oui et il faut que sa fille regrette ses approximations, car il veut qu’elle fasse une belle carrière dans la gendarmerie et à ce titre, elle doit être mise face de ses responsabilités.
Dès le lendemain, le Commandant Jean-Luc L. rassemble le Lieutenant Helga K., le Gendarme Gwenola G. et les quatre cadettes. Lorsque tout le monde est au garde-à-vous, le Commandant Jean-Luc L. dit qu’avec l’avis du Colonel Gonzague de St T., il ne notera pas leurs erreurs sur leurs états de service mais il va remplacer ça par une sévère fessée à la palette, fesses nues devant tout le monde. Aucune des cadettes n’ose répondre, mais les regards noirs vers Marina de St T. en disent long. Le Commandant leur dit qu’elles seront punies Vendredi soir, en rentrant de leur mission et elles passeront le weekend les fesses à l’air à la caserne et avec ce qu’elles vont recevoir, avoir les fesses à l’air sera plus confortable que le frottement de leur treillis sur leurs fesses et sur leurs cuisses surchauffées.
En sortant de chez le Commandant, le Lieutenant Helga K. dit aux cadettes, sur un ton de reproche, que pour leur première semaine, elles ont fait très fort... et les envoie patrouiller avec le Gendarme Gwenola G.
La fin de la semaine se passe sans accrocs. Elles font bien leur travail, mais le soir, lorsqu’elles sont en chambrée, les relations sont tendues entre Alicia H., Fiona V., Lucie S. et Marina de St T. Cette dernière s’en veut, à présent, d’avoir fraudé, mais un peu tardivement. Elle a toujours été assez indisciplinée et c’est une des raisons pour lesquelles ses parents l’ont mise en école de gendarmerie.
Le Vendredi, en rentrant à la caserne où les cadettes ont une boule dans le ventre en sachant ce qui les attend, le Lieutenant leur ordonne d’aller dans leur chambre, de retirer leur équipement et leur treillis, de s’épiler entièrement pour leur hygiène intime et pour exhiber leur intimité et de se présenter avec un unique tee-shirt assez court, sans sous-vêtement, à son bureau. Les quatre cadettes saluent et montent se préparer, en silence.
Désolée, Marina de St T. présente une énième fois ses regrets à ses trois copines. Les filles contrôlent leur épilation et utilisent une crème dépilatoire lorsque c’est nécessaire. Elles choisissent un débardeur blanc assez court mais en l’enfilant, elles se rendent compte que la finesse du tissu permet de voir au travers le foncé de leurs larges tétons. Elles en rougissent d’avance, car elles vont devoir se présenter comme ça devant toute la caserne ! Elles complètent leur tenue avec les cheveux noués et enfilent leurs brodequins.
En redescendant, elles croisent certains gradés qu’elles sont obligées de saluer et les hommes ne se privent pas de les regarder de haut en bas en leur faisant des réflexions acerbes sur leur physique et sur leur punition à venir.
Revenues dans le bureau du Lieutenant, celle-ci contrôle leur tenue et sur ces entrefaites, le Capitaine médecin Cindy B. entre dans le bureau, examine très rapidement les fesses et les cuisses des jeunes femmes et, après avoir caressé puis tapoté leur croupe, dit qu’elles ont les fessiers bien potelés et qu’elles supporteront leur correction, car après tout, ce n’est qu’une fessée ! Avant de partir, le médecin Cindy B. leur dit qu’elle va leur préparer une bonne mixture « d’après-fessée » de sa spécialité.
Le Gendarme Gwenola G. menotte chaque cadette, mains dans le dos, afin qu’elles ne soient pas tentées de mettre leurs mains devant leur intimité et c’est comme ça qu’elles rejoignent le centre de la cour de la caserne.
Au pas cadencé, par deux, les cadettes, qui n’en mènent pas large, défilent derrière leur Gendarme référente et leur Lieutenant. En rang et tout le monde au garde-à-vous, devant toute la caserne, le Commandant expose les faits et annonce la punition, cinquante coup de palette sur les fesses et les cuisses. Les cadettes doivent regarder droit devant elles et voient bien les sourires concupiscents des spectateurs qui scrutent leur corps impudique et qui vont prendre plaisir à les regarder souffrir. Leur menton tremble et les premières larmes coulent. Sachant ce qu’ils regardent, les cadettes ont les tétons qui pointent, ce qui exacerbe leur humiliation. Elles sont rouge pivoine, se sentant complètement idiotes et ridicules dans cette tenue.
Les Gendarmes Gwenola G. et Emmanuelle G. retirent les menottes et les rattachent à des poteaux, puis les deux femmes gendarmes se saisissent de leur palette et se mettent en position. Sur ordres du Commandant, à tour de rôle leur tour, les cadettes reçoivent les cinglées sur chaque fesse et sur chaque cuisse. Le tout est entièrement filmé pour les archives de la caserne et une copie sera envoyée aux parents des cadettes.
Tout d’abord en gémissant, le corps parcouru de tressaillements dus à la douleur, les cadettes serrent les dents pour montrer leur courage, mais rapidement, la douleur devenant trop intense, elles se laissent aller et crient, puis hurlent de douleur en se contorsionnant et en se secouant dans tous les sens. Elles ont l’impression que des braises ardentes sont posées sur leur chair. Les larmes coulent et les pardons sont hurlés en espérant la pitié et abrégement de la punition. Entre deux hurlements, les punies s’égosillent à crier qu’elles n’en peuvent plus et qu’elles ont trop mal. Leur chair est très rouge. Quelques traces violacées se voient par endroit.
Lorsque les cinquante coups ont été donnés à chaque fille, le calme revient dans la cour et seuls les sanglots et les gémissements des cadettes troublent le silence.
Sur ordre, le Capitaine médecin Cindy B., qui a préparé une pâte bien grasse à base de plantes, de piment et de camphre, vient l’étaler sur les fesses et sur les cuisses des punies, qui se mettent à pousser des hurlements stridents et à gesticuler comme des damnées, ne sachant plus dans quelle position se mettre pour atténuer l’immense chaleur. Des érections reprennent chez les spectateurs en voyant les filles gesticuler, car faisant fi de toute pudeur, les cadettes s’agitent, écartent largement les cuisses, se secouent, tapent des pieds, se retournent et leur transpiration fait coller leur tee-shirt à leur corps dévoilant davantage leurs belles formes féminines. Cette danse de saint-guy dure vingt bonnes minutes après quoi, les filles, n’en pouvant plus, se calment même si le bas de leur corps est toujours en feu et leur entrecuisses trempé... Avec plein d’ironie, le Commandant « remercie » les punies pour le spectacle qu’elles viennent de donner... et espère qu’elles ont compris la leçon.
Toujours en pleurs, les cadettes sont détachées et ramenées à l’infirmerie pour un examen de routine. Les punies ont du mal à marcher, car à chaque pas, l’intense douleur se réveille. Elles sont passées à la douche pour les rincer de leur sueur et de la crème irradiante. Le Capitaine Cindy B. les ausculte et leur dit qu’elles auront mal durant quelques jours, au point de ne pas supporter le contact d’une culotte, mais que ça passera après et qu’elles retrouveront leurs belles fesses d’avant.
Leur certificat d’aptitude médical en main, toujours nues, elles traversent la cour, aussi vite qu’elles peuvent, les mains plaquées sur leurs seins et sur leur pubis puis remontent dans leur chambrée où elles s’allongent sur le ventre et s’endorment avec difficulté, le sommeil agité de cauchemars.
Le lendemain matin, elles se lèvent avec peine et en gémissant, la démarche mal assurée, descendent et assistent à la levée des couleurs sur la place de la caserne avec les autres gendarmes. Elles portent uniquement un débardeur propre et sont au garde-à-vous comme les quelques autres gendarmes de permanence. Le Commandant vient vers elles et leur dit qu’elles devront faire des corvées en extérieur, pour nettoyer les allées de la caserne et les parties communes. Ça leur permettra de passer leur temps intelligemment. Les quatre cadettes passent le weekend les fesses à l’air, à nettoyer, balayer, laver et à aider en cuisine. Les gendarmes de permanence à la caserne ne se gênant pas pour venir les admirer et se moquer d’elles, de leur façon de se trémousser lors de leur fessée et de leur minou épilé. Certains venant même leur mettre une tape sur les fesses encore brulantes, ce qui les fait crier, mais elles n’oseront pas se plaindre, car elles savent que l’humiliation fait partie de la punition. Un Maréchal des Logis chef leur souhaite même que le Commandant les mette en patrouille à travers la ville dans cette tenue ! D’autres leur ordonnent de bien se pencher en avant pour aller nettoyer les plaintes des murs, en profitant pour reluquer leur anatomie largement dévoilée.
Lors des repas, elles mangent à part, debout à la vue de tout le monde, car la position assise leur est insupportable. Elles doivent subir encore et encore les quolibets des hommes et de certaines femmes qui les surnomment les « godiches », les « greluches », les « culs en chaleur » ou les « moules à l’air », ce qui les piquer un gros fard et avoir les tétons qui se dressent une nouvelle fois sous l’émotion.
Lorsqu’elles doivent aller faire leurs besoins, les cadettes, ne pouvant s’assoir, sont obligées d’être penchée et à moitié debout, ce qui est très plus qu’inconfortable pour elles. Lors d’un balayage d’une allée, assez loin des toilettes, Fiona V. et Lucie S. urinent, appuyée sur un arbre, les cuisses largement écartées, priant pour que personne ne les voit dans cette position très impudique.
A la fin de leur journée bien remplie, les cadettes regagnent avec plaisir leur chambrée, seul endroit de la caserne où elles ont un peu d’intimité.
Dès le Lundi matin où elles reprennent leur patrouille avec leur référente, les cadettes enfilent leur treillis mais sans pouvoir enfiler de culotte. Durant toute la journée de marche à pied, elles se tortillent lorsque le tissu de leur pantalon frotte trop sur leur chair encore hyper sensible.
Les cadettes établissent leurs contrôles et procès-verbaux et réalisent leurs saisies informatiques avec rigueur, en contrôlant et recontrôlant leur travail qui est supervisé par le Gendarme Gwenola G. Celle-ci ne leur passe rien. Elle se conduit avec elles quatre comme une cheffe et non comme une collègue, comme elle le faisait avant l’incident.
Elles ont droit, tous les jours, à un examen de leur arrière-train par le médecin Cindy B. qui ne se prive pas de leur pratiquer un touché vaginal, puis rectal, sous le prétexte fallacieux d’un contrôle post-punition. Lors de cet examen qui n’a rien de légitime, sous le regard des autres cadettes, le médecin souhaite affirmer son autorité suprême et rabaisser les quatre fautives. Autant les autres membres de la caserne sont suivis avec une prise de température frontale, autant, les quatre cadettes ont droit à une prise de température rectale bijournalière.
Le cousin de Ruxandra, une fille de ma classe, est Adjudant dans la caserne de notre ville. Son grade et son travail fait qu’il a la possibilité de copier le film des fessées des cadettes et les transmettre à sa cousine, qui était très intéressée pour voir ces quatre futurs gendarmes se trémousser sous le claquement des palettes. C’est par l’intermédiaire de Ruxandra que Iourievna, Ekaterina, Olga et moi parvenons à visionner ce film et être au courant de ce qui s’est passé à la caserne.
De ce que nous a dit Ruxandra, il existe, en préfecture, des enregistrements de toutes les corrections administrées dans le département et celles qui ont été données à Ste CROIX n’échappent pas à la règle ! Ces films ou photos doivent attester que les punitions ne vont pas au-delà de la limite autorisée. Cela dit, les secteurs où la fessée est administrée sont très limités.
A suivre...


Une série écrite par Elena

Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : le chapitre 1, début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 29

Retrouvez-les tous sur la page des auteurs invités

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2 commentaires:

  1. Bonjour Elena. Et bonjour à tous.
    Elles font fort quand même, ces quatre filles. Gendarmes stagiaires, elles ne trouvent rien de mieux à faire que de rançonner sans vergogne l'usager. Et un peu facile de vouloir faire porter le chapeau à Marina de St T. Les trois autres sont entrées dans le jeu en toute connaissance de cause. Sans doute la correction exemplaire qu'elles ont reçue leur remettra-t-elle les idées droites. Quant à nos héroïnes "habituelles" elles vont pouvoir, grâce à la complicité de Ruxandra se repaître du spectacle de ces fessées auxquelles elles n'ont pas assisté.
    Amicalement.
    François

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  2. Bonjour François,
    Ces 4 cadettes de gendarmerie ont voulu profiter de la situation, mais un élément imprévu est venu perturber leurs plans. Dommage pour elles ! Complices, elles le resteront jusqu'au bout. Dans cette petite bourgade où tout le monde se connait, les nouvelles vont vite et pour peu qu'une personne a des infos, elle se fait un malin plaisir de les communiquer à un grand nombre de personnes, pour le plus grand plaisir de chacune.
    Le commandant de la brigade aurait pu exclure définitivement les 4 fautives, mais il a préféré les punir sévèrement en public pour leur laisser une chance de se racheter. Le droit à l'erreur existe et il a fait preuve de mansuétude... On verra ce qu'il en est advenu ?
    Amitiés.
    Elena.

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