lundi 20 avril 2020

Les rebelles -chapitre 30 - acte 2

Depuis leur dernière fessée devant tous les gendarmes de la caserne, les quatre cadettes sont devenues plus rigoureuses et plus respectueuses des consignes. Toujours encadrées par le Gendarme Gwenola G., elles la suivent et participent aux patrouilles et aux différents contrôles sur la voie publique. Toutes les semaines, elles sont évaluées par leur chef de peloton, le Lieutenant Helga K. qui garde un œil sur elles, car leur jeunesse et leur fougue sont une force, mais aussi une faiblesse par d’autres côtés.

Côté relationnel avec leurs collègues, l’ambiance est mitigée, car quelques gendarmes, hommes comme femmes, les regardent en biais, en souriant sur leur passage, en se rappelant de l’excitant spectacle qu’elles ont donné devant eux. Certains les accablent toujours de surnoms peu flatteurs, même si le Gendarme Gwenola G. veille à ce qu’elles ne deviennent pas les souffre-douleurs de la caserne. Elles ont fauté et elles ont été sévèrement punies pour ça, il n’y a pas de quoi en rajouter. Si elle devait s’apercevoir que les cadettes étaient mises au banc de la caserne, elle en informerait son Lieutenant, pour faire cesser ces comportements injurieux. Les jeunes femmes sont de futures femmes gendarmes en puissance et doivent être considérées comme telles.
Les jours se ressemblent tous, car à cause du confinement, les sorties personnelles hors de la caserne sont proscrites et les cadettes sont confinées lorsqu’elles ne sont pas en patrouille, comme bon nombre de nos concitoyens, ce qui fait que l’ennui est vite atteint.
Lors de l’entrée ou de la sortie de la caserne, les personnels se livrent à une prise de température systématique. Depuis leur punition, les quatre cadettes, ont, de la part du Capitaine médecin Cindy B., une prise de température rectale. Sur le dos, les cuisses largement écartées, à regret, les cadettes se laissent enfoncer le thermomètre dans l’anus et sous une minute, elles sont fixées. Par contre, dès qu’elles sont reculottées, elles râlent d’être prises pour des gamines à qui on doit prendre ce type de température, car elles trouvent qu’elles ont déjà largement payé leur faute.
Quelques jours plus tard, lors d’une patrouille, dans les faubourgs de la ville, le groupe contrôle des personnes. Certaines attendent le bus, d’autres font leur footing, et les autres marchent en promenant leur chien. Lucie S. demande à une dame d’un certain âge de lui montrer son autorisation de sortie. Mais la dame répond qu’elle est désolée, mais elle n’en a pas, car elle n’a ni ordinateur et encore moins d’imprimante pour éditer ledit formulaire. Lucie S. parlemente avec la dame et lui dit que l’amende sera de cent trente-cinq euros. La dame lui dit qu’elle n’a pas trop les moyens et qu’elle doit aller faire ses courses, car elle n’a plus rien dans son réfrigérateur, mais qu’elle fait attention de rester un minimum de temps dehors pour ne pas risquer d’attraper le virus. Lucie S. voit bien que la dame est de bonne foi et elle a un cas de conscience, car d’une part, il faut qu’elle fasse son travail mais d’autre part, si elle lui met une amende, la dame n’aura peut-être plus d’argent pour acheter de quoi vivre. Lucie S., qui avait commencé à remplir le formulaire de procès-verbal, le déchire.
Lucie S. demande à la dame d’appeler la mairie et que des gens pourront venir mettre des formulaires vierges dans sa boite aux lettre et de cette façon, elle pourra sortir faire ses courses tout en étant dans le respect de la loi. La dame promet de téléphoner à la mairie et d’avoir les documents pour la prochaine fois. Rassurée, Lucie S. laisse partir la dame sans autre forme de procès et va retrouver ses collègues, qui viennent d’en finir avec les autres personnes.
La patrouille se poursuit avec encore quelques contrevenants autant à pied qu’en voiture. La ronde est assez longue et lorsque les gendarmes rentrent à la caserne, elles sont bien contentes de pouvoir retirer leur équipement.
Juste après leur rituel passage chez le médecin Cindy B. pour leur prise de température assez vexante, le Gendarme Gwenola G. demande aux cadettes d’encoder de suite leurs PV et juste après, elles seront libres pour la fin de la journée.
Les jeunes femmes renseignent le logiciel pour le suivi des régularisations des contraventions. A posteriori, lors du contrôle fait par le Gendarme Gwenola G., il apparait qu’une saisie n’est pas faite. Il y a discordance entre les bordereaux papier renseignés et les bordereaux saisis. Le Gendarme repasse les saisies des cadettes pour s’apercevoir qu’il manque une saisie pour Lucie S. Tout d’abord très étonnée d’être la responsable de cette erreur, elle se rappelle l’histoire avec la vieille dame. Elle dit à sa responsable qu’elle a volontairement déchiré un formulaire, car cette dame lui a fait mal au cœur et elle lui a promis de se procurer l’autorisation de sortie. Le Gendarme Gwenola G. s’emporte, car elle va encore devoir expliquer cette embrouille et enguirlande Lucie S. de ne pas l’avoir mise au courant pour ce PV déchiré, car au moindre doute, les consignes étaient de lui demander conseil, ce qu’elle n’a pas fait. Lucie S. lui dit qu’elle n’a pas cru bon l’ennuyer avec ça et qu’elle ne regrette absolument pas sa décision, car elle a aidé une dame à pouvoir acheter ses courses au lieu de payer une contravention.
Le Gendarme Gwenola G. réplique qu’elle va être obligée de faire un rapport auprès du Lieutenant et celle-ci ne va pas être contente. Lucie S. ne peut qu’accepter la décision de sa supérieure.
Pendant que Marina de St T., Alicia H. et Fiona V. retournent dans leur chambrée pour prendre leur douche et se reposer, le Gendarme Gwenola G. explique la situation au Lieutenant, qui en réfère immédiatement au Commandant. Celui-ci les convoque dans son bureau, car il commence à en avoir assez de ces problèmes de discipline au sein de son unité.
L’explication est retransmise au commandant qui demande à Lucie S. de s’expliquer. Celle-ci justifie la transgression des ordres par le fait d’avoir fait un rappel à la loi et de ne pas l’avoir handicapée avec une amende qui ne lui aurait peut-être pas permis de faire ses courses, faute de moyens informatiques. Le Commandant lui dit que son grand cœur est tout à son honneur, mais il fallait tout de même en référer à sa supérieure et que, compte tenu des circonstances, le résultat aurait été le même et la vieille dame aurait pu faire ses courses, mais dans le cas présent, le Commandant dit qu’il n’est pas permis de transgresser les règles pour n’en faire qu’à sa tête et que cela mérite punition. Lucie S. qui se voit déjà fessée une seconde fois devant toute la caserne dit au Commandant qu’elle a fait un geste d’humanité et qu’il est vraiment trop injuste de lui faire payer ça...
Le chef de la caserne lui dit qu’elle n’a qu’à choisir entre être punie et être renvoyée. Mais il ne tolère pas d’écarts de la part de ses gendarmes et encore moins des cadets, qui sont là pour apprendre et exécuter les ordres. Se rappelant de sa dernière fessée, Lucie S. hésite mais être renvoyée est synonyme de faire une croix sur sa carrière et elle ne peut pas se le permettre, car son avenir serait compromis et elle décevrait sa famille, au plus haut point. Rouge de confusion et rassemblant tout son courage, elle dit en bafouillant, qu’elle choisit la punition, sachant que ses fesses vont encore lui cuire durant plusieurs jours, mais au moins sa carrière ne sera pas remise en cause.
Le Commandant enregistre la décision et dit à Lucie S. qu’elle va recevoir soixante coups de fouet sur tout le corps, entièrement nue et devant toute la caserne, Vendredi après-midi, ce qui lui permettra de se reposer le weekend. Lucie S. n’en croit pas ses oreilles de la sévérité de la punition. Elle proteste en disant qu’une fessée aurait été largement suffisante, car sa faute n’est pas plus grave que la dernière, ce à quoi le Commandant réplique que c’est la seconde faute en l’espace de trois semaines et que ça doit être sévèrement réprimander pour lui faire entendre raison. Lucie S. s’effondre en larmes et continue de protester. Le Lieutenant intervient et lui ordonne de se taire, car elle commence à être insolente. Lucie S. ne sait plus comment s’en tirer à moindre frais et, résignée, finit par se taire.
Le Commandant entérine la punition et dit qu’elle passera le weekend, entièrement nue et à la disposition des permanents pour les travaux d’intérêt général. La séance étant clause, le Lieutenant Helga K., le Gendarme Gwenola G. et Lucie S. quittent le bureau du chef de la caserne. Lorsqu’elles sont sorties, le Lieutenant dit à Lucie S. qu’elle aurait dû suivre les ordres mais que finalement, elle est très fière d’elle d’avoir pris cette décision d’une grande compassion. Elle ajoute que si elle lui en avait fait part, elle aussi, aurait abandonné les charges. Lucie S. s’aperçoit qu’elle va se faire sévèrement punir pour rien... Complètement démoralisée par l’annonce de la correction, Lucie S., en pleurs, remonte dans sa chambre et met au courant ses amies, qui ont toutes les peines du monde à la calmer.
Les deux jours qui les relient au Vendredi sont assez pénibles, car à force que le temps passe, l’angoisse monte et déjà plusieurs gendarmes, au courant de la prochaine punition commencent à s’en régaler par avance et à diffuser l’information. Les sous-entendus fusent à son passage... Certains lui demandent quel type de danse elle va leur interpréter ? Humiliée, Lucie S. ne répond rien, se réfugiant dans sa fierté, enfin le peu qui lui reste, car après ses fesses, elle va mettre au grand jour le restant de son corps et son intimité n’aura plus aucun secret pour personne après ça, ce qui pour une jeune femme à peine sortie de l’adolescence est plus qu’avilissant.
Lucie S. se confie à ses amies pour tenter de reprendre courage, puis avertit ses parents de ce qui l’attend. Elle les prévient qu’ils vont recevoir une seconde vidéo avec sa correction. Sa Maman tente de la rassurer et lui réaffirme sa confiance pour son grand cœur et que ses épreuves la rendront plus forte, après. Elle a surement besoin de ça pour se discipliner.
Le Vendredi après-midi, en rentrant de patrouille où Lucie S. avait franchement la tête ailleurs, les quatre cadettes vont en chambrée et voit le Lieutenant arriver. Celle-ci ordonne à Lucie S. de se déshabiller entièrement et de venir car le Commandant a déjà réuni les gendarmes et plusieurs membres des familles de ceux-ci dans la cour. Confuse et sans empressement, Lucie S. retire ses vêtements et on peut voir ses yeux se mouiller. Toute rouge de confusion, Lucie S., menottée, mains dans le dos, suit sa cheffe et ses amies vers la cour. Lucie S. tente d’attendrir une dernière fois sa responsable qui ne s’en laisse pas compter.
Avant le départ pour la cours, le Capitaine médecin arrive et enduit Lucie S. d’une lotion huilée. Lorsqu’elle a fini, elle dit à Lucie S. que cette lotion va attendrir la peau, pour que la douleur soit plus intense et de ce fait, la punition sera mieux ancrée dans sa mémoire. Lucie S. doit se faire extrême violence pour ne pas l’insulter, qui aime les tourmenter à souhait.
A peine sortie du bâtiment, Lucie S. sent se poser sur elle le regard réjouis de ses collègues, sent que ses jambes commencent à flageoler et que ses tétons se dresser et durcir sous l’intense émotion. Un grand moment de solitude s’empare d’elle et elle en frisonne de peur. Au soleil, son corps huilé luit et met en relief ses formes féminines, ce qui commence à exciter les hommes de façon assez visible. Lorsque le groupe est arrivé et est au garde-à-vous, le Commandant dit à tous ce à quoi et pourquoi Lucie S. est condamnée.
Les Gendarme Gwenola G. et Emmanuelle G. l’empoignent et lui attachent les poignets et les chevilles en « X » aux poteaux, dos au public puis prennent leur long fouet de cuir. En voyant les impressionnants instruments de punition, Lucie S. hurle de peur et implore le pardon de ses supérieurs, hurle qu’elle a compris et qu’elle sera exemplaire à l’avenir. Le Commandant lui ordonne de se taire et se cesser de faire l’enfant. C’est une femme et elle doit faire preuve de courage. Ordre qui n’a pas beaucoup d’échos, puisque Lucie S. sanglote toujours. Le Commandant recommande aux deux gendarmes de ne pas hésiter à la faire hurler.
Les deux flagellatrices s’en donnent à cœur joie. Lucie S. s’agrippe à ses liens et ne peut que crier de douleur, n’arrivant pas à se contenir. Les cinglées laissent des trainées ardentes sur ses chairs et ce ne sont pas ses gesticulations et ses piétinements qui calment quoi que ce soit. Les lanières cinglent de façon sonores immédiatement suivi par une contorsion frénétique et un hurlement, plus ou moins aigu en fonction de la partie du corps qui est fouettée. Marina de St T., Alicia H. et Fiona V. regardent leur amie se faire corriger avec un mélange étrange de compassion et d’excitation, car la voir tressaillir et hurler les excitent. Elles comprennent mieux ce que ressentaient leurs collègues lorsque c’était elles qui se trouvaient à la place de Lucie S. Elles pensent que leur amie passe un sale moment, à la voir se cambrer et tirer sur ses liens de cette façon. Mais le pire est à venir, car outre les trente coups qu’elle reçoit sur les cuisses, les fesses et le dos, il lui en reste trente à recevoir sur le buste. Elle s’en rappellera longtemps de cette punition, et tout ça, pour une amende de cent trente-cinq qui de toute façon, n’aurait pas été donnée...
Au terme de la face arrière, les deux gendarmes retournent Lucie S. pour la placer face au public. Bien qu’elle tente de se dégager, les deux gendarmes réussissent à la maintenir et la mettre en position. La cuisson est déjà très intense et Lucie S. appréhende de ce qui va être appliqué sur son torse et entre deux sanglots, implore qu’on ne lui fouette pas les seins, zone hyper sensible du corps d’une femme. Le Gendarme Emmanuelle G. fait remarquer à Gwenola G., ironiquement et en rigolant, que l’entrejambe de Lucie S. est bien poisseux de cyprine, c’est qu’elle doit apprécier le traitement...
Les deux gendarmes se remettent à fouetter le ventre et les cuisses de la punie qui hurle de nouveau en se contorsionnant dans tous les sens. Les claquements secs des lanières qui zèbrent la punie ravissent le public qui en redemande. Lucie S. hurle de façon stridente lorsque les deux femmes lui cinglent les flancs, l’intérieur des cuisses et les seins. Elle les agite de douleur. Son bas ventre n’est pas épargné non plus, le fait qu’elle ait les cuisses écartées ne protège pas son pubis, ni l’intérieur de ses cuisses. De longues traces rouges ornent maintenant tout son corps. En sueur et la voix éraillée à force d’avoir hurlé, Lucie S. fait vraiment pitié à voir.
Lorsque la correction est finie, le Commandant, satisfait de la punition administrée, demande qu’on la détache et qu’elle soit emmenée à l’infirmerie pour un examen, mais refuse que le médecin lui applique sa « fameuse crème chauffante », car Lucie S. a assez souffert. Le Commandant dit à Lucie S. que la prochaine fois, ce sera l’exclusion de la gendarmerie, après le fouet et la crème chauffante. Lucie S., en sanglots, promets tout ce que souhaite son Commandant.
Devant leurs collègues hilares, Marina de St T., Alicia H. et Fiona V. emmènent leur amie, qui avance les cuisses écartées, vers l’infirmerie où le médecin lui fait prendre une bonne douche froide pour calmer momentanément la cuisson et les autres cadettes ne sont pas de trop pour l’aider à se laver. Elles sont assez étonnées de voir les marques boursouflées et rouges laissées par les lanières sur sa chair. Elles constatent aussi que malgré ça, la peau n’est absolument pas lésée. Le médecin ausculte la punie qui chouine et lui dit qu’hormis l’intense douleur, tout va bien pour elle. Propre et reconnue apte, le médecin la renvoie en chambrée où Lucie S. tente de s’allonger, mais avec le dos et le torse fouettés, il n’y a pas de position où la cuisson ne la fait pas souffrir. Elle passe une nuit des plus agitées, malgré les linges mouillés et frais que ses amies lui posent sur le corps.
Dès le lendemain matin, fatiguée par cette nuit quasiment blanche, Lucie S. est avec les autres gendarmes de permanence, mais nue, dans la cour, au garde-à-vous. Les mains le long du corps et le buste droit, outre la chaleur de tout son corps, elle sent à nouveau se poser sur elle les regards concupiscents et narquois des personnes présentes et des membres des familles à leur fenêtre, admirant cet excitant spectacle.
Les trois cadettes aident Lucie S. à ne pas se sentir trop seule, mais ne parviennent pas à faire taire les remarques très désobligeantes des gendarmes qu’elles croisent, comme le surnom « la poire » en référence à la forme de ses seins et de ses longs tétons ou comme en référence aux traces bien rouges qui la zèbrent des cuisses aux épaules !
Equipée d’ustensiles de nettoyage, Lucie S. est encore bonne pour faire tout le sale boulot que les autres ne souhaitent pas faire. Marchant en crabe, les cuisses écartées, pour éviter le frottement sur les cinglées encore douloureuses, elle est même assignée au service à la cantine et avec son tablier, elle ressemble plus à une soubrette qu’à autre chose, ce qui n’est pas pour déplaire au personnel !
Après un weekend de corvées où toute remarque, même minime, est sanctionnée par quelques bonnes claques sur les fesses qui la font rugir et pleurer, Lucie S. doit reprendre sa vie, mais le port de son uniforme est trop douloureux, ce qui fait qu’elle reste quelques jours de plus, nue, à la caserne, affectée cette fois au secrétariat du Commandant. Celui-ci, de goujate façon, n’hésite pas à lui tapoter la croupe où lui caresser les seins, les tétons et son entrecuisse, lorsque Lucie S. vient lui donner ou lui faire signer des documents. Au moindre sursaut d’amour-propre ou de pudeur, le Commandant la fait mettre au garde-à-vous et se livre à ses attouchements et Lucie S. se force à se taire, car elle sait que tout commentaire ou toute réaction épidermique auraient des conséquences.
Quelques jours plus tard, à la veille de la reprise de ses patrouilles, Lucie S., alors qu’elle est toujours nue, parvient, avec l’aide de ses trois amies à déjouer, avec une bonne dose de chance, une effraction dans la caserne, ce qui leur vaut une reconnaissance de la part de l’état-major et une médaille de l’ordre des gendarmes. A compter de cet exploit, les collègues des quatre cadettes les voient d’un autre œil.
C’est au cours d’un déjeuner au mess que le Commandant Jean-Luc L. les informe que si elles veulent avoir leur mutation dans sa caserne lorsque leur école sera finie, il appuiera la requête et aucune des punitions reçues ne sera indiquée sur leur dossier, en remerciement des services rendus.


Une série écrite par Elena

Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : le chapitre 1, début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 30 acte 1

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2 commentaires:

  1. Bonjour, Elena. Et bonjour à tous.

    Après la fessée collective, une fessée individuelle. Difficile à vivre pour celle qui va la recevoir. Elle sait ce qui l'attend. Épreuve également pour ses trois collègues. Elles vont pouvoir voir les choses de l'extérieur cette fois et juger sur pièces du spectacle qu'elles avaient, elles aussi, été amenées à offrir. Ce qui va renouveler leur honte. Mais elles vont aussi toucher du doigt le plaisir qu'on peut éprouver (et que leurs collègues ont éprouvé) à assister à une fessée. Effet miroir à l'infini.
    Amicalement.
    François

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  2. Bonjour François,
    Les cadettes démarrent bien mal leur stage dans cette gendarmerie. Elles se rendent coupable de faits de corruption. Mais pour la jeune Lucie, c'est son grand coeur qui l'aura perdu ou trahi ou les deux...
    Pour la représentation très excitante, les gendarmes de la caserne et leur famille aux fenêtres en redemanderont surement ! Après ça, nos malheureuses cadettes sentiront peser sur elles tous les regards concupiscents de leur collègues masculins et peut-être féminins, aussi, d'ailleurs.
    Amitiés.
    Elena.

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