mardi 14 avril 2020

Ces dames aux mains fermes - saison 3 - chapitre 28

LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE

MADAME DELANIAIRES FESSE .

Robin, reçoit les premières cinglées avec le second martinet ...les arêtes de ses lanières carrées sont coupantes et il hurle … Gladys après quelques allers et retours bien ajustés   donne son avis.
– « Ah il n'est pas mal non plus, il cingle bien, mais je préfère le premier.  J'ai l 'habitude de taper fort et avec celui-ci, je serais sans doute amenée à lui chauffer le derrière beaucoup trop vite. Je veux que ses fessées durent longtemps pour qu’il ait le temps de bien les sentir et de montrer ses fesses déculottées en train de cuire et rougir. Je vais vous prendre le premier ! » 
Elle desserre les cuisses et, sans ménagement, le laisse s'écrouler sur le parquet. Il s’y tortille aussitôt de douleur en se frottant frénétiquement le derrière, entièrement strié de traces de lanières cramoisies.
– « Tu peux te reculotter maintenant ! Dit-elle en l'enjambant sans un regard pour se diriger vers la caisse. Et bien serré. Il faut que tu ressentes l'effet de ta fessée jusqu'à la maison !  Les slips à fessées ça sert à ça aussi »

Pendant toute la durée de la séance d'essai des martinets, la jeune femme au comptoir s'est occupée à attacher des étiquettes sur le manche des battoirs qu'elle a accrochés à un présentoir. Elle a seulement levé le nez de temps en temps pour profiter du spectacle. Sa tante l’interpelle.
– « Tu vois Géraldine, ce garçon va avoir le même martinet que toi !
 Ah… bon… Vraiment ? Elle ironise. Il en a de la chance ! »  !
Gladys lève un sourcil, étonnée du commentaire de la jeune femme qui contraste avec son attitude plutôt discrète et silencieuse jusque-là. 
– Oui, approche... Ordonne sa tante, qui fait semblant de ne pas avoir entendu, et dis à Madame Gladys, ce que tu penses des fessées déculottées que je te flanque avec ? Dis-lui comme il chauffe bien les fesses ? “
Géraldine s’approche sans hésiter, les yeux pétillants de malice, apparemment peu farouche. Voire effrontée. Elle a une bonne vingtaine d'années, à peu près l'âge de Robin.  
  Oui tantine ! Il chauffe bien... Avec ça tu me mets de bonnes déculottées – Contre toute attente, elle ajoute, provocante – Il faut croire que je les mérite.
– Et ton frère, Sébastien,  il s'en prend de bonnes aussi... des sévères, n'est-ce pas ?
– Pour ça oui ! Encore plus souvent que moi !
– Donc... il est efficace ce martinet ?
– Oui, ma tante, c'est le moins qu'on puisse dire …Il cingle fort.
– Alors qu’est-ce que tu as à dire à ce jeune homme désobéissant  ?

Elle regarde Robin avec un sourire goguenard et soulève sa poitrine avantageuse d'un long soupir faussement désolé.
– « Ben...Qu'il a intérêt à bien préparer ses fesses s'il fait des bêtises – Elle s'adresse directement à lui - Parce les fessées que tu vas recevoir avec ce martinet, ça te chauffera encore plus le derrière que les fessées à la main ! »

Robin, est davantage préoccupé par la cuisson persistante de ses fesses que par la conversation en cours. Il répond bêtement, pour faire son petit malin, après la raclée qu'il vient de recevoir devant elle. Du genre : ''même pas mal !'', alors qu'il a les fesses à la température d'un poêle à bois.
– « Oui... je sais ...Les fessées au martinet... j'en prends presque tous les jours !
– On dit ça, on dit ça ! Se moque-t-elle en riant. D'après ce que j'ai vu, ta mère n'a pas l'air d'y aller de main morte,  alors attends la première qu'elle va te mettre avec ce martinet... je serai curieuse de voir l'état de tes fesses ce jour-là !  Tu ne pourras même pas te reculotter ! »

Madame Delaniaires, satisfaite du témoignage de sa nièce, semble maintenant désireuse de continuer la conversation avec Gladys. Elle s'est tournée vers elle.

– « Géraldine sait de quoi elle parle. Elle n'a pas l'air, comme ça, mais c'est une vraie petite délurée, qui n'a pas froid aux yeux.  Du haut de ses vingt-deux ans, elle en fait voir de toutes les couleurs à sa mère. Elle, et sa copine Chantal, la fille de Régine Duplessy,  avec leur air de petites filles bien sages, les hypocrites... Je ne vous dis pas ce qu’elles en font voir à leur mère et à moi...A croire qu’elles ont le feu où je pense toutes les deux ! . Alors, les fessées avec un bon martinet cela ne manque pas. Les fesses de Géraldine ont dû essayer à peu près tous ceux du magasin...Il n’y a que cela pour lui faire entendre raison.
– Mais qu'est-ce que vous racontez ma tante? L'interrompt brusquement l'intéressée depuis le comptoir. Madame Gladys n'a pas besoin de savoir tout ça ! » 
Astrid se retourne d'un bloc, furieuse et fusille sa nièce du regard .
– « C'est vrai quoi ! Continue la jeune femme, Ce n'est pas la peine de lui raconter la vie de mes fesses !
– « Non mais Géraldine, de quoi tu te mêles  ! Et d'abord, qu'est-ce que c'est que ce ton ? Et ces remarques désobligeantes...devant les clients en plus ! Il va falloir que tu me parles autrement ma petite !... Tu te prends pour qui ? Tu vas voir comment je vais m'en occuper de la vie de tes fesses... ça va être vite réglé ! »
  Elle lance un regard presque amusé vers Gladys.
– « Voilà ! Qu'est-ce que je vous disais ! Vous avez entendu , la petite insolente, vous allez voir ce que je vais lui mettre ? Vous avez bien encore un moment pour assister à sa fessée ?

Robin, avait tendu l'oreille en entendant prononcer le nom de Chantal. Il savait le rôle qu'elle avait joué dans l'affaire Bettina qui avait failli provoquer la rupture entre les parents de Maxime. C'est à elle, que celui-ci avait remis la fameuse lettre, à l'origine du scandale, et qui en avait fait l'usage que tout le monde savait. 

Gladys hésite un moment. Elle projetait de rentrer tout de suite à la maison, pour prendre le temps de mieux tester le nouveau martinet sur le postérieur de son fils. La fessée dans le magasin n'avait pas été assez longue pour en profiter pleinement. D'un autre côté elle avait bien envie de voir l'imposante madame Delaniaires administrer sa correction à sa nièce. Finalement, elle décide de rester.
– « Par contre, toi Robin, je te connais ! Ne compte pas te régaler à voir Géraldine prendre sa fessée... Tu vas rentrer à la maison en emportant ton martinet !
– Vous savez, il peut rester... Au contraire.  Insiste la tante, ça va lui faire du bien à cette petite peste de se ramasser une bonne déculottée en public. Après tout, elle s'est bien rincé l'œil devant celles de Robin.
– Justement non. Ça lui ferait trop plaisir de prendre cette petite revanche !
– C'est bien dommage, mais c'est comme vous voulez Gladys... ça ne vous dérange pas que je vous appelle Gladys. ?
– Pas du tout, je vous en prie... Astrid... Maintenant que nous fessons ensemble, on peut s'appeler par nos prénoms !  »
Les deux femmes éclatent de rire en même me temps.

Robin qui n'a toujours pas été autorisé à remonter son pantalon et se tient toujours les fesses à pleine main, maudit sa mère de le priver du croustillant spectacle. Il se console en pensant à Chantal, pas mécontent d'apprendre qu'ainsi, cette petite pétasse a droit maintenant aux fessées au martinet comme tout le monde...bien fait !

Gladys a décidé de régler tout de suite. Elle paie et lui donne à porter “son” martinet , enveloppé dans un joli papier cadeaux façon Noël. Elle met dans son sac le tube de Dolpic que la maison Delaniaires offre gracieusement pour l'achat d'une instrument de discipline en cuir.
– « Tu rentres directement à la maison, et tu prépares tes fesses pour quand je vais revenir !! »
 Madame Delaniaires avec un sourire moqueur. 
– Oh ça m'étonnerait qu'il aille se balader en ville avec son martinet à la main ! »
 Elle prend soudain un air menaçant en s'adressant à sa nièce.
--« Toi, tu prends un des gros sur le comptoir, et tu me ramènes ton gros fessier, immédiatement  ! Je vais t'apprendre à me parler correctement ma jolie ! »
– Oh ma tante... S'il vous plaît pas devant tout le monde ! »
Les mains sur les hanches Astrid la toise du regard en souriant. Elle tapote le sol du talon aiguille impatient. 
–«  Je vais me gêner tiens !  Bien sûr que si devant tout le monde... et, déculottée même ! Une fessée déculottée est toujours meilleure quand elle est donnée en public ! ». 
Elle lance un clin d'œil complice en direction de Gladys.
– « N'est-ce pas chère amie que les fessées en public sont plus efficaces ?
– Tout à fait !  Rien de plus savoureux qu'une bonne déculottée bien humiliante administrée entre amies ou devant un public d'inconnus. Je ne rate jamais l' occasion. Comme celle qui vient de se présenter avec Robin. Ça lui fait le plus grand bien.
– .Alors vous voyez !... Vous devriez restez là, avec lui, pour bien regarder comment je vais faire danser les belles fesses toutes rouges de Géraldine … Et j'y pense, voulez-vous un thé en attendant la représentation?... Oui ? Mon mari va nous préparer ça... Norbert ? Viens ici, tout de suite ! »

Madame est aussi autoritaire que son mari est discret.  Norbert apparaît à la porte de son atelier et, sans discuter, se dirige vers la cuisine.

Devant l'assaut d'amabilité, Gladys n'hésite pas très longtemps et finit par accepter. Après tout, elle a toujours trouvé très bénéfique pour Robin, qu'il assiste à des séances de fessées. Ne serait-ce que pour lui faire mesurer pleinement l’effet d'une bonne correction comme celles qu'il reçoit régulièrement.  Ce n'était pas dans cette perspective que le garçon se réjouit intérieurement du changement d'avis de sa mère. Il savait, que de toute façon, il aurait sa deuxième raclée au martinet de retour à la maison.

– « C'est parfait ! Vous n'allez pas le regretter  ! » 
Se réjouit Madame Delaniaires que la perspective d'une séance de fessées rendait aussi enthousiaste que le jour de l'achat de sa première paire de bas nylon. Il faut dire que l'ambiance particulière de la boutique, emplie de martinets, et d'une odeur entêtante de cuir neuf, rendait omniprésente une excitante atmosphère de discipline domestique.

– « Maintenant vous allez voir, Poursuit la forte femme en saisissant sa nièce par l'oreille.  Balançant exagérément des hanches sur ses hauts talons, elle la trimballe triomphalement jusqu'au milieu du magasin pour lui mettre le derrière bien en vue.
  Vous allez adorer ! Les fessées que je flanque à Géraldine sont toujours très spectaculaires. Mademoiselle à une de ces paires de fesses. Elle ricane. Pour ça, il y a de quoi faire, ses slips sont toujours bien remplis! N'est-ce pas ma mignonne ?...
– Oui ma tante... C'est... C’est vrai.... Ouille !... Mon oreille.! . Vous me faites mal ! »

Elle se tortille au bout des doigts de la pétulante fesseuse qui la tire fermement vers le haut, l'obligeant à suivre le mouvement en se dressant sur la pointe de ses talons aiguille.

– « Ce n'est rien à côté de ce qui attend tes fesses ma chérie !  Parce que maintenant... je vais t'administrer la bonne fessée au martinet que tu as méritée pour te punir de ton insolence ! »

La jeune femme, sachant qu'il ne servirait à rien d'implorer une quelconque clémence, semble accepter sa punition avec fatalité.  

– « Oui ma tante ! La fessée au martinet ! La bonne fessée au martinetque j’aiméritée... Et je sais... Vous allez me faire danser les fesses avec...je le sais bien ...mon gros derrière tout rouge de vilaine fille... ! »  

– « Voyez comme l'annonce de la fessée la rend déjà moins fière. Tout juste si elle ne la réclame pas ! Dit la tante en s'adressant de nouveau à Gladys. C'est qu'elle les redoute mes fessées... Et elle a bien raison. Elle sait que tante Astrid fesse dur et adore ça … 

– C'est bien naturel, il faut aimer ce qu'on fait !  Dit Gladys, assise sur le tabouret, pour assister à la correction – Pour être efficace, une fessée au martinet ça doit cingler fort. 
– Justement, vous parlez d'efficacité... Un derrière ça se prépare ! J'ai l'habitude de le lui chauffer d'abord à la main. Comme dit votre amie Bettina, qui vient ici de temps en temps, une   fessée ne commence vraiment que lorsque les fesses sont écarlates, après une bonne déculottée préliminaire ! »

 Robin, le pantalon aux chevilles, sanglote,  toujours debout à côté de sa mère. Indifférente à sa douleur, elle tient délicatement dans sa main, la tasse de thé sur sa soucoupe que Norbert lui a apportée avec respect et précaution.

Géraldine est devenue un peu pâle, mais garde un petit sourire en coin pour ne pas perdre la face devant tout le monde. Elle sait ce qui attend ses fesses, mais, rebelle jusqu'au bout, n'en est pas encore au stade de regretter son attitude vis à vis de sa tante dont elle connaît pourtant l'extrême sévérité. Chaque séance de fessées est une épreuve de force entre les deux femmes, dont Astrid finit toujours par triompher, malgré l'âpre résistance du derrière de sa nièce. Elle adore claquer son beau fessier récalcitrant qui satisfait à son plaisir d'administrer de longues et cuisantes fessées. 

« Allez, l’insolente... Position, fesses en l'air !! »
Ordonne-t-elle en courbant Géraldine devant elle pour la faire venir s'encastrer entre ses jambes. Elle a retroussé sa jupe sur ses hanches pour faciliter le mouvement. Les talons aiguille claquent sur le sol pendant la mise en place.
– « Je vais la fesser dans la même position que celle que vous avez fait prendre à Robin tout à l'heure. C'est aussi une de mes préférées ! »
Dit-elle en resserrant ses fortes cuisses sur la tête de sa nièce qu'elle écrase sous son plantureux fessier. Le revers noir de ses bas nylon crisse sur les joues de la jeune femme où s'incrustent aussi ses boucles de jarretelles. Elle glisse ses doigts sous l'élastique de son slip, de chaque côté des hanches, et la déculotte en un habile tour de main. Libéré de l'étreinte du nylon, l'opulent fessier rebondi de Géraldine semble s'épanouir, complaisamment exposé au regard sévère de l'impitoyable fesseuse comme aux deux témoins. 

« Voyez Gladys, c'est comme ça qu'elle doit me présenter ses fesses pour recevoir sa fessée dans les meilleures conditions !
– Vous avez raison, c'est une excellente position et je vois qu'elle est bien dressée, elle s'y met pratiquement toute seule !
– Pour ça oui, elle est habituée... Elle s'en prend tellement par sa mère et moi... Ricane la tante. Ses fesses sont devenues si endurantes qu'on n'est pas trop de deux pour bien les corriger... Tends les mieux que ça s'il te plaît !  »

une fessée déculottée pour Géraldine


Exigeante la tantine, elle tient à lui faire prendre la position qu'elle estime la meilleure pour bien lui claquer sa fessée. Reins creusés, slip à mi cuisses, jambes fléchies, fessier parfaitement arrondi, tendu à disposition de la main qui va claquer dessus. Consigne impérative de la maîtresse femme : garder la posture pendant toute la durée de la correction, sous peine de fessée supplémentaire. Un grand classique chez les adeptes de stricte discipline.
– « Prête pour ta séance d'échauffement Géraldine ? »
Une voix étouffée sort d'entre ses cuisses .
,-- Oui ma tante... je suis prête... pas trop fort s'il vous plaît... » 

Astrid s'amuse de la requête inutile et commence une magistrale fessée qui retentit avec éclat dans tout le magasin. Soucieuse de bien préparer le derrière pour la fessée suivante au martinet, elle fesse avec application, comme elle en a l'habitude, en prenant soin de varier la cadence des claques qu'elle fait pleuvoir sur les fesses de sa nièce.  Méthode efficace pour que celle-ci ne puisse d’aucune manière les anticiper. Tout en allongeant les cuisants allers et retours elle ne cesse de morigéner la jeune femme, qui commence à trépigner sur place, agrippée aux colonnes charnues des cuisses gainées de nylon.

« Alors ? Petite insolente ! Tu la sens bien cette fessée ? Et tes fesses... Tu sens aussi comme elles te cuisent ? Tes grosse fesses d'arrogante ?  Et c’est loin d’être fini !! Je vais t'apprendre moi à parler correctement à ta tante ! Et présente les mieux tes fesses ! Mieux que ça encore ! Bien en l’air ! Allez la fessée... La bonne fessée déculottée ! Je te garantis que tu vas t’en souvenir de celle-là ! Hein, qu’est-ce que tu en dis ?
– Je... Je dis que vous tapez trop... trop fort ma tante !!! Commence à gémir la jeune femme... ça fait très mal !
Voyez-vous ça... ça fait très mal ! Depuis quand une fessée ça ne fait pas mal ? Comme si tu n'étais pas habituée... Et c'est juste un petit échauffement en attendant la fessée au martinet !  Je vais t’apprendre le respect moi ! A ton âge on respecte sa famille... Sinon ...C'est la fessée déculottée ! »

 Géraldine, en souffrance, était bien incapable de répondre quoi que ce soit.  Dès le début de la fessée elle avait commencé à émettre, en continu, des petits cris plaintifs qui rythmaient les claquées. La tête serrée dans l'étau des cuisses qui lui mettaient les joues en feu par le frottement continu des bas nylon, elle avait du mal à reprendre sa respiration et s’étranglait à moitié. Elle parvenait cependant à ne pas lâcher le martinet que sa tante Astrid lui avait ordonné d'apporter pour sa fessée suivante.
 Au bout d’un quart d’heure de ce traitement, elle avait les fesses rougies à point . Malgré sa volonté de résister et la présence de Gladys et Robin qui ne perdaient pas un miette du spectacle, elle s'était mise à pleurer bruyamment sans retenue possible.

A voir la mine réjouie de Madame Delaniaires, et sa détermination à claquer le derrière, qu'elle avait sous la main, il apparaissait nettement qu'elle aimait flanquer des fessées. Les claques sur le fessier rebondi, bien exposé à sa main, faisaient un bruit éclatant qui emplissait la boutique tout entière, et témoignait de la sévérité de la fessée. Elle y mit fin presque à regret. d'un fulgurant aller et retour sur chaque fesse ;
– « Vous avez vu comme elle les prend bien ses fessées ? »  Dit-elle en desserrant les cuisses pour la libérer.

Géraldine se laisse glisser à genoux aux pieds de sa fesseuse , son slip entre ses cuisses est tendu à craquer. Une de ses jarretelles a sauté. Elle a les joues presque aussi rouges que ses fesses. Les larmes aux yeux, les dents serrées, elle veut garder encore un peu de dignité et, malgré l'atroce cuisson de son postérieur sévèrement corrigé, se retient encore pour ne pas manifester sa honte et sa souffrance. Elle sait que sa tante va de faire un plaisir de continuer sa démonstration d'autorité. Surtout devant un public aussi averti que Gladys, dont la réputation de fesseuse expérimentée n'est plus à faire. 

– « Alors ma chérie... comment sens-tu tes fesses après ce petit tour d'échauffement ? S'amuse-t-elle en la toisant du haut de son imposante stature. Tu l'as trouvé comment ta fessée...Hein ? Dis-moi que ton derrière en a bien profité au moins...  Je suis certaine que Gladys brûle d'envie de le savoir... Elle rit. 

Géraldine, loin d'être idiote, sait qu'elle n'est pas en position de contester. L'heure n'est plus aux fanfaronnades.
– Oh oui ma tante ! Pour ça,  il en bien profité... vous avez encore tapé fort... qu'est-ce que ça cuit !
– C'est parfait... Nous allons pouvoir passer à la fessée au martinet. Mais auparavant …  Robin, au lieu de t'esquinter les yeux à regarder les fesses de Géraldine se tortiller, rend toi utile et apporte moi le tube de Dolpic qui est sur le comptoir ! »

La jeune femme sursaute et se tient les fesses à deux mains comme pour se les protéger à l'avance de l'application du terrible baume chauffant. Cette fois ci elle ne peut dissimuler sa crainte.
– « Oh non ma tante... pitié !  S'il vous plaît pas la fessée au Dolpic ! Je vous en prie !
Ça fait trop mal !!
– Aaah on fait moins la fière maintenant hein ? C'est fini le petit ton arrogant de tout à l'heure !  Elle la relève et la courbe sous son bras, ses fesses enluminées tournées vers Gladys et Robin qui savourent le spectacle sans vergogne. 

– Roaaah non... Pitié ma tante... pas le Dolpic ! Pas le Dolpic !!
Astrid se régale et insiste avec jubilation.
– « Mais si ma chérie ! Mais si ! Une bonne friction du derrière avant de recevoir le martinet , après la bonne fessée ce que tu as déjà reçue, je pense que cela te corrigera très bien !  
– Et autre avantage du Dolpic, intervient Gladys, ça empêche d’avoir trop de marques sur les fesses après une correction.
– Tout à fait ... reprend Astrid.  Et ça sera plus agréable de les retrouver en bon état si sa mère décide de lui flanquer une nouvelle fessée ce soir, ou moi demain ! ».

Elle saisit le tube que lui ramène Robin après un aller et retour claudiquant du comptoir au milieu du magasin. Malgré son pantalon toujours baissé, il a presque oublié la déculotté que sa mère vient de lui flanquer il y a une demi-heure.   
– « Pitié ma tante !  gémit Géraldine qui lâche prise progressivement. Pas le Dolpic sur les fesses ! S'il vous plaît,...
– Mais qu'est ce qui te fait croire que je vais t'en mettre sur les fesses ? » Ironise la tante.

Elle a débouché le tube de pommade et s’en enduit soigneusement la paume de la main droite. Elle jubile intérieurement en annonçant la suite.  ;  
– « Tes fesses ne sont pas encore assez rouges ma chérie, j’estime qu’il te faut encore une bonne fessée à la main, avant la suivante au martinet ! »

La malheureuse a à peine le temps de bredouiller quelques protestations, que sa tante, intraitable, l'attrape par une oreille, la force à se relever et la traîne vers le tabouret de discipline ou elle l'installe sur ses genoux.
– « Je vais t'apprendre ce qu'il en coûte de se montrer insolente avec moi ma petite !  C'est une magistrale déculottée qu'il te faut ! Aller, tends bien tes fesses !  »,

En gourmande, elle lui ajuste son slip au milieu des cuisses pour s'offrir une plus grande surface à claquer et la fessée recommence. Cette fois, c'est avec la main recouverte de Dolpic, qui lui enflamme les fesses encore cuisantes de la récente fessée précédente.


Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !

Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 27
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Il y a une suite, oui, le chapitre 29

Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.

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2 commentaires:

  1. Bonjour Ramina,

    Ben dites onc, ça rigole pas chez les Delaniaires !!!
    Cinglantes, la traversée !!! Un peu vicelarde, Miss Géraldine !
    A l'autodérision, elle ajoute une pointe de cynisme pour bien enfoncer l'aiguille. Pas sympa avec son condisciple d'infortune. Rob' doit en être mortifié. Pensez-donc. Courage, champion ! On l'aura au tournant !
    Amicalement. Peter.

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  2. Bonsoir Peter,
    Dans la famille Delaniaires on demande la tante... mais on regrette très vite quand elle décide de s'occuper de vos fesses !!Le nom est bien porté!
    Certes, comme tu dis, un peu cynique la demoiselle. Mais "Tantine" va prendre les choses en main et, chacun son tour. Miss Géraldine va être bien servie aussi, et expérimenter un usage du martinet plutôt original... ça sera pour mardi prochain !
    Amicalement.
    Ramina

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