mercredi 8 avril 2020

Benoit chez Tatie - chapitre 4

Jeudi

C’est l’heure d’aller chercher Michel et Bertrand. Benoit accompagne Tatie.
Tous les quatre retournent à la maison et, comme d’habitude, Tatie leur enlève leurs chaussures et emmène ses deux garçons aux toilettes.

Rien de particulier pendant le déjeuner, à part une gifle pour Bertrand pour avoir fait tomber son couteau (qu’il n’utilise pas !) et une pour Benoit pour avoir pris son verre sans s’être essuyé la bouche.

Petite récréation. Bertrand discute avec Benoit et lui raconte l’humiliation qu’il endure au lycée à cause de sa tenue.
Avant le début des cours ce matin, lui et un autre des garçons en culottes courtes se sont approchés d’un groupe de leurs camarades de classe et se sont vus refoulés:
« - Non, c’est pas pour les petits. C’est une conversation de grands. Allez jouer aux billes »
Rires du groupe. Un autre élève surenchérit:
« Il y a un groupe de sixièmes qui jouent à chat perché. Vous devriez les rejoindre. On ira vous chercher à la reprise des cours »
Nouveaux rires. Les deux garçons, rouges de honte, s’éloignent les larmes aux yeux. Ils ont tous les deux 14 ans et les élèves qui se moquent d’eux ne sont pas plus vieux.

Nouveau passage aux toilettes pour Bertrand et Michel, laçage des chaussures et départ pour le lycée. Benoit est conduit chez la voisine.
« Je vous le laisse 20 minutes. Benoit, dis bonjour et sois sage. »
Benoit a pris son recueil de fables et il en a une à apprendre.

Au retour de Tatie,
« Le petit a été sage ?
- Très sage comme toujours
- Benoit, tu as appris ta leçon ?
- Oui Tatie
- Dis au revoir à madame Voisin
- Au revoir madame, merci madame »
Et madame Voisin donne un bisou à ce grand garçon en culottes courtes et blouse d’écolier.

A la maison, séance pipi obligatoire. Benoit maintenant se laisse faire, mais il a toujours honte.
Il doit remettre son « tablier » puisque son professeur doit venir, et il révise la fable que Tatie lui a demandé d’apprendre.

A 14 heures, on sonne. Tatie va ouvrir.
Mademoiselle Paget n’est pas un professeur, mais en fait une institutrice à la retraite. Habillée assez strictement, coiffée d’un chignon, l’air sévère.
A son école, elle avait la réputation d’avoir de très bons résultats et d’être très stricte. Plus d’un élève, même en CM2, avait reçu des coups de règle sur les mains et passé la récréation au piquet.
Elle n’avait jamais enseigné à des enfants de plus de douze ans. Elle était informée de l’âge et des besoins de Benoit.


« Bonjour madame, je suis mademoiselle Paget
- Bonjour mademoiselle, nous vous attendions.
- Benoit, tu dis bonjour
- Bonjour madame
- Non, Benoit, il faut m’appeler mademoiselle, je ne suis pas mariée. »

«  Voilà donc ce grand garçon à qui je vais faire la classe. Il a quel âge ?
- Benoit a 18 ans
- Je vois que vous lui faites porter une blouse; vous avez tout à fait raison. C’est une habitude qui se perd un peu, mais qui est nécessaire pour ne pas salir ses vêtements. On sait comment se comportent les enfants. 
J’ai plutôt enseigné à des élèves plus jeunes, mais ce n’est pas un problème»
Les deux femmes s’assoient, Benoit doit rester debout, mains dans le dos.

« - Bien. Montrez-moi les résultats des tests de l’autre jour s’il vous plait.
Ah, je vois qu’il y a en effet des insuffisances dans plusieurs matières. N’est-ce pas Benoit ?-
- Oui mademoiselle
- Bien. Nous allons remédier à cela.
Qu’est-ce que je vois ? Des fautes dans les tables de multiplication ? A ton âge ? Récite la table de 7 je te prie »
Benoit rougit et ânonne la table de 7, puis celle de 9.
« - Bien, je vois que tu peux apprendre quand tu veux. Je ne supporte pas les enfants paresseux.
- Ne vous inquiétez pas, mademoiselle, depuis qu’il est ici, j’ai repris en main son éducation et je vérifierai moi-même qu’il sait ses leçons.
- Des problèmes en grammaire et orthographe apparemment. Histoire et géographie c’est un peu mieux, mais ça doit encore s’améliorer.
Par contre, comme vous le savez, je ne peux pas lui enseigner l’anglais.
- Pas de problème. Je suis en contact avec des répétiteurs potentiels.
- Bien. Je voudrais maintenant discuter de son programme avec vous. Il n’a pas besoin être là.
- Benoit, tu peux aller jouer, nous t’appellerons tout à l’heure »

 Benoit s’éclipse, fâché de ne pas être autorisé à discuter de son programme d’études.

L’institutrice et Tatie discutent ensuite des matières à étudier et des horaires.
« - Je dois vous dire que lorsqu’un élève a mal travaillé, ne sait pas ses leçons, n’a pas rendu un devoir en temps, j’ai l’habitude de le punir. Et je fais un mot à faire signer par les parents. Compte tenu que les cours ont lieu chez vous, il n’y a pas besoin de ce mot. Vous serez immédiatement au courant.
- Quelles sont les punitions que vous infligez ?
- Il y a bien sûr des devoirs supplémentaires, des lignes à copier. J’aime aussi donner quelques coups de règle sur les mains, ou parfois sur les cuisses quand l’enfant est habillé court. Aurais-je votre approbation ?
- Cela ne me pose aucun problème; Pour votre information, Benoit ne porte que des culottes courtes et quand il désobéit, je lui donne une fessée.
- Parfait. C’est une punition très efficace mais qui est réservée aux parents.
Puisque nous sommes d’accord, il est temps d’expliquer à votre garçon ce que nous avons décidé
- Vous avez raison. Benoit, viens immédiatement mon chéri »

Benoit arrive et se remet en position debout devant la table.

« - Jeune homme….
- Ne l’appelez pas jeune homme, ça le fait rougir. C’est encore un enfant.
- Soit. Mon garçon, je me suis mis d’accord avec ta tante.  Nous commencerons les leçons lundi
Tu seras en cours de 8 h à 11h30 avec une récréation au milieu.
- C’est pour le pipi Benoit
- L’après-midi, lundi, mercredi et vendredi, cours de 13h30 à 16h30 avec récréation. Ensuite je te quitterai et tu auras des devoirs et des leçons. Mardi après-midi sera réservé à des devoirs sous ma surveillance. Comme tes cousins, tu n’auras pas cours le jeudi.
Je m’occuperai demain d’acheter les livres de classe qu’il te faut. Comme fournitures dans l’immédiat, il lui faut cinq gros cahiers, un stylo à encre, si possible un stylo quatre couleurs, une règle et une carte de France en plastique. »


Cinq cahiers ? Une carte de France d’école primaire ? C’est quoi ce délire pense Benoit. Et Tatie qui précise que la récréation c’est pour aller aux toilettes, quelle humiliation devant son nouveau professeur ! Devoirs et leçons, qu’est-ce que cela va être ? Benoit est inquiet.


Mademoiselle Paget s’en va donc, satisfaite de cet entretien. Comme elle est un peu sadique, pas violente, mais elle aime humilier, elle se réjouit d’avoir à s’occuper d’un garçon de 18 ans manifestement maintenu en enfance.

« - Benoit, je sors chercher les petits. Viens chez madame Voisin. Emmène ton livre.
Nous irons acheter les fournitures demain
- Oui Tatie »

Mauvaise surprise, Martine est là et c’est elle qui accueille Benoit.
« Maman n’est pas là, mais je vais le garder.
- C’est très gentil de ta part, Martine
Benoit soit sage et obéis à Martine
- Oui Tatie 
…..
- Toujours avec ta blouse ? Tu la portes tout le temps ? J’ai vu que tes cousins en portent même en classe ?
- Moi pas tout le temps, seulement quand je dois étudier et c’est uniquement à la maison
- Ta tante a pas l’air commode. Mais je ne comprends pas, tu te salis quand tu apprends tes leçons ??
- Non, je ne me salis pas, mais Tatie veut que je sois comme mes cousins.
- Et bien dis donc, ça doit pas être drôle tous les jours. Pourquoi tu te laisses faire ? Tu as 18 ans, pas majeur mais adulte en principe.
- J’ai pas le choix. 
- Pourquoi ta tante te fait elle porter des culottes courtes ? C’est aberrant à ton âge.
- C’est pour être comme mes cousins. Elle ne veut surtout pas nous laisser grandir
- Tu as d’autres obligations ?
- Pas envie d’en parler »

Benoit n’ aucune envie de parler des fessées (bien que Martine maintenant s’en doute), ni du coucher, de la toilette, etc.
Sa tante arrive à point nommé avec les garçons
« - Benoit, dis merci à Martine
- Merci Martine »

A la maison, mêmes habitudes. Chaussures enlevées, Michel et Bertrand sont emmenés aux toilettes.
Goûter, puis devoirs en commençant par la dictée journalière.
Benoit fait un effort pour se concentrer, mais fait tout de même plusieurs fautes qui lui valent une paire de gifles et l’envoi au coin après avoir recopié le texte deux fois.

Les blouses sont retirées (sauf pour Benoit toujours au coin) et Bertrand et Michel peuvent aller jouer.
Benoit finit par les rejoindre.

18h30 c’est l’heure du déshabillage, du passage aux WC, du bain où quelques claques sont distribuées pour faire obéir les enfants et enfin pyjama.

Dîner sans histoire, jeux, Bonne nuit les petits et la phrase fatidique :
« Les petits, pipi et au lit ».

Vendredi

Après le petit déjeuner,  Tatie informe Benoit qu’elle l’emmène acheter les fournitures une fois les garçons amenés au lycée.
En chemin,
« Tatie, pourquoi cinq cahiers ?
- Tu dois étudier plusieurs matières, c’est pour cela
- Mais quelles matières ? On ne m’a même pas dit. J’ai le droit de savoir.
- Tu as surtout le droit d’obéir sans poser de questions. Ce que je fais, c’est pour ton bien. Après cette année scolaire, tu seras mieux préparé pour le futur.
- Je pourrais aller en fac l’année prochaine alors ?
- Nous verrons. Il faut déjà que tu travailles bien »

Ils achètent sans difficulté les articles demandés par son nouveau « professeur ». Benoit peut choisir la couleur de ses cahiers.
Rentrés à la maison, Tatie demande à Benoit d’écrire sur la première page de chaque cahier
Cahier de Benoit 18 ans
Bien entendu, Tatie lui a mis son « tablier ».
Elle le lui retire plus tard pour aller chercher les cousins.

Retour à la maison, passage aux toilettes pour tous. Benoit ne se fait toujours pas à devoir être emmené faire pipi comme un enfant de trois ans.
Déjeuner. Pas de problème. Pas de gifles ni de claques.

Benoit se voir offrir le choix entre aller chez la voisine ou l’accompagner quand elle emmène les plus jeunes au lycée.
Craignant les questions voire les moqueries de Martine, il choisit de sortir avec Tatie.
Une fois les cousins en classe, elle l’emmène faire des courses; elle cherche des vêtements pour elle. C’est surtout une promenade. Les commerçants la questionnent sur ce grand garçon qui l’accompagne et la félicite de la tenue de ce jeune homme timide mais bien élevé.
Benoit n’oublie pas de dire Bonjour monsieur Bonjour madame, au revoir monsieur au revoir madame, Tatie lui ayant bien précisé qu’un manque de politesse lui vaudrait immédiatement des claques.
Il est déjà mal à l’aise de montrer ses jambes et cuisses nues, il n’a pas envie qu’en plus ses cuisses soient rouges !
Aujourd’hui comme il fait beau, elle l’a habillé d’une chemisette, un petit pull bleu sans manche (vêtement de Bertrand),  d’une culotte courte grise et de chaussettes bleues.
Il a nettement plus l’air d’un jeune garçon de 14 ans que d’un jeune étudiant. Et il le sait !
Par contre, quand quelqu’un demande à Tatie quel âge a ce grand garçon et pourquoi il n’est pas en classe (serait-il malade ?), Tatie répond sans problème que Benoit a 18 ans et suit des cours à la maison.
Et systématiquement, Benoit rougit un peu plus……
D ‘autant que pour quitter le magasin ou s’éloigner des personnes avec qui elle papote sur le trottoir, elle prend fermement Benoit par la main.

Retour à la maison où elle l’emmène faire pipi, puis l’envoie jouer.
Nouveau départ pour aller chercher les deux lycéens.
Séance pipi pour les deux plus jeunes et , comme ils ont en cette premières semaine peu de devoirs et qu’elle compte les faire travailler samedi matin, elle enlève les « tabliers » et les laisse jouer.

Rien de particulier ensuite. Tatie déshabille un par un ses « petits », les fait asseoir chacun leur tour sur la cuvette des WC, les essuie, les lave dans la baignoire , leur mets leurs pyjamas.

Après le dîner, jeux, Bonne nuit les petits, pipi et au lit juste après 20h. Le coucher à 20h30 n’est autorisé que le samedi soir, sauf punitions.

Benoit se tourne et se retourne dans son lit. Une semaine qu’il est là et le voilà traité comme un enfant de trois ans. Que peut-il faire ? Que va t il lui arriver encore ?


Samedi
Rituel immuable du matin. Comme c’est samedi, les enfants sont laissés au lit un peu plus longtemps (interdiction de se lever sans permission) et « réveillés » vers 9 heures. Benoit qui voit l’heure sur l’horloge du couloir calcule qu’ils ont été couchés pendant treize heures. Et Tatie trouve parfaitement normal d’obliger des enfants à des nuits de treize heures.
Donc pyjamas retirés, humiliant passage par les WC (« pipi ou pipi caca, mon chéri ? ») et Benoit qui doit faire son gros besoin reste un peu plus longtemps assis sur la cuvette.
« Tatie, j’ai fini
- Pousses encore, mon grand. Je ne veux pas de tâches dans la culotte »
Pas toujours facile de se rappeler qu’on a 18 ans, surtout quand Tatie vient essuyer le gland puis, en courbant Benoit, lui essuyer les fesses. Honte absolue.
Douche en commun, séchage, habillage. Le tout fait par maman/Tatie avec quelques claques pour l’enfant qui se rebiffe ou n’obéis pas assez vite.

Petit déjeuner, jeux pendant une demi-heure, puis travail scolaire. Benoit n’ayant pas encore de devoirs décidés par son professeur, doit recopier la dictée de la veille et copier trois fois les tables de multiplication par 7, 8 et 9.
Il n’est pas très fier, Benoit, d’avoir ce genre d’activités.

Jeux ensuite jusqu’au déjeuner. Un peu de dispute entre les enfants.
Tatie leur demande ensuite de rester calme et de prendre un livre.

A 14h30,
« - Les enfants, nous allons faire une course. Venez faire pipi. »
Et puis elle leur met leurs chaussures et ils sortent.

Ils croisent des garçons de la classe de Bertrand, garçons en pantalon évidemment, qui lui demandent:
- Bertrand, et ton tablier ? »
Quelques rires et de l’étonnement quand ils constatent que Bertrand est certes accompagné de sa mère et son petit frère, mais aussi d’un garçon qui parait plus âgé, habillé comme les deux autres, et qu’ils n’ont pas vu au lycée. Qui cela peut-il bien être ?

Tatie et les enfants poursuivent leur chemin sans évidemment répondre.
Ils arrivent devant une porte où est indiqué dermatologue.
Ils entrent, ne patientent pas trop longtemps dans la salle d’attente (« les enfants, tenez-vous bien ») et sont introduits auprès d’une femme à peu près de l’âge de Tatie.
« - Michel, tu t’assois là et tu ne bouges plus.
Bertrand et Benoit, venez près de moi.
Docteur, comme convenu au téléphone, c’est pour ces deux garçons
- Très bien, on va voir cela tout de suite »
Bertrand se laisse déshabiller; il est maintenant tout nu et doit monter sur une table recouverte d’une sorte de drap en papier.
« - Voilà, docteur, pour lui ça doit être assez simple. Son début de système pileux autour du sexe, un petit passage sur les jambes et la lotion pour le visage. Ah, j’oubliais, il a déjà un peu de poils sous les aisselles. Il faut s’en occuper aussi. 
Bertrand, tu ne t’inquiètes pas, ça ne fait pas mal.
- Elle va m’enlever mes poils ?
- Bertrand, on ne dit pas elle, on dit docteur. Oui ce sera plus propre »
 Bertrand fait la moue et Benoit commence à paniquer. On va l’épiler aussi ? Lui qui était fier d’avoir un début de poils aux jambes et des poils plus fournis autour du sexe, et qui scrutait dès qu’il en avait l’occasion l’apparition encore inexistante d’un début de barbe. Barbe veut dire adulte et plus de culottes courtes et de fessées !
Pendant que la dermatologue s’occupe de Bertrand, il faut le dire avec douceur, Tatie entreprend de déshabiller Benoit.

Et elle va claquer les cuisses de Michel qui gigote trop.
Benoit très gêné met ses mains devant son sexe.
« - Benoit les mains dans le dos, ou alors c’est sur la tête avec une fessée »

Le traitement de Bertrand ne prend pas beaucoup de temps. Elle termine par une lotion qu’elle lui met sur le visage.
« - Bien, pour lui la lotion ce sera une fois par mois. C’est suffisant. Et je n’ai pas besoin de le revoir avant un an.
- Bertrand, dis merci au docteur. Benoit c’est ton tour »

Bertrand rejoint Michel et Benoit s’allonge sur le lit, plein d’appréhension.
« - Tatie, pourquoi, c’est pas nécessaire.
- Ne dis pas de bêtises. C’est pour ton bien et ce sera beaucoup plus propre »

La dermatologue attaque les jambes très peu poilues de Benoit, le met sur le ventre pour continuer le travail, s’occupe ensuite de son sexe, puis des aisselles, puis, à la demande de Tatie, à ses bras pourtant presque imberbes.
A la fin, lui aussi a droit à la lotion mystère sur le visage.
Ça n’a pas été douloureux, mais ça a pris beaucoup p plus de temps que pour Bertrand.
« - Voilà, c’est fini pour lui. Vous me l’amènerez d’ici un mois pour une visite de contrôle et peut être un deuxième passage. Pour la lotion, ce sera une fois par semaine. Vous lui mettez le soir et il la garde toute la nuit. »

Tatie qui a déjà rhabillé Bertrand habille maintenant Benoit. Il regimbe un peu, mécontent de ce que l’on vient de lui faire. Une claque sur chaque fesse le fait tenir tranquille.


A Suivre…


Voyons, voyons...

Si nous n'en sommes plus au premier chapitre, c'est qu'il y en a eu un autre avant. Mais où est-il ? Ah oui, le voilà : chapitre 3

La suite ? Eh bien elle est annoncée

Bruno nous a écrit le chapitre 5.

Alors ? Vos impressions ?

Si je vous dis que Bruno les attend avec impatience, ça vous étonnera vraiment ? Vous pouvez également lui en faire part directement : Bruno

1 commentaire:

  1. Bonjour,
    Aucun commentaire. Dommage. Peut-être que ce chapitre ne vous a pas intéressé. J'espère que les suivants vous plairont davantage
    Bruno

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