vendredi 17 avril 2020

L'institut de Madame Rose - chapitre 9

Monique Dumon avait enfin trouvé une solution pour le problème de la jupe ultra courte que madame Costa avait exigé qu'elle porte le samedi pour sa retenue. Elle s'était adressée à sa retoucheuse habituelle madame Laval, elle lui avait expliqué qu'elle voulait faire raccourcir une de ses jupes car elle était invitée à une soirée à thème et elle voulait s'habiller en collégienne anglaise.
Quand elle s'était présentée pour le premier essayage, madame Laval lui avait fait remarquer que c'était vraiment très court, un peu gênée Monique avait insisté. Quand elle eut mis cette jupe, elle se rendit compte immédiatement du problème, en effet, dès qu'elle se penchait, elle découvrait sa culotte. Ce jour-là elle portait une fine culotte en dentelle, ce qui lui attira cette remarque un peu moqueuse de sa retoucheuse.
- il va falloir faire attention madame Dumon, sinon tout le monde va voir votre culotte, si vous voulez mon avis, il va falloir mettre des dessous un peu plus sage.
Monique en rougissant lui avoua qu'elle n'en avait pas.
- oh si ce n'est que ça, ne vous inquiétez pas, j'ai ce qu'il vous faut.
Elle s'absenta quelques instants et revint avec une culotte petit bateau en coton blanc
- tenez, c'est ce genre de culotte que j'ai fait porter à ma fille jusqu'à ses vingt ans, je n'ai jamais supporté les dessous affriolants. Je pense qu'elle va vous aller, essayez-la.
Un peu gênée par ces remarques et soucieuse de ne pas exposer ses fesses qui portaient encore les traces de la fessée du matin Monique hésitait mais madame Laval qui lui avait dit en riant
- aller, ne soyez pas gênée, on est entre femmes et vous savez j'en ai vue des paires de fesses.
Elle se décida à se déculotter, elle passa sa main sous sa jupe et fit glisser sa petite culotte qu'elle posa sur la chaise, malgré son désir de discrétion, la retoucheuse avait bien vu la couleur rouge qui illuminait encore ses deux fesses, elle avait légèrement souri. Elle avait lu récemment un reportage sur le retour de la fessée, certaines dames appréciaient semble-t-il de se faire rougir les fesses. Ainsi sa cliente était une adepte du pan pan cucul. Elle l'a regarda remonter la culotte de petite fille, c'est vrai qu'elle ressemblait plus à une collégienne qu'à une bourgeoise d'une quarantaine d'années, une idée lui traversa l'esprit, puisqu'elle semblait aimer montrer ses fesses, autant lui faire plaisir.
- alors comme ça, on a pas été sage, on a reçu la fessée.
Monique sursauta et bredouilla
- euh, enfin non, pardon
Depuis quinze jours qu'elle était régulièrement soumise à ces punitions de gamine, elle avait inconsciemment intégré que n'importe qui pouvait l'a menacé d'une fessée et au lieu de protester elle se défendait maladroitement. Madame Laval souriait, elle l'a saisi par la main l'a fit pivoter et la courba rapidement sous son bras. Elle était solide et elle n'eut aucun mal à placer sa cliente dans une position idéale pour la fessée. La jupe s'était naturellement relevée découvrant la culotte, en un instant elle l'a fit glisser sous les fesses
- eh bien dites donc, ça a dû claquer sérieusement sur ce petit derrière. Elle claqua une dizaine de fois les fesses tendues, Monique protesta et trépigna sur place mais c'était trop tard, elle était redevenue à nouveau une gamine qu'on déculotte à la moindre occasion. Madame Laval la relâcha et saisi une chaise sur laquelle elle posa son imposant derrière puis calmement elle reprit Monique par la main et l'a fit basculer en travers de ses cuisses, la jupe se retroussa toute seule, elle descendit un peu plus la culotte.
- bien passons aux choses sérieuses, une bonne fessée par maman, voilà ce que vous méritez
Et pour une bonne fessée, s'en fut une, madame Laval était une adepte des méthodes traditionnelles et sa fille avait goûté jusqu'à ses dix-huit ans la fessée déculottée et pas pour de rire comme elle disait, des fessées qui vous laissent un derrière fumant. Celui de Monique ne fumait pas, mais il présentait une magnifique couleur rouge écarlate, elle fut conduite immédiatement au coin pour exposer ses fesses nues. Décidément les fesseuses avaient toutes les mêmes habitudes, il fallait aller faire refroidir ses fesses nez au mur. La sonnerie retentit, madame Laval intima à Monique l'ordre de ne pas bouger sous peine d'une nouvelle fessée et elle alla ouvrir, c'était une cliente. Monique était morte de honte à l'idée d'être découverte dans cette tenue mais instruite par les fessées reçues à l'institut, elle ne bougea pas. Heureusement, madame Laval fit patienter sa cliente dans le hall, elle revint vers Monique.
- bien vous pouvez vous rhabiller, je vous attends vendredi pour l'essayage définitif, amener des chaussures plates et un chemisier blanc que l'on puisse juger de l'ensemble. Monique acquiesça, en sortant, elle croisa la cliente qui attendait, c'était une collègue, elle abrégea la conversation, ses fesses cuisantes lui rappelait sa condition de punie.
Le vendredi, elle se présenta chez madame Laval avec le reste de sa tenue, celle-ci avait disposé sur une chaise la jupe et la culotte blanche, Monique en rougissant fit un petit strip-tease, la retoucheuse remarqua à nouveau les fesses encore rosées. Quand elle eut fini, elle se regarda dans la glace, on aurait dit qu'elle avait rajeunit de 25 ans. Madame Laval lui confirma immédiatement en s'asseyant sur une chaise et en lui faisant un signe explicite, Monique compris qu'elle n'échapperait pas à une nouvelle fessée déculottée. Quelques instants plus tard elle exposait une paire de fesses bien rouge au coin de la pièce. En 2 semaines c'était la quatrième personne qui lui avait fait subir ce châtiment enfantin et à chaque fois elle n'avait pas pu résister, elle avait dû montrer ses fesses nues. Elle pleurait doucement autant de la cuisson qui envahissait son derrière que de l'humiliation d'avoir été troussée et déculottée comme une gamine. Elle se doutait bien qu'à présent madame Laval ne se gênerait pas pour recommencer.
Elle se présenta chez Florence Costa le samedi à 14h, elle avait mis sa tenue mais pour ne pas se faire trop remarquer elle avait mis par-dessus un manteau qui cachait sa mini-jupe. Elle fut surprise de prendre l'ascenseur en même temps qu'une jeune fille qui se rendait également chez madame Costa. Celle-ci les accueilli avec un grand sourire
- ah, voilà mes deux chipies, entrez
Monique regarda sa voisine, elle devait avoir à peine 18 ans, ce n'était pas possible, elle n'allait tout de même pas recevoir la fessée devant cette gamine. Florence lui enleva tout espoir,
- Monique, je te présente Vanessa, une de mes élèves, elle est punie comme toi, vous allez passer vos 4h de colle ensemble. Bien je vous rappelle pourquoi vous êtes là, toi Vanessa, tu m'as rendu un devoir bourré de fautes et ce n'était pas la première fois, tu vas donc me le recopier 100 fois, quant à toi Monique, tu as désobéi en ne me rendant pas la punition que je t'avais donnée. Pour commencer vous allez recevoir chacune une bonne fessée déculottée, vous verrez, on travaille mieux avec des fesses bien chaudes. Monique enlève ton manteau et approche.
Madame Dumon était tétanisée, sa tenue de collégienne, le fait que madame Costa la tutoie et enfin l'annonce de la fessée, tout cela la ramenait des années en arrière au pensionnat où elle avait passé son adolescence, les professeurs ne donnait pas la fessée, mais à l'internat quelques pionnes un peu vicieuses ne se gênait pas pour baisser les culottes de pyjama ou trousser les chemises de nuit. Plus d'une fois elle avait dû dormir sur le ventre après une sévère déculottée publique.
Florence s'était assise sur une chaise et elle avait basculé Monique sur ses genoux, la courte jupette ne protégeait pas la pudeur, elle s'était d'elle-même retroussée dès la mise en position, Monique senti avec horreur que sa culotte descendait sur ses fesses, elle savait que Vanessa se délectait du spectacle d'une dame d'âge mur prête à recevoir une fessée déculottée. Florence se contenta de descendre la culotte juste sous les fesses et calmement elle commença à administrer à Monique sa première fessée de l'après-midi, elle fut assez courte mais suffisamment claquante pour que Monique exécute une très jolie danse des fesses. Vanessa au début avait souri devant le spectacle mais quand ce fut son tour elle fit la grimace. Monique à son tour pouvait profiter du spectacle, la jeune fille était bien pourvue au niveau postérieur, elle présentait maintenant une magnifique paire de fesses blanches, serrées l'une contre l'autre, la culotte à petite fleur avait suivi le même chemin que pour Monique. La fessée se mit à pétarader dans la pièce et Vanessa ne fut pas en reste question jeu de jambes. Une fois remise sur pied, elles durent se tourner pour présenter leur croupes écarlates à leur institutrice.
- voilà, ça c'était pour vous rappeler pourquoi vous êtes là, mais rassurez-vous j'en ai encore d'autres à votre disposition. Vous allez vous mettre au coin pendant 10 minutes, mains sur la tête, le nez au mur et je ne veux rien entendre. Elle les laissa ainsi à exposer côte à côte leur fessier rougis, ce fut Vanessa qui rompit la première le silence, à voix basse elle s'adressa à Monique
- dis, pourquoi tu es là toi, tu n'as plus l'âge de recevoir la fessée.
Monique hésitait à répondre, elle savait d'expérience qu'il valait mieux se tenir à carreaux quand on était au coin sous peine d'une cuisante sanction, mais Vanessa insistait, elle tourna la tête et vit que la pièce était vide, elle répondit rapidement
- c'est un peu compliqué, enfin, voilà j'ai besoin de prendre des cours
- moi c'est pareil, c'est ma mère qui connaît madame Costa, elle a proposé de me donner des cours, à condition qu'elle puisse utiliser sa méthode, ma mère est d'accord pour la fessée, et la tienne.
Monique se rendit compte que Vanessa la mettait au même niveau qu'elle puisqu'elle recevait la fessée, il fallait que quelqu'un en ait donné l'ordre, elle pensa à sa mère, que dirait elle en la voyant dans cette position, un petit frisson l'a parcouru peut-être serait-elle d'accord et même plus, peut-être que ça lui donnerait l'idée de lui administrer une fessée à son tour. D'ailleurs elle savait comme tout le monde ce qui se passait à l'internat de la pension et ne s'en était jamais émue, peut-être trouvait elle la une occasion de punition par procuration. Elle en était là de ses pensées quand la voix de Florence Costa retentit dans la pièce
- je crois que vous n'avez pas bien compris, je pense que je vais vous faire rentrer mes consignes par les fesses mesdemoiselles, venez ici toutes les deux.
Elle tenait une grande règle plate en bois, elle leurs indiqua la table, penchez-vous là et tendez bien vos fesses, la première qui bouge aura droit en plus au martinet. Les deux punies se mirent en position, les deux paires de fesses étaient bien présentées, encore rouge de la fessée précédente, les fesses larges et potelée de Vanessa et les fesses plus rondes de Monique. Madame Costa leva la règle et appliqua le premier coup en travers du fessier de Vanessa, elle hurla sous la cuisson et tapa du pied par terre, le deuxième coup l'a surpris au moment où elle relâchait ses muscles, elle poussa un nouveau cri et fit mine de se relever
- attention Vanessa, gare au martinet
Cet phrase eut raison de la jeune fille qui subit sa fessée stoïquement. Une trentaine de coups de règle plus tard, les fesses de la jeune fille était à nouveau rouge écarlate avec quelques marques plus foncées là où la règle avait frappé un peu plus fort. Pendant toute la durée de la punition de sa compagne, Monique n'avait pas bougé si ce n'est qu'elle serrait inconsciemment ses fesses à chaque claquement de la règle sur la croupe de Vanessa. Ce fut son tour, elle connaissait la brûlure de la fessée à la règle plate, Florence lui avait déjà fait goûter cet instrument à visée aussi bien pédagogique que punitive. Comme sa collègue elle trépigna sur place mais ne broncha pas, la crainte du martinet était trop forte. Madame Costa se recula pour contempler son œuvre, les deux paires de fesses étaient parfaitement colorées.
- bien, j'espère que vous avez compris, quand on est au coin, on ne bouge pas et on ne parle pas. Monique tu es la plus âgée, tu es donc plus fautive, tu vas venir sur mes genoux et je t'assure que tu vas retenir la leçon.
Monique failli protester, c'était injuste, car c'était Vanessa qui avait commencé à parler mais sachant que toute protestation pouvait valoir une fessée supplémentaire elle obéit sans mot dire et quelques instants plus tard, couchée en travers des cuisses de madame Costa elle battait l'air de ses jambes au rythme de la fessée que lui administrait son institutrice. Vanessa était très impressionnée de voir une dame qui aurait pu être sa mère être traitée de la sorte. Quand Monique put se relever des larmes de honte et de douleur coulaient sur ses joues. Elle avait l'impression que de jour en jour elle retombait en enfance, aujourd'hui, elle était une élève dissipée que l'on puni devant toute la classe, hier une collégienne troussée, culotte baissée, couchée sur les genoux de madame Laval, progressivement elle intégrait dans son inconscient que se faire déculotter et fesser même en public ça pouvait être normal même quand on a dépassé largement les 40 ans.


Sylvie nous a déjà gratifiés de plusieurs récits.

Vous trouverez le premier ici et l'ensemble de ceux-ci sur la page des auteurs invités

Et celui-ci comporte un épisode précédent

Vous pouvez le lire pour savoir ce qui s'est passé auparavant dans l'institut de Madame Rose : chapitre 8
Ou bien tout reprendre au début : Chapitre 1

Et il y a une suite...

... le chapitre 10.

Et toujours les commentaires

Une nouvelle série qui commence, un nouvel épisode publié, cela mérite bien quelques mots d'encouragement... ou le contraire.

11 commentaires:

  1. Bonjour Sylvie...si un mauvais devoir menait a la fessée déculottée ce serait terrible..déjà qu'avec la cigarette. Enfin bon. Merci pour ce récit captivant

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  2. Sylvie !

    "n'importe qui pouvait l'a menacé" au lieu de "la menacer" puis "pour une bonne fessée, s'en fut une" au lieu de "c'en fut", ce sont TROIS fautes lourdes en quelques lignes.

    Vous êtes une auteure triplement fautive, a minima d'une négligence coupable.

    Dans la logique même des principes que vous mettez en œuvre dans vos récits, ne pensez-vous pas qu'il y a lieu de corriger les fautes et la fautive et que des excuses circonstanciées soient rédigées pour juger de la repentance de la délinquante ?

    Au plaisir de vous lire,

    Doumik

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    1. Mon cher doumik, vous avez entièrement raison, d'ailleurs j'ai remarqué ces fautes à la lecture de mon texte ce matin, ces fautes sont inadmissible et mérite sanction et comme vous le notez justement la seule sanction adaptée est une bonne fessée déculottée et quelques exercices de conjugaison à faire assise sans culotte à sa table de travail. Je vais voir qui peut se charger de ma punition. En attendant de me retrouver au coin avec les fesses rouges je vous prie d'accepter toutes mes excuses.
      Sylvie

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    2. Chère Sylvie,

      J'apprécie pleinement votre lucidité, votre bonne volonté, et votre envie d'assumer concrètement.

      Je ne peux que noter que ces fautes sont "inadmissibles" avec un "s" et que pour la quatrième fois vous avez fait preuve de négligence coupable, ce qui aggrave votre cas.

      Par ailleurs, si j'accepte bien volontiers vos excuses sincères, j'observe également qu'elles auraient dû s'adresser à tou(te)s les lecteur(trice)s.

      Si vous êtes en région parisienne et que vous êtes intéressée, au-delà de punitions non corporelles, je peux vous donner un coup de main, de façon aussi ferme que bienveillante et constructive, pour l'administration de votre punition. Vous pouvez accéder à mes coordonnées dans l'onglet "fessosophie" au bas de l'article "coaching privé directif pour adultes".

      Au plaisir de vous lire,

      Doumik

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  3. Ma chère Caroline, si la fessée est formellement déconseillée chez les enfants, elle est particulièrement recommandée chez les jeunes femmes comme vous, particulièrement si elle est déculottée et suivie d'une mise au coin.
    Amicalement
    Sylvie

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    1. J'en ai bien conscience, croyez moi.
      Mais de là à la mériter, ça reste à priver lol

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    2. Caroline, vous cherchez la main qui vous claquera les fesses, vous écrivez trop vite, priver au lieu de prouver...attention...
      Sylvie

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    3. Je serai quand même curieuse de voir un exemplaire du contrat de l'institut de Mme Rose....

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  4. Je vois que vous ne laissez rien passer... Mais j'y echappe encore...bises

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  5. Vous "y" échapperez tant que vous n'assumerez pas Caroline, le reste n'est que bavardage. Faites-vous confiance…

    Doumik

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  6. Bonjour Sylvie, Je trouve que votre histoire "Mme Rose" est un sujet vraiment passionnant. Vous introduisez de nouveaux personnages...tout aussi claquants ! Continuez c'est génial !

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