mardi 28 avril 2020

Ces dames aux mains fermes - saison 3 - chapitre 30

LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE

UN DERRIERE, CA SE PREPARE !

Rodolphe, responsable d’avoir répandu les propos maladroits de Robin sur Bettina, présentée comme étant un peu dérangée à cause de ses frasques, se préparait, lui aussi ,  à affronter une terrible séance de représailles au domicile de l'outragée. Il se leva, ce matin-là, le derrière encore sensible de sa fessée de la veille. Clarisse, à l'instar de Gladys avec son fils, s'était fait un devoir d'anticiper sur la séance de correction et de repentance prévue pour le lendemain. Les deux garçons, taraudés par la crainte de la fessée qui leur était promise de la main, et sans doute du martinet de Bettina, n'en menaient pas large en ce début de journée.

L’idée que Robin allait recevoir la même déculottée que lui ne consolait pas Rodolphe pour autant... Le petit monsieur, toujours fourré dans les coups tordu, quand il ne les inventait pas,  s'était rendu complice de médisance... Il devait maintenant rendre des comptes. Il aurait voulu s’enfuir, se glisser dans un trou de souris et n’en ressortir que le danger passé. Il ne pouvait même pas espérer un geste de clémence venant de sa mère qui, s’était engagée auprès de Gladys et Bettina. Ils avaient mis en cause l'honneur de leur famille, ces Dames attendaient qu'elle leur inflige un châtiment d'une sévérité exemplaire en guise de réparation.  Elles n'allaient pas être déçues, leur fantasque voisine, un peu perverse sur les bords, était naturellement sans limite dans ce domaine. Ce serait encore une séance de fessées, d'autant plus magistrales, que personne ne semblait enclin au pardon. Les deux garçon s'étaient comportés comme des petits voyous, ils méritaient tous les deux une sévère correction et ils allaient l'avoir. Contrat de confiance éducative, service après-vente façon Bettina.

Durant toute la matinée, Rodolphe et son beau-père, ce dernier, toujours méfiant lorsque son derrière était mis en alerte rouge fessée, s'efforcèrent de faire profil bas pour essayer de se préserver d'une soudaine avalanche de claques.  Douglas savait, par expérience, que Clarisse en colère, pouvait passer sans sommation d'une paire de fesses à l'autre, sans véritable raison, sinon celle fallacieuse de ne pas faire de jalouses. Dans ces cas-là il valait mieux essayer de les mettre aux abris, par une attitude plus qu'exemplaire, une obéissance absolue, le petit doigt sur les élastiques du slip. C'était ça, une stricte discipline domestique !

 Mais, Clarisse ne semblait pas leur prêter une attention différente que celle des autres jours.  Douglas, de service au rayon entretien de la maison,  s’appliquait à faire un ménage approfondi comme le lui avait ordonné son exigeante épouse.  Chacun devait apporter sa contribution aux tâches ménagères surtout ces messieurs, Douglas en tête de gondole, avec bien évidemment fessées à la clé si le travail n'était pas bien fait...Ce qui arrivait régulièrement, étant donné le niveau d'exigence de la maîtresse de maison. Elle lui faisait laver le sol de la cuisine, toujours à genoux, déculotté, le slip en travers des cuisses pour disposer rapidement de ses fesses à la moindre négligence.  Avec un tel stimulant, on pouvait contempler le reflet écarlate de son derrière dans un carrelage si brillant, et tellement propre, qu'on aurait pu manger parterre.
Il était maintenant occupé à nettoyer toutes les vitres sans perdre de temps lorsque Clarisse s'approcha pour en vérifier la transparence. Les sourcils levés, en une interrogation muette, elle pointa son index vers une trace de doigt en le regardant avec une sourire goguenard.
– « C'est quoi ça Douglas ? Dit-elle d'un ton doucereux. C'est comme ça que tu nettoies les vitres maintenant ? »
 Elle n'eut pas besoin d'en dire plus. Le malheureux savait ce que cela voulait dire et, bien dressé, sans un mot, il commença aussitôt à se déculotter pour prendre sa fessée. Elle la lui mit, plié en deux sur sa cuisse relevée en pont, le talon aiguille posé sur une marche de l'escabeau qui lui servait à nettoyer les carreaux.
– « Nous avons tout notre temps ! dit-elle en lui claquant méthodiquement le derrière parfaitement présenté. Le rendez-vous chez Bettina n'est qu'en début d'après-midi. Je veux voir les vitres, aussi reluisantes que tes fesses quand j'en aurais terminé avec. ! 
– Ouille ! Aiiie !!! Pas... pas si fort, chérie ! La... La fessée... simplement pour une petite trace de doigt !
– Mais bien sûr la fessée ! Et là ce ne sont pas juste des petites traces de doigts sur les fesses qu'on va voir mon chéri, mais celles de ma main tout entière ! Quand je te demande de faire carreaux je les veux parfaitement propres ! Sinon... ne fais pas l'étonné, tu connais le tarif... c'est la fessée ! »

fessée déculottée


– Ah oui chérie... mais quand même … Roaiiiiie !! Aïe !! La fessée pour...
–.Ça suffit ! Monsieur est habitué à ce qu'une femme de service vienne ranger son bureau tous les soirs. Et bien ici c'est l'inverse. Il est temps que tu apprennes ce que c'est que de faire le ménage. Avec ma main sur tes fesses à chaque fois que tu bâcles le travail ! » 

Son chiffon dans une main la bombe de produit à carreau dans l'autre, Douglas se prend sa fessée en poussant des gémissements, tortillant frénétiquement du derrière sur la cuisse gainée de nylon de son épouse. Celle-ci tout en lui claquant de vigoureux allers et retour sur les fesses interpelle son fils, resté prudemment à l’écart.
– « Rodolphe... Viens ici... tout de suite ! Viens voir la belle danse des fesses que nous fait ton beau-père... Ça va te donner un aperçu de ce qui attend les tiennes tout à l'heure chez Bettina ! » 

Le garçon obéit sans discuter, mais, compte tenu des circonstances, avec beaucoup moins d'enthousiasme que d'habitude, quand sa mère le fait assister aux corrections de son beau-père. Celui-ci, à peine reculotté, dû finir ses carreaux, en larmes, le postérieur en feu, après une deuxième fessée à l'escabeau, à cause d'une légère projection de produit à vitres sur les rideaux. Clarisse, comme toutes ses amies, partait du principe qu'une bonne   discipline conjugale passait par une exigence de respect et d'obéissance de tous les instants. Elle considérait donc qu'une paire de fesses bien rouge, était le meilleur moyen d'en faire accepter les principes. Les démonstrations d'autorité devaient donc se faire le plus souvent possible, à la moindre occasion. 


Dans le même temps, chez Gladys, l'atmosphère d'avant punition, était aussi lourde qu'une grosse claquée sur un derrière déculotté. Le nez plongé dans un livre d'économie, Robin, à la table du salon, sous surveillance de sa mère, faisait semblant de travailler. En réalité, il se morfondait en ne pouvant chasser de son esprit la cuisante fessée qu’allait lui flanquer Bettina. Il espérait, que les corrections qu'elle avait reçues de son mari à cause de ses écarts de comportement, ne l’incite pas à se montrer encore plus sévère. Par phénomène de compensation et pour mettre en application ce qu’elle proclamait si fort d’habitude, quand elle se régalait de le voir se ramasser des déculottées par sa mère. Il maudissait Rodolphe, sans toutefois le soupçonner de mauvaises intentions, mais seulement de bêtise, pour avoir trahi sa confiance dans le but de se rendre intéressant...Eh bien, il allait être servi avec Bettina....Il espérait bien qu’elle allait lui tanner ses grosses fesses encore plus fort qu’à lui, à ce crétin !

Ils déjeunèrent pratiquement en silence. Gladys n’était guère loquace, Edouard, faux jeton comme à son habitude, se méfiant, lui aussi, de la séance de punitions prévues chez Bettina, s’activait pour prévenir ses désirs, respectant son silence et ne prenant la parole que pour lui répondre ,
– « Tout de suite Gladys ! Bien sûr... Oh ! Pardon ma chérie, excuse-moi, ne bouge pas, je le fais immédiatement ! »
Il savait pourtant que Gladys ne supportait pas cette attitude grossièrement servile, qui finit d'ailleurs par l'agacer.  Au moment où il s'y attendait le moins, elle lui flanqua une grand claque en pleine figure au milieu du repas . Il en perdit sa fourchette et son couteau qui voltigèrent sur le carrelage de la cuisine. 
« Arrête ça tout de suite Edouard ! Tu m'énerves avec tes simagrées ! Tu crois que je ne vois pas ton petit manège ?
--Mais... mais chérie , je t'ass...
– Qu'est-ce que je viens de te dire... Tu continues !... Tu veux discuter ?  Baisse ton pantalon, et déculotte-toi ! Tu vas finir de manger comme ça, le derrière à l'air, prêt à claquer... Encore un mot de travers avec ce comportement idiot, et je te mets une fessée avant de partir !... Maintenant, ramasse tes couverts que tu as fichu par terre et finit ton assiette ! ».

On n'entendit plus Edouard,  jusqu'à la fin du repas. Le déjeuner était terminé. Robin, la gorge nouée, n’avait pratiquement rien avalé. Vers quatorze heure, Gladys annonça qu’il était temps de se rendre chez nos voisins. Pris de panique, l’idée le saisit brusquement qu’il fallait absolument qu'il se rende aux toilettes bien que n’ayant pratiquement rien bu durant le repas. Il était soudain empli de la crainte de faire pipi de trouille sur les genoux de Bettina ce qui, à l’évidence, n’arrangerait rien pour lui ! Quand il sortit des toilettes, sa mère l'attendait avec Edouard.
– « Ce n'était pas la peine de te reculotter, dit-elle en lui faisant signe de s'approcher.  ; tu vas y aller en tenant ton pantalon baissé !
– Mais maman... tout le monde va voir mes f...
– Tes fesses ! ...Mais c'est ce que je veux, bien sûr !... Que les gens voient tes fesses pour bien montrer que tu es puni et que tu vas recevoir une correction ! »

Elle l'attira à elle et, soigneusement, tira au maximum sur les élastiques de son slip pour les lui rentrer dans la raie des fesses et, ainsi, les dégager presque entièrement.

– « Voilà, comme ça tout le monde va pouvoir en profiter, et moi aussi d'ailleurs ! »

L'occasion était trop bonne et le derrière, ainsi présenté, devenait une véritable provocation. Elle le courba sous son bras et lui administra une vingtaine de claques bien appliquées qui ravivèrent la couleur de ses fesses et la douleur de la fessée de la veille. L’attrapant ensuite par une oreille, elle se dirigea vers la porte en faisant claquer ses hauts talons et en dandinant le postérieur...

– « Edouard, cette fois tu fermes bien à clé derrière nous... Souviens-toi que ça t'a valu un fessée déculottée sur le trottoir la dernière fois que tu as oublié en sortant ! »
– Oui chérie... je ferme à clé ; »

Gladys marchait vite sans se préoccuper des deux hommes. Edouard avait du mal à suivre son pas, et Robin, toujours fermement tiré par l’oreille, trottinait près d'elle en retenant, à deux mains, son pantalon baissé sur ses cuisses. Il n’avait pu s’empêcher de se mettre à pleurnicher, à la fois parce qu’elle lui faisait mal et qu'il redoutait la terrible fessée qui l’attendait.
 Il était possible de passer d’un jardin à l’autre mais la perverse maman, avait décidé de le faire passer par la rue pour l'obliger à bien exposer ses fesses au regard des passants. Même si le trajet n'était pas très long, c'était suffisant pour lui infliger une bonne dose d'humiliation avant sa correction.

Elle sonna au portail. Walter apparut, visiblement un peu éméché.  Après avoir bredouillé une sorte de.
« Ah ! Aaaaah bon...jour ...vous... vous voilà... Bettina vous attendait avec... avec impatieeence... »
. Il les emmena dans leur jardin. Celui-ci était un peu plus grand que le leur et une terrasse recouverte de gravier jouxtait leur maison. Une table de jardin en métal trônait au centre entourée de deux canapés d'extérieur et quelques chaises de même fabrication .

Walter semblait content de l'arrivée des voisins et, par contre, semblait ignorer Robin qui, il est vrai se faisait le plus discret et le plus timide possible. Il semblait s'adresser à Edouard comme il l’aurait fait à un copain de longue date qui serait venu lui rendre visite. En réalité il n’avait d’yeux que pour Gladys, dont il lorgnait ostensiblement la petite jupe de tailleur remplie à craquer d’une paire de fesses bien rebondies qui manifestement ne le laissait pas indifférent.
Malgré l'extrême sévérité de sa mère, Robin avait découvert qu'il éprouvait une sorte de sentiment de jalousie ou de propriété à son égard. Il détestait qu’elle fasse l’objet de la convoitise des hommes en général. Mais ce jour-là, il devait reconnaître honnêtement qu'il était bien content de n’être pas, pour le moment, le point de mire de l'assistance. En outre, il avait remarqué, à son élocution en dérapage incontrôlé, que Walter semblait en avoir un “léger coup dans l’aile” comme on dit...

Celui-ci les entraîna vers son “salon de jardin” et d’une voix tonitruante clama à Edouard,
–« “ Tiens, on va d’a... d'abord boire un bon coup !!! »

Edouard jeta un regard un peu perdu vers Gladys comme s'il attendait son autorisation. Ça sentait l'embuscade, pas du tout prévue au programme. Elle le laissa se débrouiller avec son récent ''ami de toujours', se réservant l'excellent prétexte de lui flanquer une bonne fessée à la maison en cas de retour alcoolisé.
 Sur la table métallique étaient posés une bouteille en grès et deux verres. Walter proclama avec fierté et solennité dans la voix.
« Tu... Tu vas voir, c’est du bon Genièvres... pas fabriqué avec des po... pommes d’arrosoir ! Tu vas m'en dire des... des nouvelles ! »
Mis à part un Whisky que son épouse lui imposait de prendre avec elle, pour trinquer au bon déroulement d'une fessée particulièrement sévère, Edouard ne buvait pas autre chose que de la bière, et sans exagération. Il n’osa refuser le Genièvre et son verre était plein avant qu’il dise quoique ce soit  !

A mi-distance entre la maison et la table où s’étaient installés les deux hommes,  Gladys,
guettait l’apparition de Bettina et commençait à s'impatienter.  Elle était à la fois flattée et contrariée de se sentir détaillée par ce mal élevé de Walter qui se régalait à soupeser ses rondeurs en même temps qu’il savourait son alcool. Elle aimait attirer les regards sur son opulent fessier, mais pas celui du mari de sa voisine en état de semi-ébriété. Pas étonnant qu'elle ait eu un peu envie d'aller voir ailleurs.

Robin, sans nul doute encore plus embarrassé que sa mère, était docilement resté auprès d’elle, attendant avec impatience l’arrivée de Rodolphe... malgré tout ce qu'il avait à lui reprocher...
Walter ayant lampé son verre et en proposa un autre à Edouard qui avait à peine entamé le sien et, craignant des représailles par la suite, put cette fois décliner l’offre.

–  « Euuuh... merci … Pas tout de suite ...un peu plus tard . »
-        
Ce qui n’empêcha pas Walter, sur sa lancée, de se servir un deuxième verre qu’il avala d’un trait et de le remplir une troisième fois, en se contentant provisoirement d’une nouvelle gorgée .

Enfin, Bettina descendit les quelques marches de son perron, vêtue d’une ces petites jupes noire à poix très courte, qu'elle affectionnait particulièrement et d'un bustier qu’emplissait sa poitrine généreuse. Ses talons aiguille claquaient bruyamment sur la pierre. Elle s’excusa de son retard. Elle venait à l’instant de recevoir un appel de Clarisse qui partait de chez elle pour amener son fils et l’avait prévenue qu’elle devrait repartir après l’avoir déposé, car elle avait un rendez-vous important chez sa coiffeuse. Rodolphe rentrerait chez lui à pied après avoir reçu la bonne fessée qu’il méritait...

Gladys s’étant rapprochée de Bettina, Robin se trouvait à peu près à la même distance des deux groupes et il restait là en attendant l’arrivée de Rodolphe qui marquerait sans nul doute le début de la séance de corrections ! Contrairement à son mari, Bettina le regardait sans arrêt et, grâce à son pantalon baissé, pouvait tout à loisir, lui soupeser le derrière du regard, pour se régaler à l'avance de la sévérité de la fessée qu'elle allait lui administrer. Il sentait ses fesses se serrer d'appréhension sur les élastiques de son slip presque entièrement enfoncé dans la raie.  Afin d’ignorer son regard menaçant, il baissa piteusement la tête mais ouvrit grandes ses oreilles pour entendre ce qui se disait dans les deux groupes .

Bettina, comme pour mettre le sujet sur le tapis, avait dit à sa mère.
– « Ah dites donc, Gladys, votre fils ! il a pris une sacrée dérouillée hier soir ! Vous n'y êtes pas allé de main morte... Pour taper, ça tapait dur... J’ai bien entendu comment ça claquait fort sur ses grosses fesses ! Et qu'est-ce qu'elles claquent bien !
– Et oui Bettina...C'est le résultat d'un entretien régulier. Et vous savez comme moi qu'une fessée ça doit claquer fort si on veut obtenir une belle cuisson !
– Pour ça, vous savez y faire... Il a dû avoir sacrément chaud aux fesses, hein... je l’entendais crier et chialer comme un gamin.
– C'est ce qu'il lui faut pour bien corriger son gros derrière. D'une part il en avait mérité une sévère et, d'autre part,  ça lui a servi de préparation à la correction que vous allez lui mettre maintenant. D'ailleurs, depuis le temps que le voyez se tortiller sur mes genoux, vous allez pouvoir apprécier, par vous-même, la belle souplesse de ses fesses qui rend ses fessées si claquantes !  »

Cet échange ne lui disait rien qui vaille, et, par moment, la conversation lui paraissait bizarre ...Bettina, comme à son habitude parlait fort, avec enthousiasme. Il était bien sûr question de fessées mais, curieusement, il lui semblait, aussi, de recettes de cuisine. Gladys écoutait plus qu'elle ne discutait,  hochant la tête en signe d’approbation ou manifestant sa surprise.
– « Ah ? Ah bon ?... Vous dites que c'est bien meilleur avec ça... Oui... ça doit cuire aussi à l'intérieur... Il va falloir absolument que j'essaye...  »

Robin entendait des mots qui lui semblaient ne pas avoir de rapport entre eux. '' Radis noirs...fessées,  gingembre...martinet ''...Il y avait des termes dont il ne comprenait pas trop la signification. Il ne savait pas qu'il existait des radis noirs alors qu’ils étaient toujours roses et blancs dans son assiette... Et le gingembre ?  Quelle idée de mêler des conseils culinaires à une discussion sur la fessée qui, hélas, lui semblait le seul sujet d’actualité.

Pendant ce temps-là Edouard et Walter, discutaient, chasse, pêche, nature, mais très peu tradition... et d’une façon plutôt embrouillée, surtout Walter, à l'élocution gravement endommagée, sans aucun doute, à cause de l’alcool qu’il buvait par rasades .

Enfin, Rodolphe et sa mère arrivèrent. Elle le traînait plutôt que le tenir, lui aussi, par l'oreille et fit une entrée triomphale, étroitement moulée dans un petit tailleur outrageusement court qui mettait en valeur les rondeurs opulente de sa poitrine et de son sculptural fessier. Les boucles métalliques de ses jarretelles apparentes brillaient au soleil.  Rodolphe tout péteux, tenait son pantalon à la main. Sa mère l'avait carrément amené en slip à fessée, très étroit et très serré, dont les élastique tendues à craquer s'enfonçaient jusqu'au fond de la raie. Ses grosses fesses débordaient largement des deux côtés et la transparence du nylon révélait une surface cramoisie zébrée des rayures faites par les lanières d’un martinet qui s’entrecroisaient depuis les fesses jusqu'en haut des cuisses. De toute évidence sa mère venait de lui flanquer une sacrée déculottée à la maison avant d'arriver ici.
Il vint se mettre à quelque distance de Robin, soucieux sans doute des coups de pieds qu'il pourrait lui envoyer discrètement dans les chevilles...

Clarisse rejoignit Gladys et Bettina, sans estimer devoir s'excuser. Justifiant son retard, en arguant d'un incontournable cas de force majeur, qu'en fesseuses accomplies, ces Dames ne pouvait que prendre en considération. .
– « Je sais Mesdames, je ne suis pas vraiment en avance... mais vous savez ce que c'est... Pour tout dire, j'ai pris mon temps. Mais il fallait que je mette sa fessée à Rodolphe juste avant de partir, pour qu'il arrive ici le derrière en pleine forme. Il lui en fallait une sévère... Il l'a eue … Suffit de regarder ses fesses elles sont prêtes pour une bonne séance.
– Je vois ça ! Je vois ça ! Joli travail de préparation ! »
 Dit Bettina en se frottant les mains comme pour se les échauffer. 
– Par contre, je suis vraiment désolée Mesdames, mais ne vais pas pouvoir rester...
– Ah bon ? Mais pourquoi donc ? »
 S'exclament, ensemble, Gladys et Bettina l'air sincèrement déçu.
– J'avais pris rendez-vous, au salon de coiffure chez Béatrice, bien avant que ne se décide cette petite réunion punitive. C'est une amie aussi, je ne peux décemment pas lui faire faux bond...
– Et bien vous ne savez pas ce que vous allez rater ! »
 S'exclame Bettina en lorgnant d'un regard gourmand, les volumineux derrières des deux garçons. 

Clarisse s'était déjà levée pour prendre congé. Elle désigna son fils d'un coup de menton, la main droite levée, paume tendue comme en action, évoquant la fessée.
– « Je vous confie Rodolphe et je vous fais confiance pour bien lui cuire les fesses...Corrigez le sévèrement, qu’il se souvienne de la fessée que vous allez lui donner. Il en a une bonne paire qui encaisse bien… Alors n'hésitez pas à taper fort.  Je viens de lui en claquer une belle avant de partir, mais ce n'est pas suffisant, il lui en faut encore ... et je lui en flanquerai une nouvelle quand il rentrera pour lui faire finir sa journée en beauté! »


Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !

Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 29
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Il y a une suite, oui, mais il faudra attendre la semaine prochaine.

Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.

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2 commentaires:

  1. magnifique posture!le postérieur bien offert aux cuisantes claques de la fesseuse.
    serge...

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  2. Bonjour Serge.

    Je reconnais bien là notre amateur de derrières bien présentés.
    Oui c'est une magnifique position, humiliante à souhait, qui retrouve un peu d'actualité dans les récits.(Sophie, JLG) Pour tout dire, ça change de la traditionnelle fessée sur les genoux. (OTK) Il faut bien varier les plaisirs.(sourire)
    Le fessier est parfaitement exposé, bien épanoui. Il offre des rondeurs très tendues, par le poids du buste et des jambes dans le vide. Le derrière s'offre d'autant plus ferme sous la main que c'est la seule partie du corps en appui sur la cuisse de la fesseuse. Posture idéale pour des solides fessées !!
    Cordialement
    Ramina

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