dimanche 12 avril 2020

Mémoires d'un garnement de jadis - 113ème tableau

Mamie sollicita une ancienne collègue pour me faire travailler mon épreuve d'anglais pour le diplôme. Et Moiselle Belltawse, la bien nommée, fut choisie pour cette tâche. Maitresse-femme, elle appliqua la méthode anglaise.
"Unlearnt lesson ? Good spanking bare-bottom ! - Leçon non sues ? Panpan-cucul !

leçon non sues ? Fessée déculottée


Il y a d'autres dessins de Peter Pan sur ce blog

 en travers des genoux pour une déculottée     Une fessée déculottée au far west
                                                                   

Le prochain ? 

Un peu de patience, ça arrive mercredi prochain ... euh, non, dimanche, ou un autre jour, enfin, peut-être ! Vous verrez, il arrivera bien un jour.

Des commentaires ?

Ne vous restreignez pas, ils seront les bienvenus. Nous sommes nombreux à les attendre !

6 commentaires:

  1. Bonjour Peter,
    Décidément, l'apprentissage de l'anglais fait des ravages sur les derrières des élèves paresseux ou de mauvaise volonté. Il faut dire que les "good spanking" font partie de la culture outre Manche. La langue de cuir "tawse" accompagne souvent la langue de Shakespeare!

    T'as le coup pour trouver des noms plus pittoresques les uns que les autres... madame "Belltawse" est assez percutant dans le genre! (rire)

    Toujours ces décors années 50, avec la carte de France punaisée au mur et les corp(très)sages) au col "Claudine" boutonnés jusqu'au cou!
    La jupe plissée écossaise complète la tenue vestimentaire, aussi prude, que les fessées déculottées sont hard(ies)!

    Il paraît que les anglais utilisent des instruments pour ne pas être en contact direct avec les fesses des punis... (je crois bien que c'est dans un texte de JLG)
    Perfide Albion, et aussi faux jeton!
    Amicalement
    Ramina

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  2. Bonjour Ramina,

    l'apprentissage de l'anglais est le prétexte bien trouvé pour des "hard bare-bottom spankings" dont se régale Moiselle Belltawse.
    Entre Miss Pat et miss Belltawse, le popotin de Gérome balance !
    Oui, j'ai connu aussi les leçons d'Histoire avec les scènes peintes à décrire. Notre groupe scolaire du quartier datait de fin années 1950 et mon frère l'a également fréquenté à quelques années d'écart. Epoque bénie. Je n'ai toujours eu que des institutrices, d'âge différents.
    Quant aux fessées, je les préfère à la main. elles sont plus intimes donc plus émouvantes pour les deux partis. Avis personnel bien sûr.
    Pour ce qui est des "Rosbif", c'est de la pudibonderie. Ils ne font jamais rien comme tout le monde. Quelle idée de rouler à gauche !
    Perfide Albion, je ne vous le fait pas dire !
    Amicalement. Peter.

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  3. Chacun sait que les châtiments corporels sont telle des institutions outre manche. Il aurait été dommage de se priver d'un bon "spanking" pour remettre tout ça d'aplomb !
    Perso, j'aurais bien vu une bonne fouettée, nu et en public de ce cancre, pour lui faire apprendre la langue de Shakespeare de meilleure façon...
    Amitiés
    Elena.

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    1. Bonjour Elena,

      Merci pour vos encouragements.
      Une fouettée en public ? Retour prochain à Sainte-Geneviève. Les sœurs en décideront. Avec l'accord maternel, naturellement.
      Vos récits se rapprochent plus des "Révoltés du Bounty" que des romans de cette chère Comtesse de Ségur. Wahou !!!
      "Un esprit sain dans un corps sain."
      Amicalement. Peter.
      Décidément le contexte particulier du moment stimule votre imagination. Bravo.

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    2. Spassibo balchoye Peter,
      En effet, je tente toujours de faire référence à l'actualité pour mes textes. Je m'exprime au présent et je souhaite que le lecteur ne soit pas dépaysé avec l'environnement. Regardez bien, mes textes sont pour ainsi dire datés et "contextualisés" ( vacances, rentrée scolaire, été, hivers ).
      Pour le Bounty ( le gout de paradis, je suppose ), ça me parait un peu trop, car les marins étaient vraiment punis. Dans mes textes, le corps des jeunes rebelles est juste rougis. Assez pour leur faire regretter leur actes, mais en aucune façon pour les blesser. Mais j'aime bien le parallèle que vous en faites. Un esprit sain dans un corps sain est un mode vie qui est cher à mon coeur. Toute mon éducation, ça.
      Da svidania.
      Amitiés.
      Elena.

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  4. Bonjour Elena,

    Comme les récits de Ramina, votre saga est toujours empreinte de réalisme. Le rapprochement avec l'actualité donne une dimension plus palpable pour notre imagination. Cartésien avant tout.
    "Bounty, un goût de paradis"... Tout une époque d'insouciance en regard du monde actuel. Bref.
    Les formules de politesse dans votre langue maternelle (?) donne à votre commentaire une petite note d'exotisme. C'est touchant et sympathique à la fois. Grazie mille.
    Amicalement. Peter.

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