mardi 7 avril 2020

Ces dames aux mains fermes - saison 3 - chapitre 27

LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE

L'ESSAYER C'EST L'ADOPTER

Mis “au coin”,  les fesses empourprées en attente de la friction au Dolpic annoncée par sa mère, Robin ne pouvait s’empêcher de pleurer à chaudes larmes tant la cuisson de la fessée avait été intense... Il n’eut pas à attendre longtemps: le temps de préparer cela, et sa mère revint tout de suite avec un rugueux gant de toilette qu’elle avait copieusement enduit de la fameuse crème. Comme si la pommade, en elle-même, ne suffisait pas.
– « Avec ça, mon petit chéri, les fesses vont te cuire un bon moment. Tu vas sentir l'effet de ta fessée au moins jusqu'à la séance d'essai de ton martinet !
– Non maman , pitié je t'en supplie... Pas le Dolpic... s'il te plaît ! Tu as tapé très fort tu sais... J'ai les fesses en feu ! »
Gladys n’a pas pour habitude de s'émouvoir de l'effet de cuisson des fessées qu'elle administre, au contraire. Souvent à l'écoute des commentaires de Bettina, elle aurait plutôt tendance à trouver qu'elles ne sont jamais assez sévères. Insensible aux supplications de son fils, elle le prend sous son bras et, sans effort particulier, le soulève comme une plume afin de lui faire bomber le plus possible le derrière et de bien l'avoir sous la main.
 – « Continue à faire ton douillet et je t'en remets une en tapant encore plus fort ! Tu vas voir ce que c'est que d'avoir vraiment les fesses en feu !»
Elle saisit l'élastique de son slip et le descend jusqu'aux genoux pour disposer d'une plus grande surfaces à pommader.  Elle le frotte alors, énergiquement du bas des reins en haut des cuisses en n’épargnant même pas la raie, qu'elle enduit entièrement jusqu'au fond ;
– « Et ça va même te chauffer jusque-là ! »
 Dit-elle en riant et en écartant ses grosses fesses rouges pour lui beurrer généreusement l'anus d'un doigt nonchalant. Elle ironise. 
– « Tout de même, je ne sais pas si tu te rends compte à quel point maman prend soin de ton derrière ; »
Elle repart dans un nouvel éclat de rire sonore.

Robin avait anticipé cette “fin de fessée” en voulant se persuader qu’un peu plus de cuisson de son postérieur ne serait pas beaucoup plus insupportable que celle causée par l'avalanche de claquées reçues...mais la friction le rappela à la réalité. Oh que si...  le Dolpic faisait le même effet qu'une plongée du derrière dans de l’eau bouillante. Lorsque Gladys le reposa au sol, il se mit à pleurer encore plus fort en tapant des pieds par terre.  Elle le reprit aussitôt sous son bras et, sans pitié, lui allongea une nouvelle fessée d'une bonne dizaine de paires de claques sur chaque fesse. La méthode fut radicale, il hurla un peu et finit par se calmer rapidement en serrant les dents pour étouffer ses cris. Elle le laissa ainsi, le derrière incendié, en lui ordonnant de ne pas bouger.

Quelques minutes après, elle revint vêtue d’un de ces petits tailleurs noirs, bas nylons assortis, talons aiguille, tenue qu’elle aimait beaucoup pour aller en ville. Certes, la jupe lui moulait outrageusement les fesses. Elle était si courte qu'elle laissait entrevoir ses boucles de jarretelles. Ça ne la gênait pas le moins du monde, bien au contraire. Pas mécontente du tout d’attirer les regards plus ou moins scandalisés des autres femmes et aussi ceux des hommes qui se retournaient sur sa croupe si provocante !
Quant à Robin, elle lui ordonna d’enfiler un de ces slips à fessée qu’elle était allée chercher, en choisissant parmi ceux qu'elle lui achetait déjà une taille en dessous, les plus étroits et les plus serrés. Il obéit en grimaçant sous son regard impatient et impérieux.  Mais, estimant qu'il mettait trop de temps à son goût pour s'exécuter, elle le reculotta elle-même, sans ménagement, en s’appliquant à étirer le nylon au maximum pour bien le lui ajuster sur le derrière. L'effet fut immédiat. Il eut l’impression d’avoir le postérieur enfermé dans un four cuisant un rôti  ! A tel point qu'il éprouva presque un soulagement, du fait que ce fichu slip lui rentrait dans la raie des fesses et en laissait une bonne partie à l’air ! Il éprouva cependant instantanément l’envie incoercible de bouger les élastiques qui lui cisaillaient les fesses en accentuant la brûlure à l’endroit où ils étaient placés .

Voyant cela,  Gladys n'hésita pas une seconde et réagit comme il se doit.  Elle le remit en position sous son bras, lui remonta les élastiques entre les fesses et, malgré ses supplications, lui flanqua une nouvelle fessée pendant quelques minutes. Ses fesses écarlates, reluisantes au Dolpic claquaient si bien et si fort qu'elle ne résista pas à l'envie d'en faire profiter toute la surface. Elle le déculotta, cette fois entièrement, et prolongea la fessée pendant cinq bonnes minutes. Robin fut presque déçu, non pas que cette fessée supplémentaire soit finie, au contraire, mais plutôt que sa mère lui ordonne de se reculotter en recalant son slip à sa place... au fond de la raie. 
– « Tu vas tenir ton pantalon baissé pour que tout le monde voit bien que tu viens de ramasser une bonne fessée avant de partir ! . Aller... En route ! »

Ils sortirent de la maison, Gladys le faisant marcher au trot, à côté d'elle, en l’entraînant fermement tenu par une oreille !  Elle marchait d’un pas décidé, faisant claquer ses hauts talons sur le macadam et les pavés et il avait quelques difficultés à suivre l’allure .... Elle lui lâchait parfois l’oreille, mais c’était alors pour claquer la partie des fesses qui débordaient de son slip trop juste, par un ou deux allers-retours vigoureux qui retentissaient bruyamment sur mon postérieur.  Ainsi stimulé pour avancer plus vite, il voyait, dans certaines vitrines, que ses fesses arboraient une couleur cramoisie qui s’accentuait au fur et à mesure qu'ils avançaient. Malgré ses efforts, à sa grande honte, il ne put s'empêcher de pleurer tout le long du chemin jusque chez le cordonnier.

Pendant tout le trajet, entre deux claquées généreusement flanquées sur le bas de ses fesses découvertes, et, de préférence, quand ils croisaient des passants,  Gladys  lui fit la leçon.
– « Je te préviens, tu as intérêt à être bien poli envers tout le monde chez le cordonnier !
– Oh oui , Maman !
– Et quand on nous demandera ce qu’on veut c’est toi qui répondras.
– Tu veux que je réponde quoi maman ?
– Qu'il te faut un bon martinet parce que je tu es un garçon désobéissant et que tu as souvent besoin de sévères fessée déculottée !
– Mais Maman ...je ne peux pas dire tout ça
– Bien sûr que si tu vas dire tout ça !  Et si tu discutes encore, je te déculotte tout de suite et je te mets une autre fessée immédiatement ...là sur le banc ...devant tout le monde ! Tes fesses en seront encore mieux préparées pour ce qui les attend !
– Oh non, Maman ! Pas encore la fessée, je dirai tout, je te promets ! »
 Quand ils arrivèrent devant la boutique Robin avait les cinq doigts de la main de sa mère imprimé en rouge sur toute la surface exposée de ses fesses

Ce n'était pas, à proprement parler, ce qu'on pouvait appeler une simple cordonnerie, ressemelant les chaussures et proposant toutes sortes de petits services allant de la fabrication de double de clés, aux tampons encreurs en passant par la gravure de plaques de toutes sortes.  Sur un panneau de bois rouge, au-dessus d'une étroite vitrine, était indiqué en lettres italiques, probablement peintes à la main : ''Maison Delaniaires''. Artisan du cuir depuis mille huit cent quatre-vingt-douze. 'Fabrication de Souliers sur mesure''. Et dessous en plus petit à peine visible mais bien présent : '' Instruments de discipline. Martinets, Cravaches, Battoirs''.
Gladys qui a repris son fils par une oreille.
– « C'est une maison sérieuse... hélas, comme on n'en trouve plus ; » 
 Elle ouvre la porte qui fait retentir une petite clochette annonçant un client, et le pousse devant elle pour entrer.  Il manque de s'affaler, les jambes entravées par son pantalon qu'il est obligé de maintenir à mi-cuisses avec ses deux mains.

 On entend le cordonnier s'affairer dans son atelier. C'est sa femme qui tient le magasin. Une belle femme au physique avantageux, qui porte haut et dégage dès le premier contact une impression de malaise. Son regard noir et perçant laisse deviner une personne au tempérament affirmé... autoritaire. Ce qui n'a rien d'étonnant quand on fabrique et vend des instruments de discipline que l'on fait carrément essayer dans son magasin. Elle semble à peu près du même âge que Gladys, une belle cinquantaine bien portée et vient vers eux avec un sourire avenant.
Sa voix grave fait sursauter Robin, étonné par un phrasé un peu distingué plutôt inattendu pour une femme de cordonnier.
– « Madame, Jeune homme... bonjour... Astrid Delaniaires ...que puis-je pour vous ?''
Pas difficile de deviner que c'est elle qui tient les rênes du ménage et gère la boutique.

Robin sent un petit frisson lui parcourir l'échine. Ses fesses se serrent nerveusement sur les élastiques de son slip englouties entre les deux. Planté au milieu du magasin,  retenant à deux mains son pantalon au milieu de ses cuisses, il réalise à quel point elles sont dangereusement exposées... comme une provocation à la fessée.  Il a l'impression d'être aussi scandaleusement visible qu'une tache de ketchup sur une chemise blanche.

Impressionné par la maîtresse des lieux, il dit bonjour timidement et aussi poliment qu'il le peut, les yeux rouges...et les fesses encore plus ! Elle le dévisage des pieds à la tête sans faire pour lui le moindre effort d’aménité et le fait pivoter sur lui-même pour envelopper d'un regard gourmand son volumineux postérieur débordant de son slip à fessée. Elle lance à sa mère un regard admiratif comme pour la féliciter des belles rondeurs si généreusement développées de son grand garçon. Le coup d'œil professionnel laisse deviner qu'elle évalue déjà la bonne longueur de lanières du futur martinet.

« Alors … Que nous vaut le plaisir de la visite de cette magnifique paire de fesses. J'en voit défiler beaucoup ici, tous les jours et pas par hasard. Toujours de belles paires, plantureuses et bien charnues, faites pour les grosses fessées et qui nécessitent du martinet sur mesure pour être bien corrigées.  Mais dans le genre fesses à claques celles-ci ont l'air particulièrement bien disposées ! Vous ne devez pas vous ennuyer à la maison... les fessées ça doit claquer souvent... et des sévères  ! » 
Gladys, apprécie le compliment, mais laisse échapper une petite moue d'insatisfaction.
– « Oui, mais justement pas encore assez ! Il est tellement désobéissant et paresseux... je   lui en mets pourtant, à la moindre incartade, mais cela ne suffit pas. J'ai donc décidé de le punir plus sévèrement encore.
– Je m'en doute, chère madame ... C'est bien pour ça que vous êtes ici.  Alors...Qu'est-ce que je peux faire pour vous ?»
Elle esquisse un sourire faussement navré et fait semblant de s'excuser.
– « Pardon... Je devrais dire : pour le derrière du jeune homme ! »
Elle émet un petit rire entendu en lorgnant d'un regard gourmand vers les fesses enluminées de Robin que son slip, tiré entre les deux, découvre presque entièrement. Elles semblent être passées à travers. Il est aussi à l'aise qu'un gamin attendant que sa mère le déculotte sur le trottoir pour lui flanquer une fessée devant tout le monde. Ce qui lui arrive encore assez souvent.  Gladys adore le fesser en public et ne rate jamais une occasion de l'humilier de cette manière.  C'est bien ce genre de honte qu'elle va encore lui infliger dans cette boutique peuplée de rangées de martinets de toutes sortes, accrochés partout aux murs et sur des présentoirs. 

Gladys lui donne un coup de coude et il récite sa leçon en bredouillant.
– «C’est... C’est pour moi, Madame : il me faudrait un bon martinet parce que je suis un garçon indiscipliné,   et... et il faut que Maman me donne souvent de bonnes fessées ...”

Madame Delaniaires hoche la tête d’un air satisfait et lui répond en insistant à plaisir ;
– « Des bonnes fessées au martinet, bien cuisantes sur tes grosses fesses déculottéeset en public, devant tout le monde ! Hein ? C’est ça qu’il te faut ?
– Euuuh... Oui... Oui...C'est ça  !
Gladys lui allonge un aller et retour, bien ajusté, sur chaque fesse. Elles sont juste à portée de sa main, ça claque sec.
– « Oui qui, Robin ?
Il couine. Nouvel aller et retour encore plus fort ;
– Répète ce qu'on vient de te dire !
– Oui madame... Des bonnes fess... fessées au... au martinet, bien cuisantes sur mes... mes grosses fesses dé... déculottées !
– C'est cela ! Continue la belle femme en le toisant de toute la hauteur de ses talons aiguille. Pour que ta mère ne se fasse pas trop mal aux mains parce qu’il faut qu’elles durent longtemps les fessées si on veut qu'elles soient efficaces.  Et apparemment tu as les fesses dures, à force de t'en prendre... N'est-ce pas ? »
Elle s’adresse à Gladys ; avec un grand sourire complice.

« Bon ! on a ce qu’il faut ici , vous en faites pas ! Les martinets, on a en des solides, faits pour flanquer de grosses fessées sur des derrières résistants comme le sien. »

Elle le fait se retourner et il aperçoit alors une jeune femme, probablement la fille de la maison, debout derrière le comptoir en train de ranger des battoirs en cuir et des martinets de toutes tailles. Elle lui jette un regard moqueur et continue son travail, apparemment habituée à ce genre de demandes des clients.
Madame Delaniaires ordonne d'un ton sans réplique.
« Allez, viens par-là ,toi  et déculotte-toi entièrement ! Ton slip enfoncé dans le derrière ne te sert pas à grand-chose ! 

Gladys approuve en lui appliquant , de nouveau, deux paires de claques sur les fesses qui retentissent dans le magasin en faisant un bruit d’enfer ! Robin ne discute pas, ce n'est pas le moment. Sans traîner, Il enlève immédiatement son pantalon qu'il avait laissé tomber sur ses chevilles et baisse son slip dont il a du mal à extraire les élastiques d'entre ses fesses serrées d'appréhension. Astride s'en amuse et s’exclame :
« Que voilà une belle paire de fesses bien rouges, de garçon désobéissant qui a déjà reçu une superbe fessée. Je vois que maman à la main ferme. Elle fesse dur, c'est ce qu'il faut ! »
Gladys tout sourire confirme.
– « Tout à fait, il vient d’en recevoir une bonne à la main, plusieurs même, mais maintenant, il lui faut un bon martinet pour que sa fessée soit efficace. »

Madame Delaniaires est du même avis. Ça tombe bien, des martinets elle en vend. A voir la sévérité de sa cliente, la fréquence des fessées qu'elle administre et l'endurance des derrières quelle corrige, elle se réjouit déjà de sa future consommation de martinets.
« Vous avez raison, à cet âge à force de se prendre des déculottées ils finissent par avoir des derrières très résistants. C'est fessée à la main et fessée au martinet qu'il leur faut...les deux...à chaque fois...La main ET le martinet . Elle rit : pour les maris aussi, d'ailleurs, il faut les deux, »

Gladys soupire pensivement avec un petit rictus plein de sous-entendus . Elle pense aux grosses fesses fermes d'Edouard. ;
« Oooh que oui... Et très souvent même ! »
 Puis se concentre à nouveau sur celles de son garçon.
-- « Si vous voulez, je vais vous le tenir sous mon bras pour que vous puissiez prendre   les mesures de ce qu’il faut comme longueur de lanières quand il est en position fessée, les fesses bien épanouies, largement développées  ?
– Oui, ça sera plus facile. Surtout qu'elles sont déjà bien volumineuses en position normale. Elles en prennent encore quand elles sont tendues  »

Robin, n'a d'autre choix que de se laisser faire et de se soumettre à la volonté des deux femmes qui le manipule comme elles l’entendent. 
Sa mère a posé son talon aiguille sur le tabouret, au milieu de la boutique et Il se retrouve plié en deux sur sa cuisse, levée à l'horizontale. Elle le tient, le buste coincé sous son bras, le derrière en l’air, déculotté, bien tendu dans une des positions qu'elle lui fait prendre pour lui flanquer une fessée. Elle commande ;
« Présente bien tes fesses à Madame Delaniaires... Mieux que ça ! Aller ! « 
La tête tournée vers la vitrine, son postérieur orienté vers le comptoir, Robin aperçoit par-dessus son épaule, la jeune femme qui regarde le croustillant spectacle les yeux pétillant d'intérêt.

Il sent la fraîcheur d’un centimètre de couturière, lui entourer les fesses d’une hanche à l’autre, du haut des cuisses à la ceinture, passer dans la raie, qu’une main ferme écarte sans ménagement, pour mesurer à nouveau du dessous d’une fesse à la hanche opposée. Le contact du ruban froid sur son derrière brûlant lui fait du bien. Mais il est brutalement remis debout et prié d’aller s’agenouiller sur une chaise basse du même genre que leur “chaise à fessées” à la maison.  Il obéit sans rechigner, Il n'a pas intérêt. Le pantalon aux chevilles , la ceinture traînant au sol, le slip tendu sur les cuisses, il va y exposer son postérieur comme sa mère l'a dressé à le faire.

 Madame Delaniaires, après un court moment de réflexion, fait son diagnostic.
--« Bon, je pense que des lanières de quarante centimètres conviendraient au format de son derrière. Cela lui enveloppera bien tout le fessier sans déborder. Il vaut mieux que leur bout arrive bien sur les fesses, pour claquer bien comme il faut et que le reste des lanières cingle efficacement. Et, bonne nouvelle, ses fesses n’auront pas besoin d’attendre, parce que j’en ai justement de cette longueur »
Robin blêmit . Gladys acquiesce avec un sourire.
– « Ah très bien, pour le reste, je vous fais entièrement confiance !

La femme de l'artisan du cuir connaît bien ses articles et explique en détail les différences de modèles de martinets par rapport à leur utilisation.  .
– « Il faut choisir, si vous voulez des lanières rondes ou carrées. Avec des lanières carrées cela marque plus vite et cela risque même d'abîmer un peu la peau, bien qu’un garçon ça a la peau plus dure que les filles... Mais avec des lanières rondes vous pouvez faire durer les fessées plus longtemps tout en gardant le derrière en état pour en administrer une autre aussitôt si c’est nécessaire... C’est d'ailleurs le modèle que je vous conseille. »

Gladys, enchantée, écoute avec attention. La maison Delaniaires est à la hauteur de sa réputation de sérieux et de compétence. La patronne poursuit ses recommandations pour que l'article qu'elle propose soit parfaitement adapté à son usage.

– « Il faut choisir le manche aussi ! Moi je vous le conseille ni trop long, pour pouvoir vous en servir quand vous mettez le puni à plat ventre sur vos genoux, ni trop court, pour que les coups de lanières aient assez de force… Et puis il faut qu’il soit assez gros pour bien tenir en main. Moi, à votre place, j’en prendrai un bien épais comme celui-ci. De plus, il est fabriqué avec un manche légèrement cannelé, que vous pourrez lui mettre dans le derrière pendant une fessée à la main. Bien enfoncé, vous ne risquerez pas de le voir ressortir et de devoir interrompre sa fessée pour le remettre en place. Une bonne fessée avec le manche de son martinet planté dans le derrière, je vous garantis que ça fait réfléchir. Ça donne sûrement pas envie d'y retourner ! »

Madame Delaniaires est décidément une personne de ressource qui laisse Gladys songeuse. Bien sûr, elle a déjà flanqué des fessées avec le manche de son martinet coincé entre les fesses du puni, mais pas encore enfoncé dans le derrière. Elle trouve la suggestion aussi amusante que pertinente. Il faudra qu'elle mette cette méthode en pratique. Pour le moment, elle hésite encore sur le choix du martinet. 
– « Puisque vous dites que vous en avez de prêt , vous pouvez m’en passer un pour que je l’essaie ?
– Mais bien sûr chère Madame, lanières rondes ou carrées ?
– Je vais suivre votre conseil : lanières rondes. J'estime qu'une bonne fessée doit toujours être longue... Il faut qu’elle dure un bon moment pour être efficace au maximum. Mais j’essaierai peut-être après avec les lanières carrées, pour voir la différence. »
Robin sent une ligne de sueur dégouliner lentement entre ses fesses, moites de transpiration. Au train où vont les choses, elles ne vont certainement pas mettre longtemps à sécher.

 La maîtresses des lieux tend un martinet à sa mère.
– « Vous avez raisonmoi c’est ce que j’utilise pour donner les fessées à Géraldine, la demoiselle qui est au comptoir à côté... J'ai accepté de la prendre parce que c’est ma nièce, mais je ne vous raconte pas comment elle m’en fait voir l'insolente! Alors les fessées c’est pas ce qui manque à la maison ! Parce que, j'aime autant vous dire que je ne m'en prive pas ; je me régale même ! Elle ne comprend pas autrement que les fesses rouges et cuisantes. 

Gladys croyait quelle était une simple employée mais peu lui importe. Elle saisit Robin par les cheveux, le fait descendre de la chaise à fessée et sans ménagement, le met en position, la tête coincée entre ses cuisses qu'elle resserre comme un étau autour de son cou. Le revers de ses bas nylon et ses boucles de jarretelles frottent douloureusement sur ses joues.
 – « Tends tes fesses bien en l'air Robin !... Montre à Madame Delaniaires comment tu prends bien tes fessées ! »
Il s'exécute en geignant et Gladys, de bon cœur,  commence aussitôt à essayer le martinet sur son derrière déjà en feu .... Pour un galop d'essai la fessée est sévère. Chaque cinglée lui incendie de nouveau les fesses et il se remet à pleurer à chaudes larmes sans se soucier d’être entendu. Sa mère a l'air satisfaite du résultat. .

– « Oui , il a l’air bien celui-là ! Je l'ai bien en main et les lanières se répartissent parfaitement sur la totalité de son fessierEt toi Robin, qu’est-ce que tu en dis? Tu le sens comment sur tes fesses  ?
– «“ Roaiiiiee !! Tu tapes fort Maman ! Il cingle dur, celui-là ... ça fait mal ! Les fessées vont être sévères... mais je sais que je les mérite !!!” 


fessée au martinet chez le cordonnier


Le malheureux, en larmes, se tortille comme un ver entre les cuisses de sa mère, sans pouvoir soustraire son derrière écarlate à ses cuisantes cinglées. Ses joues soumises au frottement continu des bas nylon sont de la même couleur. Implacable, Gladys décide de prolonger la séance d'essai.
– « Je vais quand même essayer avec les lanières carrées ! Ce n'est pas fini Robin. Ne te relâche pas et présente-moi bien tes fesses  ! »
Astrid lui en tend un autre et commente ;
« En tout cas , vous voyez c’est la bonne longueur pour le fesser comme il faut : vous ne perdrez pas de temps, toutes les lanières lui couvrent bien la totalité des fesses , c’est ce qu’il faut : à chaque coup tout le derrière est cinglé ! » 

Robin gémit et cambre docilement les reins pour arrondir son derrière au maximum.


Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !

Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 26
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Il y a une suite, oui, le chapitre 28.

Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.

Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.


Si vous voulez un échange plus privé voici un courriel pour le joindre :  Ramina

10 commentaires:

  1. Bonjour Ramina,
    Voilà une fort belle histoire. On passe du DOLPIC au martinet, cher à mes propres histoires. J'adore le passage de l'achat où une professionnelle sait conseiller la clientèle pour une totale satisfaction. Un raffinement est le manche enfoncé dans le fondement, ce qui aura pour but de calmer ces "jeunes mâles" désobéissants. Je suis aussi pour une parfaite égalité et si de "jeunes femmes" devait d'égarer, il leur faudrait pareil traitement...
    Je pense que Robin du bois dans le fondement, faute une nouvelle fois, il pourra nous interpréter la danse de Saint-guy. Ce sera mérité et souhaité.
    En ce qui concerne le DOLPIC, une dose sur l'anus doit faire l'effet d'un vésuve en éruption... Brillante idée.
    Amitiés.
    Elena.

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    1. Bonjour
      Oui cela calme et pas que les jeunes males d'allez au coin le manche du martinet planté dans le petit trou ,comme aussi les prises de température avec un gros thermométre tout nu en blouse de fille bouton dos ,j'ai connu cela et adulte
      JOJO

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  2. Bonjour Ramina,

    "Maison Delaniaires". Belle publicité pour des articles de discipline. Une concurrente de Mam'e Mocassin ?
    C'est plus claquant qu'une "séance-Tupperware" en tout cas. Les articles ne sont ni échangés ni remboursés.
    "Tante Gladys semble trouver son bonheur de fesseuse parmi cette panoplie. Quant à Robin, rien ne lui est épargné. Même la honte d'être fessé comme un gamin devant la nièce de la patronne !!!
    Courage, champion...
    (Mais, où est donc passée la sept... euh... le dessin ? On s'y habitue. Désolé.)
    Amicalement. Peter.

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  3. Eh oui chère Elena,
    Vous avez raison, la fessée avec le martinet, double emploi, planté dans le derrière devient d'un raffinement... Je ne vous dis pas! Double peine ou double plaisir, tout dépend de quel côté du manche il est utilisé. Bien évidemment, unisexe, pour les dames comme pour les messieurs et toujours en souplesse.
    Comme vous êtes aussi attentives aux subtilités susceptibles de pimenter les corrections, vous aurez retenu le doigt de Dolpic au fond de la raie qui vous fait agréablement pétiller l'anus après une bonne déculottée...
    C'est fou ce qu'on s'amuse!
    Amicalement
    Ramina

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  4. Bonjour Peter,

    Delaniaires / Mocassinn deux maisons concurrentes... je dirais stimulantes et complémentaires pour une diversité de proposition. Sûr que les prestations sont plus cuisante que les réunions Tupperware!
    C'est vrai que les fesses de Robin sont une nouvelle fois soumise à la sévérité de maman...C'était programmé... Mais depuis le temps qu'il y échappait, il fallait bien que ça finisse par lui tomber sur le derrière.
    Quant à Géraldine... pas si innocente que ça...la gourgandine !
    Oui, notre amis JLG avait bidouillé une fausse manip... ça arrive et c'est réparé... Finalement tant mieux si on s'habitue à cette compagnie... ( pas la septième évidemment!) Drôle!
    Amicalement
    Ramina

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  5. Ce texte est splendide. J'aimerais en savoir plus sur le Dolpic et les produits pour la cuisson après fessée. J'aimerais savoir si avec de la harissa, du piment, de la moutarde, ça marche aussi. Et si vous avez des expériences avec le crin et la toile de jute. Merci pour vos réponses.

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  6. Bonjour Marie-Souillon.( encore un pseudo rigolo!)

    Merci du compliment qui incite à continuer à écrire. Le retour des lecteurs est le meilleur encouragement et contribue à entretenir la dynamique du blog... Nous en avons tous besoin...

    Il vous suffit de taper " Dolpic pommade chauffante " sur votre moteur de recherche et vous verrez que le produit est toujours d'actualité. Evidemment il n'était pas, à l'origine de sa fabrication, destiné à accentuer et entretenir l'effet des fessées. Mais c'est bien une pommade pour échauffer les muscles. D'autant mieux les muscles fessiers pendant et après une bonne déculottée...
    Vous trouverez toute une gamme de Beaume échauffant susceptibles de faire l'affaire, comme FLOVIE, WARM CREAM, par exemple... Mais avec DOLPIC, c'est sûr, l'effet fessée ça dure !!! (rires)

    Je ne suis pas certain que les condiments alimentaires comme l'Harissa, le piment ou la moutarde soient aussi efficaces... Pique sur la langue, pas sur les fesses. Pas sûr, non plus, du résultat sur des fesses rouges enduites de moutarde. Le gant de crin, par contre, doit être un excellent stimulant. Doublé avec le Dolpic, l'effet des fessées s'en trouve merveilleusement activé!
    Cordialement
    Ramina

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  7. Bonjour Jojobonno. (Trop bien le pseudo! )

    Notre ami jojo a le blues de la blouse, dont il semble bien connaître l'usage. Fermée sur le devant, boutonnée par derrière avec ouverture facile pour l'émergence des lanières du martinet des profondeurs postérieures... Le manche étant là ou l'on ne l'attend pas d'habitude.
    Sûr ça doit finir de calmer après une bonne déculottée.
    En connaisseur Jojobono ?
    Cordialement
    Ramina

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  8. Bonsoir
    Oui comme le personnage Benoit , j'ai porté la blouse jusqu' 17A , comme lui j'avais honte de porter la blouse qui pour la plupart était des anciennes blouses de ma sœur ainée et les blouses boutons dos était des vraies blouses de fille ,et comme beaucoup troublé par la fessée et c'est comme cela que sont né mes gouts pour la blouse et la fessée. J'ai du attendre l'arrivé de internet pour comprendre que je n'étais pas le seul et aussi faire des rencontres
    Jojo

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  9. Bonjour, Mme Delaniaires quelle beau nom ! Tout un programme ! Les "Dames" sont un récit que je suis de puis le début et c'est vraiment une histoire claquante à souhait.
    En cette période compliqué, c'est vraiment "génial" de pouvoir continuer à lire les différentes histoires que vous proposez. Continuer de faire vivre "Ces Dames" car je suis certain que leurs diverses aventures risquent de résonner encore longtemps ! Je trouve aussi que c'est très bien que vous introduisiez de nouveaux personnages...cela ouvre des portes dans de nouvelles maisons ou on va entendra aussi claquer.
    Cordialement

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